mercredi 24 juillet 2013

Assaba : La digue de Brouda cède sous la pression des eaux

Selon une source présente en Assaba, la digue de retenue des eaux de la commune rural de Brouda, relevant de la Moughataa de Boumdeid, a cédé sous la pression des eaux des dernières pluies. Cette source précise que cette digue vient de subir des travaux de réfections, s’est a été rompue par les eaux, comme c’était le cas au cours de l’année dernière. Les éleveurs et cultivateurs de Brouda demandent l’intervention des pouvoirs publics pour la refection en urgence de la digue dont les eaux menacent déjà les habitations des villageois.
ANI

Nouadhibou sans eau ni électricité

Depuis le premier jour du ramadan (mercredi 10 juillet 2013) les habitants de la ville de Nouadhibou, font face à une coupure d’eau et d’électricité. La Société d’eau (SNDE) et la société d’électricité (SOMELEC) parlent d’un manque de carburant pour faire fonctionner les centrales qui approvisionnent la ville en ces produits. Aujourd’hui, les habitants de Nouadhibou sont victimes de cette situation qui cause de nombreux désagréments. A l’origine, selon des sources concordantes, le problème serait dû à une mauvaise gestion des stocks des carburants (gasoil). La principale station de la SOMELEC ne serait plus alimentée du fait d’une rupture, dans la chaîne de livraison de carburant nécessaire pour faire fonctionner les machines et fournir de l’eau et de l’électricité à la population. Dans cette situation intenable, les habitants de cette nouvelle zone franche n’ont d’autres choix que de se rabattre sur les citernes en ciment pour s’approvisionner en eau. La qualité de cette eau laisse naturellement penser aux maladies. Pour s’éclairer, les habitants ont dû ressortir les lampes et les torches. D’autres personnes utilisent plutôt les bougies avec tous les risques d’incendies encourus. Les commerces ferment désormais dans certains quartiers dès la nuit tombée par peur de l’insécurité que peut occasionner l’obscurité. Au-delà du préjudice moral et d’autres problèmes de santé publique qui peuvent naitre de cette situation, le pire reste que les produits conservés par le froid et destinés à la consommation se sont tous détériorés. Pour les commerçants comme pour la population, ce sont des pertes énormes qui sont enregistrées. Les habitants de la capitale économique souhaitent donc que les autorités du pays puissent tout mettre en œuvre pour rétablir ce désagrément. Par ailleurs, le nouveau siège de l’Autorité de la zone franche, a passé quarante-huit heures sans électricité, également à cause d’un manque de gasoil pour alimenter la station thermique de la SOMELEC qui alimente la ville.
Ns

Brakna: les tentatives se poursuivent pour repêcher le corps du fils du PDT du Tribunal

Les recherches se poursuivent pour repêcher le corps de Abdallah Diop Daouda, fils du président du Tribunal du Brakna (Sud Mauritanie), a rapporté le correspondant de Alakhbar. Le jeune s’est noyé mardi pendant une baignade avec ses amis dans le lac Waad Katty situé à 2 kilomètres de la ville d’Aleg, capitale du Brakna. Malgré la localisation du point de noyade, la profondeur et le mouvement des eaux empêchent les chercheurs d’accéder au corps
ALAKHBAR -

Rosso : Un litige foncier oppose M. Keukeya O/ Yowbe et l’actuel propriétaire de l’ex rizerie de Mohamed Barikala

Mr Keukeya O/ Yowbe le plaignant, est propriétaire d'un terrain de 800m2 au lieu dit Pk 7 à (Rosso Jididda). En 2003, il procède à l’acquisition du terrain en question et deviens propriétaire à proximité de la Rizerie situé au pk7, ce dernier réclame 10 mètre de dépassement des bornes de la Rizerie qui a été vendue à l’Ets El Weva par Mohamed Barikala en 2012. Mr Keukeya explique: l’affaire date de plusieurs années entre mois et la rizerie qui a finalement été vendue à l’Ets El Weva en 2012, j’avais bien sommé Mohamed barikala en lui précisant ce dépassement, par lettre adressée au Hakem jidi O/ Chein qui a envoyé une commission en 2010 qui a confirme le dépassement par un procès verbal adressée aux deux parties pour libérer les 100.5 m2 de dépassement de la rizerie qui heurte la voie publique et mon terrain, ce qui n’a pas été considérée. J’ai adressé à plusieurs reprises une lettre de réclamation au Préfet et au Gouverneur jusqu'à présent aucune suite n’a été occasionnée pour régler ce problème entre moi et la Rizerie. Je suis aujourd'hui dans une situation délicate devant l’exploitant de la Rizerie qui refusé de reconnaître les faits invoquant qu'il avait déjà rempli toutes les conditions de ventes entre lui et Mohamed Barikala. Je saisi le tribunal de Rosso pour que ce litige soit réglé mais suite à plusieurs convocations adressées à l’exploitant de la rizerie n’ont jamais donné de suite à ce litige. L’actuel Préfet Salem O/ Taleb a été saisi plusieurs fois sans aucune suite compte tenu de l’importance de ce litige qui persiste toujours à mon détriment car je veux procéder à l’exploitation de ce terrain que j’ai acquis légalement en 2003 en toute légalité. Selon Mr Mohamed O/ Besaloum de la rizerie El Weva : je ne comprends pas avoir dépassé 10 mètres du terrain de Mr Keukeya qu’il me réclame, étant donné que la rizerie en question nous avons acquis légalement cette rizerie avec par Mohamed Barikala qui était déjà son voisin en 2003. Je ne vois pas après 12 années que ns l’avions acheté, qu’un individu vient réclamer un litige foncier à notre égard, Mr Kekeya O Yowbe doit à mon avis aller voir Mohamed Barikala qui m’a vendu une surface bien précise. Rappelons que pour des litiges de bornage qui opposent la plus part des citoyens, le mieux reste la négociation amiable pour trouver un compromis équilibré entre les deux propriétaires, ce qui est loin d’être possible étant donné que les deux parties demandent aux autorités d’intervenir le plus rapidement possible pour éviter le pire.
Ibrahim Idriss