jeudi 12 janvier 2012

Rosso : Ould Teyvour tergiverse au sein de l’UPR.




Il y a certains hommes politiques qui sont tellement instables au point qu’il est difficile, voire impossible, de les ficher dans un cadre politique précis. C’est le cas de l’ancien député de Rosso et actuel président de la troupe artistique des « Sbeyniyatt » Mohamed Vall Ould Teyvour.

En effet, cet homme qui depuis l’avènement du parti UPR a toujours été l’un des piliers du sénateur Mohamed El Hassen Ould El Hadj dit Mohssen jusqu’il y a deux semaines, précisément le jeudi 15 décembre 2011 date à laquelle il a boudé le sénateur.

Ainsi, il a le plus simplement du monde organisé un dîner chez lui au profit de la tendance UPR dirigée par un autre ancien député de la ville non moins connu répondant au nom de Slame Ould Meine, avec lui l’actuel maire de Rosso Fassa Yérim et l’actuel député Ould Moutali.

Au cours de ce dîner, Ould Teyvour n’a pas manqué d’éloges à ses hôtes tout en s’attaquant sans retenue au sénateur et sa tendance. Il a enfin annoncé son ralliement, sans conditions, au groupe du maire. Nous avons eu la malchance de titrer dans le site CRIDEM « La coordination UPR de Rosso enregistre un ralliement de taille ». Mais nous ne sommes pas restés longtemps sans nouvelles de Teyvour.

Il a vite retourné sa veste pour revenir dans les bras du sénateur au profit duquel il a réorganisé deux dîners successifs le jeudi et le vendredi derniers. Sans surprise, Ould Teyvour prend la parole pour dire ceci : « je n’ai jamais cherché à me séparer de Mohssen car c’est mon frère et nous sommes inséparables.

J’ai organisé la dernière fois un dîner au maire et au député tout en annonçant mon ralliement à eux c’était juste un leurre à travers lequel je voulais exprimer un petit mécontentement contre mon frère Mohssen parce que mon fils a poignardé un jeune garçon, j’ai été emmené à me déplacé à Nouakchott pour rester au chevet de la victime, mon frère Mohssen ne m’a pas rendu visite, alors je me suis fâché.

J’ai alors invité Fassa et Moutali mais ils savent dans leur fort intérieur que je ne suis pas avec eux. Moutali est un milliardaire mais il ne peut jamais rendre un service à quelqu’un ni même à un artiste quelque soit la prestation de ce dernier. Dans sa maison, il ne reçoit pas les pauvres, il ne rend visite à personne. Par contre Mohssen est l’ami des pauvres, il leur donne son argent, il leur rend visite, il les reçoit comme des frères chez lui.

Il a fait de Rosso ce qu’elle est aujourd’hui, la politique à Rosso n’a pas de sens sans Mohssen car il n’a pas besoin de nomination, son père était un grand commerçant à Rosso et il a toujours été du côté des faibles : tel père, tel fils. Donc Mohssen n’est pas comparable avec Fassa et Moutali qui ne valent pas grand-chose et n’ont personne derrière eux… »

Tels étaient les propos de Mohamed Vall Ould Teyvour le vendredi 6 janvier dernier dans sa maison à Ndiourbel dans laquelle il avait reçu trois semaines auparavant Fassa, Slame et Moutali avec tous les honneurs d’hommes respectables.

Jiddou Hamoud Derdeche


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Source :
SneibaMohamed.over-blog (Mauritanie)

Les autorités mauritaniennes tentent de camoufler l'affaire de trois victimes d'esclavage à Teintane



Communiqué de presse d'IRA-Mauritanie

Une Importante délégation de l’IRA MAURITANIE est actuellement en sit in dans les locaux de la Brigade de gendarmerie d’Ain Farba dans le département de Tintane, wilaya du Hod el Gharbi. Pour cause le commandant de Brigade de Ain Farba Adjudant Boubout, qui était semble-t-il informer de leur déplacement est en train de jouer sur le temps certainement pour camoufler cette affaire d’esclavage avéré >. Depuis l’arrivée de la mission cette après-midi a Ain Farba le commandant de brigade n à cesser de les intimider, il a même porté la main sur le journaliste rédacteur en chef de elmuchahid .net, qui accompagne la délégation. Il est en train de chercher a convaincre le plaignant de laisser tomber cette affaire au lieu d’aller chercher les esclavagistes et les victimes.

Tout a commencé quand Med Lemine Ould Mbarek Ould Laghdhaf est venu demander à IRA de l’aider a libéré ses deux frères (mineurs) Taleb Jidou et Mohamed El Mokhtar, et sa sœur (mineure)Aynna mint Mbarek, tous tenues en esclavage par Mohamed Nouh Ould khanfour et son épouse Louty mint Gardy qui habitent dans la commune de Agharghar.

IRA Mauritanie met en garde contre l’agissement des autorités dans le département de Tintane et exige l’enclenchement de la procédure visant à libérer ces esclaves et arrêter les esclavagistes, ceci en application à la loi 0048/2007 .

Nouakchott le 10/01/2012

La commission de communication

le 10 janvier 2012

COD : Invitation.




La Commission de Communication de la COD invite les représentants de la presse nationale et internationale à assister au meeting que la Coordination organise

Le samedi 14 janvier 2012 à 17heures,

Place de la tribune officielle à Nouadhibou.
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Source :
COD via Idoumou Mohamed Lemine Abass

Réouverture en septembre prochain de l’Ecole agricole de Kaédi, en Mauritanie, après 16 ans de fermeture.



L'Ecole nationale de formation et de vulgarisation agricoles de Kaédi (ENVA), en Mauritanie, rouvrira ses portes en septembre prochain après 16 ans de fermeture, a annoncé mercredi à Nouakchott le ministre mauritanien du commerce, de l'industrie, de l'artisanat et du tourisme, par intérim ministre du développement rural, Bamba Ould Dermane.

Une enveloppe de 1,5 milliard d’ouguiyas (5,1 millions de dollars américains) a été ciblée pour couvrir les investissements nécessaires à la remise en marche de l’ENVA, a précisé Ould Dermane à l’ouverture d’un atelier de sensibilisation et de concertation à ce sujet avec les partenaires du secteur du développement rural, mercredi à Nouakchott.

Il a ajouté qu’une requête relative à ce montant a été soumise à la Banque mondiale pour l’intégrer dans le Projet d’appui à la formation professionnelle, financé par l’Agence internationale de développement.

Créée en 1962, l’ENVA a formé de nombreux cadres techniques qui ont joué un rôle capital dans le développement du monde rural en Mauritanie. Sa fermeture en 1995, due à une vision brouillée chez les décideurs de l’époque, selon le ministre, a causé le délabrement d’un grand nombre d’installations et d’équipements agricoles.

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Source :
Agence de Presse Africaine

RPC forme sur les techniques d'animation et de communication.




L’auberge de Bababé abrite du 11 au 14 Janvier un séminaire de formation en techniques d'animation et de communication externe au profit des organisations membres des réseaux locaux de Kaédi et Bababé Celle formation réunie une trentaine de participants.

Organisée par RPC ( réseau pour la promotion de la citoyenneté ) , cet atelier de quatre jours après celui de Kaédi en est aminé par Malal samba Guisset consultant en développement communautaire.

Rappelons que le projet RPC que coordonne Mme Salimata Sow est en partenariat avec junta de andalucia et intermon oxfam. Il vise à renforcer la société civile locale pour participer et contribuer efficacement au suivi et à l’évaluation des plans de développement de quatre communes de Mauritanie ( Rosso, Boghé, Bababé et Kaédi ).
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Source :
Ba Basf

Bienvenue au festival nomade.




Depuis 2009, le Festival Nomade a lieu chaque année, en Mauritanie et… au Canada. L’objectif de cet événement d’envergure est double : célébrer la culture nomade mauritanienne dans ses dimensions humaines, culturelles et économiques; et faire mieux connaître les richesses de ses traditions dans le pays lui-même ainsi qu’à l’étranger.

Fidèle aux valeurs nomades, le Festival parcourt la planète à la rencontre de l’Autre. Point de convergence de personnes et de groupes d’horizons divers, il favorise les échanges culturels et le partage des connaissances et pratique un écotourisme respectueux de l’environnement et des coutumes et traditions locales.

Le cinquième Festival Nomade se déroulera du 24 janvier au 5 février 2012 en Mauritanie. Cette année, les activités accorderont la priorité à l’écotourisme et au développement durable dans la région d’Ividjaren :

Consultation des populations locales pour déterminer leurs besoins; Plantation d’arbres, installation d’une pompe à eau solaire, développement maraîcher et fruitier en prévision de la sécheresse estivale; Déploiement d’un projet pilote d’énergie solaire pour l’éclairage et la production alimentaire; Construction de maisons en sacs de sable selon une conception moderne inspirée des ressources locales et de techniques architecturales de lutte contre la désertification.

Une flamboyante course de chameaux (le 28. janvier) à laquelle sont conviés les nomades du monde entier! Les participants vivront également la vie des nomades en caravane pendant plusieurs semaines. Ils apprendront à monter les chameaux et parcourront le désert à la recherche de pâturages pour leurs animaux.

Pour en savoir davantage: Atigh Ould +1 514 948 9993 atighs@gmail.com www.nomadefestival.com

Historique des éditions passées

À l’hiver 2009, pour la première édition, des nomades ont afflué des quatre coins de la Mauritanie pour célébrer le dynamisme de leur culture : jeux traditionnels, musiques, danses – et une course de chameaux qui a rassemblé plusieurs centaines de participants! Cet événement, dont le rayonnement a dépassé toutes les espérances, a été organisé en collaboration avec le ministère du Commerce, de l’Artisanat et du Tourisme et le ministère de la Culture, de la Jeunesse et des Sports de la Mauritanie, la Mairie de Tingadesh ainsi que les élus et l’ensemble des collectivités de la wilaya de Trarza.

En janvier 2010, le Festival installe de nouveau sa khaïma en Mauritanie : une caravane du sel (ravgue) emmène les participants à dos de chameaux depuis le village d’Ividjaren jusque dans les sebkhas de l’Inchiri, puis retour à Nouakchott. Cette épopée se conclut par une exposition avec danse d’accueil de la caravane, dégustation de plats traditionnels du Québec, après-midi de contes et tours de chameaux au Centre culturel français Saint-Exupéry.
En octobre 2010, pour la première fois de son histoire, le Festival Nomade plante sa tente en terre nordique. Au menu de cette grande première montréalaise : débats (en collaboration avec le Département d’anthropologie de l’Université McGill), projections de films, concerts, soirées de méditation, gastronomie, contes en plein air… Venu expressément de Mauritanie pour le Festival, le griot Jemal Oud Abba séduit l’auditoire de ses chants évoquant la vie dans le désert. Le Festival consacre une journée aux femmes nomades, et une autre aux réfugiés ainsi qu’aux migrants.

En décembre 2011, la deuxième édition montréalaise rassemble sous une khaïma déployée en pleine ville des universitaires et des artistes autour de thèmes nomades : panels de réflexion, bazars, soirées de musique, danse, contes et parole, improvisation musicale... Comme à chacune de ses éditions, le Festival perpétue avec bonheur la tradition d’hospitalité des nomades : chaque soir, les participants et le public sont invités à un grand repas collectif qui met en valeur les spécialités mauritaniennes.

En 2012, une édition double Du 24 janvier au 5 février 2012, le Festival reprend le chemin de la Mauritanie. Cette année, les activités accorderont la priorité à l’écotourisme et au développement durable dans la région d’Ividjaren : consultation des populations locales pour déterminer leurs besoins; plantation d’arbres; installation d’une pompe à eau solaire; développement maraîcher et fruitier en prévision de la sécheresse estivale; déploiement d’un projet pilote d’énergie solaire pour l’éclairage et la production alimentaire; construction de maisons en sacs de sable selon une conception moderne inspirée des ressources locales et de techniques architecturales de lutte contre la désertification.

Les participants vivront également la vie des nomades en caravane pendant plusieurs semaines. Ils apprendront à monter les chameaux et parcourront le désert à la recherche de pâturages pour leurs animaux. Le Festival Nomade-Mauritanie 2012 se terminera par une flamboyante course de chameaux à laquelle sont conviés les nomades du monde entier!

La même année, renouant avec les latitudes nordiques, le Festival Nomade redéploiera sa khaïma à Montréal, au Canada. Le public sera invité à des conférences sur le nomadisme, des expositions et des spectacles de musique, de danse et de paroles. Bâtissant sur le succès des éditions montréalaises antérieures et sur la réputation qu’il s’est acquise auprès du public canadien, le Festival proposera cette année une programmation encore plus étoffée qui lui permettra de sensibiliser un auditoire encore plus nombreux et diversifié aux questions nomades ainsi qu’à la culture et aux traditions mauritaniennes.

À suivre…


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Source :
Ould Abdallahi El Atigh