Depuis trois jours, les commerçants du marché central d’Atar ainsi
que les marchés secondaires qui le jouxtent (marché Ehel Noueygueth,
Ehel Teryaff, Ehel Homody,Ehel Atigh, Ehel Berrou…) n’ont pas ouvert de
boutiques ni locaux de vente ou services.
Ces commerçants se dressent contre « l’augmentation injustifiée de l’impôt 2014», disent-ils. Ils se rassemblent à longueur de journée devant les locaux de la Wilaya ( Wali titulaire absent) pour tenter de trouver solution à ce délicat problème qui commence à agacer et embarrasser les populations.
Cette année, les services d’ impôts ont envoyé les avertissements de payement à la fois et en même temps aux locataires de boutiques ( impôt sur le commerce) et aux propriétaires des marchés (impôt immobilier).
Les premiers qui se disent être en règle vis-à-vis du trésor public pour l’impôt 2013, trouvent inexpliquée l’augmentation (ou complément d’impôt 2014) au moment où les activités économiques et commerciales de la ville ne font que reculer.
Les seconds, les propriétaires de bâtiments , qui n’étaient pas habitués à payer les impôts ont accumulé plusieurs arriérés à telle enseigne que les montants qui leur sont demandés sont exorbitants. Hier, en fin d’après midi , il semble que certains propriétaires de locaux, en particulier Ehel Teriaff , Ehel Berrou …. ont remboursé ou payé en totalité leur redevance.
Slama pour Adrar.Info
Ces commerçants se dressent contre « l’augmentation injustifiée de l’impôt 2014», disent-ils. Ils se rassemblent à longueur de journée devant les locaux de la Wilaya ( Wali titulaire absent) pour tenter de trouver solution à ce délicat problème qui commence à agacer et embarrasser les populations.
Cette année, les services d’ impôts ont envoyé les avertissements de payement à la fois et en même temps aux locataires de boutiques ( impôt sur le commerce) et aux propriétaires des marchés (impôt immobilier).
Les premiers qui se disent être en règle vis-à-vis du trésor public pour l’impôt 2013, trouvent inexpliquée l’augmentation (ou complément d’impôt 2014) au moment où les activités économiques et commerciales de la ville ne font que reculer.
Les seconds, les propriétaires de bâtiments , qui n’étaient pas habitués à payer les impôts ont accumulé plusieurs arriérés à telle enseigne que les montants qui leur sont demandés sont exorbitants. Hier, en fin d’après midi , il semble que certains propriétaires de locaux, en particulier Ehel Teriaff , Ehel Berrou …. ont remboursé ou payé en totalité leur redevance.
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