Trarza /Rosso : Réseau Régional de la petite enfance : nous sommes à l’abc face à l’appui de notre Ministère de tutelle

Depuis quelques années le réseau des femmes de la Wilaya du Trarza se charge du programme éducatif de la petite enfance, il regroupe en son sein des dizaines de jardins d’enfant de la wilaya.

Compte tenu de l'importance et l'urgence d'agir dans le domaine de la petite enfance assurant l'avenir des établissements scolaires, ce réseau réclame l’appui du Gouvernement via son Ministère de tutelle.

Selon M. Assane Guéye Président du réseau : « Assurer le développement harmonieux de la petite enfance dans un environnement stimulant et sécuritaire est primordial.

Notre raison d’existé est en plus de réitérer l’importance d’offrir à chaque enfant des services d’éducation de qualité, c’est pourquoi nous lançons un appel fort au gouvernement via son Ministère chargé des affaires sociales, de l'enfance et de la famille , pour nous permettre de favoriser le développement global et l’habileté sociale de ce secteur, pourvu que quelques années se sont écoulées, toujours sans appui ni considération de leur part.

Nous sommes complètement oubliés face au développement de ce secteur qui survit avec les modestes moyens que des dizaines d’acteurs qui sacrifient.

Le Gouvernement nous a complètement oubliés, chaque année une commission vient s’enquérir de nos besoins, mais sans suite. La prise en charge des problématiques sociales, qu’il s’agit d’action sociale proprement dite ou d’accueil de la petite enfance, accuse un fort déséquilibre selon que l’on vive à la ville ou en milieu rural (absence de moyens, d’assistants sur place…) ».

Mme Awa mbodj secrétaire Générale Adjointe, Mah Mint Souedina, Mme Diakher Thieye trésorière et Mme khady, des responsables du réseau témoignent : « Nous tenons à remercier Mme Marieme Mint Baba coordinatrice Régionale du Ministère des affaires sociales, de l'enfance et de la famille à Rosso, qui ne ménage aucun effort en collaboration avec le réseau, dans le sens d’offrir aux enfants de la wilaya les meilleures chances de se développer dans ce secteur de l’éducation, mais juste que sur le plan local, elle nous assiste sans aucun moyen provenant de son Ministère de tutelle, c’est encore décourageant ».

Nous femmes du réseau, lançons un appel à l’endroit de notre Ministère de tutelle, afin de nous permettre d’offrir aux enfants de la Région, un milieu de vie plus stimulants et enrichissants se reposant sur un appui qui concernent :

- l’équipement de leur siège ;
- les appuis directs du Ministère destinés aux réseaux de la petite enfance auxquels nous n’avions jamais bénéficiés ;
- la motivation des monitrices pour leurs permettre de bien participer au développement de ce secteur ;

Ainsi que la mise en place d’un budget de fonctionnement pour un réseau apte à exercer ses activités convenablement.

Ibrahim Idriss

Zouerate/Commune : La Snim mobilise 35 Wagons citernes pour l’alimentation de la ville en eau potable

La commune de Zouerate a procédé eau lancement du système d’alimentation en eau potable par wagons citernes ; il s’agit de 35 wagons citernes mobilisés par la Snim pour compenser le manque d’eau dans la ville minière. Ces wagons de 80 m3 chacune seront alimentés en eau potable depuis Boulanwar à raison de 10 à 15 wagons par jour soit 800 à 1200 m3 par jour.

Il y’a lieu de noter que la Snim mobilisait près de 450 m3/jour pour les camions citernes de la commune qui à leur tour alimentaient les foyers. Avec l’arrivée des wagons citernes la quantité d’eau va augmenter de 450 à 1250 m3, voir 1650m3. 10 des 35 wagons citernes sont t’arrivés à Zouerate.

Dans un mot prononcé à cette occasion, l’adjointe au Maire Mme Al Ghalia Mint Ahmed Ould Maouloud a remercié la Snim au nom du Maire de Zouerate Cheikh Ahmed Baye pour sa fructueuse collaboration dans divers domaines et principalement celui relatif à question de l’eau.

Elle a ajouté que « le Maire avait promis l’arrivée des wagons citernes et cette promesse a été tenue ». La Cérémonie à eu lieu en présente du Hakem de Zouerate, du Directeur de cabinet du Wali et de l’Attaché de Direction de la Snim.

L’augmentation du volume l’eau distribué dans la ville minière vient à point nommé pour répondre aux besoins des populations qui doivent faire face à un été rude qui coïncide avec le moi béni du Ramadan.

Ce système de distribution démontre l’engagement des différents acteurs en attendant la réalisons du projet de d’adduction en eau potable vers les quartiers périphériques de la ville de Zouerate lancé il y’a un an.

Avec Cridem, comme si vous y étiez...

Source : Abdallahi Dieng Ould Cheikh

Les 3 (trois) ! Adrar Géo- Stratégiques du Sahara et du Sahel.

Le nom de l'Adrar en général, dans le Grand Sahara du Sahel en Afrique, signifie: « pierre, rocaille, mont » en berbère. Adrar se prononce localement, et en Algérie précisément,comme Adghagh (« rocaille » en berbère), c'est la transcription française qui en a fait Adrar.

Il s'agit probablement d'un traitement linguistique particulier appelé confusion sémantico-formelle (propre à la zone berbérophone méridionale), plutôt que d'un traitement phonétique particulier.Le territoire de la commune de l'Adrar en Algérie se situe au centre-nord de sa wilaya.

La ville de l'Adrar d'Algérie en l’occurrence,est située à environ 600 km au sud-est de Béchar,, et à 1 200 km à l'est de Tindouf, au Nord-Est de la Mauritanie, (via Béchar et aussi, à 1 400 km au sud-ouest d'Alger, c'est dire combien, cette zone de l'Adrar de l'Algérie bénéficie, d'une position particulièrement stratégique dans ce pays, et extrêmement "confortable" au centre de l'Algérie, de tous "point de vue", économique, sécuritaire et social est autre....!.

L'Adrar d'Algérie, dispose d'un aéroport situé à 11 km au sud-est de la ville qui porte le même nom. Des vols opérés par la compagnie Air Algérie relient Adrar aux grandes villes du nord de l'Algérie : Alger et Oran, et à quelques villes du sud algérien : Ouargla et Bordj Badji Mokhtar. L'Adrar de L'Algérie, possède, aussi un centre de rétention. La ville de L'Adrar d’Algérie abrite, parallèlement a tous ce-là ,une prestigieuse université qui est, réputée pour la richesse de ses collections de manuscrits.

Quand a l'Adrar des Ifoghas au Nord du Mali,(parfois orthographié Iforas ( montagne des Iforas) c'est un massif montagneux ,en plein milieu du désert.situé dans le Nord-Est du Mali et au Sud de l'Algérie. Il fait partie des principaux massifs montagneux du Sahara, et du Sahel, avec l'Aïr, le Hoggar et le Tibesti. Il fait également partie de la zone d'évolution dénommée Azawad par les Touaregs.Les habitants de l'Adrar du Nord du Mali, sont les Ifhoghas, se nomment les Kel Adagh, le terme Kel Ifoghas se rapportant spécifiquement aux membres de la tribu des Ifoghas.

En tamasheq, Adrar signifie « montagne ». Quant au mot ifogha, il vient du clan aristocratique touareg Kel Ifoghas qui exerce depuis plusieurs générations un rôle politique prédominant dans cette région. Ce sont des éleveurs de chameaux, de chèvres et de moutons dont ils font le commerce,depuis fort longtemps dans ce désert aride,du Sahara et du Sahel.

Le nom originel de l'Adrar des Ifoghas est Adagh (« la montagne »). Ce nom a été attribué par l'administration coloniale française, en son temps. pour éviter, aux troupes Françaises d'antan opérant dans la zone,une confusion; de repérage dans les cartes militaires, avec la région de l'Adrar en Mauritanie qui était également occupé par la France dans la même période.

La superficie de cet imposant massif du Nord du Mali;est d'approximativement de 250 000 km2. cette région est jonchée d'empilements granitiques sous formes de blocs très érodés. Les vallées y sont larges et peu encaissées ; elles s'ouvrent à l'est sur la plaine du Tamesna, à l'ouest sur le fossé du Telemsi, au sud vers le bassin occidental de l'Azawagh et au nord sur le Tanezrouft.

Ce massif montagneux situé en plein cœur du Sahara,accueille une importante population touarègue, les montagnes jouant, depuis toujours, dans le désert le rôle de « châteaux d'eau ». On y trouve de nombreuses gueltas , ou points d'eau stratégique dans ce désert hostile et aride.

L'Adrar des Ifoghas au nord du Mali, est riche en gravures rupestres. L'Homme d'Asselar , a été découvert par Théodore Monod, qui avait séjourner aussi longuement, dans l'Adrar Mauritaniens.depuis les années 1930.dans les environs d'Atar, ou un hôtel, porte son nom. et à séjourner aussi à Chinguetti, quelques années avant de s’installer à Wadane, ou il a découvert le Fameux volcan éteint de Guelb Richatt. plus tard,dénommer "l’œil de l'Afrique" par les Américains de la NASA .car vu des spationautes du ciel,sous forme d'un œil gigantesque en plein milieu du désert du Sahara.

Au cours du conflit malien de 2012-2013, la région de l'Adrar des Ifoghas servait, de refuge à des groupes armés de musulmans salafistes et djihadistes, dont le groupe AQMI. Des otages européens,y étaient détenus "probablement" dans la zone du massif de Tigharghar) à la suite de rapts effectués au Niger et au Mali : quatre Français enlevés à Arlit au Niger en septembre 2011, deux autres à Hombori dans le Nord du Mali en novembre 2011 et un dernier otage enlevé près de Nioro en novembre 2012 dans l’Ouest du Mali s'y trouvaient probablement eux aussi,dans ces no mans land, au cour de cette malheureuse période de déstabilisation du nord du Mali.

Quand a l'Adrar Mauritanien. il constitue, la 7e région administrative (wilaya) de la Mauritanie. Située au cœur géographique et historique du pays, l'Adrar Mauritanien, doit son nom au plateau gréseux du même nom, qui domine une région désertique relativement plate – le mot Adrar désignant « une montagne » ou une « crête montagneuse » toujours,en langue berbère1. On le dénomme souvent « Adrar mauritanien », afin d'éviter toute confusion avec la wilaya de l'Adrar D'Algérie ou l'Adrar des Ifoghas au nord du Mali.

Mais la particularité de l'Adrar Mauritanien c'est, sa position extrêmement, géo-stratégique, lui aussi .car au centre de la Mauritanie, tout d'abord. ce qui lui a valu d'abriter la première unité d'élite de l'armée Mauritanienne,dite les "Bérets rouges" de l'armée nationale, plus connue sous le nom du premier BCP (Bataillon de Commandos et de Parachutistes d'Atar), cette unité d'intervention spéciale qui peut être "parachuter de l'Adrar Mauritanien,vers n'importe qu'elle autres wilayas du pays a distance, et "temps égal" est ce-là sur l'ensemble du territoire Mauritanien,pour une intervention militaire, si c'est nécessaire. c'est ce-là le secret, de la pertinence du choix de la position géo-stratégique, spécifique de l'Adrar Mauritanien et Atar particulièrement.

Le "Terrain" de cet Adrar Mauritanien, aussi de part la multiplicité des "reliefs"(dunes, montagnes,monticules collines falaises,pleines et batha..etc..!) qui s y trouvent,en abondances.ont permis, d’offrir a l'école Militaire inter Arme d'Atar, un lieu privilégié et multifonctionnel, de choix tactique,un site spécifique et unique dans le pays,qui renferme tous ,les reliefs existant en Mauritanie, pour une "école" professionnelle, de manœuvre militaire,a ciel ouvert. et ce-là,dans un espace exceptionnellement"sécurisé" car le Massif montagneux de l'Adrar Mauritanien, pour les connaisseurs avisés,en la matière.est une citadelle Militaire naturelle érigée par la Providence en plein milieu du désert.

Il suffit de quatre hommes"modestement" armés, et stratégiquement,bien "positionner" aux quatre points cardinaux de l'Adrar mauritanien, sur des "passages montagneux obligés",de cet l'Adrar Mauritanien pour le "fermer" définitivement et le"sécuriser" complètement,et totalement de tous "envahisseurs" étrangers venus de son extérieur.

Les 3 (trois) Adrar du Sahara et du Sahel en Afrique, ont plusieurs points communs aussi, au delà de leurs valeurs géo-stratégiques qui n'est plus a démontrer,dont notamment,leurs appartenances tous, d'abord a cette bande instables et "incertaine" aux yeux des occidentaux, a savoir, la Zone Sa haro-sahélienne, instable a plus d'un titre. constituée,d'un long désert commun, qui est peu habiter et très difficile a contrôler. Puis les coutumes et habitudes nomades de leurs populations respectifs, qui rend difficile le reste de la "tache".

Une intégration donc, sous régionale bien "murie" et " bien étudiée", économiquement et socialement de ces 3 (Trois), Adrar du Sahara et du Sahel "Africain", serait la bien venu. et ne peut être,que bénéfique a court , moyen et long termes, pour plusieurs raisons géo-stratégiques.pour toute la communauté internationale tout d'abord. mais aussi pour les 3 (trois) pays concernés en suite;a savoir(la Mauritanie, le Mali et l'Algérie) est pour la "Stabilité" du Maghreb en particulier et l'Afrique en général.

A travers, la construction d'une route commune,et stratégique trans-saharienne,"bitumée" reliant, Nouadhibou à Atar , jusqu'à, la ville de l'Adrar au Sud de l'Algérie en traversant les "immenses dunes" de lemreye ,a la frontière nord-est ,avec le Mali; et traversant, par la suite Kidal au nord du Mali. est reliant, la Mauritanie et l'Algérie.et ce-là,tout au long de ce grand désert hostile pour "le moment".

Dans un grand et méga-projet "pharaonique" transfrontalier, d'intégration africaine qui changera la face "hideuse" de ce désert hostile et instable,et ce-là a l'image du méga-projet de la "Grande muraille verte" de l'Afrique. car, seulement des "idées" de ce genre,et de cette "taille" ainsi que de cette dimensions aussi,peuvent relever les défis actuels, et changer complétement la "donne" de ce "moment" d'instabilité dans cette grande partie"oubliée" du monde moderne. a savoir: le grand Sahara du Sahel.

Cette infrastructure "bénéfique" pour tous le "monde",contribuera certainement , et sans l'ombre d'un doute. a améliorer les conditions de vie,déjà très précaires des populations nomades de ces zones Arides,dépeuplés par l'insécurité et le terrorisme. et peut même,constituer a long terme une "source de développement, a travers les solutions "durables" qui ne manqueront pas de se "greffés" au passage de cette route "d'espoir"a juste titre.

En étant une solution durable au "casse tête" de sous-développement dans cette zone aride et déshéritée. qui "abrite" ces jours-ci, toutes formes de défis d'insécurités pour la communauté internationale et pour les pays concernés.

la nouvelle donne du G5 du Sahel,doit s'attaquer en premier lieu,de front aux différents problèmes de développement de cette zone aride déshérités. par des projets d'intégration a la limites des défis et des aspirations des populations qui vivent dans ce désert hostile; en créant une institution internationale pour le Développement des Zones Arides, ces zones Arides du Sahara et du Sahel, dont les sous-sols sont très riche ,en toutes "sortes" de minerais. et celà, sans s'attarder longuement, sur les "côtés" immédiat de rentabilité de ces projet stratégique pour le Maghreb et l'Afrique, a très longs termes.

A Bon Entendeur Salut

Mohamed Ould Souleymane Ould Mahah

Le Wali de l’Inchiri visite le site de MCM

Mercredi 28 juin, le Wali de l’Inchiri, Diallo Amadou Samba, accompagné du Hakem, du Maire d’Akjoujt (Ahamed Ould Yaghoub) ainsi que d’autres autorités locales, a visité les installations de la MCM (Mauritanian Cooper Mines).

La visite a commencé par des échanges dans la salle de conférence de la société. Le directeur général de MCM, Bill Wakaboyashi, et ses collaborateurs ont présenté aux autorités locales, les mesures de sécurité obligatoires au niveau du site, les actions sociales de la MCM ainsi que celles prises pour la protection de l’environnement.

Pour l’action sociale, les responsables de la MCM ont fait état « au-delà des impacts sociaux, de l’action de l’entreprise pour améliorer les conditions de vie des populations. » Il a été ainsi rappelé « la fourniture d’eau potable a Akjoujt, Benichjaab et tout au long de la conduite entre ces deux localités. »

Akjoujt reçoit entre 1100 et 1400m3 d’eau par jour et Benichab 150 à 200 m3 par jour. Quant aux communautés vivant le long du pipeline, elles reçoivent 250 à 400 m3 par jour. Il y a aussi l’approvisionnement par bâches installées dans les zones périphériques.

Pour le volet éducation, MCM contribue a la réhabilitation des écoles, a la fourniture de bourse aux étudiants et participe aux plans d’actions de la Dren.

Pour la santé, MCM a financé en 2010 à hauteur de 627 millions d’UM, la réhabilitation et l’équipement de l’hôpital d’Akjoujt. 133 autres millions d’UM ont été alloués au fonctionnement de cet hôpital pendant 18 mois. L’entreprise apporte également sa contribution aux campagnes de vaccination.

Au niveau des infrastructures, il y a eu la réhabilitation et l’élargissement de la route Nouakchott-Akjoujt et la contribution a la réalisation de 05 kilomètres de route a l’intérieur de la ville d’Akjoujt ainsi que le désenclavement de Benichab. L’action sociale de l’entreprise touche aussi les activités sportives, les handicapés, les manifestations culturelles…

L’exposé sur la politique environnementale de MCM a suscité plusieurs questions de la part des autorités locales. Des autorités qui ont fait état de leurs inquiétudes au sujet de la gestion des déchets issus de l’exploitation de la mine. Les responsables de MCM ont expliqué qu’il est « régulièrement procédé au suivi de la qualité de l’air et de l’environnement en général sur le site et en ville, il en est aussi de même de la qualité de l’eau surtout au niveau de la nappe de Benichab. »

Pour préserver la nappe de Benichab, l’entreprise a trouvé une source alternative d’eau saumâtre. Quant au bassin de la Moarak, sa réhabilitation est en cours pour « évacuer tous les résidus des sols contaminés dans le nouveau bassin de cyanure protégée par un tapis HDPE imperméable. »

Le système de gestion environnementale de MCM est conçu en « conformité avec la législation mauritanienne en vigueur et répond aux normes de l’ISO 14001. » Ainsi « une étude d’évaluation des impacts environnementaux et sociaux a été réalisée en 2005 et réactualisée en 2009. Ces études ont été soumises aux autorités compétentes et validées. »

Avec Cridem, comme si vous y étiez...

Source : Rédaction Cridem