samedi 18 septembre 2010

Arrivée de 4 blessés mauritaniens à Néma.



Selon le correspondant de l'ANI à Néma, quatre soldats mauritaniens blessés sont arrivés ce matin au centre hospitalier de la ville.

Il est à noter que les affrontements se poursuivent encore en territoire malien entre l'armée mauritanienne et des combattants d'AQMI.


Source :
ANI

Un avion atterrit à Tombouctou pour transporter les martyres et blessés de l’armée.




Le correspondant de Sahara média dans le nord Mali a rapporté qu’un avion militaire mauritanien a atterri il y a un instant à l’aéroport de Tombouctou pour transporter les blessés et martyres de l’armée.

Le ministre de la défense, Hamady Ould Hamady, avait révélé, dans un communiqué de presse, que les martyres de l’armée au cours des combats contre AQMI sont au nombre de six, dont deux morts sur le champ de bataille et quatre ont succombé à leurs blessures. Le ministre mauritanien de la défense a également reconnu l’existence de blessés sans toutefois préciser leur nombre.

Il a également déclaré que l’armée mauritanienne a tué 12 combattants salafistes et blessés des dizaines d’autres, ajoutant que l’armée a observé, il y a quelques jours, l’infiltration d’éléments terroristes dans la zone et que l’opération revêt un cachet préventif.

Il a confirmé que les combats se sont déroulés sur le sol malien et a remercié les autorités maliennes pour leur collaboration avec la Mauritanie dans ce domaine.

Source :
Sahara Medias (Mauritanie)

Un regard rétrospectif sur la commune de Nouadhibou de janvier 2007 à août 2010.




Le groupe de différentes obédiences qui a élu le maire actuel et les différentes structures fonctionnelles de la commune de Nouadhibou se trouve aujourd’hui désarmé, déprimé par le bilan négatif de l’action de la mairie sur la cité et du préjudice causé à la population d’une façon générale, durant la période déjà écoulée de trois ans et huit mois ( 3 ans et 8 mois ).

Il est rappelé que ce groupe qui ne se connaissait pas auparavant, s’est retrouvé animé de la ,même volonté de redresser la commune de Nouadhibou et de lui faire acquérir sa place prépondérante dans le pays, compte tenu de sa position stratégique nationale et régionale.

La désolation du groupe est devenue plus grande du fait qu’il s’est évertué durant la période de référence à soutenir aveuglément pour ne pas dire fanatiquement l’action du maire car il croyait religieusement à obtenir avec lui un résultat extraordinaire qui sortirait désormais la maire de Nouadhibou des méandres de la médiocrité, de la gabegie et du gaspillage flagrant, à peine voilés parfois , dont souffre la commune de Nouadhibou depuis 1986 à ce jour .

Il y a lieu de rappeler que la Mairie de Nouadhibou a eu depuis 1986 la réputation nationale de l’institution de l’enrichissement illicite à cause et sans cause avec la complicité du pouvoir à l’époque, créant ainsi un engouement sans précèdent des postulants revêtus de la boulimie financière, qualité peu rare dans notre pays.

Cette réputation , depuis lors , a crée des tensions de toutes sortes, des surenchères et des magouilles de toutes natures et le pouvoir central a toujours arbitré en faveur des plus médiocres pour souvent des raisons régionales ou même pour le profit de certains responsables de la manne financière que représentaient les ressources de la commune de Nouadhibou, tout en excluant de l’enjeu tout postulant de bonne moralité, capable d’encrer cette commune dans un cadre de développement harmonieux.

Cet horizon était fermé hermétiquement pour les raisons précitées. A cette époque , on a constaté que la consommation en carburant de la commune de Nouadhibou était le double de la consommation nationale en un an et le montant des factures payées pour la fourniture des tuyaux d’arrosage a atteint plus de 80 millions d’UM en un an. C’est à titre d’exemple parmi tant d’autres.

Certains milieux importants ont joué un rôle prépondérant avec la complicité du pouvoir de l’époque et entretenus longtemps cet esprit mafieux de pillage organisé des ressources de cette commune , à telle enseigne que certains parmi eux ont déclaré publiquement à un cadre sérieux , compétent qui a été un candidat malheureux malgré lui : ‘ Nous ne pouvons accepter que tu sois Maire parce que tu es connu par ton expérience professionnelle comme agent de développement et personne ne pourra plus sortir un centime de cette mairie’.

Cette tendance a plus ou moins gardé sa logique constante avec tous les maires qui ont eu l’honneur d’y accéder sauf un ou deux qui n’étaient pas dans le besoin.

Après cet intermède historique , revenons à la situation du mandat en cours où le groupe constituant la majorité confortable pour impulser à la mairie de Nouadhibou dans un cadre de développement harmonieux , de transparence , de justice sociale et d’imprimer une rupture définitive avec les pratiques malsaines du passé , a été confronté malheureusement à la plus grande déception pour les raisons suivantes :

1’ / Irrespect constant des réunions légales des structures permanentes de la commune ; à savoir :

a/ Irrespect quasi permanent des réunions : bureau municipal et municipalité dont le cycle réglementaire a été défini par le législateur pour maintenir ces institutions dans les normes juridiques d’une gestion transparente et corriger éventuellement les dérapages dans l’application de leur programme de développement pour les exercices en cours. Malgré de multiples rappels du groupe, le maire qui devait être l’élément moteur s’est toujours rebellé à être présent pour présider ces instances vitales pour un bon fonctionnement . Il a du présider un seul sur plus de trois ans.

Sur l’insistance également du groupe, il délégué au premier adjoint la présidence des réunions mais leurs décisions n’ont jamais été appliquées et provoqué souvent l’hérésie et le rejet sine die des directeurs de l’administration communale. Résultat, ces structures n’ont pu fonctionner, ni résoudre un seul probléme. Et, elles ne se réunissent plus à cause du manque de volonté du chef d’équipe qui porte en définitif toute la responsabilité historique, administrative et juridique.

2’/Les membres de ce groupe ont produit des études, des suggestions utiles par écrit et verbales pour l’amélioration des méthodes de fonctionnement et de développer les initiatives de nature à propulser la dynamique de développement mais leurs efforts et leur volontariat ont été banalisés , estompés et sont restés lettre morte au fur et à mesure du temps par manque d’un répondant animé réellement de la volonté par ignorance caractérisée de sa mission.

Les preuves écrites sont disponibles. Mais, il était enclin, surtout à gérer très mal le quotidien, en se retranchant pendant des semaines et des mois dans les bureaux des petites structures du garage , des affaires sociales et le centre médical numéro 1 et son bureau officiel est quasiment abandonné , état de choses connu de tous les habitants de la cité .Sa présence dans ces lieux gênait les travailleurs et n’avait aucun apport pour la bonne marche de la commune.

Il est remarquable de constater que le groupe était animé d’un enthousiasme et une volonté louable , sans précèdent , pour réussir avec éclat le développement de la ville et d’en faire la perle du pays , excluant toutes les différences régionales , ethniques, tribales et politiques pour aboutir à cet objectif , devenu un ciment de leur unité teintée d’une solidarité admirable drainant finalement les opposants les plus marqués à l’adhésion de la majorité constante.

3’/ Dans le cadre de cet élan, le groupe a initié et délibéré sur les points indispensables pour amorcer un redressement en douceur ; à savoir :

*Un organigramme restrictif

* et une déflation de la pléthore en personnel qui bloquait toute possibilité du développement envisagé.

Ces deux décisions importantes ont été accompagnées par les tutelles dans des conditions satisfaisantes malgré les difficultés du moment. Partant de ces lueurs d’espoir inespérées, le chemin de la réussite était largement ouvert , si , la mise en œuvre de ces décisions est correctement exécutée avec la transparence nécessaire et un minimum de justice de l’impact des volets socio-économiques , mais malheureusement , l’administration communale a volontairement bafoué ce noble objectif :

a/ par l’irrespect de la réglementation du travail

b/Par l’option pour des considérations d’ordre régional , politique et des règlements de compte en retenant , souvent , les plus médiocres parmi le personnel permanent restant et par la conservation des nouveaux recrus sans qualification , ni niveau intellectuel acceptables et dont l’engagement ne pouvait ne pouvait être justifié , compte tenu de la situation de la commune , particulièrement critique , personnel en surnombre et en manque notoire de performance professionnelle.

En un mot, la commune a baigné grossièrement dans l’injustice sociale et nous en avons reçu les étincelles les plus accablantes compte tenu de notre responsabilité et notre action apparente pour redresser cette institution vitale. Ce désir de la réussite nous a aveuglés et les remarques faites au maire dans ce domaine ont été reçues avec la plus grande indifférence.

C/ Le redéploiement des personnels retenus, en application du nouvel organigramme a été au bénéfice des médiocres qui ont été bonifiés par les directions et services les plus importants au détriment des cadres 'maitrisards', restés en sous –ordre de directeurs et chefs de service sans niveau ni qualification professionnels suffisante.

Il y a de quoi faire trembler la terre.

En surplus, aucune nomination ne correspondait au profil exigé par l’organigramme pour occuper les postes de la nouvelle organisation administrative de la commune dont les fiches de poste sont pourtant clairement définies.

Ces mesures ont été accompagnées anormalement par de déclassements catégoriels illégaux ainsi que la perte d’avantages acquis et la mise en œuvre a consisté finalement à faire une compression du personnel à la tête du client partisane. Des remarques ont été faites au maire et avait promis d’apporter les corrections nécessaires , mais non seulement il a perduré dans l’erreur en l’aggravant d’avantage par son dernier mouvement du début du mois d’août 2010 dont l’effet immédiat est de faire perdre à la commune tout espoir de redressement.

Il a étai remarqué que ce dernier mouvement violait d’une façon flagrante les prescriptions des fiches de poste de l’organigramme de la commune qui déterminent clairement les profils de tous les agents et cadres qui peuvent accéder aux postes ciblés.

D’ailleurs, il a fait dés le début de son mandat des signes d’hostilité, à peine voilés, à certaines collectivités, en martelant leurs ressortissants par des affectations arbitraires ne correspondant pas à, leur qualification professionnelle ou même opposées et de déclassements accompagnés de pertes d’avantages acquis.

Ce genre de comportement est de nature à provoquer les gens et à atteindre leur sensibilité, état de choses qui frise la provocation outrancière.

4/ Aucune réalisation n’a été faite dans l’investissement, en dehors de quelques pinceaux de la chaux sur les murs de écoles ou un rond point mal fait récemment au carrefour de Takhitt.

L’hygiène de la ville laisse à désirer et les ordures jonchent toutes les rues et habitent devant les portes de chaque maison de la ville. C’est le constat quotidien et permanent de toute la, population qui nous dit régulièrement, si vous ne maitrisez pas la poubelle, on ne sait pas ce que vous pouvez faire d’autre , malgré vos importantes recettes ?

Pourtant la commune ne manque pas de ressources financières, malgré les difficultés du départ et l’héritage du passé mais elle souffre cruellement d’un manque de compétences en matière administrative et financière pour produire une planification des ressources et établir un tableau de bord pour des utilisations rationnelles des moyens financiers et humains et leur répartition dans le temps en équation avec les nécessités et les besoins de l’institution. Ce mécanisme demande e des compétences en la matière ou un gestionnaire averti, ce qui n’est pas le cas du maire actuel qui s’est révélé profane dans ce domaine par ses pratiques constatées au cours des exercices passés.

En conclusion, ni le maire, ni le personnel d’encadrement actuel ne peuvent opérer ou agencer le redressement comptable nécessaire pour à la fois asseoir et assainir la gestion de la commune présentement. Cet handicap majeur est dû à une carence notoire de culture appropriée et de professionnalisme qu’accompagne l’absence d’initiative et de règles de conduite indispensable pour un responsable d’envergure.

C’est pourquoi , la commune est obligée de faire appel constamment au cabinet CONEX dont les compétences sont très modestes pour éditer sa comptabilité, pourtant simple, en payant régulièrement des prestations au prix fort et des frais d’hébergement d’un ou de deux comptables à tout moment. Ces dépenses pouvaient être évitées par le recrutement d’un bon comptable à moindre frais ou demander simplement le détachement d’un bon comptable au ministère des finances qui est à, la fois la tutelle.

Il est tout de même incompréhensible qu’une commune existant depuis 1986 n’a pas un comptable compétent pour assurer une comptabilité publique simple.

5/Les résultats négatifs comparativement aux ressources importantes et réelles :

Ce chapitre nous amène à examiner les recettes réalisées au cours de exercices passés : 2007 , 2008 et 2009 et de faire le rapport résultant des recettes / dépenses/investissement.Ce scénario est de nature à donner un éclairage sur l’impact de la commune sur la ville dans toutes ses dimensions durant la période concernée.

Exercices sélectionnés pour la réflexion :

A/2007

1* fonctionnement :

Recettes : 560.212.454
Dépenses : 559.500.595 2

3*équipement :

Recettes : 41.762.157
Dépenses : 41.762.157

3*Total :

Recettes : 60.974.611
Dépenses : 601.262.995

B/2008

1*Fonctionnement :

Recettes : 1.249.860.524

Dépenses : 1.249.860.524

2*équipement :

Recettes : 208.940.497
Dépenses : 208.940.497

3*Total

Recettes : 1.458.801.021
Dépenses : 1.458.801.021

C/ 2009

1*Fonctionnement :

Recettes : 1.168.915.283
Dépenses : 1.052.590.053

2*équipement :

Recettes : 153.790.449
Dépenses : 153.790.449

3*Total :

Recettes : 1.322.705.732
Dépenses : 1.206.380.502

L’addition des résultats triennaux en recettes et dépenses de la commune de Nouadhibou nous donne la somme globale du mouvement de sa trésorerie durant la période concernée ainsi que le volume de son impact dans une analyse fine pourrait être envisagée à toute fin utile dans la recherche des solutions appropriées. Ceci nous ramène à faire apparaître par voie de conséquence’ les totaux globaux des chapitres suivants :

A /Fonctionnement :
Total général des recettes : 2.978.988.261

B/ Equipement : Total général des recettes : 404.493.103 C/

Total général : 3.383.481.364

D/ Fonctionnement :
Total général des dépenses : 3.266.444.518

E/Equipement :
Total général des dépenses : 404.493.103

F/Total général des dépenses : 3.266.444.153

Pour porter la réflexion sur les ressources de la commune pendant ces trois premières années, retenons (2) deux chiffres correspondant aux totaux globaux des dépenses pendant la période choisie :

Fonctionnement: 3.266.444.158
Equipement : 404.493.103

Laissons de côté les (3) trois milliards (266) deux cent soixante six millions de dépenses de fonctionnement qui constituent généralement le vivier de toutes les cochonneries de dilapidation des ressources de l’Etat dans les mairies, les ministères, les institutions de l’Etat et les sociétés publiques.

Et, reprenons uniquement les 404,493 millions de dépenses d’équipement ou investissement qui représentent 11,95 % du total général des recettes.

1/ Le premier constat qui frappe l’esprit est la faiblesse exagérée du montant retenu pour l’investissement par rapport à l’importance du montant des recettes réellement encaissées pour la période concernée.

2/De prime abord, on est surpris de savoir où ils ont investi ces 400 MUM et dans quoi ?

Il est sur que la ville de Nouadhibou n’a pas bénéficié d’un investissement correspondant à ce montant en infrastructures ni en équipement. Un avis de recherche lancé à ce sujet et partant dans le sens du soufflement du vent du nord dominant n’a pas pu trouver traces, réside en Afrique du sud et au cap de bonne espérance, situés dans la trajectoire probable de l’envol.

Le pôle sud n’a pas été atteint par la recherche. Les chiffres retenus pour l’observation parlent un langage qui exprime mathématiquement la moralité de leur utilisation et traduit son impact positif dans la période retenue pour l’observation schématique. Ceci implique le dépouillement de leur contenu pour faire jaillir toute la lumière sur le bienfondé de leur utilisation et son opportunité mais le plus difficile est d’arriver à ce stade de clarté.

La relecture de l’historique de cette commune depuis la création de mairies en 1986 à ce jour suscite chez l’observateur réfléchi et conscient de l’intérêt nation un important amalgame d’idées se bousculant dans son esprit pour la recherche de la compréhension de la situation spécifique de cette institution qui dispose d’énormes possibilités financières, stratégique naturellement et disposant d’un environnement rare dans la zone Ouest Africaine, condamnée au recul économique.

Cette situation dramatique et paradoxale traduit le plus clair du monde un crime économique bien taillé et les justificatifs sont disponibles, mais qui doit s’en occuper ?

Le criblage de tous les paramètres et l’analyse des événements qui se sont déroulés durant la période retenue pour l’observation approfondie et la connaissance du pourquoi de son recul permanent, font apparaître des indices révélateurs de son échec croissant,; à savoir :

1*/ Compte tenue de l’expérience de son fonctionnement désastreux d’une façon permanente et la déflagration voulue et apparente de ses ressources, on est enclin à confirmer que c’est une ville maudite par la nature mais il serait injuste de ne pas rechercher d’autres arguments significatifs.

2*/ Dans l’index de la recherche, on retrouve la question qui nomme le maire ? Et , de suite , on constate que c’est le pouvoir en place par le truchement de son parti généralement bien impliqué et dominant dans c e domaine.

3*/ Il ressort de cette découverte que les pouvoirs en place au moment des choix sont totalement responsables de l’échec de cette mairie , responsabilité juridique , économique , historique et politique pour les raisons suivantes :

a*/ Le choix des maires de cette commune a été toujours porté sur de médiocrités et ne correspondait guère au profil qu’exige une fonction d’intérêt national, comme le demande une ville dont le statut est spécifiquement stratégique pour le pays : frontalière, site économique idéal pour développer l’industrialisation minière, halieutique et touristique et miroir intérieur et extérieur du pays.

b*/Les tutelles financière et administrative portent en conséquence la plus grande responsabilité historique et juridique pour l’exonération permanente de cette institution du contrôle de moralité des dépenses sur des fonds publics aussi importants. L’exonération couvre même les contrôles de routine qui doivent précéder normalement l’approbation des comptes administratifs et de gestion pour chaque fin d’exercice.

Cette attitude est de nature à encourager la mauvaise gestion et donne même la prime d’encouragement à ces pratiques ainsi qu’elle offre l’impression d’une certaine complicité coupable Et, pourquoi le désordre et le gâchis dans cette commune sont devenus quasiment un culte désolant pour les habitants de la cette cité depuis 15 ans ?.... La population résidente dans cette ville est contrainte à vivre au milieu des immondices l’exposant aux maladies de tout genre et à l’insécurité provoquée par le manque d’hygiène et des conditions de vie acceptables. Pourquoi tout ça et en vertu de quelle règle de la nature, de quelle loi, si, ce n’est par la complaisance des tutelles ?

C*/ L’investissement rentrant dans l’aménagement classique de la ville , notamment parcs publics , jardins pour la détente des familles et leurs enfants et visiteurs de la ville , stades pour le sport et salles de jeux et d’animation culturelle et trottoirs sécurisant les marcheurs sur les bords des routes des véhicules et espaces verts … est complètement effacé des mémoires de la commune et des tutelles .

Toute cette panoplie indispensable dans une ville est correctement gommée de l’agenda de la commune. Tous les tronçons de bitume réalisés ont été financés par l’Etat dans le cadre d’accords avec les institutions internationales…………………. Le drame économique que constitue la mauvaise gestion de cette commune deviendrait plus grave psychologiquement si , on passe l’observation jusqu’à la détermination du total des recettes encaissées par la commune de 1986 au 30 août 2010 et on établit le rapport Recettes /Investissement.

Les données existent et le résultat permet de mesurer la hauteur financière du gâchis et du gaspillage des deniers publics au détriment d’une population ensevelie dans les détritus ménagers et les plus mauvaises conditions environnementales sans compter le manque d’un minimum d’infrastructures de base. L’ensemble de s données évoquées ou révélées dans cet aperçu rétrospectif est assis sur des réalités concrètes et contrôlables arithmétiquement.

Et , ces données ne sont pas éditées pour un objectif de chantage ou pour nuire particulièrement à quelqu’un mais surtout d’un appel de détresse sur une commune hors de son rôle initial de création et dont les moyens financiers extrêmement importants sont partis en fumée dans l’atmosphère maritime de Nouadhibou via Nouakchott depuis 1986 à ce jour 31 août 2010.

Toute autre interprétation est erronée et se trouve sans fondement du simple fait que tous les éléments relatés dans cet aperçu sont vérifiables et qu’il ne s’agit pas de littérature ou du goût de la narration ou la recherche de la subtilité du style.

Il résulte de cette situation un préjudice incalculable à la population et par voie de conséquence à l’Etat. En fin et en conclusion, le groupe a accordé au maire e la commune de Nouadhibou toutes les circonstances atténuantes pour pouvoir redresser cette commune et de retrouver un climat apaisé sur ses erreurs continuelles de gestion des ressources financières et humaines mais , il persiste à tout saccager.

A l’ultime tentative, c’était à la veille de la tenue du dernier conseil qui était prévu le 02 septembre courant, on lui avait demandé de se réunir pour aplanir tous les problèmes posés et il aurait répondu : "Je m’en fous, si ça se casse" et il a rejeté la proposition de rencontre et il continue de la refuser aujourd’hui (le 06 septembre 2010 à 17 h 30).

Compte tenu de ce comportement désobligeant, de son manque du sens de responsabilité notoire et des éléments contenus dans cet aperçu, le groupe dégage toute sa responsabilité dans la gestion de la commune de Nouadhibou. Et , constate que la relecture des comptes des exercices 2007 , 2008 et 2009 fait apparaître des doutes forts sur l’existence d’importantes indélicatesses et des échos plus inquiétants nous parviennent sur les (08) premiers mois de 2010.

Il appartient aux tutelles respectives de prendre des mesures conservatoires sur l’utilisation des ressources de cette mairie offerte à l’hémorragie financière illicite depuis 1986 et par la même occasion, nous faisons un appel pressant au pouvoir et aux consciences nationales de porter secours à cette institution en déconfiture continuelle.

En conclusion, il y a un simple choix a faire entre la persistance dans la gabegie ou l’assainissement.

Les mandataires du groupe :

Brahim Ould Boidaha
Sall Adama Mohamed Ould Elmane

Mohamed Ould Elmane, porte parole de la commune de Nouadhibou



Source :
Mohamed Ould Elmane

Féodalité et Influences politiques obstacles au développement




Au Guidimakha, jamais, il ne passe un jour sans que ne soit posé un problème lié au foncier opposant ainsi nobles et anciens esclaves dans les différents villages.

Après Coumba Ndaw ( dans la commune de Khabou), c'est le tour de Diaguily de vivre ce problème. En effet Diaguily est un village soninké de la commune de Gouraye où presque la quasi-totalité des réalisations est de l’émigration. Le plus grand et le plus développé village de cette commune connait aujourd'hui des difficultés qui pouvaient trouver solutions n' était l'influence des politiques et des cadres partisans et peu convaincants.

Les anciens esclaves de ce village sont à couteaux tirés avec les féodaux suite à l’interdiction de ces derniers d’exploiter le périmètre du village dont ils sont membres actifs depuis sa création. En effet, c’est suite à demande de la SONADER de Gouraye que le périmètre en question a été aménagé.

Suite à une réunion tenue à l’occasion chez le chef du village, les propriétaires terriens de la zone avaient renoncé à leurs propriétés au profit du village. Ainsi une superficie de 34,9 hectares a été aménagée.. C’est dans ce contexte que la coopérative dénommée Khollé Moukhé dont le président est Lassana coulibaby (voir statut de la dite coopérative constituée en 94) a vu jour .

Khollé Mouké agrée sous le numéro 571/MDRE en date du 18/7/98 comptait jusqu’à deux cent dix (210) membres avant de voir le nombre des ses adhérents diminuer jusqu’à quarante sept (47) personnes en 2007 pour des raisons financières (Cotisations, achat d’engrais et autres). Des difficultés vont commencer pour la coopérative Khollé Moukhé en 2007 lors qu'un groupe des féodaux soutenu par des politiques et des cadres partisans a demandé aux membres de cette dernière de céder les terres.

Selon des observateurs de la question cela est dû l’adhésion d’un groupe de personnes qui s’était fait remarqué lors que les anciens esclaves étaient à couteaux tirés avec les féodaux au niveau du village et en France suite au mariage d’un ancien esclave avec une Diabira (noble ?).

La quittance numéro 01086960 payée au trésor public pour les besoins d’un soit transmis du wali du Guidimakha au Ministre des finances pour régularisation foncière à la date du 28/10/2001(verifiable à la trésorerie du Guidimakha), un agrément de la coopérative et d'autres dossiers (vérifiables également au MDRE et à la Présidence de la République) qui ont permis de convaincre des bailleurs à l'image de l'USAID qui a accepté de mettre une enveloppe financière à la disposition de cette organisation paysanne qui aspire à tout sauf à l 'interdiction de ses activités.

Ces dossiers en plus du procès verbal numéro17 du 09/01/2002 de la commission habilitée à donner avis au Ministre des finances et au conseil des Ministres pour attribution des concessions rurales ( trouvables aussi dans les départements concernés), n'ont pas suffit aux membres de Khollé Moukhé, contraints d’arrêter leurs travaux de cultures sous pluies, de rizicultures, de cultures maraichères et fruitières suite à l’interdiction du chef d’arrondissement de Gouraye.

Alors que d'autres coopératives concernées par le procès verbal en question travaillent sans la moindre difficulté comme c'est le cas de celle de Sollou, de Khabou et d'autres au Gorgol, au Brakna et au Trarza. Toute la question est de savoir pourquoi l’administration n’a pas était tranchante dans cette affaire. ? Alors qu’en 2007 lors que les habitants de Gourel Adama (village peulh dans la commune de wompou) étaient en différent avec un commerçant du milieu, le Hakem et le Wali à l'époque avaient soutenu qu’après un affichage de deux mois soit soixante jours (60) aucune revendication ne pouvait être accepter.

Et que dans le c as de Diaguily on agit autrement ? Ou bien le respect des procédures administratives pour attribution de concession rurale, la possession d’agrément ne suffisent plus aux organisations paysannes pour mettre en valeur leurs domaines ?

Des sources proches du dossier parlent de l’esclavage et même d’influence d’hommes politiques. Car avec la prise de conscience et le refus des anciens esclaves de suivre aveuglement les soit disant cadres et /ou hommes politiques alors qu’ils ne sont que des marchands d’illusion irritent certains parmi eux, qui n’hésitent pas de profiter des occasions pareilles pour semer la haine entre les innocentes personnes.

Pendant qu'une simple vérification de authenticité des documents pouvait suffire pour mettre fin à des querelles dont les seuls perdants sont les pauvres populations,certains croient pouvoir utilisé leur influence pour détourner l'opinion en qualifiant les documents détenus par les membres de l'organisation paysanne et archivés de faux. Au moment où on parle de moralisation de l’administration, de lutte contre la corruption , la gabegie, bref d'une administration au service des administrés nos administrateurs ferment les yeux sur beaucoup de réalités, du moins ce que constate le citoyen lambda du Guidimakha.

Le dernier passage du hakem de Sélibaby et du chef d’arrondissement de Gouraye pour solutionner le problème n'a eu de résultat que d'interdire les membres de la coopérative en question de ses activités. Pire certains parmi les membres de la coopérative , surtout ceux sensés être à l’origine du refus des anciens esclaves d’obtempérer sont interdits de toutes activités au niveau de Diaguily par un groupe d’individus se disant (nobles ?). Même l’appel à la prière et les prières dans des mosquées (.ref plainte adressée au wali du Guidimakha, amplifiée au chef d'arrondissement et au hakem de Sélibaby)

En attendant le changement promis et tant attendu, les guidimakhanké demandent plus de justice et de neutralité dans les traitements des affaires les concernant. Les marchants d'illusion et politiciens soit disant cadres du Guidimakha sans pouvoir convaincre objectivement doivent chercher autres que de berner les populations. Les cadres et les hommes politiques qui se veulent porteurs de voix ou influents, feraient mieux en se mobilisant et en utilisant leurs énergies pour unir les populations afin de sortir le Guidimakha de la pauvreté, de l'ignorance et de l'injustice sociale.

En fin ,nos influents hommes politiques doivent se poser la question de savoir pourquoi ils n'avaient pas pu mobiliser grand chose pour leurs différents candidats en 2007 et tout récemment en 2009 alors qu'ils prétendent être le tout chez eux.

Signé Amadou Bocar Ba



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Source :
AmadouBocarBa

Des combats entre armée mauritanienne et Aqmi se poursuivent




Bamako - Des combats opposant l'armée mauritanienne et des éléments d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) se poursuivaient vendredi soir "en territoire malien" à une centaine de kilomètres au nord de Tombouctou, ont indiqué à l'AFP des sources sécuritaires malienne et mauritanienne.

"Débutés à la frontière entre la Mauritanie et le Mali, les affrontements entre Aqmi et l'armée mauritanienne se sont transportés vers la localité malienne de Hassissidi, à une centaine de kilomètres au nord de Tombouctou", a assuré à l'AFP cette source sécuritaire malienne, jointe par téléphone vers 22H30 (locales et GMT).

"Nous sommes actuellement en territoire malien, en plein combat", a déclaré de son côté à l'AFP une source militaire mauritanienne, jointe depuis Bamako.

A Nouakchott, une source militaire mauritanienne haut placée avait auparavant déclaré à l'AFP: "de violents combats entre notre armée et des terroristes d'Aqmi se poursuivent". Mais cette source avait refusé de préciser si ces affrontements se déroulaient en Mauritanie ou au Mali voisin.

(©AFP / 18 septembre 2010 00h49)

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Source :
Romandie News (Suisse)
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