lundi 28 décembre 2009

Démarrage d'une session de formation dans le domaine de la gestion au profit des coopératives dans la wilaya du Tiris Zemmour




Une session de formation dans le domaine de l'organisation et de la gestion au profit des présidentes et des trésorières des regroupements et coopératives bénéficiant des programmes générateurs de revenus financés par le commissariat aux droits de l'homme, à l'action humanitaire et aux relations avec la société civile a démarré dimanche matin à Zouerate.

Dans un mot prononcé pour la circonstance, le wali mouçaid chargé des affaires économiques a indiqué que cette formation s'inscrit dans le cadre de la nouvelle voie suivie en Mauritanie et qui fait de la rigueur et de l'honnêteté dans la gestion une méthode, soulignant que cette méthode concrétise le programme électoral du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz visant à améliorer le niveau de vie des populations et notamment les couches pauvres.
Les participantes auront à entendre, au cours de la session, durant deux jours, différents exposés présentés par l'expert chargé de la formation, M. Mohamed Ould Saber sur les méthodes de gestion et d'organisation.
76 femmes venues des 3 moughataas de la wilaya profitent de cette session.
ANI

La poudrière commence à exploser à Tékane !

Entre vrai propriétaires terrien et propriétaires privé le calumet de la paix n’a jamais été fumé, profitant des lois fonciers et soutenu par le régime raciste de Maouya qui voulait l’occupation de la vallée par les maure blanc beaucoup de riches « hommes d’affaires » surtout des bergers sont venu occuper des terres de la vallée pour mettre soit-disant en valeur cette partie du pays.

Mais héla après 20 ans de présence les « Haba » du nom de celui qui défraie actuellement la chronique, se monsieur en venant dans la vallée a demande et obtenu 900 hectares de terre qu’on appelait une vallée vide, car elle n’est habité que par des harratines (les peulhs étant extrader vers le Sénégal pour la plus part ) sans oublier que le village de Tirig gambour se situé dans cette partie que l’Etat bidon mauritanien l’avait donné, il avait réussi a faire déguerpir les villageois en les enfermant (femmes, enfant y compris ) pendant plusieurs jours dans l’arène de Tékane comme des moutons.

Mais revenons en a son exploitation (900 hectares) puisqu’il devait soit-disant mettre en valeur une terre supposé morte, en vingt ans il a aménagé 150 hectare, a sérieusement cultivé seulement deux année et pendant dix huit années il creusé un chenal de plusieurs kilomètres qui rendent la circulation des populations difficile et a cause de l’absence de clôture constitue un danger pour les enfants et les animaux.

Si nous tenons en compte seulement la loi qui stipule que les terre non valorisé ne son pas la propriété privée mais qu’elle appartiennent a l’Etat, a charge d’elle de le remettre a un tiers capable de la mettre en valeur cette même loi qui a permis de manière erroné a cet homme d’affaire de s’établir sans papier légal « il prêtant les avoir perdu , un vrais rigolo » cette loi doit lui retiré au minimum ces 750 hectares et de lui laissé la charge la valorisation du reste qu’il a déjà aménager .

Au dernier nouvelle, après une enquête des autorités on s’est rendu compte que l’homme qui réclame plus de 1000 hectares de terre, qui loue actuellement 250 hectares a des turques, qui a creusé un chenal de plus de 6 Km … ne disposerair que 80 hectares.


Ce monsieur comme je disais tantôt n’est pas une particularité et que cette histoire n’est que le début car les populations installer dans cette zones on vu leurs terres remis par l’Etat a d’autre personnes, les terre de toute cette vallée ont été partagé en moins d’une année, il paraitrait même que la superficie de terre distribuer dépasseras largement la superficie total disponible.

Tous c’est personne sauf de rare n’ont pas fait plus de 2 ans avant de reprendre la poudre des escampettes « la chamama nekhoul khana !!! » et ont laisser derrière eux une terre devenu propriété privé et l’ironie du sort cette loi ne permet pas aux populations qui son dans leurs plein droit de demander leurs terres pour les cultivés de les récupérés.

On ne peut concevoir qu’une seul personne réclame la propriété de plus mille hectares et que tout une village ne dispose même pas de cent hectares, au nom de quoi peut on permettre a une personne de couver tous ces terre prés de vingt années sans les cultivés et ne pas permettre a d’autre de réclamer des propriétés ancestrale voir même des propriétés de proximité s’ils sont capable de le mettre en valeur.

Ousmane Sy

Dakar Sénégal




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Info source :
Ousmane Sy

Boghé : Tostan organise une session de formation sur l’usage du SMS Texting.



Le Hakem de Boghé, M. Mohamed Ould M’khaïtir, a ouvert dimanche en fin de matinée, à la Maison des Associations de Boghé, les travaux de l’atelier de formation sur l’utilisation du SMS Texting organisé par l’ONG internationale Tostan dans le cadre de l’exécution de son projet « éducation aux droits humains de 30 communautés du Brakna et promotion de l’abandon des pratiques néfastes telles que l’excision ».

Ouvrant les travaux de la formation après le mot de bienvenue du maire de la commune, le Hakem de Boghé, a d’abord remercié Tostan pour « cette initiative salutaire qui met à profit la poussée technologique actuelle pour échanger plus rapidement et en temps réel ».

Quant au coordinateur national de Tostan en Mauritanie, M. Mamadou Baba Aw, il a indiqué que « cet atelier qui répond aux aspirations des communautés à la base compte tenu de l’évolution des NTIC a pour objectif de former les participants sur le SMS Texting qui peut avoir une grande portée sur le changement des mentalités et des comportements des communautés ».

Ensuite, M. Aw a précisé que « ce programme qui est appuyé par l’UNICEF New York pourra être élargi un peu partout en Mauritanie ». Durant 6 jours, les facilitateurs et superviseurs de Tostan issus des 30 communautés bénéficiaires du projet seront initiés par M. Amadou Mamadou Diallo sur l’utilisation du téléphone portable :

Le menu, la calculatrice et la montre, le tableau d’écriture, les icônes, les modes d’envoi du SMS, le SMS et la gouvernance locale, le SMS et l’environnement, le SMS et la santé, le SMS et l’agriculture. Des séances de démultiplication et d’évaluation sanctionneront les travaux de cet atelier qui intervient après ceux de Kobi 1 (septembre 2007) et 2 (juillet 2008) et Awde (février 2009).

Dia Abdoulaye
www.cridem.org


Info source :
Dia Abdoulaye