dimanche 21 novembre 2010

Le Chef de l'Etat distribue des modèles de lettre d'attribution de terrain dans la ville de N'Beiket Lahouach.




Le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz a distribué dimanche matin dans le chef lieu de la moughataa du Dhar des modèles de lettre d'attribution de terrain pour la ville de N'Beiket Lahouach lançant ainsi le début de sa construction.

Jusqu'à présent, quelque 2000 parcelles de 400 à 600 mètres carrés ont été aménagées à cette fin.

www.cridem.org


Source :
Agence Mauritanienne d'Information

Mali: 28 Mauritaniens quittent Aqmi et se rendent à l'armée mauritanienne (militaires)




Vingt-huit jeunes Mauritaniens membres d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) ont fait défection des camps de l'organisation dans le Sahara et se sont rendus à l'armée mauritanienne, ont affirmé dimanche à l'AFP de sources militaires dans le nord du Mali.

"Vingt huit jeunes Mauritaniens ont fui les bases d’Aqmi dans le Sahara et sont actuellement en route vers la Mauritanie", a affirmé à l'AFP une source militaire mauritanienne, contactée par téléphone dans le nord du Mali, à la frontière entre Mali et Mauritanie.

"Ils sont très jeunes et ont été endoctrinés. Certains ont même 14 ans. Leur retour est le fruit d’un travail sur le terrain", a ajouté la même source qui a tenu à ajouter: "Nous ne voulons pas trop médiatiser l’affaire. Il faut protéger ces jeunes qui sont encore mineurs".

"Certains ont été battus dans les camps par Aqmi", a affirmé la même source.

Une source militaire étrangère sur le terrain a également assuré qu'"une trentaine de jeunes, très jeunes Mauritaniens", avaient fait "défection des rangs d’Aqmi" et se dirigeaient vers la Mauritanie.

Au début du mois, les mêmes sources avaient annoncé que six jeunes Mauritaniens avaient fui les bases d'Aqmi.

L’infiltration d’Aqmi par des éléments dépêchés par l’armée mauritanienne aurait notamment permis d'obtenir ces défections, selon ces sources.

Une nouvelle loi sur le terrorisme, adoptée en juillet par le Parlement mauritanien, avait ouvert la voie du repentir aux combattants islamistes, pour tenter de contrer l'expansion d'Aqmi dans les pays du Sahel.

Ce texte offre aux extrémistes qui se rendent aux autorités "avant leur arrestation" des conditions spéciales pouvant aller jusqu'à leur mise en liberté sous contrôle.

Un forum sur le terrorisme et l'extrêmisme organisé le mois dernier à Nouakchott avait pris une résolution encourageant cette procédure, afin d'inciter la jeunesse "égarée" à revenir à la raison et "ré-épouser l'islam modéré en vigueur" en Mauritanie.

ANI

Mohamed Ould Khayar, l’autodidacte 1er Maire de Nouakchott !




Loyal à l’auteur du livre « La Mauritanie contre vents et marées », Mohamed Ould Khayar a accompagné vaillamment Maître Moctar Ould Daddah , père de la Nation et ses compagnons d’alors, dans l’œuvre Oh !Combien ambitieuse,noble et difficile de création et mise en développement de la République Islamique de Mauritanie.
Un milieu social ouvert !
C’est à Kanaoil, fief traditionnel des Ewlad Ibni, qu’est né vers 1915, Mohamed Ould Aamer Ould Khayar Ould Aamer Ould Ibni, de sa mère Houriya Mint Abeid.
Demi-frères Smacides, les Ewlad Ibni s’installèrent au XVIIéme siècle à Kanaoil .Ils le transformèrent rapidement en une féerique oasis tant enviée que convoitée. Aussi, les Emirs Adrar d’antan, ne cherchèrent pas midi à quatorze heures. Ils décidèrent de faire de ce paradis terrestre, leur chasse gardée et résidence estivale. Tous les ans, de juin à Août, le campement Emiral ou Hilla débarque à Kanaoil et y passe la Guetna (cueillette des dattes). Bientôt, se rassemblèrent autour des Ewlad Ibni, de nombreuses familles qui, descendants des anciennes populations d’Azougui ; Qui, venues dans le sillage de l’Emirat ; Qui, fuyant les guerres et faim dans d’autres régions ; Qui, transfuges ou égarées de route. Tout ce monde constitua l’ensemble tribal TEYZEGA. Disposant d’habitat convenable, d’une grande Zriba de palmiers, d’un cheptel suffisant d’ovins et caprins, la famille Aamer entoura ses enfants d’une attention particulière. Comme ses frères, Mohamed vécut une enfance relativement équilibrée au cours de laquelle, il apprit par cœur, auprès de l’unique marabout du quartier, quelques versets de Coran.
Ould Khayar devint incontournable !
Vers 1.942, il accompagna son grand frère Mohamed El Id à .Akjoujt. Ils commencèrent ensemble par vendre du bétail (Teyvaya ou courtiers) et divers commerces pour les Européens venus découvrir puis exploiter la mine de cuivre de Moughrein. En 1946, le destin les conduit à Nouakchott qui ne comptait en ce moment qu’une trentaine d’habitants. L’eau potable lui parvenait par citerne de Rosso. Les deux frères furent parmi les premiers à construire des logements en dur dans cette sebkha hostile, déserte à perte de vue et entourée de gigantesques dunes, parsemées de cram-cram et virnanes. Ils ouvrirent les portes de leur modeste habitat à tous les visiteurs, en transit vers ou en provenance de Saint Louis, Akjoujt ou Atar. Au fil du temps, la popularité de Mohamed grandissait. Grâce à son hospitalité, sa disponibilité, son esprit d’ouverture, il devenait presque incontournable, aussi bien pour les administrateurs coloniaux qui passaient par son intermédiaire pour plusieurs services, que pour ses compatriotes, qu’il recevait à bras ouvert et facilitait leur mission. Son petit commerce se développait peu à peu.
Un militant engagé.
Dés la création du parti progressiste Mauritanien (UPM), lors du congrès de Kiffa en 1948, Ould Khayar se distingua militant actif. Il brilla par son sens de mobilisation des populations, lors des élections successives : Législatives de 1951 et 1956 où Moctar N’Diaye (UPM) l’emportait par deux fois devant Horma Ould Bebana (Entente) ; Ensuite, lorsqu’il fallait se prononcer par referendum soit, pour l’indépendance, soit le statut d’Etat autonome. Le OUI passait haut la main (94,2%) ; Puis, en mars 1957, quand l’UPM gagnait les élections à l’Assemblée territoriale par la suite desquelles « le candidat » de Khayar, Maître Mokhtar Ould Daddah était élu Conseiller en Adrar pour Chinguetti puis le 20 mai, Vice-président du Conseil du Territoire. Khayar était prés de Moctar, quand il lançait son premier appel historique à ses compatriotes, ce même mois de Mai à partir d’Atar : « Faisons ensemble la patrie Mauritanienne ».O ! K ! YAKA ! C’est parti !

La Mauritanie en route !

Khayar faisait partie de ceux qui, auprès de Moctar préparaient –pour une meilleure prise en main des destinées du pays-la création du Parti du Regroupement Mauritanien (PRM). Ils réussirent le 2 Mai 1958, lors du congrès d’Aleg à faire fusionner L’UPM et l’Entente et recommencèrent le même scénario en 1961 avec le Parti du Peuple Mauritanie (PPM) dans lequel, partis, syndicats et mouvements sont intégrés. Le 28 Novembre 1960, L’indépendance de la République Islamique de Mauritanie était proclamée et fêtée en grande pompe, grâce, en grande partie, à l’engagement patriotique de Ould Aemer Ould Khayar (préparation matérielle, tentes, hangars, mobilisation des cavaliers, chameliers, troupes folkloriques, écoliers etc.). Pendant la période du transfert des services de l’Administration de Saint Louis vers Nouakchott, Khayar jouait en fait, sans l’être institutionnellement, le rôle de véritable Maire de Nouakchott (projet), Il initiait la construction des médinas, réglait les problèmes fonciers, organisait l’approvisionnement en eau, hébergeait et transportait les hotes, facilitait les communications et surtout drainait les différentes communautés ethniques Nouakchottoises, qu’il connaissait parfaitement, pour l’accomplissement de toutes les actions et cérémonies populaires. Le 30 juin 1963 Mohamed Ould Khayar était élu 1er magistrat de la toute nouvelle capitale du pays. Après l’indépendance, Mohamed Ould Khayar a assuré, en plus de son rôle de maire de Nouakchott, plusieurs responsabilités, surtout à la tête du PPM dont il était le secrétaire fédéral pour Nouakchott. Lui et toute l’équipe de Moctar avaient continué à servir leur pays, avec autant d’abnégation, jusqu’à ce que le 10 Juillet 1978, d’autres Mauritaniens jugèrent unilatéralement, être capables d’assurer la relève.
Ould Khayar en privé !
Mohamed aimait se chausser galamment de babouches blanches ou jaunes ;Enrouler soigneusement un grand turban blanc ou bleu sur la tête et se draper superbement d’un Kaftan Mouritane (courtes manches et sans col) , un Sirwal bouffant et un joli boubou toujours neuf. Il avait un goût particulier pour les parfums ainsi que le tabac trempé dans l’ambre liquide et tamisé finement. Il savait le pincer sensuellement entre le pouce et l’index, avant de le snifer fièrement. Au cours de ses séjours de repos à Atar, Mohamed passait le plus de son temps à Kanawal et Kseir Torchane, dans lesquels il s’exerçait, tous les après midi, au tir à la cible ou au jeu de Dhamet sur sable. Il ne pouvait cependant manquer, chaque matin, l’assemblée de ses amis à Lebreiza. Là , il retrouvait la diversité Adraroise dans toutes ses richesses au travers des Ould : Lekhal, Atigh,Idrissa,Yedaly, Beyrouk,Christophe,Lebiadh,Jiyed,Sall,Abass,N’Ghaimich,Chandhoura,Berrou, Moulaye Ely,Ghailany, Abidine,Diouly,Hamony,Tebakh,Boutervaya,Kabach et autres. Tous, échangeaient dignement et respectueusement, taquineries, insinuations verbales, sagesse, civisme, amour pour la patrie et boutades autour du thé, grillade de brochettes et pain croustillant rouge, que seul savait préparer savamment et distribuer sympathiquement maître Kaza Ould Beydiya.
Comme tous les hommes respectables, Ould Khayar avait droit à des louanges et expressions de reconnaissance de la part de certains poètes et surtout les Zouaya de Guebla, pour ce qu’il faisait de bien à eux, aux pauvres et nécessiteux. Khayar était de la Djemaa, lorsque l’érudit Bouddah Ould El Boussairy prenait le flambeau de l’Imamat de la mosquée principale de Nouakchott
En tant qu’homme public, on lui attribuait des anecdotes parfois…. invraisemblables. Mais c’est de bonne guerre que les Kadihines (mouvement Marxiste-Léniniste) et soixante huitards disaient de lui, pour baisser sa cote de popularité et insinuer qu’il n’est pas instruit: « En s’adressant aux Coréens en visite à Nouakchott, Monsieur le Maire demanda à l’interprète de traduire : Messieurs les Chinois… Son collaborateur, lui souffla à l’oreille qu’il s’agit de Coréens et non de Chinois. Khayar sans hésiter, rétorqua : Ecoute ! Tous sont pareils, petits yeux, tête ronde. Tout ça c’est l’Afrique ».
D’ailleurs, les démêlés du secrétaire fédéral du PPM avec les Kadihines sont intarissables d’anecdotes. Lorsque les contestataires intensifiaient en 70-71 les graffitis sur les bâtiments publics et que les agents de la commune n’arrivaient plus à gratter les murs et les repeindre de nouveau, Mohamed ordonna à ses collaborateurs : « Quand ces égarés écrivent : De l’eau, du pain pour les masses. Ecrivez en dessous : MEY NEU (Nous refusons). Ils finiront bien par comprendre que l’Etat est le plus fort » !
Décédé en 1986, Khayar a laissé après lui, quatre filles et un fils unique.
Puissent les cadres et Maires d’aujourd’hui, très instruits, propulsés à leur poste par de grands ensembles tribaux, disposant de moyens énormes, bénéficiant des progrès technologiques, ne gérant que des communes à population limitée, tirer leçon et exemple de El Marhoum Mohamed Ould Khayar . Que Dieu nous joigne à lui en première classe El Virdewss , au sein du Paradis : Allahouma Amine !
Ely Salem Khayar/Adrar.Info

Lettre ouverte au Président de la république son Excellence Mohamed ould Abd el Aziz





Le tourisme en Adrar occupe une place très importante dans la vie de la population de la région, car et depuis le début des années quatre- vingt dix le tourisme a crée des milliers de postes de travail,…mieux encore des villes comme Chinguetti ont revécu grâce a l’essor de ce secteur.
A partir de l’an 2007 et les événements qui se sont succédé après le meurtre de paisibles touristes français à Aleg, ces événements qui ont bénéficiés d’une surmédiatisation pas très innocente, le tourisme a fait une chute libre : annulation du Paris Dakar, annulation de la majorité des vols charters programmés pour la Mauritanie ! Personne ne veut plus venir en Mauritanie : c’est la mauriphobie ! Ou plutôt personne n’ose plus braver les instructions du Quai d’Orsay : toute la partie nord (zone touristique par excellence) est dans la zone rouge !
Le secteur sombre dans la léthargie : des auberges ont fermé leurs portes, les agences de location, les guides, les cuisiniers, les chameliers, les artisans, et les vendeurs n’ont plus de travail, les autochtones quittent les anciennes villes dans un exode massif vers les grands pôles d’attraction…la situation est catastrophique.
Cependant nous ne pouvons que nous féliciter des mesures louables entreprises dans le domaine de la sécurisation du territoire national et nous demandons qu’elles soient renforcées et consolidées pour la sécurité et le bien être des populations en général et le développement du secteur du tourisme en particulier.
En plus nous demandons l’intervention personnelle du Président de la république pour faire des pressions au niveau du Ministère des Affaires étrangères français pour faire évoluer la zone rouge sur la carte de la Mauritanie sur le site du Quai d’Orsay, au moins pour sortir nos villes historiques de cette zone, ces villes qui sont les principaux points forts des circuits touristiques. En fin nous demandons aussi au Président de la république d’accorder une attention particulière à ce secteur plus que prometteur.



Atar le 21 novembre 2010

Les signateurs :
L’association nationale des guides sahariens
La fédération nationale de tourisme- section de l’Adrar
La fédération régionale de l’artisanat et des métiers en Adrar
Regroupement des agences de voyages en Adrar
Regroupement des auberges en Adrar
Regroupement des chameliers de l’Adrar
Regroupement des cuisiniers de l’Adrar

Début du déménagement des habitants des quartiers précaires de Rosso.




Sahara média a appris de sources particulières que les autorités administratives de la wilaya du Trarza ont commencées ce dimanche les premières opérations de déménagement des habitants des quartiers précaires de Rosso, ville frontalière avec le Sénégal située à 204 km au sud de Nouakchott.

Les habitants sont déplacés vers un nouveau lotissement connu sous le nom de PK7.

L’opération a commencé avec le transfert de 36 familles dont les maisons étaient situées sur les rues du quartier « Demel dik », à l’est de Rosso, qui a souffert, comme tant d’autres villes de Mauritanie, des intempéries (inondations) et de l’urbanisation anarchique.



Source :
Sahara Medias (Mauritanie)

Arnaque au centre hospitalier de Sélibaby ?




Au moment où la Mauritanie veut rompre avec le passé : bannir toute forme de discrimination, de favoritisme mais aussi de corruption sur toutes ses formes , la réalité est tout autre ailleurs et plus précisément au centre hospilalier de Selibaby (Guidimakha).

Guidimakha : région la plus oubliée dans le sens propre du terme (même pas 4 pour cent de sa population n’exerce une fonction étatique). Région la plus pluvieuse de toutes les régions, mais où il existe aucun mécanisme (barrage..) pour retenir cette eau utile pour le maraichage et l’abréviation des bovin, caprin et autre.

Un autre fléau guette nos malades et nous interpelle tous à agir vite avant que qu’il ne soit trop tard. Le constat est aberrant et terrible, il faut être sur place pour le croire :

En effet certains médecins et infirmiers de ce centre collaborent avec les pharmaciens, plutôt je dirai de "boutiquiers" qui sont en face de l’hôpital pour se faire de l’argent ; leur scénario est simple mais difficile à déjouer : Des qu’un patient vient avoir le médecin ou infirmier, la première question qu’on lui pose est : Tu as de quoi à payer ton ordonnance ?

S’il répond par oui, alors la consultation se poursuit et le médecin lui prescrit une ordonnance et lui dit : je vais appeler quelqu’un et tu vas payer ces médicaments après tu reviens pour t’expliquer leur mode d’emploi.

Un simple bip suffit pour que le petit (pharmacien) rentre dans le bureau du médecin et ce dernier lui dit : vas avec ce patient pour qu’il paye ses médicaments et qu’il revient vite ok.

Le malade se voit dans une situation plus en plus inconfortable : d’un côte la maladie et de l’autre la surfacturation, la facture est 3 fois plus cher s’il était parti lui seul chercher ses médicaments en ville, il n’as pas le choix puisqu’il doit retourner voir le médecin pour le mode d’emploi : ce qu’on appelle « avoir un couteau à la gorge ».

A la descente, le médecin passe avoir ses collaborateurs (pharmaciens) pour récupérer ce qu’ils appellent "donner plus tard" imaginez que ce monsieur peut parfois descendre avec plus de 8000 Um. Certains pharmaciens se permettent même de donner au médecin la liste de médicaments qu’il dispose, cella veut dire qu’on ne prescrit plus les ordonnances en fonction de la maladie que souffrent les patients mais plutôt du stock que « son pharmacien » dispose.

Ne vous étonnez pas, si vous rencontrez plusieurs patients avec des maladies différentes ont les mêmes médicaments.

Mon but ici n’est pas d’offenser tous les médicins et infirmiers de Sélibaby, je dois tout de même signaler que certains (un petit nombre) font un boulot remarquable et méritent d’être encouragé.

Il est de mon devoir, citoyen de ce pays et natif de cette région, non seulement de dénoncer ses pratiques mais aussi de tirer l’attention du président de la république, du premier ministre, du ministre de la santé et de tous les intellectuels, cadres et ressortissants de cette région de prendre des mesures qui s’imposent à fin d’alléger les souffrances de nos pauvres cultivateurs et éleveurs.

Une fois de plus je détiens de preuves tangibles et irréfutables pour prouver la véracité de ses informations.

Camara Bakary Diaguily
Tel 6437449
Mail camaracbd@yahoo.fr
Cabase-72@hotmail.com


www.cridem.org


Source :
dambeh

Accueil chaleureux du Premier ministre à l’entrée de Nouadhibou.




Dans le cadre des séries d’inaugurations entreprises par les hautes autorités de la république, le Premier ministre, le Dr Moulaye Ould Mohamed Laghdaf vient de faire l’objet, à l’instant même d’un accueil chaleureux et enthousiaste, de la part des autorités territoriales et des populations de Dakhlet-Nouadhibou,.

Le chef du gouvernement a été accueilli à l’entrée de la capitale économique par le Wali de Dakhlet-Nouadhibou, par les ministres de l’industrie et des mines, des pêches et de l’économie maritime, ainsi que par plusieurs notables, cadres, intellectuels et citoyens de cette région. Nous y reviendrons.


Source :
Le Véridique (Mauritanie)

Le président de la république est arrivé à Nbeiguett Lehwash.





Le Président de la République Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz est arrivé dimanche matin à la moughataa de N'Beiket Lahouach relevant de la wilaya du Hodh Charghi.

Le Chef de l'Etat était accueilli à son arrivée par le ministre de l'habitat, de l'urbanisme et de l'aménagement du territoire, M. Ismail Ould Bodda Ould Cheikh Sidiya; le commandant de la 5ème région militaire, Colonel Sidiya Ould Mohamed Bouya Ould Sidi Haiba; le hakem de la moughataa, M. Abde Dayem Ould Moustapha; le capitaine Ahmed Ould Ameyin, commandant du 1er Groupement de la Garde nationale; les autorités administratives, militaires et sécuritaires locales, des élus, cadres et notables de la zone.

Le Président de la République aura à superviser l'inauguration d'un certain nombre d'installations dans cette moughataa qui a été créée récemment pour favoriser un début de stabilisation dans cette zone pastorale riche en ressources et en cheptel.

Les populations de la zone du "Dhar" ont réservé au Président de la République un accueil populaire massif avec au premier rang un grand nombre de chameliers. Les habitants des environs ont dressé des pancartes, levé haut des banderolles et scandé des slogans de soutien au Président de la République et aux "orientations en faveur du changement constructif" pour les efforts consentis en faveur de l'amélioration des conditions de vie des populations en particulier dans le terroir.

Ils aussi apprécié le souci du Chef de l'Etat de rapprocher l'administration du citoyen et de rendre disponibles les services sociaux de santé et d'éducation dans tous les coins de la Mauritanie.


Source :
Agence Mauritanienne d'Information

Le président de la république est arrivé à Nema.




Le président de la république Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz est arrivé dimanche à Nema au début d'une tournée au cours de laquelle, il supervisera l'inauguration et le lancement de plusieurs projets de développement dans le cadre de la célébration du cinquantenaire de l'indépendance nationale.

Il a été accueilli à sa descente d'avion par le wali du Hodh Charghi, M. Mohamed Ould Ahmed Salem Ould Mohamed Rare, le commandant de la 5ème région militaire, le colonel Sidina Ould Sidi Heibe et le maire de Nema, M. Sidi Mohamed Ould Mohamed.

Le président de la république a passé en revue un détachement des forces armées venues rendre les honneurs avant de saluer les autorités administratives et militaires, les élus et les notables de la wilaya.

Ces inaugurations se trouvent dans les wilayas des deux Hodhs, de l'Assaba, du Gorgol et du Brakna.

Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz est accompagné au cours de cette tournée par les ministres de la fonction publique et de la modernisation de l'administration, de la santé, de l'hydraulique et de l'assainissement, du développement rural et de la communication et des relations avec le Parlement ainsi que du directeur de cabinet du président de la république, de deux conseillers à la Présidence de la république et du directeur général du protocole d'Etat.


Source :
Agence Mauritanienne d'Information