dimanche 30 juin 2013

Visite du président Aziz à Rosso: Le maire dément d’être privé de parole

Le maire de Rosso (Sud Mauritanie), Yerim Fassa, a apporté un « démenti formel » sur l’article de Alakhbar intitulé « Rosso: le maire privé de parole à cause de son différend avec le beau frère de Ould Abdel Aziz ». Le maire, qui a qualifié cette information d’ « erronée », a précisé que seul trois discours sont prévus à Tékane, à (Bougamoune) R’Kiz et Keur Macène. « Le programme de la visite du Président de la République ne prévoit pas d’escale à Rosso (accueil populaire) d’ailleurs comme l’illustre les faits aucune tribune n’a été dressée à Rosso », lit-on dans le texte du démenti. Le texte ajoute : « A l’occasion de la visite du Président une réunion du conseil municipal c’est tenue à la demande du maire à son domicile à cause de l’occupation par le BASEP de l’hôtel de ville, en vue d’informer les conseillers sur le programme de la visite et également les démarches entreprises pour trouver une audience du conseil municipal qui souhaite exposé les problèmes de la commune au chef de l’état ». A noter que Alakhbar maintient que le discours traditionnel du maire de la ville de Rosso, le professeur Fassa Yerim, a été exclu du programme de la visite du président mauritanien, Mohamed Ould Abdel, à la ville pour des raisons liées à son différend avec le gérant du bac de Rosso, Cheikh Nema Ould Malaainine, un frère de la première dame, Tekeiber Mint Nour. Selon la source qui a confié l'information à Alakhbar, des pressions du sénateur de Rosso, Mohessen Ould El Haj et d'autres responsables locaux ont été derrière cette exclusion. Un conflit se dessine depuis quelques moins entre le maire de Rosso et le responsable de la société gérante du Bac de Rosso, après le refus de ce dernier de payer les recettes dues à la commune.
Source : Alakhbar (Mauritanie)

Arrestation de deux personnes en possession d'une importante quantité de drogue à Sélibaby

Dimanche 30 juin, vers 10 heures, la police a arrêté deux personnes dans la gare routière de Sélibaby, au Guidimakha au sud du pays en possession d'une mallette remplie de drogue, a-t-on appris de sources informées. Ces deux personnes s'apprêtaient à se rendre à Nouakchott pour écouler leur marchandise , ajoutent les mêmes sources. Selon une source sécuritaire contactée par l'Agence Tawary d'information, il semblerait que ces deux hommes viennent du Sénégal ou du Mali. Rappelons que depuis quelques mois, les services sécuritaires et les éléments du bureau de la lutte contre la drogue mène une vaste campagne de lutte contre les dealers et les narcotrafiquants.
Source : Tawary (Mauritanie)

samedi 29 juin 2013

Diaguily, sur les rives du fleuve Sénégal : le foncier qui divise [Audio]

Depuis, 2008, la localité de Diaguily (Sud de la Mauritanie au bord du fleuve Sénégal), vit au rythme d’un litige pour le contrôle de terres de cultures. Le conflit a éclaté au grand jour quand une famille autochtone, les Yatéra, a réclamé 34 hectares qu’elle avait gracieusement mis à la disposition d’une coopérative villageoise en usufruit. Elle s’est alors vu opposer le refus des exploitants qui y voient les stigmates des pesanteurs sociales : les détenteurs des droits coutumiers sont dits « nobles » et le gérant de la coopérative « ancien esclave ». Suivant le camp considéré, le litige est présenté tour à tour comme un différend entre féodaux et descendants d’esclaves ou comme la marque de la cupidité d’un groupe qui arrime un problème de propriété à celui de l’esclavage en milieu Soninké. C’est la première position que retient le chef de la communauté de Diaguily à Paris. PourSoumaré Bakary dit Cheikhou, il n’y a aucun problème entre descendants d’esclaves et le reste de la communauté. Il pointe du doigt un groupuscule issu de la même famille qui veut, selon sa version, s’accaparer de façon illégale et privative des terres qui ont été mises à la disposition de toute la communauté villageoise sans exclusive, par la famille Yatéra. M. Soumaré s’est montré très remonté contre madame la Maire de Diaguily Coumba Moussa Diabira, qu’il accuse de vouloir utiliser ce problème à des fins purement politiciennes. Le maire Coumba Moussa Diabiran’est pas le seul membre de la chefferie traditionnelle à se trouver dans le camp réputé victime de discrimination : d’autres membres de la « bourgeoisie locale, dont l’ancien ministre et actuel ambassadeur Bakari Diabira, figure politique d’envergure nationale dont Diaguily est le fief, se trouvent dans la même situation. Kassataya a rencontré le chef de la communauté Diaguiloise de Paris. Cet entretien audio a été l’occasion d’aborder le problème de cimetières distincts en fonction de la classe sociale et à travers lui, la question des inégalités en milieu soninké. Selon M. Soumaré, le groupe qui veut s’accaparer les terres des Yatéra, a trouvé comme subterfuge de dire qu’ils sont lésés en raison de leur statut d’anciens esclaves. Cependant, ajoute-t-il, ces derniers ne peuvent se prévaloir de ces terres ni par le droit coutumier ni par le droit moderne. Selon la version de M. Soumaré Bakary dit Cheikhou, ces terres étaient aménagées pour toutes les femmes de Diaguily tous statuts confondus. Un homme, M. Lassana Coulibalyavait été désigné pour les accompagner notamment sur l’aspect technique avec le concours de laSONADER (Société Nationale de Développement Rural). M. Soumaré rappelle qu’avant M. Coulibaly, il y a eu deux autres personnes avec qui il n’y a pas eu de problèmes. Selon lui,Lassana Coulibaly n’a pas respecté le protocole, en cultivant dans ce périmètre des cultures autres que celles convenues au moment de la mise à disposition des terres. Cliquer sur le lien pour écouter: http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=1PjTv8eQQsU Saisie, la justice a rendu un premier jugement favorable à la famille Yatéra. Après l’appel introduit par la partie adverse, une commission a été mise en place en vue de trouver une solution à l’amiable. De même, il y a quelques jours, une mission conduite par M. Balla Touré chargé de la communication de l’IRA (organisation anti esclavagiste) s’est rendue dans la commune deDiaguily pour s’informer de la situation. Joint au téléphone par Kassataya, M. Touré confie que son rapport sera bientôt mis à la disposition de la presse. Il ajoute que « … la question de la coopérative de Kollé Mukké est un problème que l’Etat doit solutionner… Khollé Mukké par le truchement de l’aide de la SONADER est devenu une concession rurale et dans ce sens il faudrait la considérer comme une terre domaniale à la disposition de toute la communauté de Diaguily sans exclusive… » Le problème foncier est rendu complexe en Mauritanie par la superposition de trois sources de droits : le droit coutumier, le droit islamique et le droit positif. Des conflits surgissent régulièrement entre d’un côté, les propriétaires terriens (généralement les fondateurs du village et les autochtones logés aux plus hautes sphères de la hiérarchie sociale) et les allochtones (qu’ils soient nobles ou non) et les catégories inférieures, de l’autre ; à savoir les artisans, les anciens esclaves... Ces conflits ne sont toutefois pas propres à la Mauritanie. Ils ont connu de nouveaux développements avec la pression exercée sur les ressources et l’accélération de la compétition pour leur contrôle. Dans un rapport intitulé Points chauds liés au foncier et aux droits sur l’eau, la FAO souligne que « La disponibilité moyenne d’une ressource peut cacher des inégalités très importantes entre les personnes. Un petit nombre de personnes ou d’entreprises peuvent parfois contrôler une grande proportion des terres agricoles, alors que la majorité des producteurs ont accès à très peu de terres. A l’échelle mondiale, nous pouvons distinguer de grands ensembles qui donnent des indications sur l’existence potentielle de points chauds liés à l’accès à la terre. Mais coexistent souvent au sein d’un même pays des situations très contrastées, avec la juxtaposition de dynamiques distinctes (voir par exemple le site des données de base sur la tenure foncière, http://www.landportal.info). (FAO, Paris, 2011). En Mauritanie, la timidité des mesures prises par l’Etat –qu’il s’agisse de la loi du 2 août 1960 ou de la réforme foncière de 1983- n’a pas permis d’ouvrir la voie à une nécessaire redistribution des terres sur des bases plus conformes aux réalités d’aujourd’hui : « En disposant que “sont confirmés les droits fonciers coutumiers comportant une emprise évidente et permanente sur le sol”, la loi du 2 août 1960 en son article 3 aménage aux forces traditionnelles un dispositif qui leur permettra de garder la mainmise sur la gestion de l’espace. Les seules espaces encore propriétés de l’État sont les terres mortes, celles qui sont “vacantes et sans maîtres”. Il s’agit généralement de terres lointaines et difficilement exploitables, par conséquent peu porteuses d’intérêt. Ce cadre juridique laissait courir une situation caractérisée par un système dans lequel les terres utiles et les plus convoitées étaient détenues suivant des logiques privées ou communautaires déterminées selon le lignage. » (Abdoulaye Diagana « Le développement local en Mauritanie », Hommes & Migrations 4/2010 (n° 1286-1287), p. 246-256. URL : http://www.cairn.info/revue-hommes-et-migrations-2010-4-page-246.htm.) Près de trente ans après l’ordonnance sur la réforme foncière, le problème demeure.
Abdoulaye Diagana et Saidou Diallo dit Thierno pour www.kassataya.com> Source : Kassataya (France)

Aziz au Trarza : Honorer ses engagements et satisfaire les attentes des pauvres

Le Président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz visite demain dimanche la wilaya du Trarza, pour répondre à la promesse déjà tenue l’année dernière devant les habitants de cette wilaya au cours d’une précédente visite effectuée à Rosso. La nouvelle visite diffère de celles qui l’ont précédée dans de nombreux points. En effet, il s’agit d’une visite de travail et d’information des conditions des populations de la wilaya comme elle concerne des zones que le Président de la République n’avait pas visitées auparavant, où il devra inaugurer certaines installations ainsi que des projets vitaux. Elle intervient également dans un contexte où la Mauritanie passe par une période de grands chantiers, puisqu’entre les deux visites, de nombreuses réalisations ont été faites par le Président de la République, artisan de l’essor moderne et chef de la première révolution riche dans le monde arabe. La visite comporte également, en plus du changement de la feuille de route de la scène politique, des révolutions industrielle, agricole, routière et sanitaire. Il ne s’agit pas ici d’évoquer le projet de l’aéroport international de Nouakchott, du lancement de la Zone Franche de Nouadhibou, de l’électrification de la capitale, de la construction d’un complexe universitaire moderne, de la création de la ville de Chami ou de l’augmentation décuplée du capital de la SNIM qui sont des réalisations vivantes dont certaines sont achevées et d’autres en cours de finition. Dans la wilaya du Trarza, le Président de la République fera incontestablement l’objet d’un accueil chaleureux et populaire digne des nombreux acquis qu’il a fait pour ce pays notamment pour les projets et les réalisations faits pour le Trarza. Seuls les voix qui s’écartent de cette bonne marche seront absentes de cette visite et ne s y reconnaîtront pas, puisque leurs auteurs sont incapables d’accompagner le processus et ne veulent pas voir le soleil en plein jour. Ils ont échoué quand l’arbitrage a été laissé à l’appréciation du peuple, quand ils ont misé sur la grogne de la rue, où ils ont été trahis par cette même rue. Ceux là n’ont rien entre les mains à offrir puisqu’ils ne peuvent donner que ce qu’ils n’ont pas. Peut-être qu’ils demeureront dans cet état pendant des décennies, que la caravane de l’Etat, du peuple et des réalisations ira à pas de géant confiante d’avoir garanti un présent et un avenir radieux pour le pays.
Source : Le Véridique (Mauritanie)

Tidjikja : Tentative de régler à l’amiable l’affaire « de la fille droguée et violée ».

L’affaire de « la fille droguée et violée à Tidjikja » qui défraie la chronique depuis un certain temps , vient de prendre une nouvelle tournure avec une tentative de règlement à l’amiable. A la suite, en effet, de plusieurs réunions « marathon » organisées cette semaine, entre les familles de la fille et du garçon inculpé, il semble que l’unique solution pour mettre fin à ce scandale social reste le mariage légal entre les deux jeunes. A cette fin, une commission composée de quatre personnes (deux de la famille du garçon et deux de celle de la fille) a été chargée d’entreprendre les démarches nécessaires. Par ailleurs , les avocats Mohameden O.Cheddou et Abdel Kader o. Mohamed Said se sont rendus à Tidjikja pour informer le procureur de la république prés du tribunal du Tagant de leur décision de défendre le jeune homme inculpé dans l’affaire , actuellement détenu en prison à Tidjikja. D’ailleurs ils ont demandé pour ce dernier une liberté provisoire que le procureur a déclinée arguant l’état de santé instable de la fille plaignante.
Source : Mourassiloun.com

Bababé : Cérémonie de remise d’attestations au profit de 16 jeunes filles à l’auberge

C’est ce jeudi 27 juin vers 12h30 min à l’auberge que l’A.E.J.T (association des enfants et jeunes travailleurs) a organisé une grande cérémonie de remise d’attestations en coiffure, au profit de 16 enfants et jeunes travailleurs. En effet, ont pris part à la cérémonie, outre des autorités communales on pouvait noter la présence de la représentante de Save the Children Stéphanie, Dia Oumar coordonateur National de l’A.E.J.T accompagnés de leurs collaborateurs. Dés l’ouverture des festivités, Dème Aliou qui se chargera à édifier l’assistance sur le chronogramme de la cérémonie. Ce sera ensuite autour du coordonateur de l’A.E.J.T (Antenne locale de Bababé) Sall Aliou Elhadj dit kawoye de prendre la parole, pour remercier les jeunes garçons et les jeunes filles sans oublier les enfants d’honorer la cérémonie par leur présence ,car le projet comme son nom l’indique vise essentiellement des enfants déperdition scolaire ou n’ayant pas les moyens de fréquenter l’école. Il dira aussi que le projet (A.E.J.T) est présent dans 5 villes de Mauritanie à savoir Nouakchott, Nouadhibou ,Kaédi, Bababé et Boghé. Mr Sall dira que depuis une année le projet a suscité un grand engouement de la part des populations, eu égard aux résultats déjà perceptibles sur le terrain. « Ainsi dix enfants et six jeunes issus des quartiers de garage, Diakka, Leegal Thierno et Hirto ont béneficié d’une formation en coiffure pendant Six mois. Elles bénéficieront les (récipiendaires) puisqu’il ne s’agit qu’essentiellement de filles de l’appui du projet pour démarrer des activités génératrices de revenu » dira-t-il en substance. Après le discours du coordinateur local ce sera le tour du représentant des groupes bases de faire un témoignage sur l’apport de l’O.N.G depuis son installation à Bababé. Ce sera ensuite, ly Amadou Bocar Adjoint au maire de Bababé de féliciter le coordonateur de l’A.E.J.T à Bababé sans lui cette céremonie ne pouvait pas avoir lieu. Non sans rappeler que beaucoup d’O.N.G nationales et internationales interviennent dans le département mais n’ont jamais orienté leur programme dans la formation professionnelle qui demeure la seule issue pour sortir notre jeunesse de la pauvreté. Stéphanie la coordinatrice de Save the Children fera un bref discours où elle félicitera son partenaire local à savoir le coordinateur Kawoye pour le travail abattu et encouragera les récipiendaires à faire bon usage de leur diplôme. Elle n’oubliera pas de remercier l’assistance composé des parents des enfants et d’autres invités.la dernière étape de la cérémonie coïncide avec la remise des attestions dans une ambiance très festive et mêlée d’émotion. Rappelons enfin que l’A.E.J.T qui s’investis essentiellement dans la formation professionnelle a également réalisé à son actif des cours d’alphabétisation en Français et en arabe ayant profité à 24 jeunes. En collaboration avec l’inspection départementale ,42 enfants en classes de sixième ont pu bénéficier de 2h de cours par semaine pendant six mois en français toujours dans ce même registre.
Armiya Dém

vendredi 28 juin 2013

Le Trarza s'apprête à accueillir le président Ould Abdel Aziz

Le président mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz se rendra au Trarza, le dimanche 30 juin, dans le cadre d'une visite de trois jours, a-t-on appris de sources gouvernementales. Cette visite touchera les Moughataa de Rosso, de Médredra , de R'Kiz et de Keur-Macène, ajoutent les mêmes sources. Devant les populations du Trarza, le président prononcera un discours, dans lequel, il passera en revue la situation politique, économique et sociale du pays. Dans les locaux de la Wilaya, le président Ould Abdel Aziz, présidera une réunion avec les autorités administratives de la région et les ministres de l'intérieur, du développement rural, des affaires économiques, de l'habitat, de l'équipement, de l'éducation nationale, de l'hydraulique, de la santé et du commerce pour étudier les voies et moyens pour développer le Trarza et améliorer les conditions de vie des populations, précise une source informée.
Source : Tawary (Mauritanie)

Visite présidentielle : quand le Wali refuse l'autorité de Ould Cheikh Sidiya !

Le Wali de Nouadhibou n'aime pas la franchise !
Apparemment, le projet de la capitale économique comme cité phare de l’économie mauritanienne n’intéresse pas son Wali actuel, monsieur Ahmed Youra qui a fait savoir au président de la nouvelle autorité de la zone franche , que l’autorité suprême du Wali ne se partage pas ! Ould Cheikh Siya vient de l’apprendre à ses dépends d'ailleurs , durant les différends déplacements du président à Nouadhibou pour inaugurer la zone franche, et les nouveaux projets de la SNIM ! Le Wali ne voulait pas que monsieur Ismaël et ses hommes , soient en première ligne pour accompagner le président durant ses autres déplacements , parce qu’ils n’ ont d’autorité que sur eux-mêmes , sur le port commercial , les zones exonérées , les usines , les magasins et entrepôts , les bureaux des douanes concernés et les touristes , s’il y a en a ! Quant à l’agenda du président et le programme de la visite, ce n’est pas leur problème … C’est le premier conflit de compétence entre l’autorité du Wali et celle du président de l’autorité de la zone franche ! A noter que le Wali de Nouadhibou est très gonflé parce qu’en plus des vivres qu’il vient de recevoir du CSA et qu’il n’a pas distribué aux populations, il mange chaque matin toute la viande d’un chamelon cuit au four, et comme diner il prend un cocktail de crevettes sautées, mélangées aux vivres destinés aux populations de Tarhil Leareyguib ! Les remontrances du Wali gourmand, s’adressent particulièrement à Sidi Ould Domane, le nouveau monsieur "Guichet unique" , perturbateur de la ville qui considère les quartiers populaires de Nouadhibou, comme des duty free Shops , où on peut se servir durant ses randonnées du soir à la recherche de compagnies agréables ! Ahmed Baba Mauritanid , Ente Vem ! Zeiny le sympa doit également savoir que Nouadhibou n' est pas une Wilaya au féminin comme Aleg ! Mais en attendant , il peut jouer au menteur à Kraa Boudou et Moutevejiratt comme points francs à étudier ...
Publié par Lakhbaar Tebgue Vi Dar

jeudi 27 juin 2013

Propriétaires du titre foncier n°12 du cercle du Gorgol à Nouakchott

> A son Excellence, Monsieur le Président de République Islamique de Mauritanie Monsieur le Président, Nous avons l’honneur par la présente de porter à votre connaissance que nous faisons l’objet de menaces et de harcèlements de la part du procureur de la wilaya du Gorgol. Cette autorité judiciaire veut coûter que coûte nous déposséder de notre titre foncier n°12 du cercle du Gorgol qui nous a été attribué au terme de la liquidation de la société dite SOKIMET « Société Kaédienne d’Importation, d’Exportation et de Transport » constituée depuis 1965. La direction générale de cette société, dès sa création a été confiée au feu Hadiya Kaou Diagana (HKD). Dans les années 80, elle fut confiée au feu Moussa Wague. Ce dernier étant décédé en 2002, il est de notoriété publique de faire un état des lieux. Mais, sa famille a catégoriquement refusé, elle a prôné la dissolution de la société. Pour cela, elle a porté l’affaire devant les tribunaux. Le tribunal de Kaédi, compétent en la matière, n’a pas cherché à comprendre les tenants et les aboutissants du mal entendu, il s’est attaqué au jugement de l’affaire à la faveur du plaignant. C’est ainsi que dès les premières audiences, il s’est prononcé pour la dissolution et la mise en liquidation de la société et ce corroboré par arrêté N°1 du 11 Octobre 2005. En suite par procès-verbal en date du 15 Aout 2006, il a procédé au partage des immobiliers entre différents groupes après avoir vendu le principal immeuble situé au marché de la capitale à Nouakchott. Toutefois il y a lieu de signaler que le contentieux est toujours devant la cour suprême et à ce jour il n’a pas été vidé. Ce partage nous a attribué le titre foncier N°12 du cercle du Gorgol (ex-locaux de la CFAO Compagnie Française de l’Afrique l’Ouest) sis à Kaédi. Le 30/04/2013, le procureur de la République à Nouakchott, sur demande du procureur du tribunal de Kaédi nous a demandé de lui remettre ce titre pour l’envoyer à Kaédi. Nous lui avons expliqué que le titre foncier N°981 cercle du Trarza a été remis au groupe N°1 héritiers de Moussa Wagué et le titre foncier N°1834 cercle du Gorgol à un autre groupe d’actionnaires moins porteurs. Chacun de ces deux groupes a vendu le sien comme bon lui semble, depuis 2006. En ce qui nous concerne, notre titre nous a été remis seulement le 04/04/2013 par le greffier en charge de la liquidation, contre récépissé en bonne et due forme. Donc pendant 7 ans, ce titre est resté entre leurs mains pour une cause jusqu’ici inconnue. Ce faisant nous ne remettrons le nôtre que lorsque les autres titres seront aussi récupérés. Sur ce, il nous a laissé partir. A notre grand étonnement le tribunal de Kaédi a communiqué un avis de vente paru dans le journal Horizon N°6015 du Mardi 28 mai 2013 mettant en vente notre immeuble ; le comble du paradoxe. Il sied que seuls les propriétaires ont la faculté de vendre ou de céder leur propriété. Excellence, Monsieur le Président, c’est la somme des explications données plus haut que nous faisons appelle à votre diligence en tant que premier magistrat de cette République, afin que notre quiétude soit sauve. Pour le bonheur des héritiers que vous allez constater ci-dessous et le restant des actionnaires d’alors qui ne sont plus que quatre. Voilà pourquoi, Monsieur le président nous osons compter sur vous pour un dénouement heureux. Excellence, Monsieur le Président de la République, veuillez accepter l’expression de nos salutations les meilleures. Les Signataires, Nouakchott, le 15-06-2013
- Héritiers de Hadya Kaou Diagana - Héritiers de Mokhtar Toure - Tidiane Kaou Diagana - Héritiers de Mohamadou Banna Semega - Héritiers d’Ousmane Ndiadé - Ousmane Tandia - Kiya N’diaye - Younous Ibrahima Diagana - Héritiers de Fodié Koita - Héritiers de Youssouf Diagana - Héritiers de El Hadj Bakary Semega - Tel : 46 45 89 71 / 46 40 04 12 / 46 41 80 19 - Adresse : Nouakchott Tvz ZRA 616
Source : B Diagana

Rosso : Visite du Chef de l’état ; on cherche délibérément à le tromper.

Je ne sais pas exactement combien coûtent au contribuable les tournées du président de la république dans les villes de l’intérieur du pays, mais au vu des changements notoires que Rosso est en train de vivre quelques jours avant son passage, les populations de la capitale de la Chemama souhaite que le chef de l’état passage le plus souvent des moments en leur compagnie. Tout le monde le sait, c’est raconter une évidence que de dire que Rosso est une ville sale. Les graves problèmes de santé publique qui gangrènent la vie de ses habitants sont de notoriété .Malgré tout cela, ici, personne à quel niveau de responsabilité qu’il se situe, n’a jamais entrepris quelque chose pour écourter ou au moins atténuer les souffrances de leurs concitoyens. Que les gens meurent ou souffrent, ce n’est l’affaire de personne car nos responsables locaux ont d’autres chats à fouetter et n’ont cure des mille et une lamentations de ces martyres à voix inaudibles. Malheureusement ou heureusement que le chef de l’état s’apprête à séjourner entre nos murs que ces décideurs se souviennent rapidement qu’ils ont des responsabilités. A cette occasion rien n’est ménagé pour donner à la cité le visage qui lui sied ; les ordures sont en train d’être ramassées, une large campagne de désinfection des caniveaux a été lancé depuis quelques jours et le bitumage des artères principales de la ville qui depuis qu’il a vu le jour a toujours été malmené par les populations et en train de connaître un meilleur sort. Malgré tout, cette importante réalisation ne vivra pas longtemps, parce que même avant d’être officiellement réceptionné, elle s’est cruellement détériorée. Certes la qualité des travaux laisse à désirer, mais aussi il y a la responsabilité des citoyens caractérisée par un manque civisme ambiant doublé du laxisme apparent des autorités locales. Tout un chacun de passage dans la capitale du Trarza peut facilement constater que les nouvelles rues si elles ne sont pas illégalement occupées par des marchands, servent de déversoirs d’ordures ménagères et d’eaux usées. Apparemment, comme Monsieur le Président de la république est le seul qui donne l’impression de vouloir bien faire et a conscience des responsabilités qui sont les siennes, il doit profiter de son séjour à Rosso pour inciter les décideurs locaux à assumer pleinement leur responsabilités vis-à-vis de leurs administrés ou tout simplement sévir afin d’impulser une nouvelle façon de faire. Sinon dans quelques mois l’état aura fort à faire, elle sera face à un dilemme cornélien entre dépenser des sommes faramineuses pour la santé d’une population non productive parce que malade ou assister à la fin progressive de toute une cité parce que ses populations mourront les unes après les autres à cause des maladies liées à l’insalubrité comme la peste l’avait fait en France précisément à Paris. Qu’Allah nous en préserve. Amen.
Brahim

Initiative pour la Résurgence du mouvement Abolitionniste (IRA) : Communiqué.

Une délégation de IRA-Mauritanie s’est rendu à Magta Lahjar dans le centre du pays pour venir en aide à Taher ould Ely et sa communauté, victimes d’expropriation foncière à caractère esclavagiste, de la part de leur ex-maitre, un arabo-berbère issu des féodalités tribales locales Abd Dayem ould Hagi, appuyé, comme il est de mise, en Mauritanie, par les autorités administratives, judiciaires et sécuritaires. Soutenus par IRA-Mauritanie, les travailleurs de la terre, membres de la communauté hratin de Gweiwa 1(400 km à l’Est de Nouakchott), détiennent un arrêté du ministère de l’intérieur leur octroyant ces périmètres, mais comme toutes les féodalités esclavagistes, Abd Dayem ould Hagi, qui est au dessus des lois, appuyé en cela par le Hakem (prefet) de Magta Lahjar et le commissaire de police de la même ville... ... Nini ould Khattri, refuse toute mise en valeur de ces terres s’appuyant en cela sur le prétexte inscrit en lettre d’or, dans le code d’esclavage mauritanien et qui stipule que le bien ou le labeur de l’esclave appartient à son maître. Le commissaire de police poussant son zèle jusqu’à frapper, réprimer avec violence les militants qui tenaient un sit-in pacifique mais aussi déchirer et découper en morceau et avec un couteau les banderoles de IRA-Mauritanie. Les militantes victimes de la répression sont :
-Cheikh ould Vall -Samba Diagana -Cheikhna ould Mahmoud -Ahmed ould Diop dit Didi -Tahar
IRA-Mauritanie dénonce :
-Cette connivence entre les autorités administratives, judiciaires et sécuritaires avec les segments féodo-esclavagistes arabo-berbères, qui vise à exproprier la communautés Hratin(esclaves et anciens esclaves de Mauritanie) ; - la transgression des lois nationales modernes mauritaniennes et les lois internationales par les autorités mauritaniennes et leur propension à vouloir accéder aux aspirations des groupes arabo-berbères féodalo-esclavagistes et l’application systématiques par les juges, les officiers de police judiciaires et les administrateurs du commandement du code d’esclavage mauritanien à tous les litiges opposants les tenants de l’esclavagisme à ceux qui en sont victimes ; -IRA-Mauritanie soutiendra indéfectiblement les couches Hratin décidées à se dresser contre l’esclavage agricole, domestique et les discriminations trouvant leurs racines dans l’esclavage ; IRA réitère sa persistance dans la résistance pacifique contre la violence que l’Etat mauritanien développe de plus en plus face aux revendications pacifiques grandissantes des communautés opprimées et au militantisme déterminé mais responsable de notre organisation.
Nouakchott le 26 Juin 2013 La commission de communication IRA-Mauritanie

mercredi 26 juin 2013

3000 um pour applaudir dix minutes le président à l’aéroport

Je me trouvais à Tarhil (Nouadhibou), avant hier [le dimanche 23 juin 2013], avec un groupe d’amis quand un jeune nous a accostés pour nous demander de nous rendre en bus lundi 24 juin 2013 à l’aéroport de Nouadhibou pour applaudir le président Mohamed ould Abdel Aziz à son arrivée, en échange d’une rémunération. Au cours de cette conversation, le jeune ne nous a pas indiqué le montant de la rémunération. Mais des amis qui ont eu les mêmes sollicitations m’ont dit qu’on leur a proposé entre 3000 et 5000 um. Le rabatteur nous a proposé de nous inscrire sur une liste où figurent les participants à ce déplacement. Il nous a aussi donné rendez-vous le lundi 24 juin 2013 à 8 heures du matin dans un parc public près de l’aéroport pour nous briefer sur le déroulé du rassemblement. Il s’agit malheureusement d’une pratique courante. À chaque fois que le président s’apprête à visiter Nouadhibou, ses soutiens se déploient dans les quartiers populaires, pour demander aux gens ce genre de "services". Néanmoins, ils ne visent pas uniquement mes concitoyens mais s’adressent aussi aux ressortissants d’autres pays africains, comme les sénégalais, les maliens, etc. Malheureusement, ça fonctionne et nombreux sont ceux qui acceptent d’aller accueillir le chef d’Etat dans ces conditions. 3000 um pour applaudir dix minutes à l’aéroport, c’est quand même très tentant. Je pense que l’argent qui sert à payer le comité d’accueil est acheminé par des personnalités de la majorité présidentielle qui se rendent à Nouadhibou quelques jours avant la visite du président afin de recruter des jeunes soutiens qui, à leur tour, embauchent ces supporters d’un jour. Ce fait n'est pas nouveau, On l’a toujours pratiqué à Nouadhibou. Malheureusement à Nouadhibou, à l’approche de chaque visite présidentielle, des réseaux s’activent pour recruter des supporters. Ce procédé sert réellement à fabriquer des images destinées à la propagande locale, pour dire que le président reste très populaire, triste mentalité.
Source : Actualités Mauritanie.blog

mardi 25 juin 2013

Lettre ouverte au Président de la république

J’ai l’honneur de vous adresser cette lettre ouverte pour vous exprimer d’abord, au nom des anciens militaires, notre profonde gratitude et nos sincères remerciements pour les multiples réparations dont nous avons bénéficié. En effet, depuis plus de deux décennies, les militaires radiés durant les années de braise attendaient avec impatience le règlement de leurs problèmes. C’est aujourd’hui chose faite sous votre sage et clairvoyante direction. Tous les militaires radiés et leurs veuves ont pu recouvrer leurs droits à une pension de retraite et ont bénéficié de terrains. Nous nous dresserons comme un seul homme pour barrer le chemin à tous ceux qui réclament votre départ parce que vous êtes entrain de mener le pays vers le droit chemin, celui de la réconciliation nationale et du changement constructif. Ceux qui réclament votre départ ne sont que de petits mécontents qui ont profité de la période de la gabegie pour sucer le sang des mauritaniens et s’enrichir sur leurs dos. Ils ne peuvent pas supporter le fait que vus ayez mis fin à leurs privilèges par la lutte sans merci que vous menez contre les détournements de deniers publics et la corruption. Votre statut de président des pauvres ne cesse de se confirmer à travers à des actions concrètes en direction des couches les plus vulnérables telles que l’Opération Emel, la vente de poissons à bas prix. Parallèlement à cela, une politique de développement a été initiée sous votre sage direction comme en témoignent l’extension des réseaux d’électrification des villes et d’adduction d’eau, le bitumage des routes, la construction d’hôpitaux et d’écoles. Toutes ces réalisations concrètes militent en faveur de votre maintien au pouvoir. Nous sommes disposés à soutenir vos actions et à barrer la route à tous ceux qui seraient tentés de se dresser contre votre vous. Monsieur le Président de la République, Sur un autre chapitre, je voudrais attirer votre attention sur les actions concrètes qui s’inscrivent en droite ligne dans votre politique de changement constructif que mène depuis plusieurs années, M. Abdallahi Sarr, cadre à la Direction des domaines et leader politique local de l’UPR. En effet, cet homme a une vision pour le devenir du terroir et pour le développement communautaire local. Pour illustrer parfaitement ces propos, il a initié plusieurs projets dont l’Auberge Abdoulaye Mouna qui a crée de nombreux emplois contribuant ainsi à la réduction de la pauvreté. En outre, son esprit rassembleur ne fait l’ombre d’un doute car sous son initiative, toutes les franges de la société, sans distinction de races, d’ethnies, de castes et de familles participent à l’œuvre d’implantation et d’enracinement de l’Union Pour la République dans la mouqata’a de Boghé. En effet, il est le seul leader qui draine autour de lui des militants appartenant à divers horizons contribuant ainsi à votre grande entreprise de consolidation de notre unité nationale et de notre cohésion sociale. M. Sarr est aussi incontestablement le leader le plus proche des communautés comme l’illustrent ses visites périodiques sur le terrain pour s’enquérir des problèmes des populations afin d’y apporter des solutions urgentes et adéquates. Sachez enfin, M. le Président de la République, que M. Sarr est le seul leader qui inspire la confiance des populations de Boghé pour ses efforts inlassables pour l’amélioration de leurs conditions de vie. Veuillez recevoir l’expression de mes sentiments distingués et ma très haute considération.
Sow Oumar Ex-militaire, chauffeur de l’ambulance du CM de Boghé Tel 46 40 39 79 / 47 96 75 14
Source : Baba Demba

Boghé : Un homme retrouvé mort noyé

Le corps sans vie d’un homme de 30 ans a été retrouvé ce mardi matin, flottant sur le fleuve au niveau de Bakaw à 2 km et ½ environ à l’ouest de Boghé. Les pêcheurs locaux ont aussitôt attaché le cadavre avant d’alerter les autorités administratives et le service de la protection civile. Le Hakem mouçaïd, le maire adjoint, le commissaire de police de Boghé et les parents de la victime se sont précipités sur les lieux. Il en est de même pour les éléments du groupement des sapeurs pompiers composés de l’adjudant-chef Hassane Ndiaye et du Brigadier Komé Abdoulaye et leurs collaborateurs, à bord de l’ambulance de la commune mise à leur disposition, ont extrait le corps qui était déjà dans un état de décomposition avancé. Le cadavre a été ensuite acheminé au Centre médical pour l’autopsie. Il a été identifié par ses parents : il s’agit de Yacoub Ould Bahi, né en 1983, originaire de Basra, berger de chameau de son état, disparu depuis 3 jours était recherché par la gendarmerie. Il était parti, il y a 72 heures abreuver ses animaux au fleuve où il s’est noyé. Il a été inhumé quelques heures après au cimetière de Boghé.
Dia Abdouaye et Diop Mohamedou
Source : Dia Abdoulaye

Avis au propriétaire d'une pièce d'identité et papier d'enrôlement

Nous déclarons avoir trouvé dans le quartier de Basra une carte d’identité nationale et un papier d’enrôlement biométrique d’une commerçante dénommée Ramatoulaye Hamath Djigo, née le 9 Novembre 1978 à Rosso. Toute personne qui aurait fait la connaissance de cette femme est priée d’appeler aux numéros suivants : 44.03.53.24. 20.43.60.70
Source : Rédaction Cridem

Maghama : Le président Aziz pourra-il rééditer son score de 2009 ?

Lors de la dernière élection présidentielle qui a porté le Président Mohammed O Abdel Aziz au pouvoir, la Moughata de Maghama s’était véritablement illustrée en sa faveur avec un score sans appel de 60,13%; faisant de Maghama la première Moughata de la Mauritanie où le Président Aziz a obtenu le plus fort taux électoral. Pour la prochaine présidentielle qui se profile à l’horizon, le Président Aziz pourra t-il rééditer le même score ? Rien n’est moins sûr ; dans la mesure où beaucoup d’eau a coulé sous le pont depuis cette fameuse élection présidentielle. En effet beaucoup de promesses faites par le Président Aziz lors de ses deux visites à Maghama, ne sont pas encore entrées dans la phase concrete. Autre fait marquant : mardi 27 septembre 2011, date des manifestations organisées par le mouvement TPN, pour dénoncer les modalités de l’enrôlement des populations par l’agence national du registre des populations et des titres sécurisés (ANRPTS), à travers les centres d’accueil des citoyens (CAC) ;et qui s’étaient soldées par la mort de Lamine Mangane, victime d’une balle tirée par les forces de l’ordre, des blessures par balle de huit autres jeunes manifestants, l’incendie du centre de lecture et d’action culturelle (CLAC) où étaient garés des véhicules et autres matériels d’assainissement, don d’une ONG espagnole (dentistes sur roue/ DSR) à la commune, et du CAC de la ville. L’enrôlement pose toujours problème ; puisqu’il ya beaucoup de cas de rejets sans aucune justification valable ; on a pu constater par exemple que deux personnes présentant la même situation juridique, l’une est enrôlée et l’autre rejetée. Beaucoup d’électeurs potentiels du Président Aziz sont ainsi rejetés. Par ailleurs, les rapatriés du Sénégal qui vivotent dans des camps à l’ouest de Maghama, soit prés de deux cents personnes, ne sont pas encore enrôlés ; sans parler des autres rapatriés disséminés dans différentes localités de la Moughataa. A l’approche des prochaines joutes électorales,on observe un regain d’intérêt sur la Moughata par certains partis politiques tels : le MPR ( Mouvement Pour la Refondation)de Kane Hamidou Baba, l’APP(Alliance Populaire Progressiste) du Pdt de l’Assemblée Nationale Messoud O Boukher. Et même le parti El Wiam du téméraire Boidiel O Houmeid a récemment envoyé ici une mission exploratoire ; et envisage sérieusement de s’implanter très prochainement dans la Moughata de Maghama. Ainsi, la pêche aux voix dans la marre politique troublée de Maghama risque véritablement d’être très serrée entre les futures candidats à la Présidentielle ; à moins que le Président Aziz ne rectifie le tir ou fasse un geste significatif en faveur des populations , avant la date fatidique.
Diallo Amadou CP/ Maghama
Source : Le Rénovateur Quotidien (Mauritanie

Visite présidentielle à Nouadhibou : le pouls de la campagne présidentielle !

Officiellement, le président de la république se rend à Nouadhibou pour inaugurer la zone franche dans la capitale économique ! Tout Nouakchott s’est déplacé déjà à Nouadhibou : UPR, non UPR, Thiebthiabas , griots , journalistes peshmergas , commerçants peshmergas , guichet unique peshmerga , Zeini peshmerga et les autres ! Même Moctar Ould Dahi , le douanier nouveau patron de TVM , est déjà à Nouadhibou comme le chacal qui précède le troupeau à l’aire du rassemblement du soir ( Lemrah) ! Mais à qui profite la zone franche ? Les fortunes de Nouadhibou sont déjà en Espagne, au Portugal ou en France et il ne faut pas s’attendre aujourd’hui, à ce que les Ghanéens qui attendent d’être embarqués sur les radeaux de la mort à destination de l’ Europe , investissent à Nouadhibou en profitant des nouvelles facilités de la zone franche ! Parlons sincèrement de l’impact de cette Free zone : sur le plan agricole, il est impossible de faire pousser un grain à Nouadhibou qui est une zone salée sur des millions de mètres cubes de profondeur … c’est aussi valable coté élevage ! Donc, sur le plan agro-pastoral, oublions la zone franche pour ne pas être radicule ! S’agissant de l’hôtellerie et du tourisme, le climat de Nouadhibou est certes clément mais il faut beaucoup de temps et d’investissements pour en faire une destination touristique fréquentée ! La capacité hôtelière actuelle ne fait même pas 10% en pleine saison… Sur le plan commercial, c’est un leurre parce que les produits alimentaires arrivent quotidiennement déjà à prix imbattables, par la route transsaharienne Tanger –Nouadhibou, en remplissant les comptoirs de Nouakchott et de Kaédi ! A-t-on déjà vu un exportateur européen venir concurrencer un marocain à Nouadhibou ? Jamais, parce que les prix sont infranchissables ! Sur le plan pêche, on ne cherche pas de nouveaux truands par ce qu’on en a déjà assez avec les japonais de Marubeni et leurs acolytes nationaux, comme Abdel Vettah et Abbasss bougherbal ! L’idée de la zone franche n’est pas nouvelle : c’est une vieille sorcière à la beauté irrésistible et à la voix berçante, avec des tourbillons aux fleuves et mirages invisibles, qui a caressé tous les pouvoirs depuis 1960 à nos jours ! Mais, à mi-chemin elle disparait pour vous laisser en face des réalités. Et c’est la case départ ! Ce qui est tangible aujourd’hui, c’est que les gens de Nouadhibou vont peut être, profiter des poches de la cohorte de prédateurs qui accompagnent le président ce 24 juin, jour de l’inauguration de la zone franche ! Surtout les jours précédents son arrivée, parce qu’après il n’y aura plus personne ! Il ne restera plus que Sidi Ould Domane et Zeini le sympa, tombés dans leurs propres pièges des jeux de menteurs !
Publié par Lakhbaar Tebgue Vi Dar

Les habitants du quartier Tarhil à Nouadhibou réclament le limogeage du wali

Des habitants démunis du quartier Tarhil ont protesté devant le Président de la République M Mohamed Ould Abdel Aziz, au cours de sa visite de la zone, pour exprimer leur mécontentement contre la gestion contestée des affaires de la wilaya par le wali de Dakhlet Nouadhibou Mohamed Vall Ould Ahmed Youra, l’accusant de mépriser les pauvres et d’observer une indifférence devant leurs attentes. Les manifestants qui se sont fortement mobilisés pour réserver un accueil chaleureux au Président de la République se sont plaints également au Chef de l’Etat de leur marginalisation permanente et de leur isolement par le wali, demandant son limogeage ainsi que la levée de l’impunité à son égard pour son dédain de leurs préoccupations, sous prétexte qu’il est un proche des autorités et qu’il est influent dans l’administration. « M le Président, nous sommes des pauvres et vous êtes notre dirigeant. Nous désirons un wali qui se soucie de nos préoccupations et qui se solidarise de nos maux et souffrances » a lancé au chef de l’Etat l’un des manifestants. Une autre dame a dit quant à elle au Président : « Si vous avez limogé un Général wali de Nouadhibou, nous voulons que vous remercier le wali bourgeois sur lequel personne ne peut compter pour vous rapprocher des pauvres ». Les manifestants tenaces à ces doléances, ont exprimé en même temps leur soutien à son Excellence le Président de la République malgré leur instance pour le limogeage du wali, rappelant au Chef d’Etat que ce n’est pas la première fois qu’ils portent à sa connaissance cette demande de révocation du wali.
Source : Le Véridique (Mauritanie)

URGENT/La brigade mixte de la gendarmerie met le grappin sur l'époux de la ministre de la culture à Atar

De sources généralement informées, l'Agence Tawary d'information a appris que l'époux de la ministre mauritanienne de la culture a été interpelé, lundi après-midi, par la brigade mixte de la gendarmerie à Atar dans le cadre de la mauvaise gestion de biens publics. Selon des sources concordantes, le mari de la ministre est inculpé dans l'affaire du marché de construction du stade de Nouadhibou qui est d'ailleurs la cause du différend qui l'oppose à son ami, le président de la commission des marchés. Et les mêmes sources de citer que le marché du stade a été offert par la ministre à l'ami à son époux et cela risque d'emporter la ministre et certains de ses proches collaborateurs, et surtout au moment, où, le président Mohamed Ould Abdel Aziz, vient d'évoquer dans son discours -aujourd'hui- devant les populations de Nouadhibou que "la lutte contre la gabegie et les gabegistes continue". Depuis Atar, la capitale de l'Adrar, où les deux hommes sont détenus par la gendarmerie , nous apprenons que des appels téléphoniques retentissent dans le cadre de cette affaire.
Tawary

Aleg : Suite à une bagarre entre deux familles, six hommes se retrouvent en prison

Suite à une bagarre entre deux familles provoquée par un problème foncier au village d’Elmabrouk près de Boghé, six hommes dont un garde - qui répond au nom de Mahfoudh Ould Cheikh - ont déposés à la prison d’Aleg. Ironie du sort, le garde en question fait partie des forces de sécurité chargées de surveiller les détenus de cette même prison d’Aleg. Les six hommes qui ont été emprisonnés sont Yamnah Ould Mohamed Ahmed ; Dhounnoureini Ould Lehbib et Mohamed Ahmed Ould Lehbib ; Elemine Ould Kleib ; Mohamed Vall Ould Kleib ; Mahfoudh Ould Cheikh. Un homme âgé a été blessé au début de la bagarre avant l’intervention musclée de la gendarmerie. Affaire à suivre.
Source : Taqadoumy (Mauritanie)

lundi 24 juin 2013

Inauguration de la zone franche: Des jeunes de Nouadhibou marchent sur Nouakchott

Plusieurs jeunes de Nouadhibou ont entamé une marche en direction de Nouakchott la veille de l’inauguration de la zone franche, prévue aujourd’hui, en présence du président Mohamed Ould Abdelaziz, apprend-on auprès de leurs proches dans la capitale économique. Ils seraient une trentaine de jeunes dont un premier contingent formés de 15 jeunes a quitté Nouadhibou dimanche soir. Les jeunes recensés comme membres du mouvement « générations Aziz » entendraient par cette activité à contre-courant protester contre le clientélisme politique qui aurait marqué l’inauguration de la zone franche et leur exclusion. Les jeunes marcheurs tenteraient ainsi de sensibiliser le président Aziz sur leur mise à l’écart au profit. Selon des proches des jeunes marcheurs, ces derniers seraient une trentaine dont 15 autres auraient pris la route pour Nouakchott, quelques instants avant l’arrivée du président Aziz à Nouadhibou. Ils devraient ainsi parcourir 480 km de route reliant Nouadhibou à Nouakchott. Rappelons qu’il y a déjà quelques mois, un autre groupe de jeunes de cette ville avait également marché sur la capitale et présenter ses doléances au président Aziz, lors d’une audience qu’il leur avait accordée.
Source : Mauriweb (Mauritanie)

dimanche 23 juin 2013

ADEMA : Communiqué de presse

Le Bureau Exécutif du Parti l’Alliance pour la Démocratie en Mauritanie (ADEMA) tient à remercier tous ses militants et sympathisants de l’accueil chaleureux qui leur a été réservé lors de leur rencontre-discussion organisée dans les locaux de la Coordination Régionale de Rosso. ADEMA se félicite de la teneur des débats et de l’engouement de ses militants qui restent convaincu que seule la voie des urnes peut garantir à notre pays une stabilité certaine et un développement pour tous. Aussi, tous ont exhorté le Parti à participer aux prochaines échéances électorales et partant se sont engagés à œuvrer pour la réussite du Parti.
Le Bureau Exécutif

Aleg, ce n’est pas Prison Break

Près d’un milliards d’Ouguiyas investis par le président Mohamed Ould Abdel Aziz pour construire ce qui est devenu la plus grande prison en Mauritanie. La prison d’Aleg, située à l’est de la ville sur la mythique « Kdeyet Ardebana » mais maintenant entourée de constructions de part et d’autre. Comme quoi le phénomène de l’urbanisation « sauvage » gagne aussi l’intérieur du pays. Mais là n’est pas le véritable sujet de cette chronique. La prion d’Aleg est loin d’être celle du célèbre film Prison Break dont on ne s’évade qu’au prix d’un exceptionnel exploit digne du cinéma. A Aleg, les scandales se multiplient et le dernier en date est relatif à l’évasion d’un groupe de prisonniers, qui ont finalement été retrouvés…sauf un. Sweylek Ould Ahmed Ould Moutalli. Ce prisonnier court toujours. Ou plutôt il roule ! Parce qu’il s’est enfui à bord d’un véhicule volé. Une Mercedes 190 immatriculée 2471AN00, en très bon état, appartenant à Mohamed Ould Thiembel, un cadre du ministère de la Santé, travaillant à la Direction régionale du Brakna. Bon ce sont là les faits d’une histoire rocambolesque qui s’est passée depuis plus d’un mois. La victime qui a remarqué le vol de sa voiture à cinq heures du matin, en se rendant à la mosquée pour la prière du « sobh » (l’aube), a aussitôt alerté la police, pensant avoir mis toutes les chances de son côté pour que sa voiture soit retrouvée mais non. Il semble même que personne ne s’est soucié vraiment de cette affaire. Lui-même n’ayant plus confiance dans ce les services de sécurité lui disaient chaque jour, a voulu entreprendre ses propres recherches, en se lançant sur les traces d’un prisonnier évadé qu’on signalait du côté de R’Kiz, sur ses « propres terres » ! Un véritable Far West. Curieusement, les postes de contrôle par lesquels il est passé, à bord d’une Land Cruiser prêtée par un ami, ont tous affirmé ne pas avoir été alerté pour intercepter un éventuel prisonnier évadé de la « Prison Break » d’Aleg. Pire, la victime déclare même que le fugitif n’intéressait apparemment pas vraiment les autorités « parce que les plus dangereux ont été rattrapés et que Sweylek n’avait plus qu’un an à purger avant de retrouver la liberté » ! S’agirait-il alors d’une réduction de peine camouflée avec « bonus » (la voiture d’un pauvre citoyen qui ne s’est quand même pas évaporée). Il y a de la mauvaise foi dans l’air. Mais surtout, un coup bas porté au président Aziz. A quoi aura servi une prison construite à coût de centaines de millions d’ouguiyas si les prisonniers s’en évadent aussi facilement ? A quoi servent même des services de sécurité qui « démissionnent » ? Certes, cette histoire n’est qu’une parmi tant d’autres mais elle illustre parfaitement la précarité de notre système de sécurité. L’évasion est une circonstance aggravante. Je ne sais si elle ne doit pas entraîner une augmentation de peine ? Que dire quand elle est accompagnée de vol ? Il faut retrouver le fugitif Sweylek Ould Ahmed Ould Mouttali. Pour redorer le blason de la Prison Break d’Aleg.
Sneiba.

Le webmaster du portail Cridem décoré de la médaille de 'citoyen d’honneur'

Mohamed Nourredine Abdelmadjid, alias Claude K, webmaster du portail Cridem vient d’enrichir son riche palmarès de distinctions d’une nouvelle médaille. Il s’agit de la médaille de « Citoyen d’honneur des communes du Nord de Mauritanie », décernée par les communes du Nord. Une décoration bien méritée par cette cheville ouvrière de la liberté de la presse en Mauritanie, remise à son titulaire le 20 juin dernier au siège du portail à Nouakchott, par le Maire de Nouadhibou et Président de l'Association des Maires du Nord de Mauritanie (AMNM) M. Mohamed Fadel ould Aboubekrine, accompagné du Secrétaire général de cette même association Mohamed Ould Souleymane Ould Mahah. Dans une note publiée pour la circonstance, les initiateurs motivent leur choix du portail Cridem, d’abord à titre de reconnaissance, ensuite pour ses louables et honorables efforts déployés en faveur des communes du nord de Mauritanie de manière particulière et de la Mauritanie de façon générale. En raison des contraintes professionnelles qui l’obligent à rester en permanence à son lieu de travail pour assurer, comme d’habitude, un rendement médiatique qualitatif et progressif, le webmaster gratifié a reçu la médaille de "citoyen d’honneur" de l’AMNM à son bureau de la part de son Président en exercice et de son Secrétaire Général, qui ont tenu exceptionnellement à faire le déplacement de Nouadhibou à Nouakchott à cette fin. Cette remise de la médaille de "citoyen d’honneur" intervient dans un contexte qui illustre l’importance qu’elle revêt pour l’AMNM, puisque ses premiers responsables ont tenu malgré leurs nombreux engagements et la visite attendue à partir de demain lundi 24 juin courant du Président de la République dans la capitale économique, à faire la veille le voyage de Nouakchott pour témoigner avec la plus grande chaleur et sincérité leur profonde considération pour les énormes services rendus sur tous les plans, particulièrement de la visibilité médiatique par le portail Cridem à la Mauritanie. Une médaille décernée en "hommage aux efforts multiples, réalisés par le webmaster de Cridem sur la scène médiatique Mauritanienne d'une façon générale et le nord d'une façon particulière pour la promotion de la culture, l'art, le tourisme, le sport dans notre pays, ainsi que ses diverses contributions, particulièrement aux efforts de développement du pays et par le même à l'essor de sa jeune démocratie » précise l’AMNM dans sa déclaration. Les initiateurs de cette distinction ont salué également le rôle principal joué par le portail en faveur de la paix, de la stabilité et de l’unité du pays, lui souhaitant de vive voix davantage de succès dans son dévouement absolu pour la promotion et le développement de la démocratie conformément à sa dénomination sociale : Carrefour de la République Islamique DE Mauritanie.
Md O Md Lemine
Source : Le Rénovateur Quotidien (Mauritanie)

Une commission d'enquête sur des accusations portées contre le Colonel Ould Baya au Tiris-Zemour

Les autorités supérieures mauritaniennes ont dépêché , samedi 21 juin courant, une commission mixte composée des ministres des finances et de l'intérieur, pour enquêter sur certaines accusations portées contre l'ex-wali du Tiris-Zemmour, le Colonel de l'armée, Ahmedou Bamba Ould Baya. Lors d'une séance au Sénat, le sénateur du F'Dérick, Dje Ould Cheikh Sadbouh avait adressé une question orale au ministre des finances sur l'attribution illégale d'une place publique et de quelques terrains à certaines personnes par l'ex Wali. Devant les sénateurs, le ministre avait pris l'engagement de rendre compte au gouvernement pour que la lumière soit faite et c'est par la suite qu'une commission composée du ministre des finances Thiam Djombar et de son homologue de l'intérieur, Mohamed Ould Boilil s'est rendue à F'Dérick. Pour s'informer sur les accusations portées contre Ould Baya, la commission s'est rendue le samedi 21 juin, à F'Dérick. A son arrivée, elle a tenu une réunion avec les autorités administratives locales dans les bureaux de la Moughataa, avant de se rendre sur les terrains et le parc public, en question. Le Colonel Ahmedou Bamba Ould Baya a été limogé par le conseil des ministres du 13 juin courant de son poste de Wali de Tiris-Zemmour, suite à "sa mauvaise gestion des revendications des travailleurs occasionnels de la SNIM", selon des sources concordantes. Et selon des sources concordantes, le Colonel serait d'ailleurs raillé du tableau d'avancement des officiers supérieurs sur lequel il était programmé pour le grade de Général.
Source : Tawary (Mauritanie)

Politique: Le président de la CND dans la vallée

Le président du parti Convergence nationale démocratique (CND), Mahfoudh Ould Bettah et certains de ses proches collaborateurs comptent sillonner les régions de la vallée pour expliquer le programme du parti et sa place dans la coordination de l'opposition démocratique, dont il est membre. Selon un communiqué rendu public par le parti, le leader du parti Mahfoudh Ould Bettah présidera un meeting populaire, le lundi 24 juin courant sur la place publique de Sélibaby la capitale du Guidimakha, sous le thème "L'unité nationale...". A cette occasion, Mohamed Yahya Ould Ely, le coordinateur régional du parti préside des réunions et mène des campagnes de sensibilisation à Sélibaby pour la réussite de cet événement qui sera suivi par d'autres meetings et rassemblements populaires dans les communes et localités de la région. Selon certains analystes et observateurs, la Convergence nationale démocratique s'engage à arracher les villes de la vallée des mains de l'UDP et de l'UPR, pour préparer une éventuelle participation aux prochaines élections qui pourraient se tenir en septembre et octobre de l'année en cours.
Source : Tawary (Mauritanie)

samedi 22 juin 2013

Urgent : Sélibaby/ Une femme égorge deux jumelles

Une femme nommée Toutou a tué deux fillettes qui venaient juste d’être mises au monde par sa propre fille. Cette découverte macabre a été rendue possible par des chiens qui ont déterré et ramené les deux malheureuses déchiquetées, tout proche des habitations environnantes de la criminelle. Alertées, les autorités ont mis la main sur la femme qui n’a pas tardé à avouer son crime. Interrogé par les agents chargés de l’enquête, la jeune mère des nouveaux –nés qui répond sous le nom de Zeinabou affirme n’être au courant de rien et qu’elle s’était évanouie juste après l’accouchement ; La scène macabre s’est passée dans le quartier de Nejah-est.Selibaby. le dossier se trouve entre les mains de la juste... Affaire à suivre.
Malik jallo.

Lettre Ouverte: Objet : Plainte adressée aux autorités administratives et sécuritaires du Tagant

« Je me nomme Issa Ould Jowv Ex planton à la Direction Régionale à l’action sanitaire du Tagant. Je suis un paisible citoyen qui s’est toujours soucié d’entretenir de bons rapports avec les autres. A Tidjikja où je suis né et où je réside, je ne me rappelle pas d’y avoir, une seule fois, eu maille à partir avec quelqu’un et mes relations avec mon entourage et mes collègues de travail ont toujours été de bonnes relations. Seulement, je viens de subir la pure injustice de ma vie qui m’a été infligée par un grade en service au GR8 de Tidjikja. Ce dernier a attendu mon départ à Nouakchott pour s’introduire chez moi et abuser de ma fille. Cette dernière a , d’ailleurs, donné naissance à un enfant dont il est le géniteur. L’année dernière mon fils Sidi Ould Issa Ould Jowv est venu, à maintes fois, se plaindre auprès de l’ancien commandant du GR8 pour lui demander d’interdire son élément de fréquenter mon domicile, mais en vain. Le brigadier chef Sy et le brigadier actuellement à la retraite Houmbar, peuvent témoigner, eux qui ont toujours été saisis de cette affaire. Dés mon retour à Tidjika, j’ai, moi-même, saisi la justice pour me plaindre du tord subi par ma fille mais le juge d’instruction a réfusé de convoquer l’intéressé pour l’entendre. Je suis pratiquement à bout de patience et je n’aimerai pas me faire justice moi-même. C’est pour cette raison que je viens auprès des autorités compétentes pour leur faire part de l’injustice dont je suis victime et de l’attitude incompréhensible et paradoxale adoptée par le juge sensé pourtant instruire cette affaire et qui, contre toute attente, se permet de me chasser de son bureau sans autre forme de procès. D’ailleurs aux dernières nouvelles j’aurai appris que l’affaire est classée au nez et à la barbe de la partie plaignante. Je suis persuadé que le Mauritanie nouvelle prônée par son excellence le Président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz est une Mauritanie où l’injustice sera bannie à jamais. L’attitude affichée par le juge d’instruction auprès du tribunal de Tidjikja est inacceptable et je tiens à mettre en garde contre tout dérapage qui pourrait résulté de cette affaire si elle continue à être gérée de la sorte. »

Zone franche de Nouadhibou : Les journalistes du nord mécontents

Le débat organisé dans la soirée de lundi par TVM à propos de la zone franche de Nouadhibou n’a pas été au goût des journalistes de la Willaya de Nouadhibou. Considérant -à juste titre- qu’ils sont assez bien placés pour discuter de ce projet d’institution et poser des questions à propos, du fait qu’ils résident dans la capitale économique, les journalistes du nord n’ont pas apprécié qu’ils n’aient pas été sollicités pour participer au débat de la soirée. Une fois encore, les hauts responsables et les journalistes animateurs de Nouakchott ont uniquement fait recours aux hommes des médias résidant à Nouakchott. Et pour exprimer leur courroux, les journalistes de Nouadhibou ont décidé d’enclencher une série d’actions de protestations, dont des sit-in devant la Willaya de Nouadhibou, des marches en direction des grandes entreprises du nord. L’objectif est d’amener les responsables régionaux à les prendre en compte dans la diffusion de l’information, mais aussi à les associer dans des événements comme les débats et discussions qui tournent autour de questions relavant de leur cité. Il faut dire que Nouadhibou compte autant de journalistes que Nouakchott. En effet rares sont les institutions de presse de Nouakchott qui ne comptent pas des correspondants dans cette ville. Radio Mauritanie qui y a ouvert une station radio depuis quelques années, doit désormais compter avec la concurrence avec la politique de décentralisation adoptée par les télés et radios privées qui comptent s’installer sur place. Mais plus que tout, la ville de Nouadhibou compte, comme Nouakchott, de supports médiatiques qui lui sont propres, dont des journaux et des sites électroniques.
Denah.

vendredi 21 juin 2013

Grande soif a Atar

Ces jours ci,commence l’été en Adrar et le manqué d’eau a atteint un seuil dangereux dans la capitale regionale : Les ¾ de la population de la ville ne reçoivent plus d’eau douce qui reste limitée aux seuls habitants de la zone résidentielle la plus basse géographiquement. L’eau saumâtre coule a peine dans certains robinets et le baril de 200 litres a atteint le prix record de 800 Ouguiyas. Très indignées, les populations ne cessent d’exprimer leurs inquiétudes aux autorités et sociétés concernées. En vain…Certains citoyens ont confié aux médias « que le président Ould Abdel Aziz n’est pas informé de cette situation qu’on continue a lui cacher ».
Source : Mourassiloun.com

Tidjikja - Affaire de moeurs : Droit de réponse

Hadith chérif : « Raconter tout ce que l’on entend suffit déjà pour être ungrand menteur.» Il est vraiment lamentable qu’un moyen valeureux à l’image de celui de l’information soit utilisé pour diffuser des rumeurs tapageuses, monter des accusations et provoquer la rue contre les individus pour plus sur la justice afin qu’elle dérape et dévie le chemin de l’objectivité qui doit être le sien. La recherche acharnée de « l’avance informationnelle » ne doit aucunement amener nos vaillants journalistes à mettre leur crédibilité en jeu, trahir leur noble mission en diffusant, sans vérification, tout ce qu’ils entendent, faisant ainsi fi des conséquences qui pourraient en découler, tant pour eux-mêmes que pour les autres. A juste titre, l’exemple le plus illustre est bien ce qui a été publié le 08/06/2013, par le site : mourassilou.com, faisant état de cas de viol survenu à Tidjikja, le vendredi 07/06/2013. « Monsieur M.A.B. a amené une jeune fille dans sa maison et lui a offert une boisson alcoolisée afin de la navrer. De surcroît, il est connu être l’un des plus grands distributeurs d’alcool dans la ville. » Notre fameux internaute, a hélas, oublié, qu’il fallait, avant de porter ces accusations graves contre un citoyen, s’assurer de prime, à bord, de la sincérité de ce qu’il va porter à l’attention de l’opinion publique. Si l’auteur de cet écrit avait fait un petit peu preuve de professionnalisme, d’impartialité donc, en procédant au recoupement des informations tirées de toues les sources potentielles il aurait évité de semer la zizanie et créer la confusion sur une affaire, encore entre les mains de la justice. Voici quelques éléments qu’il aurait pu rassembler pour éviter de porter atteinte à un présumé innocent, en attendant que la fin de l’enquête et le jugement, si on en arrivait jusque là. La jeune fille en question est sortie de chez elle, le vendredi 07/06/2013 traversant la ville, au vu et au su de tout le monde, accompagnée de son frère à destination du marché du bétail, pour y vendre un bouc. Après avoir vendu leur marchandise, la fille s’est dirigée vers le marché avoisinant. Là, elle subit un malaise dans l’une des boutiques. Ce cas de figure chez la fille est fréquent et connu de tous les habitants de Tidjikja. Voilà les faits vérifiés et vérifiables que votre honorable site aurait pu rassembler avant de mettre en ligne ses graves accusations contre la personne de M.A.B 1- Le vendredi 07/06/201, très tôt le matin, des gens sont venus chez Monsieur M.A.B, l’ont trouvé endormi dans sa maison et l’ont réveillé pour la prière du vendredi, et passé tout le reste de la journée avec lui sans s’en séparer jusqu’à l’arrivée de la police. Ils l’ont déclaré à la police. Cela exclut totalement les allégations de notre cher internaute. Les témoignages devant la police étaient concordants sur le fait que Monsieur M.A.B, s’est abstenu, tout au long des semaines qui ont précédé son arrestation, de prendre les appels téléphoniques répétés provenant de ladite fille. celle-ci avait même recours aux téléphones d’autres personnes pour pouvoir le joindre après qu’il a fermé ses téléphones, pour éviter les appels de celle-ci, sans lui avoir signifié, avec un ton grave, de cesser de lui téléphoner. Monsieur M.A.B a vivement demandé à la police qui instruit l’interrogatoire, d’ordonner aux sociétés de communications d’extraire tous ses appels, au cours des semaines précédant son arrestation, pour s’assurer de la véracité de ses déclarations. 2- On n’a non plus trouvé aucune trace de substance enivrante, ni dans sa demeure, ni dans sa boutique ; ce qui confirme que les accusations dont il a été victime ne sont que de pure calomnie. 3- L’opinion répandue à Tidjikja indique que Monsieur M.A.B est un homme sage et sérieux dans son travail et ses relations. Son brio en matière de commerce et de culture de palmiers a émerveillé tous ceux qui le connaissent, et lui a valu leur respect. Cette réussite serait à l’origine de ce que d’aucuns commencent à lui envier, en essayant « d’inventer» cette mascarade, montée de toutes pièces et dont l’intéressé en est totalement innocent.Allah dit en substance: « Ô croyants, si un crapule vous apporte une information, tâchez à ne pas préjudicier les autres. Alors, vous aurez des remords pour ce que vous avez commis."
Youba Ould Béchir

Une famille de Bassiknou accuse la police d'avoir tué leur fils

La famille Ehel Marra accuse les éléments du commissariat de police de Bassiknou d'avoir torturé à mort leur fils, Ahmed Ould Marra (28 ans) qui était inculpé dans le meurtre de Zeine Dine Ould Cheikh (70 ans) , a-t-on appris de sources informées présentes dans la ville. Ahmed Ould Marra, devant la commission d'enquête de la police judiciaire , a nié les faits portés contre lui avant d'entamer une grève de faim dans sa cellule, ajoute une source proche de sa famille. Cependant, d'autres sources ont révélé qu'il a subi des "tortures atroces" de la part d'un groupe de policiers. Quelques jours après son arrestation, il est tombé malade et son état de santé s'est dégradé, ce qui a conduit les forces de sécurité à l'évacuer dans la nuit du mardi dernier, au Centre hospitalier de Néma ,où, il a rendu l'âme, ce jeudi à 10 heures, apprend-on de la même source. La famille Ehel Marra accuse les policiers en service dans le commissariat de Bassiknou et demande à ce qu'une enquête indépendante soit ouverte pour élucider les véritables circonstances dans lesquelles leur fils a été tué.
Source : Tawary (Mauritanie)

jeudi 20 juin 2013

Nouadhibou : campagne de dépistage du VIH /SIDA

En collaboration avec le secrétariat exécutif régional de lutte contre le sida , l’association des femmes mauritaniennes pour la lutte contre le sida ( AFMLS) organise à Nouadhibou du 14 au 27 juin des séances de dépistage du VIH SIDA. Durant cette campagne de 14 jours l’ ong AFMLS projette de dépister 500 personnes au niveau de la ville de Nouadhibou. Elle vise essentiellement les marins, les professionnelles de sexes,, les ouvriers. La cérémonie officielle de lancement de la campagne a été organisée le Samedi dernier au niveau de la coordination régionale du MASEF. Devant le maire ; le hakem ,le représentant du wali ,le secrétaire exécutif régional de lutte contre le sida, des membres de la société civile et autres personnalités, madame Adama Doumbiya Coulibaly ; présidente de l’ONG AFMLS a souligné que faire le dépistage permet non seulement de se prémunir mais aussi épargner son entourage au risque éventuel de contamination . Elle a par ailleurs indiqué que les femmes sont les premières victimes car souvent des maris volages s’aventurent dans de nouvelles conquêtes sans mesurer les conséquences. ‘’ A travers cette campagne qui s’ouvre ,nous esperons convaincre les réticences et amener plus de monde à se dépister’’ dit Madame Adama Doumbiya avant d’adresser ses remerciements aux autorités régionales et à Moulaye Oould Elwavi ;secrétaire exécutif régional de lutte contre le sida. La présidente de l’ong AFMLS a montré l’exemple a suivre en se faisant dépister .Elle sera suivi par les responsables d’associations membres du réseau RUDAN. Le dépistage gratuit ,volontaire et anonyme est assurée par une équipe de professionnels qui sillonneront tous les quartiers de Nouadhibou. Rappelons que Nouadhibou, capitale économique de la Mauritanie et ville cosmopolite est l’une des villes du pays qui a un taux de prévalence élevé.
S Falilou

Droit de réponse

Suite à un article paru le Mercredi, 19 Juin 2013 à 14:45 au niveau du site électronique Taqadoumy et repris par votre honorable site, intitulé « des conseillers municipaux accusent le maire de détournement de deniers publics », nous tenons à apporter les précisions suivantes : - Depuis la mise en place du Conseil Municipal, et pour assurer la transparence dans la gestion, les réunions sont ouvertes au public et notamment en ce qui concerne le compte de gestion des différents fonds de chaque année. - Le département de R’kiz compte 19 Conseillers et nous sommes persuadés que cette désinformation minutieusement orchestrée n’a pas pour origine le Conseil municipal dans son intégralité et par conséquent elle ne peut avoir comme source que le site Taqadoumy lui-même qui nous habitué à ce genre de scénario, surtout quand il s’agit de personnalités fortement engagées avec le Gouvernement. - Pour ce qui est de la Voiture Prado, je tiens à préciser qu’elle a été achetée depuis 2009 suite à une délibération du Conseil Municipal de R’kiz et suivant les procédures réglementaires de passation des marchés en vigueur dans notre pays. - Pour ce qui est de la SOMELEC, le budget de la Commune de R’Kiz ne prévoit pas depuis 2008 et ce jusqu’à aujourd’hui des fonds destinés à cette Société qui puissent être détournés ou faire l’objet d’une quelconque dépense. D’ailleurs en 2009 et 2010, des fonds propres de la Commune ont été mobilisés pour réaliser des travaux d’extension du réseau électrique au niveau des différents quartiers et les populations de la Commune ont félicité la Municipalité pour ces réalisations. - Le budget de fonctionnement ne comporte en aucun cas un budget d’investissement et son exécution est totalement transparente et vérifiable par l’ensemble des Conseillers municipaux et des populations de R’Kiz. - Depuis 2010, il n’ya pas d’exploitation de carrières dans toute la Commune de R’Kiz et toutes les recettes antérieures à cette date suivent la procédure réglementaire des recettes publiques. Nous tenons également à préciser que toutes ces manipulations sont orchestrées à l’encontre de ce jeune maire qui a toujours fait preuve de compétence et de dévouement tant au profit de sa commune que lors de ces responsabilités antérieures au niveau du Ministère des Finances En effet le jeune maire en question a pu obtenir plus de cinq financements alloués par les partenaires financiers au profit de la Commune de R’Kiz, et sans doute le vrai mobile de ces accusations infondées se situe à ce niveau. Ces financements qui dénotent la sagesse et la crédibilité du jeune maire concernent notamment : - L’électrification de toute la ville de R’Kiz et de ses environs - La construction d’un marché municipal - La construction d’un Hôpital à R’Kiz - La construction d’un complexe sportif pour les jeunes (stade et maison des jeunes) - La mise en place d’un réseau d’eau potable au profit des 8 villages de la Commune situés sur le lac R’Kiz. Les auteurs de la publication de ces fausses informations, infondées, dénuées de toute crédibilité, et ridicules doivent plutôt saluer la sagesse et l’engagement dont fait preuve le maire pour engager sa Commune dans la voix du Développement, en mettant en place des infrastructures de base et en améliorant les conditions de vie des populations locales pour être au diapason des grandes réalisations accomplies dans tout le pays suivant les Instructions des hautes autorités. Tel doit être notre engagement, vis-à-vis des populations et vis-à-vis de nous même.
Un Conseiller Municipal
Source : Conseiller Municipal

Nouadhibou: le Commissariat à la sécurité alimentaire distribue des vivres aux pauvres

Le commissariat à la sécurité alimentaire a procédé, mardi 18 juin, à une distribution de 511 tonnes de vivres à 3929 familles dans la ville de Nouadhibou (Nord Mauritanie). L’adjointe au commissaire à la Sécurité alimentaire, Aicha Mint Mouheihim, a déclaré que cette action est accompagnée de l’ouverture de 60 boutiques de vente de denrées de premières nécessité à des prix subventionnés. Elle a aussi annoncé la mise en place de 12 banques de céréales qui seront alimentées à hauteur de 60 tonnes de blé et de 80 tonnes d’aliments de bétails. "Cette opération vise à améliorer les conditions de vies des populations et à leur assurer une sécurité alimentaire", a-t-elle expliqué. L’ajointe au commissaire à aussi effectué une visite des dépôts du commissariat pour "voir le déroulement de l'opération et s’assurer des quantités de vivres à distribuer". Pendant ce temps, des manifestants qui étaient regroupés autour des locaux, estimaient avoir été injustement écartés des bénéficiaires.
ALAKHBAR

R’Kiz : Des conseillers municipaux accusent le maire de détournement de deniers publics

Des conseillers, municipaux de la commune de R’Kiz, ayant requis l’anonymat accusent le maire Mohamed Ould Abdellahi Salem Ould Ahmedoua. Les conseillers en question indiquent que le jeune maire Ould Ahmedoua, avec la complicité de la majorité du conseil municipal, gère les biens de la commune comme sa propriété privée. C’est ainsi qu’il n’a pas hésité, selon eux, à se payer récemment une voiture Toyota Prado à 8.500.000 UM. Le conseil programmait pour lui une Hi lux à 6.500.000UM. Les conseillers citent aussi 7 millions UM programmés à raison d’un million annuel pour la SOMELEC et détournés sans aucune justification par le maire. Ils reprochent également au maire d’avoir détourner l’intégralité du budget de fonctionnement soit 6.042.868UM, destinés auparavant à l’extension du réseau électrique et d’autres activités communales au service des populations. Les conseillers rebelles citent également le détournement par Ould Ahmedoua de 12 millions UM, correspondant aux recettes annuelles des taxes sur les carrières. Les conseillers font état du recrutement fictif de trois employés fictifs dont les salaires, soit 341.136UM, sont perçus mensuellement par monsieur le maire.
Source : Taqadoumy (Mauritanie)

mercredi 19 juin 2013

La ministre des affaires sociales, de l'enfance et de la famille s'enquiert de services relevant de son département à Kiffa

La ministre des affaires sociales, de l'enfance et de la famille, Mme Aicha Vall Mint Verges, a effectué mardi une visite au siège de la coordination régionale relevant de son département à Kiffa dans la wilaya de l'Assaba. La ministre s'est informé au cours de cette visite les conditions de travail dans les différents services relevant de son département et suivi un exposé présenté par la coordinatrice régionales des affaires sociales, de l'enfance et de la famille dans la wilaya de l'Assaba, Mme Saviye Mint Hachimi, dans lequel cette dernière a évoqué les principales réalisations faites au cours de cette année dans les domaines de la protection, de l'insertion sociale et de la prise en charge des handicapés . Dans une allocution prononcée à l'occasion de cette visite, Mme la ministre a indiqué que les pouvoirs publics portent une attention particulière à la redynamisation du département " en raison de sa place prioritaire dans le programme du Président de la République et de ses liens directs avec les franges fragiles de la société ", a-t-elle dit. Elle a souligné également que dans le cadre de la politique de décentralisation, la coordination régionale doit jouer un rôle important au niveau de la wilaya, précisant que les coordinations régionales seront renforcées à travers la formation, l'encadrement des ressources humaines, indiquant que ces volets font partie de la stratégie que le département compte mettre en oeuvre. " Des commissions auxquelles participent les autorités locales pour assurer la transparence, seront mises en place pour inciter les coordinations à tenir des statistiques pertinentes permettant d'avoir une base de données claires pour que l'aide arrive à ses réels bénéficiaires ", a-t-elle ajouté. La ministre a parlé également de l'affectation d'une enveloppe financière aux malades souffrant d'une insuffisance rénale, précisant que ce soutien sera distribué de manière équitable au niveau de la wilaya. La ministre a supervisé, par ailleurs, au centre de protection et d'insertion sociale des enfants à Kiffa, la distribution d'un appui financier et de produits alimentaires au profit des familles chargées de la prise en charge des enfants. Le directeur du centre M. Mohamed Taghiyou Allah Ould Mohamed Moctar a indiqué à cette occasion que le département réalise un ensemble de services et d'activités destinés à améliorer les prestations sociales et à répondre aux besoins des enfants. " Dans ce cadre, le centre oeuvre au rapprochement des prestations des franges cibles, avec l'insertion de 2.000 enfants, environ, aux conditions difficiles au niveau de son siège à Kiffa et de son agence à Nouadhibou " , a-t-il souligné, précisant que les services dispensés comportent la rééducation des enfants suivant des projets d'hébergement, de distraction, d'évaluation de la conduite, d'alphabétisation, d'insertion scolaire, de formation professionnelle ainsi que de renforcement des liens familiaux et du milieux social en plus de l'octroi d'une aide alimentaire et des microprojets générateurs de revenus. Dans le cadre de cette visite au cours de laquelle elle était accompagnée, notamment, du wali de l'Assaba, M. Cheikh Ould Abdallahi et du hakem adjoint de la moughataa de Kiffa, la ministre a, également, visité le centre de la petite enfance de Kiffa.
Source : AMI - IEC

Nouadhibou: le manque d’eau est dû à un problème dans la canalisation (SNDE)

Le manque d’eau qu’a connu Nouadhibou (Nord Mauritanie) depuis deux jours est dû à un problème au niveau de la canalisation à 55 km de la ville, a affirmé à Alakhbar, Yahya Ould Sidi Ahmed, directeur de la Société nationale de l’Eau (SNDE-Nouadhibou). Il a aussi précisé que les travaux de réparation demanderont 20h de temps, en raison de la nécessité d’évacuer l’air qui s’est pénétré dans le tuyau. Mais pour minimiser l’impact de ces travaux sur les populations, la SNDE a choisi de les débuter en fin de semaine, une période pendant laquelle ont assiste à une diminution de la consommation en eau, a-t-il expliqué.
Source : Alakhbar (Mauritanie)

Boghé-Démette : Thierno Amadou Yaghoub dit Amadou Thialgou est devenu Elimane Pury

Les Festivités de la cérémonie d’intronisation d’Elimane Pury a eu lieu ce 15 Juin 2013 à Démette. Des milliers de personnes venues des localités de Halaybés ont assisté à cette rencontre. C’est une rencontre salutaire très importante dans la vie traditionnelle des peulh Halaybés, elle revêt aussi une autre facette culturelle significative chez les Halpulaars Halaybés, des titres d’identités culturelles et traditionnelles qui ont existé depuis des siècles. Ces chefs dans leur existence montrent exactement une société bâtie sur l’harmonie ancestrale. C’est une vie sociale orientée vers les acquis jadis typiquement traditionnels, des mœurs qui continuent de résister à ce monde. La matinée du 15 juin 2013 le coran a été lu, pour la prospérité de la Mauritanie et du Sénégal et du monde entier, des prières formulées pour la paix, la santé envahissent toujours notre monde. A 16 H30 mn les Lépis (les différents groupes des castes, tributs) convoqués pour la circonstance à contribuer financièrement à l’événement, la somme est symbolique et souvent très considérable. Cette année les Lépis Halaybés présents sont : Dialade, Diagorga, Diom Bandjé Bababé, Diom Bandjé Sossobe, Dialtabe Pury, Elimane Doubango, Hartalla, Lamou Ida, Lidoube, Elimane Mboon, Dialtabe Mboon, Diagraf M Boon, Ely Fekki, Teen Mboki, Bassi Morro, Thierno Barrobe, Dialtabe Diomando, Satui Doubango. Chaque entité ethnique sociale contribue à l’événement selon ses pouvoirs, une somme rassemblée pour sympathiser, participer corps et âme et reconnaître ce chef intronisé dans la pure transparence traditionnelle. Elimane Pury signifie aussi le représentant de toute une cité, voir une communauté bien ficelée. Toutes les couches sociales arrivent à se respecter et se représenter là. Elimane Pury c’est la terre, l’étendue des sols fertiles où vivaient depuis que le monde est monde les ancêtres, défiant la nature, se heurtant dans le temps pour subsister quelque soit le poids de la vie. C’est exactement vers les coups de 17h 45 mn qu’Elimane de Pury est venu, après l’intervention musclée de Thierno Amadou Lamine Djigo. S’adressant l’assistance qui est composée de Halaybés, des chefs traditionnels et religieux d’autres entités invitées pour, le très respecté Thierno Amadou Lamine Djigo a prié pour un monde musulman plongé dans la paix, paix des cœurs, la cohabitation sociale parfaite, il a appelé aux Halaybés de s’unir, le respect de l’autre, de garder la terre léguée par nos ancêtres et la travailler pour vivre, accepter de L’exploiter si l’état et ses bailleurs acceptent les choix des propriétaires. Ce fut ensuite l’intronisation de Thierno Amadou Yaghoub ou Thierno Amadou Siléye Dit Amadou Thialgou qui est né en 1922, actuellement a 81 ans va régner sous ce titre honorifique, Elimane Pury issu de la grande famille maraboutique des djigobés de Démette. Tout cela se passe sous les yeux d’un arsenal de Griottes et griots de Thienel Halaybé, de Démette, Wambabes, Niembés, Kalounkoobes. Une commission d’organisation dirigée par Mr Djigo Moussa, N’Diaye Daouda, Mohamed lamine Djigo et d’autres ont réussi à diriger toutes les séances de convocation des Lépis (18) de Halaybés venus pour la circonstance.
Albert Camus Diop CP au Brakna.

mardi 18 juin 2013

Le député d’Amourj annonce sa retraite politique

Selon des sources généralement bien informées, le député d’Amourj (Hodh Charghi), Abderrahmane Ould Cheïne aurait annoncé sa retraite politique. Après vingt ans de présence dans l’hémicycle de l’Assemblée Nationale, l’élu croit qu’il est temps de tirer sa révérence et de laisser les jeunes de sa circonscription prendre la relève. Il serait le premier parlementaire à prendre une telle décision, d’où son engagement à ne pas briguer de candidature lors des prochains scrutins législatifs et municipaux.
Source : L'Authentique (Mauritanie)

Alerte: un bureau de hakem et une école primaire coûteraient 289 millions UM

Plusieurs entreprises mauritaniennes ont exprimé, aujourd’hui, leur inquiétude quand au sort d’un marché relatif à la construction d’édifices administratifs dans la moughatââ de Oualata. Un marché qui a été déjà transmis par les services du ministère concerné à la Commission nationale des Marchés publics. Et qui ne respecterait pas les normes en vigueur. Il s’agit d’un marché public incluant la construction d’une école primaire et le bureau du Hakem de Oualata. Le soumissionnaire le moins coûteux réclame 289 millions ouguiyas de l’argent du contribuable mauritanien. «Nous craignons que ce marché n’ait pas respecté la procédure d’acquisition des marchés publics» déclare le premier responsable d’une des sociétés qui voulait présenter une soumission. Il s’explique: «dès la publication de l’appel d’offre, nous, et d’autres intéressés, nous sommes présentés au Directeur des Infrastructures auprès du Ministère de l’Habitat, de l’Urbanisme et de l’Assainissement territorial, pour qu’il mette à notre disposition le Cahier des Charges relatif au marché susmentionné. Plusieurs fois, Monsieur Sow a refusé de réagir. Tantôt, il est malade. Tantôt, il est en réunion. Tantôt, il est en voyage. Tantôt, il ne l’a pas en possession». Selon lui, le responsable du ministère a fini par mettre le cahier de l’offre à la disposition de trois soumissionnaires bien précis. Tout en excluant les autres entreprises intéressées par le marché. Et ce un seul jour avant le deadline. Ce qu’il considère comme étant un signe de clientélisme qui entacherait le marché. Tout entier. Le pire, a-t-il dit, c’est que l’offre le moins-disant parmi les trois soumissions présentées est arrêtée à la somme de 289 millions d’ouguiyas. Ce qui représente, selon lui toujours, le triple du coût total réel dudit marché. Et la Commission nationale des Marchés publics, poursuit-il, va octroyer, bien évidemment, le marché à la soumission la moins-disant, vu que les offres techniques sont similaires. «Certes, le marché a été taillé sur la mesure d’un bénéficiaire prédéfini. Certes, il n’existe pas de recours judiciaires pour que le ministère revienne sur sa décision. Mais, c’est un cri pour mettre l’opinion publique en garde et pour mettre en exergue les pratiques de gabegie qui persistent encore», a-t-il conclu.
Source : voullany

L’UDP gagne du terrain au Barkeol

Après avoir conquis Ghabra et R’deidhi, une mission de l’UDP, conduite par son secrétaire général, N’Diaye Mohamed Abdoul et comprenant Bâ Souleymane Ali, député à l’Assemblée Nationale, Mohamdi Ould Weddou,membre du comité exécutif et Moussa Ould Gawi, membre du bureau politique, a effectué une mission dans les communes de Guillère et de Awoici, situées toutes dans le département de Barkéol. Le but de ce déplacement était, explique M. N’Diaye d’enregistrer d’importantes adhésions au parti. Les populations de Guillere et de Awoici, conduites respectivement par le professeur Cheikh Ould Mohamed Lemine et Abdallahi Ali Ould Abeidalli ont massivement dit oui au parti de Naha Mint Mouknass. Au cours des meetings tenus dans ces deux localités, les orateurs ont justifié leur adhésion au parti par sa position centriste et modérée, mais aussi son soutien au projet de société du président de la République Mohamed Ould Adbel Aziz. Ils se sont engagés à matérialiser ces adhésions en votant massivement pour les candidats de leur parti. Pour leur part, les membres de la délégation, après avoir remercié les populations des deux localités leur ont souhaité la bienvenue dans le parti, expliqué le projet de société de l’UDP, son engagement auprès de la majorité présidentielle pour apporter un soutien sans faille au président Mohamed Ould Abdel Aziz. Ils ont enfin invité les nouveaux adhérents du parti de faire preuve de loyauté et de travailler à élargir et consolider les bases du parti dans leur zone respective.
Source : Le Calame (Mauritanie

Des partis de l’opposition félicitent le Wali du Hodh El Gharbi sortant et regrettent son départ

Les coordonnateurs régionaux de cinq partis de l’opposition au Hodh Echarghi que sont: le RFD , Tewassoul, Ufp , Hatem et Moustaghbel disent regretter l’affectation récente à Nouakchott du Wali Sall seydou. Au cours d’une réunion d’ « d’au revoir » tenue aujourd’hui à la Wilaya, Ils ont loué les prises de position justes du Wali en matière d’écoute et traitement , sans discrimination sociale ou appartenance à tel ou tel parti politique, des problème posés par les citoyens. Et c’est la première fois dans l’histoire de la « Mauritanie ère nouvelle » que des partis de l’opposition félicitent une autorité administrative pour la façon dont elle gère les administrés. Au cours du dernier conseil des ministres, Sall Seydou a été affecté de son poste de Wali du Hodh Echarghi à la direction des libertés publiques au sein du ministère de l’intérieur et de la décentralisation n à Nouakchott.
Source : Mourssiloun.com

La famille Hambol expose ses œuvres au musée national.

Lui, Ely Kory Ould Hambol est un peintre inventif qui allie dextérité, finesse et discrétion dans ses œuvres. Elle, Mekfoula Mint H’Meyada s’est inspirée du talent de son mari pour se spécialiser dans l’art de « domestiquer »la pierre aux fins d’ en faire des fresques fantastiques. En collaboration avec le ministère de la culture, de la jeunesse et des sports, ils exposent du 16 au 20 juin les produits de leur ingénieux travail au musée national de Nouakchott. La cérémonie de lancement de cette exposition a été présidée par le directeur de la culture et des arts ainsi que le directeur du musée national, en présence d’un nombre important de femmes et d’hommes de culture et un public enthousiaste.
Ely Salem Khayar Source : Adrar Info (Mauritanie)

Que coûte le silence ?

Je ne comprends plus le monde et encore moins nos compatriotes... Imaginez-vous, le premier adjoint du maire de la commune de Dowa au Gorgol accuse son très respectable « patron » d’avoir détourné la somme relativement modique de 11 920 708 Ouguiyas dans la très courte période de 2007 à 2011 ! Je crois que ce brave adjoint est dénué du plus élémentaire sens du réalisme ! Voyons Monsieur un peu de sérieux, que représente en regard de tout ce qui « disparait » aujourd’hui la somme dont vous parlez ? Rien, du menu fretin, une blague de collégien, ou son argent de poche: 11 920 708 Um ! Dérisoire... Certains réussissent à détourner cela par semaine, que dis-je par jour... Et vous voulez être pris au sérieux ? Pas la moindre chance, mon cher... Le détournement d’argent étant le sport préféré des mauritaniens, pensez vous vraiment avec cette nouvelle, faire pleurer les foules? Dans les Gazras peut-être mais pas chez les autres ! Disons que ce sport est si lucratif, qu’il devrait faire pâlir de honte les footballers les mieux payés du monde... Et il est très populaire en haut lieu car c’est là qu’ils ont les terrains pour le pratiquer sans s’astreindre vraiment... Je me souviens d’un brave homme qui avait suscité il y a quelques années la compassion de nombreux de ses « amis », (les gens malhonnêtes en ont toujours beaucoup, vous savez ceux qui encaissent en échange de leur silence...) Oui ce brave homme était soutenu par plusieurs, ayant été mis en prison injustement, d’après eux il n’avait fait qu’encaisser 400 millions d’Um frauduleusement... Par rapport à d’autres une pacotille... Pas de quoi fouetter un chat et encore moins de mettre cet homme en prison... 400 millions ? Tout est relatif, mais il parait que pour certains ce n’est même pas la peine d’en parler... Enfin moi je vous jure que je n’ai jamais vu cette somme ni en une fois ni en plusieurs... Pas non plus traduite en Euros... Non, je ne sais pas à quoi elle ressemble... Bien maintenant c’est suffisant avec le ton à la blague... Je serais vraiment tentée de comprendre l’indignation de ce brave homme... Seulement tentée ? Oui je l’avoue car il y a quelque chose qui me gêne sérieusement dans cette histoire ! Bien entendu il est tout à fait répréhensible de détourner de l’argent qui ne nous appartient pas, quelque soit la façon dont c’est fait, il s’agit d’un acte punissable étant sans discussion possible du vol... Le fait que beaucoup s’y adonnent ne rend pas l’action moins grave ou plus licite... Ces fonds étaient destinés de plus à des financements d’intérêt public, des tables et des bancs qui font défaut dans presque toutes les écoles et une fois de plus ce sont nos enfants qui en pâtissent... Combien de directeurs de complexes scolaires se battent les flans et ont des insomnies à cause de ce problème... Comment un maire responsable peut-il détourner des sommes prévues à la construction de salles de classe? Un des mystères que je n’arriverais probablement jamais à élucider ! Le premier détournement connu date de 2007... Le second de 2009 et le troisième de 2011... Ces financements sont ils attribués, tous les deux ans ?... Nous avons maintenant 2013... Pourquoi le brave homme se décide-t-il à vendre la mèche maintenant? Le financement 2013 a-t-il provoqué un désaccord entre ceux que je nommerais les « complices » ? La somme souhaitée par le premier adjoint est elle supérieure à celles des années précédentes ? On pourrait le comprendre les temps sont durs et tout est devenu tellement cher, pour eux deux... De plus un jour où l’autre, les élections auront lieux, nos deux protagonistes seront-ils réélus ? Rien n’est moins sûr... Alors il faut prendre ses précautions, assurer ses arrières et « brouetter » le plus possible... Les vaches maigres ne sont jamais des compagnes agréables ! Ce brave homme n’a certainement pas eu vent de ces détournements seulement hier ou avant-hier ; alors pourquoi n’a-t-il rien dit si cette façon d’agir a blessé sa conscience ? Du premier détournement jusqu’à aujourd’hui cela fait 6 ans... Alors pourquoi ? Il devait être au courant de ces financements, vu leur raison d’être en tant que premier adjoint du maire il ne peut pas ne pas avoir pris conscience que les objectifs n’avaient pas été atteints ! Ce chapitre de la commune de Dowa devrait intéresser la police judiciaire, à moins que ? Non, je ne veux pas être mauvaise langue... Le prix du silence cela se chiffre à combien Messieurs ? Je sais cela ne me regarde pas mais je voudrais savoir...
Maryam Brodowski-Bâ maryambrodowski@yahoo.fr
Source : Le Quotidien de Nouakchott