lundi 23 janvier 2012

Nouadhibou : 965 mille euros saisis par la douane




Selon le correspondant de l’ANI à Nouadhibou, citant une source informée, une somme de 965 mille euros a été saisie, lundi, par le poste de douane sur la frontière avec le Maroc.

De même source, on précise, que cet argent a été saisi sur une commerçante répondant au nom de Fatimettou Mint Elkory, en partance pour le Maroc.




Source :
ANI (Mauritanie)

Cas d’esclavage à Ain Farba: « Mes enfants étaient bien des esclaves d’Ehel Khanvour à Agharghar » dixit Mbarek, père des huit présumés esclaves.



Dans une déclaration aux défenseurs des droits de l’homme, notamment Boubacar Messaoud, président de SOS-Esclaves et Aminetou Mint El Moktar, présidente de l’Association des Femmes Chefs de Familles (l’AFCF) Mbarek, le père des neuf enfants esclaves dans l’affaire Ain Farba, rencontré à Aioun, a reconnu sans détours que ses enfants (quatre garçons : Mohamed Lemine, Taleb Jiddou, Mohamed El Moktar, Cheikh Oumar et quatre filles : Zeinebou , Ainna, Lveive, Aichatta ) sont bel et bien des esclaves comme leur mère Salka Mint Elemine de Lettou Mint Gardi Ould Taleb Ely dont le mari Mohamed Nouh Ould Khanvour est conseiller municipal dans la commune d’Ain Farba. Le père des enfants a déclaré aussi que les maîtres leur infligeaient, parfois devant lui, toute sorte de mauvais traitements. Aussi, Mbarek a rappelé qu’il a épousé Salka après avoir souscrit à la condition des maîtres de celle-ci, qu’elle ne rejoigne pas le domicile conjugal.

La mère des enfants Salka est devenue malade mentale à cause de leur séparation suscitée par les colportages et fausses informations. Pour les responsables des droits humains, cette histoire révèle bien un cas d’esclavage avéré pour au moins les quatre caractéristiques suivantes :

- Salka a été mariée à Mbarek par ses maîtres sur la base de conditions auxquelles il a souscrit dont principalement l’exigence de rester auprès d’eux dans le village d’Agharghar.

- Sa fille Zeinebou s’est mariée sans son consentement. Son tuteur est Mohamed Nouh Ould Khanvour, l’époux de Lettou Mint Gardi Ould Taleb Ely, la maîtresse de sa maman Salka. Son père ne connaît même pas le montant de sa dot.

- Salka, sa femme habitait dans un taudis à côté de ses maitres pour qui, elle travaillait sans contrepartie et ses enfants servaient à toutes autres occupations comme bergers, domestiques.

- Tentative de Mohamed Nouh Ould Khanvour de convaincre Mbarek de lui donner une procuration attestant que ses enfants ne sont à sa charge que pour leurs bienfaits en contrepartie d’un montant de 150.000 UM et d’aller avec lui le déclarer officiellement au Wali et de dessaisir son fils ainé Mohamed Lemine qui a porté l’affaire devant les tribunaux de cette question. Mbarek a porté plainte pour l’exploitation de ses enfants et de sa femme.
LE CALAME:

Communiqué de presse : Le Fonds des Nations Unies pour les interventions d’urgence octroie plus de 4 millions de dollars US à la Mauritanie.




Dans le cadre de la réponse à l’appel lancé par le Gouvernement pour faire face au déficit en production agricole et pastorale enregistré en 2011, le Fonds Central des Nations unies pour les Interventions d’Urgence (CERF) vient d’approuver une requête soumise par le Système des Nations Unies en Mauritanie pour un montant global de 4.005.272 dollars US.

Cette requête a pour objectif d’appuyer les efforts du Gouvernement visant à réduire l’impact négatif de la situation que traverse le pays sur les groupes vulnérables, notamment les enfants de 6 à 59 mois atteints de malnutrition aiguë modérée et sévère, les femmes allaitantes, ainsi que les ménages d’agriculteurs et d’éleveurs.

Au total, 119 938 personnes, dont 33.428 enfants âgés de moins de cinq ans, répartis dans les régions du Gorgol, du Brakna, de l’Assaba et du Guidimakha, seront concernées par cette assistance.

Cet appui, objet de la requête, s’articule autour des projets initiés par les agences du Système des Nations Unies en Mauritanie, à savoir la FAO, l’OMS, le PAM, l’UNFPA et l’UNICEF. Il s’agit d’interventions complémentaires qui feront l’objet d’une mise en œuvre coordonnée afin de répondre aux besoins prioritaires déterminés en commun accord avec les autorités nationales. Le PAM recevra 2 millions de dollars pour l’appui nutritionnel et l’approvisionnement des stocks alimentaires villageois de sécurité.

La FAO se verra octroyer 600 336 dollars pour apporter une assistance aux communautés d’éleveurs. L'UNICEF recevra 596 230 dollars US pour la prise en charge de la malnutrition aigue et le renforcement des capacités. L’UNFPA sera dotée de 426 911 dollars US pour la fourniture d’équipements et le suivi des femmes enceintes et allaitantes. Quant à l’OMS, il bénéficiera de 381 656 dollars US destinés notamment à l’acquisition de médicaments essentiels et de consommables médicaux et au renforcement des capacités de suivi-évaluation du programme.

Le CERF, qui est géré par le Bureau des nations Unies pour la coordination humanitaire (OCHA), a été créé en 2005 par l'Assemblée générale de l'ONU. Il a accordé une assistance multiforme à la Mauritanie au cours des cinq dernières années.

Rappelons que la Mauritanie accuse un déficit alimentaire structurel de 30% en moyenne par rapport aux principaux besoins alimentaires essentiels de sa population. L’année 2011 est marquée par un déficit pluviométrique important. Les prévisions de récoltes céréalières font ressortir une baisse de 48% de la production céréalière brute et de 64% pour la production nette selon les estimations de la mission conjointe CILLS/FAO/FEWS-NET/Gouvernement/PAM réalisée en octobre 2011.

Face à cette situation, le gouvernement mauritanien a mis en place un programme d’intervention sectoriel dénommé « Emel » en vue d’atténuer les effets de cette conjoncture exceptionnelle sur les populations et le cheptel. Ce programme comporte deux volets et vise à lutter, d’une part contre la pauvreté à travers le sauvetage du cheptel et, d’autre part, à garantir la disponibilité des produits de première nécessité en faveur des populations nécessiteuses, contribuant ainsi à diminuer l’impact sur l’état nutritionnel et de santé des enfants.

Il convient de mentionner qu’outre cette réponse commune des agences du Système des Nations Unies à travers le CERF, les agences concernées entendent apporter des réponses plus structurantes comme cela apparaît dans le plan d’action de l’UNDAF 2012 – 2016.

Nouakchott, 22 Janvier 2012.



Source :
UNDP

Brakna : s'adressant à la population de Wouro Aly Guélél le maire de la commune de Dar El Barka Mr Kane Amadou Tijane pèse ses mots dans son discours




C’était ce 21 janvier 2012 à l’occasion des inaugurations des réalisations faites de l’ong APEM dans les 3 communes du département de Boghé (à Dar El Avia, Ould Birom et Dar El Barka)

L’ong APEM est sous la direction de Mr Sow Moctar Aliou et dont la présidente est Madame la 1ére dame en RIM a occupé le poste de ministre Aissata Kane dite Kadia Mame. Les maires de Boghé, Dar El Avia, Ould Birom et Dar El Barka ont tous assisté à l’événement. Ici, à Wouro Aly Guélél, il était question d’inaugurer un poste de Santé, construit par APEM, pour la Population de ce village et ses alentours.

Des centaines d’individus, des jeunes à cheval pour accueillir la délégation de l’ong APEM, afin de leur signifier l’acte et l’action combien salutaires chez eux.

L’ambiance était au rendez vous, des tambours battants, la cadence et le rythme se confondaient avec les cris de joie de cette population qui se déplaçait au paravent des km et km pour aller se soigner. Face à cette foule immense Mr le Maire Kane Amadou Tijane a dit dans son allocution qui restera là longtemps ancré dans les esprits de ces vieux, vielles, jeunes de toutes ces localités de Toro.

Après les salutations, le maire affirme : « nous voici à nouveau réunis aujourd’hui pour une inauguration. Tout le plaisir est pour nous de vous revoir, chers concitoyens de Wouro Aly Guélél, également vous ONG qui nous accompagnez quotidiennement dans l’exaltante mission que la loi confère aux élus locaux à savoir l’animation du processus du développement économique et social d la commune mais aussi vous souhaiter la bienvenue et remercier ceux qui viennent de se joindre à nous malgré un calendrier personnel chargé.

Mon plaisir est d’autant plus grand aujourd’hui que la rencontre intervient à quelques jours de l’inauguration du regroupement des écoles à Foodé Mayel et L’Wiam, symbole de notre volonté d’œuvrer à l’épanouissement et au développement des populations et notre attachement à leur bien être et à leur santé.

Je suis d’autant heureux que cette construction Est à l’initiative de Moctar Sow devrai-je dire L’APEM dont la présidente est Aissata Kane connue comme Kadia Mame et Manos Unidas partenaire louable. Je ne vais pas me priver de me glorifier vous informant que je suis membre fondateur de APEM et son vice président attiré.

Je suis fier encore parce que cette cérémonie se déroule à Wouro Aly Guélél village symbole de cette contrée, Wouro Aly n’était t-il pas le passage le plus sur pour rallier les deux rives quand les crocodiles étaient maîtres du fleuve de Elidiambo à Mondouwaye ? N’est ce pas le premier de nos ports où l’on échangeait nos produits avec Dar-Guédj ? N’est ce pas Aly Guélél que les matériaux destinés à Amar aoiun étaient débarqués des bateaux solac, Mauritanie et Bou Elmoghda ? »

Je me réjouis surtout de savoir ne plus revoir grâce maintenant à la médecine préventive, l’image de cet enfant titubant étouffant d’une quinte de toux. Il s’appelait DEMFODJI. Il était le fils de ma tante Coumba Aissata qui vivait ici à Ali Guélél. Quelques semaines plu tard j’ai lu une forte tristesse sur le visage de ma mère : la ilaha ila allah disait elle Demfomdji est mort ! La il laha ila allah, il était emporté par la coqueluche.

Je n’ai pas évoqué ce passé que pour symboliser notre attachement, notre détermination et enthousiasme à asseoir une politique de santé louable et de proximité dans la commune.

La réalisation, que nous inaugurons aujourd’hui est une consécration de notre politique de santé dont l’objectif est de rapprocher les soins et rendre le médicament disponible auprès d la population. C’est à ce titre que nous avons réhabilité toutes les unités de base de santé de la commune, que nous avons formé les auxiliaires de santé de Sinthiane –Diama et Diatar suscités de manière participative la création de la mutuelle communale de santé de Dar El Barka.

Je réitère encore maintenant, grand merci à APEM, je tiens à remercier Monsieur le Hakem, qui n’a pas pu nous honorer de sa présence à cette cérémonie pour raison de calendrier pour l’attention particulière qu’il accorde à notre commune. Je vous remercie. »

Diop Mohamedou Abou dit Hamady Bodiel
CP Le Véridique au Brakna.
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Source :
Albert camus Diop

L’immobilisme Politique en Assaba qui dure depuis la nuit des temps:




En 1959, le premier parlement mauritanien dérivé de l’ex-UPM (Union progressiste mauritanienne) des années quarante, a vu le jour. La quasi-totalité de « ces honorables pères de la nation » n'est plus dans ce monde. Que Dieu les accueille en son Saint paradis. L’adage populaire ne dit-il pas que « la mort choisit toujours les meilleurs » ? N’est-ce pas ?

Aujourd’hui, avoisinant un âge indéfini estimé à cent ans ou plus, ceux qui sont toujours en vie parmi « les pères du nation » ne doivent- ils pas être fréquemment dans les mosquées, chapelet à la main et faire partager avec les nécessiteux une partie quelconque de leurs biens au lieu d’être d’éternels candidats à des postes de maire, sénateur ou membre de la CNI tout en se livrant en permanence, par le recours aux vieilles méthodes, à la sale besogne de dénigrer gratuitement autrui, proche ou lointain, par haine noire et égoïsme inné, croissant au rythme des cent ans de leur vie, sans œuvre utile, aucune.

La wilaya de l’Assaba, selon les observateurs avertis, parait être la plus grande victime de ce fâcheux héritage d’un certain passé lointain. Quel défi menaçant le changement constructif, vieux rêve des générations !.

Cette monotonie fade et étouffante ne s’apparente-t-elle pas désormais à une véritable incitation à la révolte aux risques majeurs ?

A Kiffa, ceux qui pensent à tort ou à raison représenter cette deuxième ville du pays au sein de notre respectable gouvernement se considèrent avant tout « les élus » des notabilités d’antan, sans avoir évidemment à cœur la République et ceux qui l’incarnent !Quelle dérive !




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Source :
khewlabrahim

Zoueratt : un juge et partie.




Les discours du Président de la République, Mohamed Ould Abdel Aziz lors de sa campagne électorale avaient suscité beaucoup d’espoirs pour les mauritaniens particulièrement les pauvres et les couches vulnérables qui l’avaient porté au triomphe à 52 % au 1er tour. Il avait alors promis la réforme de la justice en mettant l’accent sur la formation des juges, la moralisation de la profession, la transparence et l’indépendance de la justice.

Mais certaines pratiques des professionnels de la justice entravent les intentions du Président Aziz à réformer ce secteur vital pour faire régner l’équité et la probité morale dans le troisième pallier de l’Etat. Ainsi, un juge qui était en service au tribunal régional de Zoueratt au lieu de résoudre un litige foncier s’y est enfoncé.

Au cours d’une randonnée nocturne, des individus ont remarqué une affaire ahurissante : des maçons qui construisaient dans la pénombre dans une place sise à l’est de l’Entreprise Mohamed Lemine Ould Banemou voisine des locaux de la Mattel. Le regard de ces promeneurs leur a rappelé la réalité des « gazras », une place qui était utilisée pour le dépôt d’ordures et où il n’y a qu’une baraque et un grillage.

Après beaucoup d’interrogations sur les agissements de ces maçons et sur les propriétaires de cette place, il a été remarqué que ladite place faisait l’objet d’un litige entre des personnes et son dossier était parvenu au juge d’instruction qui avait servi ici. Selon une source bien informée, au lieu de trancher, le juge a acheté le terrain en litige avec l’une des parties. Après cet acte, le juge a trouvé des maçons pour lui construire la clôture du terrain en toute clandestinité.

Compte rendu Djibril Sy
CP/ Tiris Zemmour.



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Source :
Le Quotidien de Nouakchott

Atar / Assainissement : Un modèle à réaliser dans les capitales régionales…et Nouakchott.




Le maire d’Atar peut s’enorgueillir aujourd’hui d’avoir bien négocié avec l’Etat et les partenaires au développement et obtenu la totalité de financement d’un projet d’aménagement de voirie puis de l’avoir réalisé le premier dans sa commune.

En effet, à mi chemin de la fin de cet important chantier, qu’exécute le groupement d’entreprise Macoba-Tp (du groupement Azizi) et Franjuàn (Entreprise Espagnole), réalisé avec matériaux, main d’œuvre et prestataires de services à 100% locaux, Atar donne déjà l’aspect de la plus belle capitale du pays.

Le Projet d’aménagement de voiries dans le centre ville d’Atar comporte : l’Assainissement des eaux pluviales, le Pavages des trottoirs et l’Aménagement de places publiques. Il a nécessité.

1. la construction d’un réseau de drains (613 mètres linéaires pour les principaux avec une section de 1.4mX 1m, et 3410 mètres linéaires pour les secondaires d’une section de 1mX0.7m ) Ces drains sont constitués de caniveaux en béton armé, pour la collecte des eaux pluviales dans la zone du centre ville et leur évacuation vers l’exutoire indiqué.

2. la construction d’un pavage en pierres locales, sur une surface globale d’environ 47.000 m2 avec 12 000 mètres linéaires de bordures , répartie sur plus de 10 rues (tronçons) principales. Ce pavage est posé sur un remblai compacté, avec un lit de sable assurant une pente générale du terrain.

L’épaisseur minimale des pierres utilisées est de 10 cm jointée par un mortier de ciment. Ce pavage contient des motives variables qui ont pour objectif l’amélioration de l’esthétique du pavage fini. En général la pente de pavage est dirigée vers les caniveaux, afin d’en cheminer les eaux pluviales vers les drains, ce qui permet d’éviter la stagnation de ces eaux .

3. L’aménagement de 6 placettes au niveau du centre ville. Ces placettes seront munies de poteaux revêtus en pierre qui serviront de supports d’éclairage avec une grille métallique clôturant chaque placette. Certaines de ces placettes seront équipées avec : Des banquettes (similaire à celles existantes). Cheilale. Panneau d’affichage en béton armé, habillé avec des pierres. Allées pavées. Le boisement (palmiers) de certaines artères et de certaines placettes.

Pour réaliser ces chantiers, le groupement d’entreprise Macoba_Tp (du groupement AZIZI) et Franjuàn (Entreprise Espagnole), a mobilisé un parque d’engins composé de :2 camions toupie pour le transport de béton., 2 camions bennes pour les agrégats et remblai., un camion remorque , des chargeurs pour le décapage. une tractopelle pour les tranchés., des compacteurs. un camion citerne, un camion grue pour la manutention., 4 grandes bétonnières pour la fabrication de béton., 4 véhicules 4X4. ett un lot des machines pour le façonnage de bois et de ferraillage.

Le projet fait travailler environ 500 personnes venues, en grand nombre des Moughataa d’Atar, Aoujeft, Chiguetti et Ouadane, réparties sur les postes suivants : Extraction des pierres au niveau des carrières ; Equipe de remblais ; Equipe de gravier et sable ; Maçons poseur de pavage ; Maçons spécialistes des bordures et jointoiement ; Equipe de ferrailleurs ; Equipe génie civil ; .Equipe de logistique. Et bien évidemment l’encadrement et administration.

Ce projet qui a démarré effectivement le 15 Août 2011 et qui doit s’achever le 31 Mai 2012 est réalisé à 44% aujourd’hui . Les responsables locaux : un ingénieur Mauritanien et un ingénieur Espagnol estiment qu’il n’y aura pas de retard dans son exécution, car- disent-ils , « les 5 mois à venir , (vue l’expérience des mois précédents et la célérité d’enchaînement des travaux actuellement) , sont largement suffisants pour terminer les 56 % de travaux restants ».

Grâce aux impacts directs et indirects de ce projet,(salaire des travailleurs, achat des provisions, carburants, vivres et circulation d’argent) , les habitants d’Atar en particulier et de l’Adrar en général, ont réussi à surpasser relativement bien la conjoncture très difficile (manque de pluie, hausse des prix, chômage) que vivent les populations des autres régions du pays.

N’est ce pas ,les maires des communes,les élus locaux, les autorités régionales et les pouvoirs publics doivent s’inspirer du modèle de la commune d’Atar pour que nos autres villes, à l’intérieur du pays se modernisent davantage ?

Ely Salem Khayar


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Source :
Adrar-Info (Mauritanie)