mercredi 16 mars 2011

Abdel Aziz Ould Abeidna, candidat aux sénatoriales d’Atar.




Plusieurs fois candidat, Abdel Aziz entend rempiler, une fois de plus, pour le fauteuil de sénateur de la moughataa d’Atar. L’homme persiste parce qu’il croit, dur comme fer, que son combat est juste et légitime.

Eternel opposant aux systèmes gangrenés par la corruption et le népotisme, Ould Abdeidna se définit comme un «candidat pour intérêt personnel» et dit se battre pour «l’instauration d’un système politique plus juste et équitable».

Pour cela, il invite tous les conseillers municipaux des quatre communes de l’Adrar à voter pour lui, afin de donner, à la moughataa, un représentant digne de porter et défendre ses intérêts.

Au Sénat, il fera entendre sa petite musique, brisera la monotonie et le suivisme, sans verser dans des critiques stériles. Ami personnel du chef de file de l’opposition, Ahmed Ould Daddah, Ould Abeidna dit s’opposer, cependant, aux idéaux de sa formation, le RFD. Cet homme, qui se bat contre le CSA, le PDDO (ex-projet Oasis) et ADK contre lesquels il a porté plainte pour abus, se lance dans la course sans passion et espère voir les différentes listes candidates jouer franc-jeu, pour que le meilleur gagne.

Le Calame

Aïoun : Les lycéens manifestent pour demander une amélioration des conditions de vie.




Des centaines de lycéens ont organisé, ce mercredi, une marche dans la ville d’Aïoun, dans l’est de la Mauritanie, pour exiger du gouvernement qu’il mette en œuvre une action rapide visant à ramener les prix des denrées de première nécessité à un seuil tolérable.

Ils ont également demandé l’amélioration des conditions de vie des populations ainsi qu’un meilleur accès à l’eau potable. Les élèves ont scandé des slogans demandant la réparation des châteaux d’eau, en panne depuis quelque temps et des photocopieuses à mettre à la disponibilité des élèves dans les établissements.

Certains manifestants n’ont cessé de répéter que les conditions d’études sont mauvaises à cause du manque de moyens.

La manifestation a sillonné les principales artères de la capitale du Hodh Gharbi, partant du lycée de la ville et des écoles primaires, pour finir devant les locaux de la wilaya où ils ont remis au wali leurs principales doléances. A noter, cependant que les forces de l’ordre se sont contentées de surveiller de loin cette manifestation qui n’est pas la première dans cette ville de l’Est.


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Source :
SaharaMedias (Mauritanie)

ISET / Rosso et chômage des diplômés.




Le chômage des diplômés est un phénomène regrettable certes, largement partagé à travers le monde. Notre pays n’en est pas épargné, toute proportion gardée. C’est ainsi que, la semaine dernière, un groupe d’une dizaine de mécontents, ayant travaillé à l’ISET de Rosso pour un bout de temps, a jugé nécessaire d’écrire une lettre ouverte au Président de la République pour se présenter en victimes et demander réparation.

Démarche tout à fait normale, si toutefois on a pris la précaution de passer d’abord par les recours simples et légaux, à la disposition de tout citoyen, avant d’entamer cette ultime procédure exceptionnelle. Mais, hélas! De quoi est victime ce groupe ?

Dans cette lettre ouverte, les plaignants évoquent, entre autre, un vague problème de mauvaise gestion de l’ISET. C’est justement là où le bât blesse. Argument bizarre, aux yeux de tous ceux qui ont approché l’Institut et qui peuvent témoigner de son impact socio-économique dans la région et, ponctuellement, dans d’autres contrées du Pays.

Argument étonnant, quand on entend ce que disent les travailleurs de tous ordres qui sont aujourd’hui en activité sur le terrain de l’ISET. Argument invraisemblable, mis en corrélation avec les objectifs déjà atteints et que l’on peut vérifier sur place : infrastructures en amélioration permanente, recherche et production agro- sylvo- pastorale en croissance, formation des cadres très sélective…

Le moins qu’on puisse dire est qu’une mauvaise gestion est incompatible avec cette mouvance, somme toute positive. D’ailleurs, les deux rumeurs persistantes à propos de l’ISET le prouvent suffisamment.

La première s’entend dans la bouche des nombreux visiteurs : « on dirait que cet endroit ne se trouve pas en Mauritanie ». Quant à la seconde, elle naît des commentaires que font les travailleurs dans le dos du Directeur qu’ils appellent entre eux « El Majnoun », tellement il est omniprésent, exigeant, perpétuellement insatisfait et pointilleux, malgré son humanisme que tous reconnaissent. Cette dernière rumeur dit que le Directeur a remercié un très proche parent par manque d’ardeur au travail.

On se demande alors pourquoi ces diplômés ont-ils quitté l’ISET où ils bénéficiaient d’un régime de faveur réellement privilégié : salaires conséquents dans un cadre confortable et gratuit. De toutes les façons, quand on va jusqu’à porter un litige devant le Président de la République, on doit avancer des arguments en béton. Il ne s’agit pas de s’installer devant un clavier et de considérer qu’on a la latitude de diffuser n’importe quoi par le biais des médias. L’ISET ce n’est pas le bout du monde, tout ce qui s’en dit peut-être soumis à vérification.

Aboubecrine Ould Haroune
Gendarme à la retraite Rosso


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Source :
rjtcd2011

Tagant: Journée de réflexion contre l'excision à Tidjikja



Le lundi 14 mars, la Coordination Régionale des Affaires Sociales, de l'enfance et de la Famille du Tagant a organisé une journée de réflexion placée sous le sceau de la lutte contre l'excision. Cette manifestation fait suite à la journée mondiale conte l'excision qui a été célébrée le 6 février dernier. La Cérémonie d'ouverture présidée par Cheikh Ould Meddah Wali Mouçaïd Administratif, a eu lieu 16 heures en présence d'un grand nombre de personnalités de tout bord (administration, santé, Société civile… etc). Cette cérémonie a été marquée par l’allocution de la Coordinatrice Régionale Mme Zeinabou Mint El Moujtaba portant sur l'importance de l'événement. Par la suite c’était au tour du Faqih, M. Mohamed Nouh Ould Mohamed Ahid de faire la présentation de la fatwa religieuse, proscrivant en des termes sans équivoque l’excision sous toutes ses formes. Le point de vue médical présenté par Dr. Cheikh Ahmed Ould Sidina a permis par la suite, de lever le coin du voile sur les désastreuses conséquences de l’excision sur la maternité de la future maman exposée à des complications multiples notamment l’apparition d’un canal pathologique mettant en communication anormale des viscères urino-digestifs. Cette maladie communément appelée fistule est vécue douloureusement par de nombreuses femmes excisées.
Après la présentation de ces deux points de vue fortement appréciés, les participants ont été invités à donner leurs points de vue sur la question. Pour l’essentiel leurs interventions ont tourné autour des questions liées à l'authenticité de certains hadiths utilisés par des savants recommandant cette pratique pour la justifier religieusement (allusion faite notamment au hadith rapportant que le Prophète (PSL) s’était adressé à une exciseuse en ces termes : « Effleure et n’abuse pas, car cela rend le visage plus rayonnant et plus agréable pour le mari. ». De même, cet autre hadith indiquant que « La circoncision est une tradition louable pour les hommes et un honneur pour les femmes. » Mais également des questions du genre : Que dit la loi à propos de l'excision? Quel avenir pour les filles non excisées dans nos sociétés ?
Répondant à la question relative aux Hadiths attribués au Prophète Mohamed (PSL), portant sur l’excision, le Faqih dira que rien ne prouve qu'ils soient des Hadiths authentiques. En outre selon lui, le Coran ne prescrit aucune obligation de l'excision. Par contre en Islam, la nature primordiale de l'humanité (appelée fitra) est caractérisée par les cinq éléments suivants : circoncision , le fait de se raser le pubis , le fait de se couper les ongles, le fait de s'épiler les aisselles et le fait de se tailler la moustache, l'excision n'étant pas mentionnée devait-il souligner.
La coordinatrice régionale dira pour répondre à la question liée au droit que cette pratique s'inscrit dans le cadre du droit pénal et pour ce qui est de la question de l’éthique, elle précisera qu'il s'agit là d'une question d'éducation morale, et que la délinquance sexuelle n’a pas été constatée plus qu’ailleurs dans des régions où elle est peu ou pas pratiquée.
Khalil sow
Khalil1965@yahoo.fr

A propos des Sénatoriales de M’bout.




Certaines personnes mal intentionnées animées de la volonté de nuire, sont toujours promptes à semer le doute en diffusant des propos dénués de tout fondement, pour se glorifier ensuite du mal qu’ils ont semé partout sur leur passage.

Pour parvenir à leurs fins, elles sont prêtes à affronter le diable pour faire valoir cette bassesse pour jeter le discrédit et l’opprobre sur des personnes qui n’ont rien de commun à leur propre personne encore moins qui refusent d’emprunter les chemins tortueux qu’elles empruntent pour assouvir leur vengeance.

Seulement ces gens là ont oublié qu’ils sont connus de la masse populaire dans laquelle ils se meuvent et dont ils tentent de tromper la vigilance. Oui, je l’affirme, ils ont oublié qu’ils sont connus par leurs concitoyens pour être des pêcheurs en eau trouble, et déjà fichés par cette même masse, qui les rejette totalement et sans réserve pour des faits, qui déjà, n’ont rien à voir avec leur imagination peu fertile et dépassée.

Du coup il leur revient à l’esprit qu’un tel ou un tel est un raciste n’aimant pas la race maure comme si les harratines sont d’une autre race, des martiens venus de leur planète faisant partie d’une autre race n’ayant rien à voir avec la race maure arabe de notre pays.

Franchement cela ne nous surprend pas que le désormais ex- sénateur de M’bout et ses acolytes s’adonnent à ce genre de sport qui était et demeure leur favori. Fort heureusement ils ne savent pas qu’ils font fausse route et lorsqu’ils le sauront ce sera trop tard pour les pauvres plans qu’ils développent.

Comme d’habitude le désormais ex - sénateur de M’bout, confond vitesse et précipitation. En effet les utilisateurs de la toile le connaissent bien pour les sorties légendaires ô combien sans intérêt auxquelles il nous habitue chaque fois que son intérêt personnel est mis en cause surtout quand il est menacé.

Cela ne nous étonne nullement, car personne n’ignore ses fantasmes étalés devant le monde entier par Wikileaks que personne ne dément et ayant trait aux absurdités auxquelles il voulait s’adonner avec l’oncle Sam. L’oncle Sam le sachant prétentieux aux idées très courtes, lui a vite déclaré que la question dont s’agit était sans intérêt pour lui et n’entre même pas dans le domaine de l’envisageable. Rappelez vous les faits car n’eut été la magnanimité du camarade Aziz leur auteur serait maintenant entrain de croupir dans un sombre cachot.

Dès lors ce qu’il écrira ou dira après, doit être classé dans le domaine de l’obscurantisme , étant donné que son stratagème n’a d’égale que son appétit d’exercer un mandat qui lui échappe désormais surtout que cette fois, la vache à lait qu’est M’bout a décidé de renvoyer le turbulent perturbateur dans sa qadima natale au risque de se perdre dans le dédale des pistes sinueuses de l’aftout à la recherche d’un poste électif qui ne sied même plus à sa personne.

Après avoir raté son contrat avec l’Amérique, le voilà encore une fois entrain de servir à l’humanité les contre vérités dont il est maintenant friand pour soutenir et affirmer que Mr Sy Adama Ministre Secrétaire Général de la Présidence et le Président de la République Aziz seraient de mèche pour présenter la candidature de Mr Sy au sénat de M’bout afin plus tard de remplacer l’honorable Ba M’baré à la tête du sénat. Voilà ce que l’ex sénateur tente de faire croire par le biais du net au monde entier qu’il croit aussi naïf que lui.

A qui va-t-il faire avaler cette couleuvre sinon à ses acolytes tous comme lui ; usurpateurs de fauteuils parlementaires à M’bout assoiffés et surpris à l’idée que M’bout choisisse d’autres élus à la place de leur honorable personne.

Je sais qu’il n’est pas nécessaire de vous faire le dessin et qu’en suivant mon regard vous vous apercevrez qu’il tient absolument à semer la zizanie entre ces trois respectables hommes ou tout au moins faire régner le doute dans les esprits. Encore une fois, cela n’étonne personne.

Ces acolytes et lui tentent de faire croire que Mr Sy Adama est un raciste dont la mission principale à M’bout est de mettre fin au tribalisme en privilégiant l’émancipation des haratines et mettre fin à une domination de cette frange de la population. Sur ce plan je n’ai pas besoin de vous dire ici qui est Mr Sy Adama Maire de M’bout. En effet, cet honnête homme, respectable et respectueux des droits des autres est un citoyen que la Mauritanie entière connaît.

Fidèle serviteur de l’Etat il a apposé sa marque partout où il a servi dans ce pays et sa connaissance des hommes et des lieux lui a permis d’acquérir beaucoup dans le domaine du social et ce ne sont pas les accusations gratuites et grotesques de l’ex sénateur et de ses acolytes qui viendront ternir cette belle image.

Par contre ce que l’ex sénateur et ses acolytes ont oublié de dire - c’est que Mr Sy Adama en tant que démocrate sincère et en sa qualité de Coordinateur UDP - a laissé libre choix aux militants de M’bout, tout comme le Parti d’ailleurs ; de présenter des candidats sénateurs, seulement après avoir consulté les neuf communes pour recueillir démocratiquement leur avis et qu’à l’issue de ces consultations huit (8) communes ont présenté seize (16) candidats et les heureux élus Sidi Ould Boukeri et Abbe Ould Abbe ont été connus depuis le Vendredi 11 mars 2011 .

L’ex- sénateur et es acolytes étaient présents à M’bout à la première réunion mais ils n’ont pas daigné se présenter à l’assemblée générale convoquée par le Secrétaire Général de l’UDP le camarade N’diaye Mohamed dépêché par le Parti à cette occasion.

Par conséquent il n’y a pas lieu de chercher loin car, le nom de l’ex- sénateur ne figure pas parmi la liste des seize (16) retenus pour la compétition et avant de s’en prendre à Sy Adama il n’avait qu’à présenter un bilan de son mandat expiré pour convaincre les militants de M’bout.

Au moment de la réunion il sillonnait les pistes des communes à la recherche de conseillers à acheter dit –il alors que rien ne l’empêchait de venir défendre démocratiquement sa position devant les militants.

Au lieu de cela, il a préféré parcourir la Moughataa pour dénigrer ses camarades et après quoi, il se dirige à Nouakchott pour demander à l’UDP de lever sa suspension et ce après avoir craché son venin sur la Toile pour inventer des bobards, des non dit et des contre vérités à l’endroit de personnes honorables, dont le sérieux, la compétence et l’honnêteté dépassent largement les idées courtes d’un ex- sénateur déchu : en perte de vitesse dans une Moughataa qui ne veut pas de lui.

Résumons les faits et retenons ceci :

• un accident de l’histoire a fait que depuis quelques années des hommes venus de nulle part se sont toujours emparés des mandats électifs de la Moughataa ;

• que par la volonté conjuguée de toutes les forces politiques de la Moughataa et après une mûre réflexion de ses fils toutes sensibilités confondues, ce fait de l’histoire a été constaté et dénoncé ;

• il apparaît désormais si Dieu le veut, que les fils de la Moughataa entendent mettre fin à cette pagaille qui consistait à diviser pour mieux régner ;

• de faire de cette échéance une élection test et un choix test, pour bouter dehors les usurpateurs de tous bords, sortis de n’importe où, pour disputer l’occupation de postes électoraux devant revenir exclusivement à des natifs de la Moughataa ;

• dès lors, que les arrivistes se le tiennent pour dit car il n’y a plus lieu à marchandage et nous pensons que chercher à saper l’intégrité de personnes honnêtes sur la Toile n’est pas le meilleur moyen pour se faire choisir. Alors à bon entendeur salut, que les citoyens d’autres cieux aillent servir là où ils sont nés parce que à M’bout : ils seront désormais considérés comme des étrangers qui n’ont jamais pu servir nos intérêts car les mandats précédemment exercés sont là pour le prouver.

Demba Diallo


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Source :
gourdo

Hodh El gharbi : La cité de Termess en plein chantier




Ce samedi 12 mars, le wali du Hodh El Gharbi, Monsieur Cheikh Ould Abdellahi a visité la cité de Termess. Une ville qui est le regroupement de plusieurs villages, qui a été inauguré par le président de la République, Mohamed Ould Abdel Aziz le 22 novembre 2011.

En effet la ville se situe dans la commune de Timzine de la moughata de kobéni. Dans cette visite le wali est accompagné par une forte délégation composée du Hakem de Kobéni, Hakem d’Aioun, commandant compagnie de la gendarmerie, commandant GR, chef de service des travaux publics et autres.

L’objectif de la mission est de s’enquérir sur l’avancement des travaux des chantiers en exécution depuis le mois de janvier. Arrivée sur le terrain l’équipe a visité la brigade de la gendarmerie et le centre de santé de type B de la ville en passant par le marché, le complexe islamique composé d’une mosquée de loge d’imam et une mahadara, le marché, l’abattoir ,le parc de bétails.

Il faut noter que ses chantiers sont en pleine marche selon les entrepreneurs les travaux s’achèveront avant le délai prévu qui est Aout 2O11. La délégation était enthousiasmée par le degrés d’avancement des projets. Il est important de signaler que la ville est ex-nihilo qui sort d’une visite de prise de contact effectuée par le wali qui a constaté l’éparpillement des hameaux dont les populations sont à la merci de sous équipements.

Ce contexte l’a motivé de sensibiliser les populations sur la politique de regroupements dont l’objectif fondamental est de satisfaire les citoyens en matière d’infrastructures de base. Des missions répétitives des autorités administratives dirigées par le wali ne tarderont pas a donner fruit. Le maire de la commune en épousant l’idée travaille en étroite collaboration avec le wali pour conscientiser la population. C’est ainsi que 971 familles jadis occupants 22 villages finissent à adhérer.

Une étude objective a été faite pour savoir le lieu qui va accueillir ces familles. Les recherches scientifiques et topographiques ont identifié ce cite come étant la place adéquate pour ce futur regroupement qui a fait l’unanimité de l’ensemble des concernés.

Quelques semaines plus tard les représentants des villages ont été convoqués par le wali pour donner un nom a cette cité. C’est ainsi qu’elle sera baptisée Termess, un nom de la plaine quelle son relief. Toutes ses ententes ont aboutit à l’inauguration de la ville par le président de la république. A cette inauguration se greffe la pose des premières pierres des infrastructures de base qui coutent à l’Etat plus de cinq cent millions d’ouguiya qui font l’objet de la visite du jour.

Une expérience probante fait termess un pole d’attraction dont toutes les populations environnantes rêvent d’y habiter. C’est ainsi que 1700 familles ont décidé de rejoindre leurs concitoyens .Donc la cité va contenir plus de 2600 familles qui ont bénéficié des parcelles de 400 à 600 m² chacune.

En plus de ces équipements la ville bénéficiera d’un branchement électrique à partir de la ville de Kobéni et travaux ont déjà débuté. S’agissant du désenclavement, le goudronnage de la piste est envisage et ne tardera pas à venir selon le wali.

Devant les populations monsieur Cheikh Ould Abdellah a décliné que l’état n’hésitera pas d’augmenter des infrastructures dans l’avenir. Une question qu’on se demande est-ce que la cité ne risquera pas de fagociter même des bourgades ?

Adama Sy
cp hodh El Gharbi



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Source :
La Tribune (Mauritanie)

Une mission d'ophtalmologues hollandais à Kaédi pour soigner les infections oculaires.




Une mission humanitaire d'ophtalmologues hollandais effectue, depuis lundi, des consultations gratuites au centre hospitalier de Kaédi, en faveur des personnes souffrant d’infections oculaires, a appris un correspondant de APA à Nouakchott.

Outre, les consultations et opérations chirurgicales, la mission a procédé à la distribution de verres correcteurs et de lunettes de protection contre le soleil, surtout en cette période de forte canicule où les températures frôlent parfois les 40 degrés.

Le trachome, la cornée, la conjonctivite et la cataracte sont des pathologies très courantes en Mauritanie et conduisent parfois à la cécité totale.

Les spécialistes estiment qu’elles sont liées au manque d’hygiène, à la chaleur et à la carence en vitamine A chez les patients. Au cours de son passage en mars 2010, la même mission a consulté 600 personnes et distribué un important lot de lunettes, selon une source locale.

Outre, les hollandais, des organisations humanitaires de l’Espagne, du Maroc et le Rotary Club assistent les autorités sanitaires mauritaniennes dans la lutte contre la cécité.

MAMY/cat/APA


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Source :
Agence de Presse Africaine

Monguel: Forage ou expropriation?




Au nom de forage au profit des arrivants, le préfet du département de Monguel a pris une décision maladroite d’expropriation du lac « weendu djeeri » cet « Tamourte » cultivé depuis des lustres à servi toujours de soutient et de plié économique aux populations autochtones.

Il faut noter que les populations des villages environnants notamment les peulhs qui d’ailleurs sont aussi des éleveurs ont toujours toléré les forages des puits autours du lac en préservant leurs champs. Cependant l’autorisation du préfet de forer à l’intérieur du lac est un acte de sabotage aux cultures vivrières. Plus grave, au moment où tout le peuple Mauritanien milite en faveur de la cohésion sociale,

Ce préfet est entrain de saper l’unité nationale à laquelle nous accordons tous une importance capitale dans l’intérêt supérieur de la nation en créant une divergence entre des populations paisibles, qui ont toujours vécus en symbiose.

A cet effet nous lançons un appel solennel aux autorités régionales et nationales pour que soient prises immédiatement des mesures adéquates afin d’éviter des situations conflictuelles de lourdes conséquences. Ensemble barrons tous la route aux ennemies de la Mauritanie nostalgiques des pratiques antidémocrates.



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Source :
sowhamadi