samedi 19 mars 2011

Travailler pour son parti, c’est soutenir des inconnus selon les activistes et des acteurs politiques de l’UPR de Sélibaby.




Ce matin, 19/3/2001, à la grande surprise des populations du Guidimakha, est paru sur Cridem, un article intitulé : des activistes et des acteurs politiques de sélibaby soutiennent l’investiture d’une femme à la candidature des sénatoriales d’avril prochain.

Pour ainsi demander à la direction de l’UPR de désigner Rabi’a mint Baba, candidate pour représenter la formation politique au pouvoir qui se cherche tant au niveau national que régional à cause de la mauvaise foi des soit disant politiques, laudateurs et artisans de division, qui sont à la recherche des intérêts personnels. Inconnue des populations et des électeurs du département de sélibaby, l’employée de l’agence Mattel serait originaire de l’Assaba.

Sans base et comme beaucoup de nomades politiques, elle a adhéré au parti au pouvoir qui lors de son implantation, ses membres s’étaient giflé au vu et su de tout le monde.

Au lieu de chercher à mettre fin aux tendances, aux divisions et sensibilités qui risquent de couter cher au parti, les laudateurs, les soit disant cadres et /ou hommes politiques et réfractaires au développement et au bien être social du Guidimakha, qui ont toujours trompé les populations demandent à la direction de l’UPR d’investir une personne inconnue afin de représenter les guidimakhanké.

Alors qu’à tout prix, les populations veulent se débarrasser des personnes "muettes" qui siègent à leur nom à l’Assemblée Nationale et celles qui n’ont jamais accordé la moindre importance aux problèmes des populations qui souffrent à cause de ceux qui n’ont aucun soucis de développement pour le Guidimakha.

En attendant que l’identité des activistes et acteurs politiques, pour ne pas dire acteurs de sous développement du Guidimakha ne soit connue, il y a lieu de dire qu’à défaut de pouvoir faire quelque chose de positif pour la région et le parti , nos politiques cherchent à faire une fuite en avant. Car dans une telle situation, rien n’est garanti pour la formation, qui au lieu de nourrir espoir devient source de désespoir des jeunes qui aspirent au changement promis par le président "des pauvres" et qui est bloqué par les vieux caïmans qui cherchent à profiter de toutes les occasions.

En fin travailler pour son parti et sa région, c’est penser à ceux qui peuvent apporter pour ne pas dire convaincre pour le bien être social des populations qui ont fort besoin des représentants dignes de nom. Le Guidimakha ne peut plus être représenté par des inconnus et de venant de n’importe où.

Signé A B /Gaynako
Abba942008@yahoo.fr

www.cridem.org


Source :
Amadou Bocar ba Ba

Unicef/Dren du Tagant : Séminaire de formation au profit des CGE/APE (3éme phase)




Les locaux de la Direction Régionale de l’Education Nationale du Tagant ont accueilli, jeudi 17 mars 2011, les travaux d’un séminaire de formation au profit des représentants des Associations de parents d’élèves et de leur comité de gestion.

Ce séminaire qui a duré trois jours a permis de former 130 participants sur le contenu du guide « des projets d‘écoles », un manuel d’orientations et de procédures qui a pour but de donner des orientations sur les modalités de mise en place du projet d’école « Ecoles Communautaires, Propres, Saines et Vertes » (ECPSV).

Une approche qui s’appuie fortement sur l’implication des communautés et qui propose un ensemble d’actions pratiques qui contribuent à l’amélioration des conditions et du cadre d’apprentissage aussi bien de l’école que la Mahadra. C'est aussi une approche qui met un accent particulier sur le renforcement de la scolarisation des filles.

Les présidents des comités de gestion ou associations des parents d’élève des 30 écoles sélectionnées pour cette troisième phase sont repartis chacun avec un montant de 100.000 Um comme fond de roulement aux activités génératrices de revenus qu’ils auraient à identifier et dont les bénéfices seraient mis à profit pour le fonctionnement, la rénovation et l’entretien de leurs écoles.

La formation des CGE/APE des 30 nouvelles écoles porte à 89 écoles, le nombre d' établissements du fondamental bénéficiaires de l’intervention de l’Unicef pour appuyer le système éducatif au niveau du Tagant.

Aussi, il est prévu la formation de 190 enseignants à travers toute la région à partir du 25 mars prochain. Cette formation financée par l’Unicef portera sur l’Approche par les compétences (APC) que nombre d’enseignants peinent encore à assimiler pour en faire une bonne utilisation. Les inspecteurs de circonscription en service dans les inspections départementales du Tagant assureront aussi bien la formation des enseignants bénéficiaires que leur suivi.

Il convient enfin de souligner que les deux premières phases du programme d’appui de l’Unicef aux écoles du Tagant ont été couronnées de succès. Les CGE des écoles notamment celle de Lahweitatt, l’école de Tentemlel, l’école de Dboulgui … sont parvenus à enregistrer des marges bénéficiaires qui leur ont permis d’entreprendre plusieurs réfections au niveau de leur école.

Khalil sow


Source :
Khalil sow