jeudi 3 mars 2011

Kiffa : Les élèves manifestent contre les prix et réclament des moyens de transport.




Des centaines d’élèves du lycée et du collège de la ville de Kiffa, centre de la Mauritanie, sont sortis ce jeudi dans les rues pour terminer leur marche devant la wilaya où les slogans et banderoles brandis réclamaient l’eau et l’électricité dans les établissements scolaires et la réduction du prix du transport ainsi que la baisse des prix des denrées alimentaires.

Ils ont également demandé aux autorités de favoriser l’embauche des diplômés et à la commune de penser à l’assainissement de la ville.

Les autorités administratives de la wilaya ont demandé aux manifestants de désigner des délégués pour rencontrer le wali de l’Assaba avec lequel ils sont aussitôt entrés en discussion.


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Source :
SaharMedias (Mauritanie)

Remerciements à l'ambassade des Etats-Unis.




Les professeurs d'anglais exerçant dans la wilaya du Trarza qui ont bénéficié le 27 février dernier d'un séminaire avec le soutien de l'ambassade des États-Unis à Nouakchott, séminaire tenu à la Dren de Rosso, adressent leurs sincères remerciement à tous ceux qui ont rendu possible la tenue de cet atelier.

Ils remercient particulièrement Son Excellence Madame Jo Ellen Powell, ambassadrice des États-Unis d'Amérique à Nouakchott qui a bien voulu présider la cérémonie de clôture du séminaire.

Leurs remerciements vont aussi à MM. Jamie W. Ravetz, PAO et Sy Aly Babaly PAO Assistant ainsi qu'à Mme Delia Dunlap, English language Fellow, à M. Ould Awfa de l'ambassade des E-U et à M. Djigo Amadou, inspecteur de l'enseignement secondaire.

Les professeurs d'anglais du Trarza remercient également l'IGESS pour avoir choisi Rosso pour la mise en oeuvre du plan d'action de la section Anglais. Enfin les professeurs remercient le Dren de Rosso, M. Mohamed Saleck Ould Taleb et le félicitent pour son discours en anglais lors de la clôture de la cérémonie.

Les professeurs d'anglais du Trarza





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Source :
tangohector

Boghé : Une aliénée mentale expulsée vers le Sénégal par les autorités.




C’est dans la matinée du lundi, 28 février que la femme en question avait été retrouvée à 7 kilomètres, par les habitants du village de Sayé habillée seulement d’un pagne qui la protège des seins jusqu’aux genoux.

Les villageois la conduisent directement à la préfecture pour la remettre entre les mains de la première autorité administrative. Elle sera examinée par le médecin avant d’être déchargée aux mains de la responsable de l’antenne sociale de Boghé. D’après deux interprètes qui communiquaient avec elle dans sa langue, le dioula, la dame affirme qu’elle s’appelle Marième.

Pour son nom de famille, elle conditionne de ne le décliner qu’en sachant « celui qui l’a torturé et l’a suspendu au cou avec une corde » selon l’un des interprètes.

En tous cas les deux interprètes s’accordent sur une chose : son prénom et son appartenance ethnique. Marième est Mossi et parle dioula. Si cependant, l’un des interprètes reste affirmatif sur sa nationalité Burkinabé, l’autre lui croit qu’elle pourrait être de nationalité Ivoirienne. Devant les interprètes, elle a pourtant montré une certaine disponibilité à communiquer et même à s’alimenter à sa faim.

Ce qui n’était le cas quand elle était avec les autres. Certaines sources ayant requis l’anonymat indiquent avoir vu une femme aliéné mentale à la veille de la fête du Maouloud (naissance du prophète) à Rosso et portant beaucoup de bagages (bidons et autres) sur le point d’être expulsé vers le Sénégal. Ces sources laissent entendre que les traits physiques apparaissants sur la photo paru sur le site électronique Cridem (lundi, en fin de matinée) ressembleraient à ceux de la dame qui affirme s’appeler Marième.

Boghé ne disposant pas alors d’un centre de prise en charge des maladies psychiatriques, le maire a proposé son évacuation à Nouakchott, la capitale nationale où il existe un centre psychiatrique. C’est à ce moment que le Hakem ordonne son expulsion vers le Sénégal sur instruction de ses hiérarques nous dit-on.

Le policier Sénégalais qui pourtant affirme que la femme a traversé par le point de passage non officiel de Lopel, village situé environ à 5 kilomètres de Boghé sur le fleuve oppose un refus poli aux autorités Mauritaniens prétextant qu’il n’existait pas un centre psychiatrique proche du côté Sénégalais pour prendre en charge cette femme atteinte de démence. Sans dire qu’elle n’avait aucun papier sur elle pouvant attester de son identité réelle.

Après avoir passé quelques heures chez le maire, la police est venue la récupérer pour la faire traverser à partir du débarcadère. Le Hakem de Boghé joint au téléphone nous affirmé qu’il ne savait pas grand-chose de cette affaire et nous a demandé de contacter le maire ou le commissaire. Ce dernier, contacté au téléphone a refusé de nous parler de cette affaire.

Quoiqu’il en soit, cette décision a scandalisé plus d’un ici. Personne ne peut comprendre cette attitude de nos autorités qui ont opté pour l’expulsion hors de notre territoire de cette dame qui ne jouit pas de ses facultés morales et mentales. Par ce geste, nos autorités ont manifestement refusé d’apporter assistance à une personne en danger.

Dans une terre d’Islam, réputé terre d’hospitalité. C’est dommage ! L’on se demande, à quand nos autorités vont-elles changer cette façon de faire.

Thièrno Souleymane
CP Brakna


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Source :
Le Quotidien de Nouakchott

Rosso à l’heure étatsunienne.




La Direction régionale de l'éducation nationale de Rosso a abrité un séminaire de renforcement des capacités à l’intention des professeurs d’anglais de la wilaya du Trarza. Ce séminaire entre dans le cadre de la mise en œuvre du plan d’action de la section Anglais de l’IGESS (Inspection générale).

Au total 34 professeurs sur 43 ont suivi avec intérêt les exposés de Mme Delia Dunlap, English Language Fellow, et de MM. Djigo Amadou, inspecteur de l’enseignement secondaire et Sy Aly Babaly, assistant aux affaires publiques à l’ambassade des États-Unis d’Amérique.

L’atelier ouvert par le Dren du Trarza, M. Mohamed Saleck Ould Taleb est pris en charge par l’ambassade des États-Unis d’Amérique à Nouakchott. La communication de Mme Delia a porté sur la gestion des classes pléthoriques tandis que M. Djigo s’est intéressé à la préparation d’une leçon.

Quant à M. Sy Aly Babaly, il a fait un exposé sur les critères d’admission dans les universités américaines et les opportunités disponibles à l’ambassade des États-Unis d’Amérique. Après ces trois communications les professeurs ont stimulé deux méthodes pédagogiques dont la ‘Mad-lib’.

M. Jamie Wilson Ravetz, chargé des affaires publiques à l’ambassade des États-Unis a pris la parole pour remercier les professeurs de leur participation. Par la suite, Son Excellence Mme Jo Ellen Powell ambassadrice des États-Unis à Nouakchott qui était en mission à Rosso est venue procéder à la cérémonie de clôture de l’atelier. Elle était accompagnée du wali du Trarza, du hakem de Rosso et des autorités sécuritaires de la ville.

Le clou de la cérémonie sera sans conteste, le ‘speech’ de M. Mohamed Saleck Ould Taleb, Dren du Trarza qui à la surprise générale, s’est très bien exprimé dans la langue de Shakespeare.

A l’unanimité, les professeurs d’anglais qui ont participé au séminaire ont tenu à remercier Son Excellence Mme Jo Ellen Powell, ambassadrice des États-Unis, MM. Jamie Wilson Ravetz, PAO et Sy Aly Babaly PAO Assistant à l’ambassade américaine à Nouakchott, Mme Delia Dunlap, ELF et M. Ould Awfa qui ont organisé ce séminaire d’un intérêt certain.

Compte rendu:Djigo Aboubakry


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Source :
dembandiay

Urgent : Alerte sécuritaire à l’est du pays, probable présence d'éléments d'AQMI




Selon le correspondant de l’ANI au Brakna, les forces de sécurité dans le Grogol et le Guidimakha (est du pays) sont en alerte suite au signalement d’un véhicule suspect.


Le correspondant citant des sources sécuritaire a précisé que les autorités sécuritaires des deux wilayas sont à la recherche d’une voiture qui aurait à son bord des élément d’Al-Qaïda au Maghreb Islamique.
ANI