Signé Amadou Bocar Ba/Gaynaako Cp/Guidimakha.Source : Amadou Bocar Ba
lundi 25 mars 2013
Guidimakha : L’Etablissement Bounedou O/ Sidiné contre la corruption et la gabegie: Pratiques néfastes et nuisibles au développement
F’Dèrik : Xstrata- commune, partenariat solide
Faux bond du DRH de Xstrata.Ahmed ould Yehdhih, directeur des ressources humaines de Xstrata a minimisé royalement le rôle de la presse indépendante qu’il dit ne pas reconnaître au Tiris, soulignant qu’il n’a affaire qu’à la presse officielle.
Un marché opaque.L’octroi du marché des deux réalisations s’est fait dans une opacité totale. Un entrepreneur local affirme qu’après l’appel d’offres et le dépôt des dossiers, les soumissionnaires ont été surpris de voir une entreprise qui n’a pas encore terminé des travaux dans les délais d’exécution requises, remporter un autre marché, « il y a anguille sous roche », le dépouillement des dossiers de candidature a eu lieu à Nouakchott, nous ignorons totalement ce qui s’est passé, mais c’est peu orthodoxe, estime-t-il.
D.S CP/ Tiris Zemmour.Source : Le Quotidien de Nouakchott
dimanche 24 mars 2013
UNICEF –DREFP du Gorgol : 173 enseignants formés sur l’évaluation critériée et la gestion des grands groupes
Khalil Sow
Urgent : Propagation subite de mort d’enfants a Aoujeft
Source : Adrar Info (Mauritanie)
samedi 23 mars 2013
Deux éleveurs mauritaniens tués au Mali
ALAKHBAR
vendredi 22 mars 2013
Sélibaby : Disparition de 16 millions destinés à la réfection des bâtiments qui abritent les services du gouverneur
Source : Taqadoumy (Mauritanie)
Brakna : Boghé : Tostan forme ses facilitateurs sur l’usage du téléphone
Dia Abdoulaye Cp. BraknaSource : Dia Abdoulaye
jeudi 21 mars 2013
La coopération Allemande sur le point du retour à Boghé
Source : Elfoutiyou
Interpellation du correspondant de Al Akhbar dans l’Adrar après la publication des décombres de l’avion militaire
Source : Mauriweb (Mauritanie)
Préparatifs du lancement des opérations de financement du secteur rural : Le Directeur Général de la CDD à Rosso, Boghé et Kaédi
Le Conseiller Chargé de la CommunicationSource : Communication CDD
mercredi 20 mars 2013
Boghé : Les démonstrations Culinaires sur la Patate Douce
Pourquoi, la patate douce ?En introduisant la culture de la patate douce, c’est une variété riche en vitamine A, appelée variété ndiol, la patate douce joue un rôle important dans la nutrition des ménages, dune part elle est riche en éléments nutritifs et d’autre part car sa récolte coïncide avec le début de la période de soudure, époque où les denrées alimentaires sont rares. En outre, la patate douce, ne peut être adoptée dans l’alimentation quotidienne que si les coopératives ont bien assimilé les techniques de production mais également de préparation culinaire. La Fao, par cette optique souhaite donner une certaine visibilité à l’ensemble de cette activité de renforcement des coopératives, à travers des émissions radiophoniques sur les radios rurales d’Aleg, Kiffa, Selibaby et Kaédi . Pour s’assurer que la patate douce sera bien intégrée dans le régime alimentaire des ménages. La FAO travaille désormais en étroite collaboration avec le centre de formation des producteurs ruraux de Boghé pour sensibiliser les femmes de ces coopératives sur l’importance nutritionnelle de la patate douce et pour le faire découvrir les modes de préparations à travers des démonstrations culinaires et des séances de dégustation. Rappelons que 83 coopératives maraîchères ont été formées sur la production de la patate douce et ont reçu des boutures pour en produire elles- mêmes dans leur jardin. Les premières récoltes devraient démarrer mi- Mars coïncidant ainsi avec le début de la période de soudure. Les résultats attendus à l’issus de ces séances de formation : quatre émissions radio d’une trentaine de minutes de type reportage incluant la présentation des activités de la FAO et des interviews des femmes bénéficiaires, des partenaires (MDR, CNRDA, CFPR de Boghé) et la FAO. Les émissions seront véhiculées sur les langues locales des milieux en question, c'est-à-dire en Pulaar, Hassaniya, et soninké. En fin les enregistrements de ces émissions de radio seront mis à la disposition de la FAO Mauritanie pour son utilisation interne et le partage avec les partenaires techniques et financiers.
Diop Mohamedou Abou dit Hbodiel CP le Véridique au Brakna.Source : Albert Camus Diop
Mort suspecte à Aleg d’un homme après son arrestation sur instruction du Hakem
Source : Mauriweb (Mauritanie)
Caravane du REFELA: Les responsables du Réseau des Femmes Elues locales d’Afrique au Tagant
Le Wali du Tagant honoré par les femmes du REFELA
Khalil Sow-Tagant
Entretien avec Mme Fatimetou Mint Abdel Malick Présidente du Réseau des Femmes Elues Locales d’Afrique
« Notre objectif c’est de travailler pour qu’il ait une meilleure représentativité des femmes dans plusieurs instances décisionnaires »En marge de la rencontre entre les responsables du Réseau REFELA et les femmes du Tagant, nous avons tendu notre micro à la Présidente du Réseau Mme Fatimetou Mint Abdel Malick maire de Tevragh Zeina. Nous vous livrons dans ce qui suit ses impressions sur différents aspects liés au rôle et à la représentativité de la femme mauritanienne, et sur des questions d’actualité
Quels objectifs visez-vous à travers l’organisation de cette caravane qui vient de sillonner plusieurs Wilaya ?FAM : Je suis Abdel Malick Fatmetou, je suis maire de Tevragh-Zeina et je suis présidente du Réseau des Femmes Elues Locales d’Afrique et actuellement présidente du Réseau en Mauritanie. Cette caravane entre dans le cadre de la mise en œuvre du plan d’action du REFELA en Mauritanie. Elle a sillonné dans sa première étape cinq Wilaya : le Brakna, les deux Hodhs, l’Assaba et le Tagant. Cette caravane vise à faire connaitre davantage le réseau mais surtout d’échanger avec les femmes élues locales et d’autres de la société civile qui sont des élus locale potentielles pour diagnostiquer les problèmes, les obstacles qui se dressent devant les femmes mais aussi proposer des solutions pour des problèmes qui se posent aux femmes de façon générale. Cette caravane est composée de plusieurs membres du bureau de REFELA venant de formations politiques de tous bords. Au niveau du REFELA nous oublions notre appartenance politique, tribale, communautaire pour ne considérer que les problèmes que rencontrent les femmes. La thématique femme est pour nous un thème central autour duquel nous pouvons toutes converger. Je rappelle au passage que La caravane va sillonner d’autres Wilaya les jours à venir.
: Des voix s’élèvent de plus en plus pour fustiger le recul de la représentativité féminine au niveau des instances de décision. Etes- vous de cet avis ?FMAM : Naturellement c’est un de nos combats. Notre objectif c’est de travailler pour qu’il ait une meilleure représentativité des femmes dans plusieurs instances décisionnaires
Vous reconnaissez donc qu’il y a recul ?FAM : Bien sûr les constats sont là ! Au niveau des bureaux exécutifs des partis politiques, il y a peu de femmes, au niveau de la haute administration, il y a très peu de femmes, au niveau des communes, nous ne sommes actuellement cinq femmes maires. Nous n’étions d’ailleurs jusqu’ à avant-hier, quatre femmes sur deux cent seize maires. Ce n’est pas normal ! Les collectivités locales doivent être gérées par les femmes. Je suis parmi celles qui pensent que les collectivités locales sont faites pour les femmes. Parce que non seulement elles ont non seulement une capacité d’écoute, elles sont plus proches des citoyens, elles connaissent les problèmes des citoyens parce qu’elles les vivent au quotidien au niveau de leur foyer.
« S’imposer et arracher» des termes que vous avez utilisé dans le film que nous venons de visionner. Est-ce la meilleure stratégie pour que la femme mauritanienne puisse recouvrir ses droits ? Ne devrait-elle pas aussi négocier ?FAM : S’imposer oui mais arracher non ! Arracher peut être mais par voie démocratique. Il faut négocier, il faut convaincre à travers le rendement des femmes, leurs réalisations, leur contribution à l’avènement d’une société développée, juste et égalitaire. Je ne suis pas parmi celles qui sont pour un arrachement au sens violent du terme mais plutôt une adepte de la souplesse mais une souplesse qui n’est pas synonyme ni de faiblesse encore moins de compromission. Nous voulons être impliquées à tous les niveaux. L’élaboration des stratégies doit se faire désormais avec les femmes qui savent plus que quiconque définir leurs besoins. Maintenant tout cela doit se faire dans le calme, dans la souplesse.
Mais cette stratégie vous l’avez déjà expérimentée sans résultat, ne faudrait-il pas changer de fusil d’épaule ?FAM : Il faut reconnaitre que nous n’avons jamais eu l’occasion d’être associées en grand nombre. C’est d’ailleurs pour cette raison que nos voix continuent à être inaudibles. Il faut impérativement une forte mobilisation pour que les autres soient plus attentifs à nos revendications. Parce que figurez-vous certaines femmes, et elles sont nombreuses, ne sont pas intéressées par la politique. Elles sont juste utilisées pour meubler les listes électorales. Il y a un désintéressement total. Mais rassurez-vous nous ne baisserons pas les armes, le combat de la représentativité de la femme nous le mènerons jusqu’au bout.
Vous venez de visiter plusieurs Wilayas et de rencontrer plusieurs de vos consœurs, avez-vous le sentiment qu’elles comprennent et adhèrent à votre discours ?FAM : J’étais agréablement surprise de constater que les femmes au niveau local dans les coins du pays les plus reculés sont très fines dans leurs analyses et qu’elles ont une vision très nette de ce qu’elles ambitionnent. Elles sont conscientes de leur rôle et leur place. Je répète une fois encore, j’ai été agréablement surprise devant tant de finesse, tant de clairvoyance et tant d’engagement.
La situation politique actuelle du pays ne semble pas être au beau fixe. Quelle contribution votre réseau devrait pouvoir apporter pour aider à l’apaisement si tant est que vous avez une place à occuper et un rôle à jouer ?FAM : Je ne suis pas de ceux ou celles qui disent qu’il y’a une crise dans le pays, je ne le qualifie pas comme ça, même si je dois dire qu’il reste encore beaucoup à faire pour changer la situation dans laquelle se trouvent les femmes.
Je faisais plutôt allusion à la « crise politique et institutionnelle »FAM : Je pense que la femme a un important rôle à jouer, d’ailleurs ce rôle à été joué à merveille dans les pays africains où les femmes ont contribué de façon positive à la résolution des conflits. Elles ont été très efficaces. Personnellement, je pense qu’il n y a pas de développement sans stabilité et pas de stabilité sans la cohésion et la femme est par excellence un élément déterminant de cette cohésion sociale. Donc sans son implication n’y a pas de cohésion, pas de justice sociale, pas de stabilité et pas d développement. Il faut impliquer les femmes à la hauteur de leur poids démographique et à leur espérance de vie vue qu’elles vivent plus longtemps que les hommes. Au niveau du Réseau nous sommes conscientes que dés lors qu’on prend comme pivot la thématique femme, nous nous servirons de ces mêmes femmes pour instaurer la paix ; assurer le développement mais il faut nécessairement leur donner l’occasion en les associant.
Propos recueillis par Khalil Sow-Tagant
lundi 18 mars 2013
Arrestation du chef du centre d’enrôlement de Male : des accusations à prouver par la gendarmerie
Telle est la version de monsieur Wagne.A entendre cette version, on se demande pourquoi tout ce tapage médiatique de Alakhbar et ses sources (la gendarmerie de Male en question) autour d’un problème fabriqué de toute pièce pour faire tort à une fonctionnaire qui, depuis son affectation en juillet 2012 a enrôlé plus de 10.000 citoyens Mauritaniens! Et nos confrères d’Alakhbar parlent en plus dans leur article d’une arrestation qui s’est passée au Brakna (Sud) alors que l’arrestation s’est passée dans les confins du Brakna Nord, dans ce qu’on appelle le triangle de la pauvreté. Male n’est pas Sud mais au Nord. Ils sont encore plus affirmatifs quand ils martèlent « le même chef de centre a été muté de Dar Naïm à Nouakchott au Brakna après une autre tentative d’enrôler l’un des cinq Sénégalais en question. » ! C’est vraiment honteux et ridicule, un parti pris, une absence totale de déontologie de la part d’Alakhbar. Mais alors, au lieu de se poser la question, pourquoi, l’Etat Mauritanien n’a pas ordonné l’arrestation et le jugement des ceux qui ont enrôlés les Sahraouis, nos confrères livrent des informations dénuées de tout fondement.
Source : Elfoutiyou
dimanche 17 mars 2013
APP / Zouerate : Réunion de la coordination élargie à toutes les instances du parti
Source : Abdallahi Dieng Ould Cheikh
APP / Zouerate : Réunion de la coordination élargie à toutes les instances du parti
Source : Abdallahi Dieng Ould Cheikh
APP / Zouerate : Réunion de la coordination élargie à toutes les instances du parti
Source : Abdallahi Dieng Ould Cheikh
samedi 16 mars 2013
Hodh El Gharbi / Distribution gratuite de vivres: les vrais-faux bons du PAM / CPSSA
Moustapha O/ Bechir CP HodhsSource : Le Calame (Mauritanie)
vendredi 15 mars 2013
La Caisse de Dépôt et du développement : la dernière ligne droite sur les prêts
S.Diagana
Un mort et trois blessés dans un accident de circulation sur l’axe Nouakchott- Nouadhibou
Source : ANI (Mauritanie)
UNICEF/DREFP du Hod El Gharbi: Organisation de sessions de formation au profit des enseignants du Hod El Gharbi
Khalil Sow
UNICEF/D.R.E.P.F du Trarza: Session de formation au profit des enseignants de Boutilimit sur le thème gestion des Classes Multigrades et l’évaluation selon l’A.P.C.



Armiya Dème
Boghé : la commission nationale des femmes de L’UPR au Brakna Sud
Brahim Ould Ely Salem CP du Calame au Brakna.
jeudi 14 mars 2013
Fête Internationale du 8 Mars à Boghé placée sous le signe de l’insertion des filles en déperdition
Source : Elfoutiyou
L’école 1 d’Aleg : Une vieillie institution scolaire en perdition
Un prestigieux passéLorsqu’en octobre 1939, le gouverneur de l’AOF, en partance pour l’est du pays, supervise son ouverture, c’était à peine une dizaine de bambins craintifs dont l’adhésion des parents avait requis la mobilisation des notables, la notoriété des chefs de tribus et la « rougeur de l’œil » du représentant local de la France. L’école 1, aujourd’hui au centre de la ville, juste derrière l’hôpital régional, était alors loin, au bout de Goueïbina. Les six premières classes, construites en 1938, sont encore solidement debout. Leurs murs, jaunis par le temps, et leurs toits, pleins d’histoire, sous lesquels plusieurs générations sont passées, témoignent d’une époque où l’école voulait encore dire quelque chose. Les fiches scolaires, les registres de tenue du matériel, certaines très anciennes correspondances entre les anciens directeurs de l’école et leur tutelle administrative et pédagogique replongent les visiteurs dans un temps où le savoir, ses sanctuaires et ses dépositaires jouissaient encore de grande révérence. A la rentrée scolaire 72 /73, l’année de mon inscription dans cette école, les livres scolaires de toutes les disciplines, les cahiers de tous les formats, les équerres, règles plates, compas, ardoises, porte-plume, buvards et autres fournitures scolaires remplissaient encore les magasins. La cantine scolaire fonctionnait à plein régime, pour des centaines de pensionnaires totalement pris en charge. Les senteurs des succulents riz et couscous de la gentille et autoritaire Jbaba – Qu’Allah ait son âme ! – embaumaient l’horizon, tous les midis et soirs. Bien que la cantine fût ouverte à tous, les internes provenaient essentiellement des environs d’Aleg : Lemden, Agchorguitt, Azlatt, Zeglane, Moundi, Male… Cependant, les petits citadins ne rataient jamais l’occasion, pendant la recréation, de subtiliser, aux petits bédouins, un bout de pain généralement garni de corned-beef, une viande salée en conserve dont raffolaient les petits écoliers. A l’ouest de l’établissement, une majestueuse construction, édifiée dans le plus pur style colonial : le logement administratif du directeur. Certainement, l’une des plus belles et imposantes maisons des années 40. Vraiment rien à envier à celle du commandant français de l’époque, érigée sur la «montagnette », un autre nom d’Aleg. Son intérieur, parsemé de carreaux, ses toilettes à baignoire et ses vastes salles témoignaient du prestige dont jouissaient les instituteurs de ces années-là. Les anciens élèves du début et de la fin des années 70 retiennent encore leur nom : feu Sall Khalidou, le député Sy Samba, messieurs Ndiouk et Sylla (ancien journaliste à Radio Mauritanie), feus messieurs Sarr Idrissa dit Aramango, Mohamed Derdèche, Ely Ould Breïhalla et bien d’autres encore.
Un présent lamentable2013. Dans l’enceinte de la cour, rocailleuse, les tuyaux rouillés d’un robinet mènent un combat inégal avec le temps, à côté de quelques plants, épars, qui tiennent lieu de jardin scolaire. Dans certaines classes, on peut encore lire, sur les murs, les vestiges, à peine lisibles, de quelques-uns des célèbres instituteurs de l’école. Aujourd’hui, l’école 1 compte huit classes. Mais, si les murs restent debout, comme je l’ai dit tantôt, l’ensemble tombe en complète décrépitude : les plafonds menacent de s’écrouler, la plupart des portes et fenêtres ont disparu, les tableaux noirs sont tant délabrés que l’écriture du plus appliqué des instituteurs ressemblerait à des hiéroglyphes. Sans eau ni électricité, la plus prestigieuse de la dizaine d’écoles de la ville ressemble à un établissement de brousse. S’élevant contre cette déchéance, le bureau de l’association des parents d’élèves de l’école 1 entend mobiliser les anciens élèves et toutes les autres bonnes volontés, afin de réhabiliter les lieux : réfection des classes, dotation en chaises et bureaux pour le directeur et les instituteurs, réouverture de la bibliothèque, suivi et entretien du jardin scolaire, réinstallation de l’eau et de l’électricité, etc. Pour que l’école 1, lieu de tant de souvenirs, vivier d’où sortirent tant de cadres, dont le premier Président démocratiquement élu de la République, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, redevienne ce qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être : une forteresse de savoir où se forment et se construisent les générations d’aujourd’hui, futurs bâtisseurs de demain.
Sneïba El Kory
Les directeurs de l’école 1 d’Aleg, de 1939 à nos joursCertains sont, bien évidemment, des étrangers. 1. Diouf Ismaïla 2. Omar Hamet 3. Guèye Amadou Moustapha 4. Monsieur Leguinek 5. Monsieur Tefahi 6. Mohamed Vall Ould Bennany 7. Bababcar Fall 8. Ben Amar (Ahmed) 9. Mohamed Ould Babacar 10. Cheikh Ould Haïbelty 11. Bâ Amadou Chouaïbou 12. Mohamed Derdech 13. Isselmou Ould Oudaâ (père de l’actuel ADG de la SNIM) 14. Cheïbetta Ould Oudaâ 15. Mohamed Moustapha Ould Cheikh Mouhamedou 16. Ethmane Ould Baba Ould Saïd (actuel directeur).
Quelques prestigieux anciens élèves1. Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi (ancien président de la République) 2. Bacar Ould Ahmedou (ancien fonctionnaire international, ancien député) 3. Ismaïl Ould Amar (ancien ADG de la SNIM) 4. Isselmou Ould Tajeddine (PDG de la BCI) 5. Dah Ould Abdi (ancien ministre des Affaires étrangères) 6. Khadjettou Mint Boubou (ancien ministre) 7. Sidi Ould Jaber (un des premiers docteurs en mathématiques du pays)
Source : Le Calame (Mauritanie)
mardi 12 mars 2013
Brakna : Moughataa de Bababé et Boghé.
Ainsi les sources de conflits ont été citées dans les cas suivants :- L’héritage - Les mariages et divorces - Le voisinage (dans le village ou entre deux villages) - Le foncier - L’exercice politique (chefferie, élection, gouvernance, gestion, leadership) - Pastoralisme et agriculture - Ethnie, race et ou sectes religieuses - Ce genre de conflits débouche en général sur La dislocation des familles et séparation des villageois et parents - Une situation de confrontation et d’éternel combat. Il n’y aura pas de place aux initiatives de développement
Le dicton en poular « hare ko soogno » le conflit est synonyme de pauvreté »- Des pertes en matériels et en vies humaines - Des impasses dans les gouvernances et gestions à cause des tensions sociales qui prévalent - Impossibilité de consensus ou tout compromis L’impossibilité de d’entretenir des actions de solidarité et d’entraide ainsi que de collaboration gagnant/gagnant Les participants ont observé des conflits et soulevé quelques inquiétudes. Les populations peulhs et Maures vivants dans ces localités ont vite compris que seule l’union fait leur force et qu’il est possible d’œuvrer ensemble pour un avenir radieux, du coup ils considèrent que la meilleure façon d’y parvenir est de se présenter à des postes électifs dans leurs localités communes (municipales, législatives etc.…). Ils pensent tous que c’est possible de s’unir de s’entendre et d’œuvrer ensemble pour le développement de leur localité. Désengagement de l’Etat dans certaines contrées et conflits L’Etat ménage des gros poissons (politiciens)
Délit de facièsDes réticences par rapport au règlement du problème foncier Enfin au cours de la séance les participants ont pris les engagements suivants : Désigner pour chaque village une personne pour participer aux formations des relais sur la prévention des conflits à Bababé. Entre autres problèmes soulevés par les participants la lancinante question liée à l’enrôlement et la stigmatisation des rapatriés qui sont considérés comme des parias chez eux. Ils on enfin présenté la liste des personnes relais choisies par les villages concernés
Espoirs et visions de la communautéLes populations peulhs et Maures vivants dans ces localités ont vite compris que seule l’union fait leur force et qu’il est possible d’œuvrer ensemble pour un avenir radieux, du coup elles considèrent que la meilleure façon d’y parvenir est de se présenter à des postes électifs dans leurs localités communes (municipales, législatives etc.…). Elles pensent tous que c’est possible de s’unir de s’entendre et d’œuvrer ensemble pour le développement de leur localité En guise de Conclusion, les participants ont émis des souhaits de : - Bénéficier ce genre des débats et entretiens de manière régulières et pérennes, - Avoir au sein de leur village et communautés des personnes formées et encadrées à cet effet Ainsi ce canal les aidera à résoudre leurs problèmes par eux-mêmes - Les populations des villages ciblés et visités ont plaidé également pour le renforcement de leurs capacités et leurs mécanismes communautaires. Ils ont demandé à ce que les chefs de village, et les leaders hommes et Les trois débats ont regroupé plus de 60 participants, tous des leaders communautaires dans leur village, Une autre vague de réunions est programmée prochainement dans les sites et villages de la Moughataa de M’Bagne. Femmes soient formées et dotés de documentation relative à la prévention des conflits.
Armiya DémSource : Armia Dem
Nouadhibou : Arrestation des membres d’un réseau de trafiquants de stupéfiants.
Source : ANI (Mauritanie)
lundi 11 mars 2013
Baba Ould Cheikh Sid’Elmoctar Alkounti condamne l’assassinat de Ould Bady dans le nord du Mali
Source : ANI (Mauritanie)
Zouerate : Des affrontements entre les forces de l'ordre et les habitants de Hith
Source : Alakhbar (Mauritanie)
Un policier victime d’un coup de poignard
Source : Rédaction Cridem
Les militants de l’IRA sont arrêtés pour propos injurieux et menace contre des magistrats (Source proche de la justice)
Source : ANI (Mauritanie)
Brakna : à Boghé, Bababé et Mbagne, Aicha Vall mint Vergés est satisfaite du parcours
Diop Mohamedou Abou dit Hbodiel CP le Véridique
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