mardi 25 janvier 2011

Tagant/ Les ministres de l’intérieur et du développement rural en visite à Tidjikja



Le ministre de l’intérieur M. Mohamed Ould Boylil et celui du développement rural M. Brahim Ould M’Barreck Ould Mohamed El Moctar sont arrivés à Tidjikja dans la matinée du mardi 25 mars 2011 au bord d’un petit avion civil. Ils ont été accueillis à l’aéroport par le Wali du Tagant Mohamed Moustapha Ould Mohamed Vall, le Hakem de Tidjikja Ahmed Ould Mohamed Mahmoud Ould Deh, les élus de la région (Sénateurs, députés, maires), les chefs de services régionaux, les représentants des partis politiques et ceux de la société la société civile. Après le déjeuné offert par le Wali du Tagant, les deux ministres ont présidé, dans la salle de réunion de la mairie de Tidjikja, au lancement de la campagne dite « opération solidarité 2011» initiée le par les pouvoirs publics pour faire face à la montée vertigineuse du prix des denrées de première nécessité qui met à rude épreuve le pouvoir d’achat des populations les plus démunies.
Le Tagant qui compte parmi les régions du pays où le taux de pauvreté est très élevé se voit attribuer 13 boutiques témoins dont 4 à Tidjikja et une boutique pour chacune des 9 chefs lieux des communes (Lahsera, Tensiqh, B.B Amer, El Wahat, N’Beika, Moudjéria, Soudoud, Lakhcheb et Tichitt.
Au cours de la réunion, les ministres ont expliqué aux populations le but visé par les pouvoirs publics à travers « l’opération Solidarité 2011 ». Ils ont mis l’accent sur les différents volets de cette opération, sur son mode de fonctionnement, sur le volet ouverture des boutiques témoins et sur les prix fixés qui sont les suivants : kilo de riz à 130UM, sucre à 200UM, litre d’huile à 290UM précisant que 2 kg de riz, 1kg de sucre et 1litre d’huile est la ration fixée quotidiennement pour chaque foyer.
Ils ont également abordé des questions d’actualités comme celles liées au lancement de la campagne nationale de la reforme de l’état civil, des questions sécuritaires, et des questions liées à la campagne agricole 2010-2011.
Nos deux ministres ont eu la lourde tâche de commenter les derniers développements de l’actualité nationale et internationale. Les suicides en série intervenus en Mauritanie et au niveau des pays voisins (Tunisie, Algérie, Egypte) en signe de protestation contre la précarité et le mal de vivre, ont été au menue des débats.
Les ministres ont eu également à répondre à de nombreuses interpellations de la part des populations qui n’ont pas raté l’occasion de poser des questions liées à la détérioration de leurs conditions de vie, des questions liées à des litiges fonciers, des problèmes d’états civil….
Khalil sow
Khalil1965@y

En visite dans la wilaya du Tiris Zemmour, le ministre de l’Intérieur annonce la création de projets susceptibles de résorber une partie du chômage da



Le ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation, Mohamed Ould Boillil, en tournée dans la wilaya du Tiris Zemmour, a déclaré que le gouvernement, « sur instructions du président Mohamed Ould Abdel Aziz, n’est pas resté les bras croisés comme cela s’est passé dans plusieurs pays, mais aussitôt mis en œuvre des mesures susceptibles d’abaisser les prix des denrées alimentaires sur l’ensemble du territoire nationale ».

Ould Boillil qu’accompagne dans cette tournée le ministre du Développement rural, Brahim Ould Moctar Mbareck, avait tenu une réunion à Zouerate avec les élus locaux et les notabilités du Tiris Zemmour dans laquelle le ministre a longuement évoqué la situation des prix sur le plan mondial, mettant en exergue les « raisons exactes » qui ont contribué à leur hausse.

Les deux ministres ont affirmé que le gouvernement a subventionné les prix des denrées de première nécessité pour soulager les populations notamment les plus pauvres, précisant que ces prix seront uniformisés sur l’ensemble du territoire national.

Les deux membres du gouvernement ont révélé que cette opération a coûté à l’Etat une enveloppe financière de plus de 9 milliards d’ouguiyas mais que, malgré cela, il est près à continuer à soutenir les prix jusqu’au retour à une situation normale.

Les deux ministres ont également évoqué les autres mesures prises par le gouvernement pour venir en aide aux populations, par l’appui aux producteurs agricoles et la création de nouvelles opportunités d’emploi ainsi que l’ouverture de centres de formations professionnelle.

Ils ont révélé, à ce sujet, que la fonction publique a embauché 4600 fonctionnaires et agents et que le secteur privé a pu absorber quelque 21.000 nouveaux employés, au moment où une mission se trouve présentement à Nouadhibou pour étudier les voies et moyens de « mauritaniser » les postes dans le secteur de la pêche.

Ils ont également indiqué l’imminence du lancement de nombre de projets de développement susceptibles de contribuer à la résorption du chômage dans le pays, donnant comme exemple, le projet Guelb 2 dans la wilaya du Tiris Zemmour.



Source :
Sahara Medias (Mauritanie)

Adrar/Visite MID/MDRE : Tout sera fleurs de printemps !!!




La mission à Atar des deux envoyés du Président Aziz ,Messieurs Mohamed O. Beilil et Ould M’Bareck reste floue. Il semble cependant, selon certaines sources bien informées, qu’il s’agit d’étouffer les braises incandescentes de révolte des Adrarois , avant que ne souffle le « vent Tunisien » sur les cendres du mécontentement social grandissant . Nos ministres ont-ils dans leurs têtes et sacs à bagages le rafraîchissement adéquat pour atténuer quelque peu, l’échauffement des esprits qui fument la colère. ? Ils s’essayent en tout cas !

Venus de Zouerate aprés Nouadhibou, dans un avion militaire mis à leur disposition, les ministres de l’intérieur et du développement rural n’ont pris aujourd’hui mardi 25 Janvier à Atar que le temps de tenir une réunion au centre culturel communal avant de s’envoler pour Tidjikja.

Dans cette réunion, les ministres, en tournée marathon dans les régions, ont expliqué à la centaine de personnes venues les écouter que l’Etat Mauritanien ,à travers le gouvernement actuel ,a mis en place une politique qui résoudra tous les problèmes posés au pays. Pour le moment disent-ils, les mesures prises sont d’ordre exceptionnel puisque décidées sous le sceau de l’urgence afin de contrer la montée généralisée des prix au niveau mondial.

A l’avenir ,s’alternent-ils à dire,l’Etat Mauritanien s’auto suffira en denrées alimentaires de premières nécessités grâce à la nouvelle politique de l’agriculture ; Il résorbera le chômage des jeunes parce que les diplômes actuels détenus par bon nombre de chômeurs ne correspondent pas aux besoins du développement du pays ;Il assainira le système éducatif national car des « états généraux » sur ce secteur auront lieu prochainement ; I assurera les soins à tous les citoyens où qu’ils se trouvent ;Il moralisera la gestion de la chose publique ;Il renforcera l’unité nationale ;il garantira la sécurité des frontières ; Il… Il…

Après ces discours que n’écoute plus personne attentivement, pour cause du « déjà entendu mille fois », les assistants qui ont demandé la parole (venus expressément pour cela) ont submergé les ministres d’une avalanche de doléances personnelles ou sectorielles. Un défoulement soulageant pour la plupart d’entre eux car ils portent dans leur cœur trop de soucis.

Il importe de rappeler que pas un des « Adrarois de Nouakchott » qui, avant Mai 2009, tapissaient de leurs luxueuses voitures, pour des circonstances pareilles, les environs du centre culturel communal, ne s’est manifesté aujourd’hui. Pas même les élus locaux et/ou nationaux.

Peut être est ce là une réussite remarquable à mettre à l’actif des envoyés du président Ould Abdel Aziz en Adrar.

Ely Salem Khayar/adrar.Info

Le wali provoque des représentants syndicaux en présence de la ministre de l’emploi Halte aux échos de la haine !




Dans un billet paru le 24janvier 2011 sur le site « Cridem » un soit disant signataire « Oum Tounsy » publie : « Le Wali de Nouadhibou provoque l’ire des représentants syndicaux….. ».

En lisant attentivement ce petit billet hâtif, peu instruit et véhiculant des affirmations mensongères, deux figures « emblématiques » de notre presse électronique sautent à l’esprit :

Monsieur Oum Tounsy, Moctar Ould Hmeya et Monsieur Ahdath Nouakchott, Abdellahi Ould Sbai qui s’adonnent souvent, pour le premier à éveiller le démon tribalo régionaliste et à comptabiliser, pour le second, les humeurs tantôt opposantes et tantôt approbantes de certains élus dont l’approche des échéances électorales ne conforte pas.

Depuis la première semaine de l’avènement de l’actuel Wali dans cette région, l’on constate avec beaucoup d’étonnent que Ould Sbai a toujours voulu porter atteinte et discrédit à l’intégrité morale et intellectuelle de Mohamed Vall Ould Ahmed Youra pour des raisons qui restent encore obscures à ceux qui ne sont pas suffisamment édifiés sur les le paysage tribalo-régional du Nord du pays en le taxant de n’importe quoi à l’égard de n’importe qui ;

Concernant les réunions qui ont, tour à tour, profité au patronat et aux syndicats, le wali avait dans une brève mise au point, conseillé aux dirigeants des centrales syndicales d’éviter la complicité contre les travailleurs ce qui devrait conforter ceux-ci au lieu de provoquer l’ire de ceux qui les représentent. Il voulait par cette intervention divorcer avec les anciennes pratiques politiciennes sur l’autel desquelles sont sacrifiés souvent les droits des travailleurs.

Mais l’on constate, malheureusement que « l’habitude est une seconde nature » et comme le disait Jean Racine dans son Britannicus : « Au joug depuis longtemps ils se sont entraînés, Ils adorent les mains qui les tiennent enchaînés »

Ahmed Ould Chemad

Un motif peut en cacher un autre : La vraie raison du déplacement de Maty Mint Hamady à Nouadhibou.




Notre capitale économique en proie à une crise de l’emploi, a vu débarquer dans la ville, Mme Maty Mint Hamadi ministre de la fonction publique et de la modernisation de l’administration, dépêchée par le président de la république, Mohamed Ould Abdel Aziz, à l’effet de désamorcer la bombe sociale qui couve sur la problématique de l’emploi dans la wilaya.

Il est vrai que le chômage frappe de plein fouet Nouadhibou, mais il n’est pas évident que ce soit forcément les migrants illégaux qui sont à l’origine des déboires des nationaux sans emploi dans la capitale économique.

En vérité derrière ce déplacement, se cachait une mission toute autre, nous semble t-il. Celle de mobiliser sous des prétextes fallacieux, les autorités administratives régionales, les employeurs et les syndicats contre ces illégaux sans papier.

Avouons-le, les mesures que les pouvoirs publics veulent prendre à l’encontre de ces nombreux étrangers sans papier à Nouadhibou, paraît s’inscrire dans la droite ligne de la lutte contre l’immigration clandestine conformément aux directives européennes. Pointer du doigt ces sans papiers comme étant des « voleurs d’emplois » dans la capitale économique n’est que pure diversion pour masquer les réalités amères que vivent les chômeurs de la capitale économique.

La réalité est toute autre.


La problématique de l’emploi est beaucoup plus complexe qu’elle ne paraît. Elle ne date pas d’aujourd’hui. Les cycles répétitifs de sécheresse, faut-il le rappeler, ont provoqué d’importants mouvements de sédentarisation des nomades et l’émigration d’une bonne partie de la population à l’étranger. L’incidence de la pauvreté est plus forte chez les ménages féminins notamment à Nouakchott et dans les villes du centre nord.

En milieu urbain, la pauvreté se caractérise par un taux élevé de chômage et de sous-emploi. Pour rappel, la problématique de l’emploi en Mauritanie se caractérise d’une part, par la crise de l’emploi salarié, et d’autre part, par l’évolution rapide de la population active. Le taux de chômage reste toujours élevé, malgré une baisse de 0,80 point sur la base d’un rapport du gouvernement qui indique que le taux de chômage dans le pays en 2009 était de 32%, pour revenir à 31,2% en 2010.

L’économie informelle et les activités à faible valeur ajoutée ont largement contribué à la création d’emplois dans le pays, au cours de la dernière décennie. C’est ainsi que le secteur informel emploie 85% de la main d’œuvre active soit, si l’on en croît les chiffres officiels 914 352 personnes.

Et 777 000 d’entre eux sont sans contrats de travail, sans protection sociale, ni droit à la retraite. Les non permanents dans le secteur public représentent près de 12 000 employés. Le secteur privé, seul capable de générer des opportunités d’emplois, est pour le moment, sans grandes envergures par rapport à la politique de l’emploi dans le pays, en raison notamment de l’absence d’une « inspection permanente du travail et l’application de la législation du travail ».

Les secteurs du bâtiment, du transport, de la santé et du commerce, sont capables d’absorber la main d’œuvre nationale, mais restent pour la plupart mal organisés et marqués par une précarité grandissante, selon la CGTM.

Les solutions pérennes et viables.


S’y attaquer sérieusement implique de connaître dans la clarté, la courbe des emplois dans notre pays et le taux de chômage des jeunes universitaires, des non instruits sans emploi, de connaître également les actions menées par le gouvernement sur la création des emplois jeunes, le taux de financement des programmes et des projets créateurs d’emplois en 2010. Questions que nos députés à l’Assemblée nationale auraient pu poser au ministre de la fonction publique lors de son passage devant les députes.

Le travail est un droit et un devoir sacré pour chaque Mauritanien. Plutôt que de s’en prendre aux migrants, les pouvoirs publics ne l’ignorent pas, l’impossibilité d’obtenir un emploi –qu’il soit ou non rémunérateur- est le problème le plus criant dans tous les groupes sociaux de la République.

Le problème est particulièrement grave pour les jeunes. Le taux de chômage pour ceux-là reste très élevé par rapport à celui des adultes. En outre, même si l’emploi est une priorité du gouvernement, sa politique et sa vision manquent de clarté au regard du vécu quotidien dans le marché du travail. Le service de la main d’oeuvre évolue dans une totale opacité.

Dès lors, pour se tirer de la mauvaise dans laquelle elles sont, les autorités nationales ont tout intérêt à prendre le taureau par les cornes en déclinant une vision claire en matière de création d’emplois à court, moyen et long termes. Pour cela, il est important de répertorier les projets porteurs d’emplois à répartir pouvant générer des emplois pour l’année 2011 dans le secteur public, sans compter les emplois indirects qui en découleraient.

Seulement il y a lieu de ne pas oublier l’Agriculture et le Développement rural qui sont les principaux gisements d’emplois dans notre pays. Car ces deux secteurs peuvent totaliser à eux seuls la majorité des emplois à créer si tous les projets de ce departement ministériel sont exécutés.

Autrement dit, c’est en investissant dans l’agriculture que le pays peut réduire sensiblement le chômage en général et le chômage rural en particulier. Outre ces deux secteurs, le troisième du point de vue de la capacité à offrir des emplois, c’est celui des infrastructures avec une approche de Haute Intensité de la Main-d’oeuvre (HIMO).

Sur ce plan, force est de constater que de gros efforts sont déployés déjà par les pouvoirs publics il reste beaucoup à faire.

En ce qui concerne l’emploi des jeunes, il y a lieu que le ministère de la fonction publique et celui chargé de l’emploi et de la formation professionnelle travaillent en synergie, pour concevoir ensemble différents projets susceptibles de générer des emplois en faveur des jeunes. Toutefois, comme l’indique un expert, il faut distinguer deux catégories de jeunes, en l’occurrence, les jeunes qualifiés et ceux non qualifiés.

Pour la première catégorie, c’est-à-dire les jeunes diplômés demandeurs d’emploi, explique t-il, ils sont généralement confrontés aux exigences des entreprises qui requièrent un minimum d’expérience professionnelle.

Quant aux jeunes non qualifiés demandeurs d’emploi, le problème est plus complexe, car il leur faut, selon les cas, des formations spécialisées pour les rendre compétitifs sur le marché de l’emploi.

Il n’est pas tard pour corriger.

Reste à savoir comment répertorier les chômeurs dans ce vaste pays ? Avec un minimum de volonté, les deux départements ministériels peuvent mettre en place un cadre de concertation avec tous les acteurs du secteur sur le sujet. A ce qu’il paraît, il y a lieu d’impliquer totalement les autorités administratives dans les différentes régions dans l’opération d’identification des chômeurs, et aussi dans l’enrichissement de la politique nationale de l’Emploi et de la formation professionnelle. De la sorte, la problématique de l’emploi sera globalement prise en compte, tant au niveau central que régional.

Moussa Diop


www.cridem.org


Source :
Le Quotidien de Nouakchott

Claude K se convertit à l’Islam :Mohamed Nourredine Abdelmadjid, c’est son nouveau nom de « mouslim »



Nous publions exceptionnellement cette information bien qu'elle ne relève pas de l'actualité régionale. Mohamed Nourredine Alias Claude K le Webmaster de Cridem est un ami et la nouvelle de sa conversion à l'ISLAM est un évènement de taille qui mérite d'être largement diffusée.


Nous venons d’apprendre de sources concordantes que le webmaster, du très célèbre portail Cridem « mauritanisé », par la passion que lui vouent les nationaux au pays et parmi la diaspora, après un long combat pour l’avènement de la démocratie plurielle en Mauritanie, mené depuis l’extérieur, Claude K vient de se convertir à l’Islam.

Une heureuse nouvelle qui ne peut que bien réconforter les fils de cette chère nation, qui voyaient en cet infatigable épris de la presse électronique, un mauritanien parvenu, par le simple dévouement qu’il a consacré et ne cesse de témoigner à la Mauritanie, qu’il ne connaîssait pourtant qu’à travers des amis mauritaniens expatriés, ayant partagé avec lui les mêmes bancs dans les écoles supérieures françaises.

Un penchant incomplet, qui ne souffrait d’ailleurs que de l’existence d’une solide barrière religieuse, aujourd’hui totalement brisée grâce à cette conversion, en vertu de laquelle, CK est dés à présent, partie intégrante d’une société hospitalière et ouverte, où les familles venues d’outre-mer, ayant embrassé cette chère religion font légion, depuis l’ère colonialiste, les indépendances et jusqu’à nos jours.

Autre élément important qui donne à cette conversion toute sa portée, son élévation et sans grandeur, c’est celle de savoir que CK est le descendant d’un père musulman qui, de sa dernière demeure, doit être aujourd’hui un témoin heureux de cette conversion du fils.

Selon les mêmes sources précitées, la cérémonie de conversion à l’Islam a eu lieu lundi 24 janvier 2011 à Sebkha à Nouakchott.

C’est l’Imam trés connu Thierno Seydou Hamidou Ly, petit fils d’El Hadj Thierno El Hadj Mamadou Moussa Ly qui a scellé cette conversion au terme de laquelle CK s’appelle désormais Mohamed Nourredine Abdelmadjid Kheloua, alias Claude K.

On apprend également que l’heureux évènement religieux a eu lieu en présence des témoins et de quelques amis du nouveau reconverti trés réjouis de cette entrée dans l’Islam, qui enregistre de plus en plus des records dans les pays européens.

Enfin, rappelons que Mohamed Nourredine, ce mordu de la Mauritanie, pour lequel le pays reconnait le privilège d’être l’artisan du grand coup d’accélérateur donné à la démocratie et à la presse mauritanienne toutes catégories confondues (revue de presse et concurrence des sites), particulièrement pour l’information électronique et pour l’expression de l’opinion et de l’opinion d’autrui (forums), dans la limite du tolérable et du moral (charte de cridem), a élu domicile en Mauritanie depuis janvier 2008.

Avec cette conversion, il ne fait que confirmer sa passion pour ce pays qui l’accueille les bras ouverts en décidant enfin de briser la glace et de parachever son intégration en embrassant l’Islam.

Sur un autre plan, notons que Mohamed Nourredine avait été élu par le magazine Mauritanie1 parmi les 100 personnalités de l’année 2010 qui font bouger la Mauritanie.

Il fut le seul non mauritanien à entrer dans ce palmarès. Ce qui signifie que son intégration se faisait sans faute, bénie par les nombreuses voix qui s’élèvent sur son portail cridem pour réclamer son élévation au grade de citoyen mauritanien à part entière. Avec cette conversion, c’est presque chose acquise.

Alhamdou Lillahi qui guide et égare qui il veut.

Mohamed Ould Mohamed Lemine