vendredi 12 novembre 2010

Mauritanie : une rando écolo dans la région de l'Adrar




Le voyagiste Point Afrique propose au cœur du désert, un itinéraire aéré pour découvrir la Mauritanie à pied. Aucun dioxyde de carbone dépensé : vos camélidés vous réceptionnent au bas des marches de l'avion et vous accompagnent tout au long de cette belle immersion.

En Mauritanie, les dromadaires ne manquent pas d'air... Point Afrique propose au cœur du désert, un itinéraire "aéré" pour découvrir la Mauritanie à pied. Aucun dioxyde de carbone n'est dépensé : vos camélidés vous réceptionnent au bas des marches de l'avion et vous accompagnent tout au long de cette belle immersion.

Le circuit est un véritable trekking "écolo" de 8 jours de randonnée pour découvrir les plus belles oasis de la région de l'Adrar. Les premiers palmiers de l'oued Seguelil offrent une pause rencontre avec les Maures autour de la cérémonie des trois thés avant de gravir les plateaux et accéder à l'oasis de Tergit.

Dans ce petit bout du monde, profitez d'un confortable campement de tentes traditionnelles niché au pied des rochers pour vous reposer et vous baigner dans les sources d'eau chaude à la tombée du jour, qu'illuminent des lucioles enchantées...

Une randonnée sur les sommets vous permet ensuite de dévaler des dunes dorées et d'accéder à la vallée de Mhaireth, dont les villages sont plantés d'insolites habitats de paille utilisés pour la récolte des dattes.

La fin du périple est caractérisée par des sentiers aux panoramas dégagés : une vision d'infini sur cette région de Mauritanie.
Intégrale des oasis de l'Adrar : 8 jours à partir de 760 euros TTC / personne


Randonnée chamelière

Accompagnement par des guides, cuisiniers et chameliers locaux - hébergement en auberge et bivouac.

Départs toutes les semaines du 19 décembre 2010 au 10 avril 2011

Infos et réservations sur www.point-afrique.com


www.cridem.org


Source :
Tour Magazine (France)

Démarrage d'une session de formation en gestion d'entrepôts et de cantines scalaires



Une session de formation en gestion d'entrepôts et de cantines scolaires, organisée par le ministère de l'enseignement fondamental avec l'appui du programme alimentaire mondial (PAM) au profit des responsables régionaux de l'éducation des wilayas du Gorgol, du Trarza, du Guidimakha et du Brakna a débuté vendredi matin à Kaédi.
Pendant 3 jours, 40 participants vont discuter plusieurs modules portant sur la gestion des stocks, des cantines scolaires, des outils de gestion, ainsi que sur l'éducation sanitaire et nutritionnelle.
Ouvrant les travaux de la rencontre, le wali mouçaid chargé des affaires économique du Gorgol, wali par intérim, M. El Bou Ould Fadel a indiqué que l'organisation de cette session de formation s'inscrit dans le cadre des orientations Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz visant à assurer une gestion saine des biens de l'Etat parmi lesquels les cantines scolaires qui encouragent la scolarisation des enfants et améliorent les conditions de vie des plus pauvres.
Il a souligné que l'anarchie dans la gestion des deniers publics est maintenant terminée.
M. El Bou Ould El Fadel a enfin appelé les participants à accompagner le changement opéré dans le pays et qui se caractérise par la rigueur dans la gestion.
Le Gorgol bénéficiera très prochainement de 347 tonnes, 316 Kg de produits alimentaires dont du riz, le haricot, le Soja l'huile ainsi que le sel qui vont profiter à 238 cantines hébergeant 24.780 élèves dont 238 sont inscrits dans 26 mahadras.
Notons que 2 autres sessions ont déjà été organisées à Aioun pour les deux Hodhs et à Kiffa pour l'Assaba et le Tagant.

AMI

Mali: l'otage française malade ' a reçu des médicaments '




Les ravisseurs ont pris l'engagement de lui remettre le colis envoyé, affirme une source malienne citée par l'AFP. Les négociations pour obtenir la libération des otages sont toujours difficiles.

L'otage française malade d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), qui souffre d'un cancer et est détenue depuis mi-septembre avec quatre autres Français, un Malgache et un Togolais dans le nord-est du Mali, "a reçu des médicaments", a appris vendredi l'AFP de source malienne très bien informée.

"Je peux vous dire que l'otage française a reçu, grâce à une intervention du Mali, des médicaments. Les médicaments sont bien arrivés à destination", a affirmé cette source malienne proche du dossier. "Ces médicaments vont lui faire du bien. Les ravisseurs ont pris l'engagement de lui remettre le colis envoyé, et je sais que ça a été fait", a-t-elle ajouté.

Selon cette même source, "les négociations sont difficiles" en vue d'obtenir la libération des otages, mais "il faut rester optimiste".

La Française séquestrée, Françoise Larribe, est l'épouse d'un des cinq Français enlevés dans la nuit du 15 au 16 septembre sur le site d'une mine d'uranium du groupe français Areva à Arlit (nord du Niger), en même temps qu'un Malgache et un Togolais. Peu de temps avant son enlèvement, elle avait subi une chimiothérapie, selon un de ses proches.


Vue aérienne du Timétrine, région de collines désertiques au nord-est du Mali © www.google.com


Selon des sources maliennes et françaises, les otages sont détenus dans des collines désertiques du Timétrine, dans le nord-est du Mali, à une centaine de kilomètres de l'Algérie.


www.cridem.org


Source :
TF1 News (France)

Adrar/Tourisme : Le Hic ! du Quai d’Orsay …



Les Mauritaniens (ministère, Ont, services de sécurité, acteurs locaux) multiplient les efforts pour assurer un retour du tourisme en Adrar. Les tours opérateurs Français sont prêts à courir -pour quelques temps encore- des pertes et risques pour que cela soit. Voici, grosso modo, le constat enregistré au sortir du séminaire « Le respect des étrangers, une tradition séculaire en Mauritanie ».organisé ce matin 12 novembre à Atar, par le MCAT en collaboration avec les principaux Tours opérateurs Français desservant la Mauritanie.

Etaient là, coté Mauritanien : Le ministre, le wali, le Maire adjoint, le directeur du tourisme, la directrice de l’office national du tourisme (ONT), le représentant de l’ANAC,les réceptifs locaux, le syndicat du tourisme, les chameliers, guides, aubergistes, chauffeurs.

Coté Français : Point Afrique, Balaguére, Alibert, Atlantique, Club Aventure, Voyageurs du Monde (VDM) et quatre journalistes de grands médias.
Les uns et les autres –au travers de leurs interventions- manifestent le désir de revoir reprendre les circuits de rotation des vols hebdomadaires à destination de l’Adrar. Malheureusement, la situation est trop sérieuse. Après les dernières déclarations de Ben Laden dans lesquelles il menace la France, le Quai d’Orsay déconseille à tous les ressortissants Français de visiter –entre autres- Ouadane et Chinguitty , qui, de l’avis de tous ne présentent aucun risque et qui constituent à 90% les circuits préférés des voyagistes.

Pour tenter d’amener le ministère Français des affaires étrangères à de meilleurs sentiments, les intervenants Mauritaniens dans le secteur du tourisme et les TO Français desservant l’Adrar, joignent leurs efforts afin que ce vecteur d’échanges, pourvoyeur, d’emplois et générateur de revenus, reprenne de plus belle que précédemment ou tout au moins…rapidement.



Ely Salem Khayar/ Adrar Info.

Déjouant une tentative de financer des groupes terroristes à Batna: Les forces de sécurité arrêtent trois terroristes mauritaniens et maliens et un a




Les forces de sécurité antiterroristes à Tamanrasset ont durant le mois d’octobre arrêté trois étrangers et un algérien, soupçonnées d’appartenance à un groupe terroriste.

Les prévenus qui ont été appréhendés lors d’une opération à 300km au sud de la ville de Tamanrasset sont un mauritanien et deux maliens qui étaient en possession d’une carte mémoire contenant des photos et des enregistrements audio et vidéo ainsi que des documents de grande importance concernant l’organisation d’Al-Qaida au Maghreb.

Les trois terroristes attendaient selon les mêmes sources une autre personne de nationalité algérienne pour lui remettre les sommes de 200 mille euros et 8 mille dollars ainsi que des documents avant de retourner au Mali.

Celui a également été arrêté au niveau d’un barrage policier dans la région d’Ain Mguel, et a reconnu lors de l’interrogatoire qu’ils avaient rendez-vous avec les terroristes pour récupérer une somme d’argent qu’il devait remettre à d’autres personnes à Batna.



www.cridem.org


Source :
El Khabar (Algérie)

Brakna : Fin à Boghé, Atelier sur La Citoyenneté et la Gouvernance Démocratique.




Un atelier au profits des maires et élus de Koboni, Djiguini, Amorj (Hodh el Chargui), Elvor (Brakna), Tiguitt, Mederdra (Trarza) et M’bout (Gorgol) a eu lieu du 8 au 9 novembre 2010 à l’hôtel Pélican de Boghé.

Etaient présents à l’ouverture de la cérémonie, le Hakem de Boghé Mr Ahmed Ould Mohamed Lemine, le Représentant du FLM en Mauritanie Mr A Antyes, la Directrice Générale Adjointe des Collectivités Locales et de la FLM Madame Hawa Kane, la coordinatrice du Programme et d’autres membres de la FLM.

Les thèmes retenus pour l’atelier concernent : les Droits Humains, La Citoyenneté, La Gouvernance, le concept de la Société Civile le contrôle de citoyenneté de l’action publique, les limites de concertation en Mauritanie, et les outils et supports de la communication.

La première journée de l’atelier, les participants ont suivi l’exposé clair et net du consultant Mr Ibrahim Moctar Bâ sur les thématiques suivants : Exercice sur les droits humains, des commentaires, ensuite présentations sur la citoyenneté suivie de débat ouvert et exercice d’opinion (sur l’assertion), présentation sur la gouvernance, le concept de société civile.

Là, aussi les séminaristes maires des communes de Hodh el chargui, du Trarza, Brakna, et Gorgol ont discuté, et étudié de la citoyenneté et engagement citoyen, qu’est ce qu’un citoyen, que signifie l’engagement citoyen et la participation citoyenne, quels sont les principaux obstacles à la participation citoyenne et à l’engagement citoyen,

À la fin de cette première séance, des recommandations ont été retenues à savoir :

Encourager la participation des citoyens à travers des cadres institutionnels épanouissants, encourager l’acquisition des compétences (savoir faire, savoir être) une révision des contenus des programmes scolaires, sensibiliser aux valeurs démocratiques à travers les média, et enfin instaurer d’un pacte républicain engageant les acteurs politiques, la société civile et l’état de le vulgariser.

La dernière journée de l’atelier a permis aux dizaines de participants de se concentrer à nouveau sur les caractéristiques, les dimensions, les acteurs de la gouvernance, l’introduction au contrôle citoyen de l’action publique, l’organisation de la société civile et l’élaboration d’un budget participatif et traditionnel.

L’intervention musclée du professeur et consultant Mr Moctar El Hacen a beaucoup facilité la compréhension des élus, à la fin de l’atelier, les Participants ont manifesté leur satisfaction générale.

Diop Mohamedou Abou dit Hbodiel CP au Brakna Le Véridique

www.cridem.org


Source :
Diop Mohamedou Abou

La Mauritanie indépendante est le thème de la deuxième conférence tenue à la Maison des jeunes de sélibaby




Ce jeudi, 11/11/2010 s’est tenue à la maison des jeunes de sélibaby, la deuxième conférence portant sur l’indépendance de la République Islamique de Mauritanie. Cette dernière vient après celle présentée le 1er novembre par Monsieur Mohamed Yahya o/ M’reyzig, directeur du lycée de sélibaby portant sur : la Marche de la Mauritanie vers l’indépendance.

C’est dans la salle où la jeunesse et des porteurs des messages se retrouvent et devant un publique composé essentiellement d’enseignants (instituteurs et professeurs) que Monsieur Kelly Abdoulaye a retracé les différentes étapes par lesquelles est passée la Mauritanie pour accéder à l’indépendance.

Ont pris part à cette rencontre riche en enseignement, Monsieur Isselmou o/ Abderahmane o/ Meynouh, wali du Guidimakha qui préside la commission régionale chargée de l’organisation du cinquantenaire de notre indépendance, prévue le 28/11/2010.

Après l’exposée présenté à cette occasion, le wali, prenant la parole après avoir remercié le conférencier et les participants a rappelé les efforts que nos dirigeants ont consacré pour faire de la Mauritanie un havre de paie tant que pays indépendant.

D’ailleurs il n’a pas manqué de demander à la jeunesse de se retrouver et au corps enseignant de redoubler d’effort pour à chaque fois organiser des rencontres culturelles et de proposer des sujets et/ou des thèmes de réflexion à la délégation régionale de la culture ,de la jeunesse et des sports afin de permettre un rapprochement entre les différentes composantes du pays pour ainsi faciliter des échanges sur des thèmes qui touchent la vie de tous les citoyens mauritaniens, chose que faisaient les générations antérieures.

Pour la deuxième fois, la commission culturelle a montré son dynamisme et sa détermination pour la réussite du cinquantenaire de notre accession à la souveraineté nationale au niveau du Guidimakha.

Les différentes mobilisations permettent de dire que dans cette wilaya, les autorités, les leaders d’opinions, les acteurs de la société civile(G T Z/bonne gouvernance) ne cessent de faire montre de bonne volonté pour que le cinquantenaire soit fêté dans la plus grande sécurité et fierté.

Signé Amadou Bocar Ba

Au nom de la république : ' La République Islamique de Nouakchott'.




Saviez-vous qu’il est mille fois plus parcours de combattant à un fonctionnaire de la Mauritanie de se faire affecter en République Islamique de Nouakchott qu’à un émigré clando d’entrer en Europe ? Reprenons.

« Nouakchott » et « Mauritanie » : voici deux pays distincts, deux réalités diamétralement opposés, mais que langues de bois et autres hypocrites (toujours prompts à nommer le chat par un autre nom que celui de chat) considèrent comme un pays et sa capitale.

Mettez Nouakchott, et dans une très large mesure, Nouadhibou de côté, et vous vous retrouvez dans une prétendue république qui, en cinquante années d’existence, a été proprement incapable de bâtir une ville digne de ce nom.

D’emblée, pour pouvoir bien manger, bien boire, (donc bien roter), bien se faire soigner, bien s’instruire, bien se faire entendre, une seule et unique adresse : Nouakchott. A deux portées de flèche de là, les populations, teint couleur cendre, vivent encore les années 70, et à un jet de pierre de ces laissés pour compte, c’est carrément le Moyen-âge. Et c’est à peine que la voix de l’autorité centrale y parvient en faible écho!

La complicité qui existe entre Nouakchott et le nouakchottois n’est égale qu’à celle qu’entretient un mafioso avec ses activités louches. Nouakchott c’est « Puisque j’y suis, j’y reste ! ». Un fonctionnaire muté hors de Nouakchott se sent banni, et le voilà qui traîne des pieds, qui prend le ciel à témoin, qui se demande ce qu’il lui arrive, et pour peu, il se mettrait à verser autant de larmes qu’un émigré clando que les flics français tenteraient de faire embarquer de force à bord quelque cargo.

D’ailleurs, très souvent, les autorités elles-mêmes y regardent par deux fois (de peur de s’attirer quelque courroux) avant d’oser déloger un fonctionnaire pour l’envoyer en « Mauritanie ». Bien pire, nous avons même vu des fonctionnaires qui menaçait de démissionner si jamais leur ministère s’amusait à les envoyer en « Mauritanie », paraît-il, « un trou perdu » !... Et à propos de trou perdu : en connaissez-vous un qui ne soit ni perdu ni caché ? Moi, non !

Parenthèse : Bien des chantiers ont été initiés par le Général Moustachu, sauf un seul, le seul qui aurait dû servir de socle à tous les autres : la restauration (au sens strict du terme) de l’autorité de l’Etat dans l’imaginaire, le rêve ou fantasme de chaque mauritanien. Voilà pourquoi, j’en mettrais ma main au feu, tout ce qui a été bâti jusqu’à ce jour ne repose sur rien de bien concret. Le temps nous le dira. Mais d’ici là, allez donc jeter un œil sur la nouvelle bretelle Polyclinique / Camp des gardes. Je ferme.

Dans un désert aussi désertique que le nôtre, vouloir, par le truchement d’un reboisement massif, faire de Nouakchott une oasis, c’est assurément vouloir aussi aspirer les populations de l’intérieur vers la côte. En somme, vider le reste du pays, déjà fort anémié, du peu de sang qui lui reste. Et paradoxe des paradoxes : pendant que l’on reboise Nouakchott, les maigres forêts de la Mauritanie sont fauchées, justement pour gaver le premier en charbon. Et pourtant…

Était-il impossible à chaque préfet ou chaque chef d’arrondissement, voire même chaque établissement scolaire, d’exécuter le même geste et au même moment que le Général, reboisant Nouakchott? Mais voilà, comme depuis toujours, rien que pour les nouakchottois, et tout pour les nouakchottois ! Les mauritaniens, débrouillez-vous !

Mais au fait, chers nouakchottois. D’où vous viendront les dunes dont vous comptez si énergiquement vous défendre ? Compte tenu de votre posture (géographique), ne croyez-vous pas qu’il aurait été plus sage de chercher à vous défendre d’abord de la mer que du désert ?

En tous cas moi, à votre place, j’aurais compris tout seul (comme un grand) qu’on attaque et accule mieux un mal quand on le contraint en amont. Mais vous, comme je vous connais, habitués à croquer des paracétamols comme des cacahuètes, ce n’est pas guérir qui vous intéresse. Mais apaiser vos maux. Encore une illusion. Mais c’est un choix de vie que je respecte.



Source :
Cheikh-TijaneBathily

Aicha Vall Vergès, présidente de la Commission Nationale des Femmes / UPR



Présidente de la mission de sensibilisation du Brakna tire le bilan de sa tournée dans cette région. La mobilisation a été à un bon niveau.


Quotidien de Nouakchott : Quel bilan faites vous de la visite que vous avez effectuée au Brakna?

Aîché Vall Vergess:
Visite qui vient à point nommé car elle intervient après la tenue du 1èr congrès du parti et la mise en place des structures du parti et donc il était utile qu'il y ait une rencontre entre le sommet et la base.

Le rapprochement continu entre la base et le sommet est l'un des objectifs du parti.

Cette mission de sensibilisation que je considère réussie a permis d'atteindre les objectifs visés à savoir la formation des responsables des structures de base en vue de leur permettre d’être mieux outillés pour l’exécution de leur fonction politique, la sensibilisation de la base sur les grandes orientations du parti et les positions par rapport aux problématiques d'ordre national et enfin la prise en compte des observations et suggestions des adhérents à travers les meetings organisés et les audiences accordées à ces derniers.

Quotidien de Nouakchott : Une forte mobilisation n'était pas au rendez vous, qu'est ce qui explique cela selon vous?

Aîché Vall Vergess :
Je pense que la mobilisation était à un bon niveau car elle a permis de mobiliser tous les élus, les cadres, les notables, les acteurs politiques et les autres adhérents. Je sais que la mission s’est préparée dans un délai très court et s’est déroulée dans une période agricole mais malgré cela elle a pu mobiliser le maximum d’adhérents.

Quotidien de Nouakchott : Que comptez vous faire par rapport aux doléances des populations en tant que parti au pouvoir?

Aîché Vall Vergess :
les doléances seront traitées et suivies cas par cas par le parti en vue de leur satisfaction. Je remercie et félicite les Braknaouis pour l’accueil chaleureux qu’ils nous ont réservé tout au long notre mission et pour les efforts fournis pour la réussite de cette mission.

Le Brakna dispose de grandes potentialités politiques, culturelles, économiques et sociales à cet effet, nous sommes convaincus que les Braknaouis contribueront sans aucun doute à la concrétisation de la révolution menée par notre cher Président SE Mohamed Ould Abdel Aziz en vue d’une Mauritanie nouvelle où règne la stabilité, la sécurité et la justice sociale.

Propos recueillis par Thièrno Souleymane CP Brakna


www.cridem.org


Source :
Le Quotidien de Nouakchott