mercredi 12 février 2014

Cinq personnes tuées dans un accident de route à Chami

Cinq personnes tuées dans un accident de route à Chami Cinq morts et plus d'une dizaine de blessés tel est le lourd bilan d'un accident de circulation qui s'est produit mardi 12 février, vers 19 heures, peu après la Station service de Chami, ville située à 230 kilomètres de Nouadhibou.

Selon des témoins oculaires contactés par l'Agence Tawary d'Information, il s'agit d'un mini-bus affilé à la société de transport "Bon Voyage" qui est entré en collision avec un autre véhicule. Et vue l'importance du choc, cinq personnes ont trouvé la mort sur le coup et quelque 14 autres se sont retrouvées avec des blessures graves.

Les blessés ont été évacués d'urgence vers le Centre hospitalier de Nouadhibou pour des soins.

Notons qu'il ne peut se passer un jour sans que la route ne fait parler d'elle et selon les services sécuritaires les accidents sont souvent causés par des excès de vitesse et du mauvais état des routes et parfois des véhicules.



Nouadhibou: mort d’un soldat de la Marine après des exercices physiques

Nouadhibou: mort d’un soldat de la Marine après des exercices physiques  Un soldat de la Marine nationale mauritanienne a retrouvé la mort mardi à Nouadhibou (Nord) après une séance d’entrainement, a rapporté une source informée à Alakhbar.

Le soldat Ahmed Ould Mohamed Kori s’était noyé en mer avant d’être retrouvé par les secoures qui l’ont évacué à l’hôpital régionale de la ville où il a va rendre l’âme





Une famille retrouve sa fille après 30 ans de disparition

Une famille retrouve sa fille après 30 ans de disparitionUne famille a finalement retrouvé sa fille Mariem Mint Alramen, après 30 années de disparition dans des conditions mystérieuses. En l’absence de preuves formelles sur la mort de l’enfant, la mère de Mariem, les larmes régulièrement aux yeux, chaque fois qu’elle se rappelait les pas de sa petite gamine jouant gaiement à ses côtés, nourrissait le grand espoir de la reconnaitre un jour, même devenue adolescente, suspectant légèrement un rapt de la petite.

C’est apprend-on, le Procureur Général de Selibaby qui a dénoué ce puzzle, après avoir été au parfum de lourdes suspicions qui pesaient sur l’oncle de Mariem, lequel gardait discrètement la fille chez lui, très loin de la zone de la mère.

Selon des médias, le Procureur Général qui a abattu un travail de titan dans ce difficile effort de détective, avait commencé à croire à l’histoire d’enlèvement de l’enfant datant de plusieurs années, après avoir suspecté, par ses propres canaux judiciaires, les réserves de l’oncle sur le sujet et son refus d’emmener la fille de moment à autre passer les vacances avec ses grands parents.