dimanche 13 octobre 2013

APP / Déclaration : Scandale du RAVEL dans le département de Bassiknou

Depuis quelques jours, il est de toute notoriété que l’équipe de la CENI enregistre à la volée des citoyens maliens sur les listes électorales à MBerra, département de Bassiknou. Alliance Populaire Progressiste à déjà relevé et signalé à qui de droit les irrégularités constatées dans ce département. - APP dénonce les fraudes massives en cours - Demande à la CENI d’y mettre fin immédiatement et de sanctionner les responsables sous peine de décrédibiliser gravement sa campagne. Nouakchott le 13 Octobre 2013
Le Bureau Exécutif

Parti El Karama à Nouadhibou : Récépissé définitif

En réponse à votre publication du 10-10-13, relative à la liste du parti El Karama aux élections municipales pour la commune de Nouadhibou, publication reprise du site Mauriweb au service duquel notre cher Cridem semble s’engager (Ce qui est regrettable pour un site relativement bien lu et sans lequel cette 'désinformation' n’aurait pas eu le même échos)... ... nous vous communiquons, jointe en ficher, une copie scannée du récépissé définitif délivré en date du 10/10/13 par la CENI à Nouadhibou confirmant ainsi que notre liste, conduite par l'honorable député Mr El Ghassem Ould Bellali, a rempli avec succès, toutes les conditions légales et réglementaires requises pour cette candidature au scrutin du 23 Novembre 2013 et infirmant les allégations colportées d'intelligibilité de notre candidat. Nous espérons voir votre site publier cette information en exclusivité pour vos lectures .
NB :
nous avons bien tenu compte de votre remarque suggérant l’envoi du droit de réponse à Mauriweb mais, comme dit ci haut, nous considérons que, sans l’échos donné par Cridem, cette ‘’désinformation’’ serait passée inaperçue.
Mohamed Mahmoud Ould Chérif Le mandataire de liste du parti El Karama Tel : 22 05 73 37
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Monsieur Mohamed Mahmoud Ould Chérif
Cridem ne s'engage auprès de personne, si ce n'est auprès de ses lecteurs en faisant une revue de presse sans parti pris. La preuve en est que nous avons aussi publié votre droit de réponse ainsi que le récépissé ci-dessus. Censurer les articles* que vous nous reprochez d'avoir publiés aurait été un "coup de canif" dans le contrat moral que nous avons avec notre lectorat.
Le webmaster de Cridem

Ould Yengé : Au village de Doubouldé: l’eau suspectée de tuer les animaux…

Les populations des villages de Doubouldé et Harach Bouda, situés tous les deux dans la commune de Lahrach, Moughataa de Ould Yengé (Guidimakha), connaissent de sérieux problèmes d’eau. Fondé depuis plus d’une cinquantaine d’années et peuplé de près de 300 familles d’éleveurs et d’agriculteurs, le premier village s’est doté d’un puits traditionnel pour s’approvisionner en eau. Mais, à la grande surprise des populations, l’eau, source de vie est devenue source de désastre pour ce village, particulièrement en période de chaleur. Selon une source digne de foi en provenance de cette localité, les populations ont enregistré des morts inexpliquées de leurs animaux. Si l’eau reste longtemps dans du métal, elle finit par le ronger, affirme notre source. Un ressortissant de la localité, de passage dans la zone n’a pas manqué de recueillir l’eau de ce puits dans un bidon qu’il a transporté à Nouakchott pour que des analyses soient faites au niveau de l’institut national de santé publique, ancienne CNH. Il a pris le soin de mettre en garde les populations contre la consommation de la viande des animaux suspects. Pareille situation nécessite des prélèvements par l’institut de santé publique pour déterminer l’origine des morts suspectes d’animaux du village avant qu’advienne une hécatombe. Les populations refusent de quitter le village parce qu’il occupe une position stratégique pour les principales activités que sont l’agriculture et l’élevage. Face à cette situation, les populations vivant loin d’un poste de santé finissent par fermer l’école du village à cause justement du problème d’eau.
…et à Harach Bouda, elle manque paradoxalement
Un manque d’eau qui affecte fortement le village d’un autre village appelé Harach Bouda situé également dans la même commune. Selon notre source, ce village, peuplé d’environ 200 familles connaît de sérieux problème d’eau alors que paradoxalement, la conduite d’eau qui alimente la ville de Kankossa traverse ce village. Ce village qui réclame, en vain, depuis bien longtemps, son branchement sur la conduite. Prenant leur mal en patience, les populations de ce village continuent comme Doubouldé, à s’approvisionner à partir des puits traditionnels qui tarissent pendant la très longue saison de chaleur, alors qu’un ministre de la République, en tournée dans le Gorgol disait récemment que le gouvernement a réglé tous les problèmes d’eau des populations. Aliou Sow, cadre APP ressortissant de la zone a fortement déploré cette situation, la précarité des populations et l’inertie des autorités administratives et communales informées, depuis bien longtemps. Espérons que tout simplement que les populations mettront à profit les prochaines élections pour donner un carton rouge à leurs élus et hauts cadres.
Source : Le Calame (Mauritanie)

Aqmi aux frontières du Hodh Charghi?

Le site Mauripress a révélé une présence présumée des éléments d’AlQaida au maghreb islamique (Aqmi) à nos frontières Est, du coté de Fassala (Hodh Charghi). Le média citant le témoignage de bergers évoque leur présence à Medellah. Il ya quelques jours cette présence était signalée à Wagadou. Des informations à prendre au sérieux surtout après le dernier attentat de Tombouctou revendiqué par une Aqmi que l’on pensait plutôt à Boukahil, Chaambi ou l’Oubari même si de ces contrées les éléments d’Aqmi peuvent se projeter en moins de 24 heures à nos frontières. Vigilance et méfiance.
Source : Tahalil Hebdo (Mauritanie)

Boghé : Cérémonie de réception du lot d’équipements médicaux fournis par les ressortissants aux USA

Le Hakem mouçaïd de Boghé, M. Mohamed Salem O/ Sellahi, a présidé vendredi, en fin de matinée, au Centre médical, une cérémonie de remise d’un important lot de 10 tonnes d’équipements médicaux fournis par le Greater Boghé Area (GBA), une association qui regroupe les ressortissants de Boghé aux USA. C’est une organisation apolitique, créée en Décembre 2006 dans le but de « réunir toutes les forces de la diaspora boghéenne en Amérique du Nord afin de contribuer au développement socio-économique de la ville et de ses environs à travers l’amélioration des infrastructures de base notamment dans les domaines vitaux de la santé, de l’éducation, de l’approvisionnement en eau ». GBA qui cible en priorité les enfants et les femmes, entend mener une action pérenne contre la pauvreté et pour l’amélioration des conditions de vie des populations. Les chefs de villages, notables, élus et responsables locaux de la santé ont pris part à cette cérémonie ainsi qu’un représentant de GBA en la personne de M. Hamady Aly Sow. Une forte délégation de l’ADM (Fedde Halaybe) comprenant MM. Ngaïdé Ibrahima, Sall Amadou, Samba Ngaïdé, Tall Ibrahima, Sy Abou, Ngaïdé Abderrahmane Hamath, Dialadé Lam et Bâ Mohamed Lemine était également de la partie pour donner à cet évènement toute sa portée. Dans une allocution prononcée à l’occasion, le Maire de la commune, M. Bâ Adama Moussa, a indiqué que « ce précieux don contribuera à n’en pas douter à l’amélioration du plateau technique du Centre médical qui devient ainsi, grâce à notre vaillante diaspora, un centre de référence doté d’équipements adéquats pour une prise en charge efficiente de nos concitoyens ». Pour le maire, ce lot qui est « remis entièrement à la responsabilité du CM et des postes de santé doivent améliorer le dispositif existant » ajoutant « qu’un listing complet a été dressé par le comité communal de santé pour assurer son efficience et sa traçabilité dans une parfaite transparence ». Quant au représentant de GBA, M. Amadou Aliou Sow, il a expliqué le processus qui a conduit à l’obtention du matériel tout en souhaitant « qu’il soit utilisé à bon escient ». Prenant la parole à son tour, M. Ngaïdé Ibrahima, a au nom du Président de l’ADM, exprimé toute sa joie de participer à cet heureux évènement qui montre qu’« une action coordonnée des organisations de la société civile et de la diaspora de notre commune permet de faire des réalisations importantes à condition que les acteurs mettent en avant le seul intérêt général ». Ce lot de 886 colis se compose de chaises roulantes, d’appareils de radiographie, de béquilles, de cannes, de fauteuils, d’un appareil de dialyse, d’appareils de stomatologie, de clichés, du mobilier de bureau, de perfusions, de couches, de seringues, de draps, de lits, de matelas, de projecteurs, de seaux etc. Bref, un tas d’outils indispensables au bon fonctionnement du service sanitaire du centre et des postes de cette commune qui manquent cruellement d’équipements. C’est dans le cadre des contacts menés depuis 2010 avec le Project C.U.R.E, une ONG non-gouvernementale américaine spécialisée dans la récupération des équipements médicaux offerts par des hôpitaux et des compagnies fabriquant ces équipements, que GBA avait commandité une étude prospective des besoins des structures sanitaires de la contrée de Boghé. Elle a envoyé sur ses propres frais ($3.000) un expert-consultant de Project C.U.R.E, M. Jason M. Corley à Boghé, les 25 et 26 août 2011 qui a été reçu et encadré par l’ADM (Association pour le développement en Mauritanie) dans le cadre de son partenariat avec GBA. A l’issue de sa mission, l’expert a remis un rapport détaillé des besoins de la commune en matière d’équipements sanitaires et l’ONG C.U.R.E a établi un inventaire du matériel (dont elle a estimé le coût à 300 000 $) qui a été minutieusement étudiée par GBA en collaboration avec une commission technique composée de l’ADM et les médecins de l’équipe mobile de Boghé. GBA a assuré les frais administratifs liés à l’emballage du container et de son transport jusqu’au port de Nouakchott soit un montant global de 20 150 dollars. Quant à l’ADM, elle a pris en charge le transport du matériel du port de Nouakchott à Boghé soit un montant de 950 000 UM. Depuis son arrivée le 5 septembre, ce matériel avait été stocké dans 3 magasins loués pour la circonstance sur la charge de la commune, non loin du CM de Boghé. Ce don, le plus important en nature fourni par nos ressortissants aux USA en dehors de toutes considérations politiques, mérite d’être encouragé et soutenu par les pouvoirs publics, les élus locaux, les acteurs de la société civile parce qu’il est censé redonner un souffle nouveau à nos structures sanitaires qui, en plus du déficit de personnels qualifiés, sont confrontées à un manque cruel d’équipements. D’où les nombreuses évacuations vers les hôpitaux d’Aleg, de Kaédi, de Boutilimit et de Nouakchott. Beaucoup perdent la vie avant même d’arriver à destination car leurs cas nécessitaient une intervention rapide avec des équipements optimaux. Le Réseau des correspondants de presse du Brakna
Source : Dia Abdoulaye

L’UFP retire les listes déposées à Aoujeft et Elmedah

Selon des informations de dernières minutes la section d’Aoujeft du parti UFP vient de retirer les listes déposées la semaine dernière à Aoujeft et Elmadah dans le cadre des élections municipales à venir. Cette décision fait suite à la dernière décision du bureau exécutif de l’UFP d’annuler la décision du comité permanent de participer aux prochaines élections et décidant d’une façon définitive le rendez-vous du 23 novembre prochain.
Source : Taqadoumy (Mauritanie)

Mauritanie-Brakna: Plusieurs agents du RAVEL licenciés suite à une grève

L'Office National des Statistiques (ONS) au Brakna a annoncé, vendredi, le licenciement de plusieurs agents du Recensement Administratif à Vocation Electorale (RAVEL) après qu'ils sont entré en grève contre le licenciement "abusif" de leur consœur à la commune de Sangrava dans la même wilaya. L'agent recenseur en question a été licencié ayant refusé la demande de l'un des ses directeurs qui l'a demandé d'enregistrer des pièces d'identité dont les propriétaires n'étaient pas sur place. Le directeur de l'ONS au Brakna Mohamed Mahmoud Ould Zamel, lors d'un entretien téléphonique avec Alakhbar, a nié le fait d'avoir licencié abusivement aucun des employés susmentionnés. Mais plutôt, dit-il, "l'office n'a pas voulu leurs renouveler les contrats lors du dernier prolongement du RAVEL, parce que des plaintes venues de plusieurs localités ont été introduites contre eux.
Source : Alakhbar (Mauritanie)