mardi 25 mars 2014

Mohamed o/ Bilal : Droit de réponse


Mohamed  o/ Bilal : Droit de réponse   Le jeudi 13/03/2014, une rencontre a eu lieu à Donaye, entre le Wali du Brakna Mohamed Ahmed ould Abdallahi, les populations du village de Donaye et l’homme d’affaire Mohamed salek.Le but de cette rencontre est de régler le litige foncier entre Mohamed Salek et les habitants du village de Donaye.

En tant que maire de la commune de Dar el Barka, j’ai répondu à cet appel, dans le seul but d’aider à trouver une solution dans la paix.Car je reste convaincu, que c’est dans la paix que nous pourrions faire des choses viables et fiables.

Ma mission dans cette commune, est de chercher les voix et moyens d’améliorer les conditions de vie de toutes les populations.de travailler pour installer la confiance des uns et des autres pour qu’ensemble nous parvenions à relever les défis.

Pendant ces cinq années je ne ménagerai aucun effort pour établir la confiance entre les populations, pour faire aux multiples difficultés devant nous, me chercher sur ce terrain vous me trouverez, quant aux choses qui nous font perdre temps, je ne suis pas partant. C’est vrai en tant que maire de la commune, j’ai demandé au wali de me laisser diriger les négociations de ce litige.

Chose faite j’ai mené les négociations et j’ai trouvé un accord entre les deux parties, logiquement ma mission est terminée. Je savais que beaucoup de l’assistance ne voulait pas que la solution vienne de Mohamed o/ Bilal mais je ne pouvais penser que les choses seront déformées tel que nous a révélé l’article publié sur Cridem le 20/03/2014.

Je me demande pourquoi en tant que modérateur je refuse ce qu’une des parties a déjà accepté en l’occurrence Mohamed Saleck. Si j’etai animé de cette volonté, je pense qu’il me serait impossible de trouver un accord à moins que l’autre partie aussi soit complice de Mohamed Salek’ comme le prétend l’article paru sur Cridem.

Si j’ai demandé au wali du Brakna Mohamed Ahmed ould Abdallahi de me laisser résoudre le problème en famille, c’est que pour moi toutes les populations de la commune de Dar el Barka sont une et une seule famille. La cohésion sociale est fondamentale pour la réussite de ma mission de maire.

Nous avons aussi l’élections présidentielles dans quelques mois, nous travaillons à avoir dans notre commune le score le plus élevé du pays en vue de la réélection du Président de la Republique Mohamed Ould Abdel Aziz et ce dés le 1er tour lui permettant ainsi de parachever les multiples ambitions qu’il a pour l’Afrique le Pays et notre commune.

J’invite les populations de la commune de Dar el barka d’être vigilantes dans un avenir proche elles comprendrons qui œuvre pour leurs bien être-là Campagne étant terminé, je demande à tous de nous aider à faire face aux multiples défis à défaut de nous laisser travailler

Mohamed o/ Bilal.

La Mauritanie et le Sénégal 'travaillent ardemment pour la construction du pont de Rosso'


La Mauritanie et le Sénégal 'travaillent ardemment pour la construction du pont de Rosso' La Mauritanie et le Sénégal "travaillent ardemment pour la construction dans un future très prochain du pont de Rosso", a déclaré lundi à Nouakchott Aubin Jules Sagna, secrétaire général du Ministère sénégalais des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement.

"Le corridor entre Dakar et Nouakchott est essentiel pour les deux pays mais aussi pour l’intégration africaine et le rapprochement entre le Maghreb et l’Afrique noire", a ajouté le secrétaire général qui accompagne son ministre des Infrastructures, des Transports terrestres, Thierno Alassane Sall, en visite de deux jours en Mauritanie.

Le secrétaire général a aussi informé que le président Macky Sall a également chargé son ministre Thierno Alassane Sall de discuter avec les autorités de Nouakchott du problème des ruptures de charges.

"Malheureusement, il a été convenu en 2011 ce qu’on appelle 'rupture des charges' au niveau de la frontière sénégalo-mauritanienne à Rosso, a-t-il regretté. Ce sont des incompréhensions qui arrivent dans les relations entre les pays, mais qu’il faut rapidement rectifiées.

Nous avons espoir que très bien tôt nos liens en matière de transport routier seront rétablis au grand bonheur des transporteurs sénégalais et mauritaniens
".


Urgent : La Mauritanie ferme ses frontières face à l’expansion d'Ebola en Afrique de l'Ouest


Urgent : La Mauritanie ferme ses frontières face à l’expansion d'Ebola en Afrique de l'Ouest  Des cas suspects pouvant être des cas de fièvre Ebola ont été repérés au Liberia, selon les autorités locales. En Guinée, une épidémie de cette fièvre mortelle a été déclarée. Quatre-vingt-sept cas suspects de fièvre hémorragique virale ont été signalés, dont soixante-et-un décès.

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) précisait que seuls treize cas ont été à ce jour formellement confirmés comme étant Ebola ; des cas aussi confirmés par des laboratoires.

Même si l'OMS qui a tiré la sonnette d'alarme reste prudente encore prudente, la Mauritanie a décidé de fermer tous les accès extérieurs au niveau de ses points de passage avec les Etats de l’Afrique de l’Ouest touchés par cette épidémie.

Les précautions de Nouakchott sont d’autant préventives pour parer à une épidémie à la vitesse de propagation vertigineuse. En effet, un cas au minimum d’Ebola, qui a la particularité d’être une épidémie spécifiquement africaine, aurait été détecté au Canada, à plusieurs milliers de km des sites contaminés.

Pour Tarik Jasarevic, porte-parole de l'OMS, l'existence de l'épidémie est certaine puisqu'elle a été confirmée par un laboratoire : « On parle de cas suspects tant que ce n’est pas confirmé car il y a des maladies qui peuvent avoir comme résultat les mêmes symptômes ».

Il faut donc faire attention aux mauvaises interprétations, insiste Tarik Jasarevic . «Ce qui est important au-delà des chiffres, c’est de mettre en place toutes les mesures nécessaires pour contenir cette épidémie et pour qu’il n’y ait justement pas une transmission au-delà des frontières ou au-delà de la région qui a été affectée à en premier lieu ».

C’est sans doute pour ces raisons que la Mauritanie a pris la décision de resserrer l’étau autour de ses frontières pour éviter la propagation de la maladie.

Notons qu’il n'existe pas de traitement pour cette fièvre très contagieuse. Les seuls moyens d'action sont la prévention de la propagation, et c'est ce à quoi s'attellent les autorités guinéennes.

Pour tenter d'éviter la propagation de la maladie, il est nécessaire de mettre en place des mesures et des protocoles précis, explique le porte-parole de l'OMS : « Il s’agit notamment d’établir les endroits d’isolement pour les cas confirmés, d’apporter des soins à ces cas-là. Il s’agit de trouver les contacts des personnes qui ont approché les cas confirmés, car la fièvre hémorragique d’Ebola est très contagieuse.

Elle se transmet assez rapidement. Il faut qu’on suive ces cas pour voir s’ils développent des symptômes. Il faut aussi qu’il y ait des capacités de laboratoire pour confirmer les cas
».



Boghé : Un nouveau bureau de SMB / TP (Mauritanienne-Bâtiment- travaux Publics)

Boghé : Un nouveau bureau de SMB / TP (Mauritanienne-Bâtiment- travaux Publics) - [PhotoReportage]  Et si le développement commençait par la base. L'idée la plus répandue jusqu'ici est que notre développement est toujours tributaire des énergies de l'extérieur et par ricochet de la capitale (Nouakchott).

C’est pour inverser cette tendance qu'un natif de Boghé, Abdoulaye Kénémé dit Samba Kénémé, ayant travaillé dans le bâtiment dans un pays limitrophe a décidé d'ouvrir un cabinet qui s'investit dans ce secteur de la conception de plans, de la production de maquette sous forme 3D, de devis de construction, de suivi et des conseils.

Il a résisté à beaucoup d'influences négatives telles que: les Boghéens ne connaissent pas ça; c’est à Nouakchott qu'il fallait ouvrir un tel cabinet etc... .

Il a tenu bon et voudrait montrer par l'exemple que le développement devrait commencer par la base et que les populations de l'intérieur du pays ont besoin comme celles de la capitale de cadre de vie respectant les normes de confort, de durabilité et de sécurité.

Pour découvrir ce qu'il propose il est joignable aux contacts suivants: (00222) 41 61 51 98 / 22 82 38 0 .Email:abdoulayekeneme@yahoo.fr. Ou que vous soyez, avec l'internet la distance s'efface.

Il faudra espérer que d'autres initiatives pareilles puissent proliférer dans d'autres secteurs de la vie économique des localités de l'intérieur afin de contribuer à l'émergence de notre pays par l'intelligence et l'expertise de ces propres filles et fils.

Diop Mohamedou Abou dit Hbodiel


Avec Cridem, comme si vous y étiez...












M'Barek Beyrouk : du côté de la jeunesse


M'Barek Beyrouk : du côté de la jeunesse Elle est belle, cette jeunesse d’aujourd’hui. Elle faisait plaisir à voir ce soir là, autour du Chef de l’Etat quand elle jetait des regards outrés sur nos réalités du présent et appelait de ses vœux de plus beaux lendemains. Ces jeunes hommes, ces jeunes filles, bien habillés, bien portants, et qui avaient des rêves dans les yeux…

Ils étaient là, nombreux, ils ne cillaient pas devant les magnificences de la Républiques, ils n’étaient nullement impressionnés par les décors, ils avaient des propositions, des messages, des ambitions, ils savaient ce qu’ils avaient à faire : étaler à la face du pays, en direct, et devant le Président de la République, ce qu’ils avaient dans les cœurs et dans les tètes.

Pendant six heures ils ont parlé, sans interruption, sans peur aucune, ils ont déversé ce qu’ils portaient en eux. Le Président les a écoutés patiemment, il n’a rien perdu de leurs propos, il notait, répondait à des questions précises, se faisait expliquer une idée, dénouait les fils d’une proposition.

Il les comprenait manifestement, il était de leur coté , à eux, pas du nôtre on dirait, nous, déjà âgés,, bien assis sur nos préjugés, incapables de se libérer de nos vieilles certitudes

Cette rencontre avait ceci de particulier qu’elle avait refoulé le superflu, pas de discours grandiloquent que pourtant aime si souvent la jeunesse, ou très peu, des constats seulement, et surtout des propositions, et dans les domaines les plus divers. Bien sûr il y eut bien quelques diversions, quelques exagérations : la jeunesse ne serait pas ce qu’elle est si elle ne fraye pas un peu avec l’extrême. Mais tout cela était teinté de véritable amour du pays et de la volonté de servir

Les propositions étaient longues, impressionnantes, elles n’étaient pas folles, non, elles étaient plutôt sages, toujours habitées par la raison, souvent présentées comme urgentes, c’est vrai, mais réalistes, réalisables avec la volonté, la volonté fait tout dit ton et elle était là la volonté clairement visible du coté du Chef de l’Eta comme du coté de la jeunesse.

Le Président, c’est clair, a écouté la jeunesse, c’est clair aussi : il sait écouter .Et il sait aussi ne pas se laisser entrainer par la facilité toute politicienne de faire des promesse inconsidérées, l’atmosphère pourtant , et le calendrier, s’y prêtaient il a donc écouté patiemment et puis il s’est clairement exprimé : toutes ces propositions seront examinées, un Haut Conseil de la Jeunesse, indépendant sera mis sur pied, pour que les rêves de notre jeunesse ne s’évaporent point

Le lendemain, était inauguré un canal de 50 kms, devant irriguer prés de 16000 hectares à Keur Macéne, le cœur agricole du pays, 3200 hectares étaient aménagés à Rosso. Rien à voir avec la rencontre de la Jeunesse ? Si, pourtant : c’est sur le terrain que l’avenir se cultive

Mbarek Ould Beyrouk