Des cas suspects pouvant être des cas de fièvre Ebola ont été repérés au Liberia, selon les autorités locales. En Guinée,
une épidémie de cette fièvre mortelle a été déclarée. Quatre-vingt-sept
cas suspects de fièvre hémorragique virale ont été signalés, dont
soixante-et-un décès.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) précisait que seuls treize cas ont été à ce jour formellement confirmés comme étant Ebola ; des cas aussi confirmés par des laboratoires.
Même si l'OMS qui a tiré la sonnette d'alarme reste prudente encore prudente, la Mauritanie a décidé de fermer tous les accès extérieurs au niveau de ses points de passage avec les Etats de l’Afrique de l’Ouest touchés par cette épidémie.
Les précautions de Nouakchott sont d’autant préventives pour parer à une épidémie à la vitesse de propagation vertigineuse. En effet, un cas au minimum d’Ebola, qui a la particularité d’être une épidémie spécifiquement africaine, aurait été détecté au Canada, à plusieurs milliers de km des sites contaminés.
Pour Tarik Jasarevic, porte-parole de l'OMS, l'existence de l'épidémie est certaine puisqu'elle a été confirmée par un laboratoire : « On parle de cas suspects tant que ce n’est pas confirmé car il y a des maladies qui peuvent avoir comme résultat les mêmes symptômes ».
Il faut donc faire attention aux mauvaises interprétations, insiste Tarik Jasarevic . «Ce qui est important au-delà des chiffres, c’est de mettre en place toutes les mesures nécessaires pour contenir cette épidémie et pour qu’il n’y ait justement pas une transmission au-delà des frontières ou au-delà de la région qui a été affectée à en premier lieu ».
C’est sans doute pour ces raisons que la Mauritanie a pris la décision de resserrer l’étau autour de ses frontières pour éviter la propagation de la maladie.
Notons qu’il n'existe pas de traitement pour cette fièvre très contagieuse. Les seuls moyens d'action sont la prévention de la propagation, et c'est ce à quoi s'attellent les autorités guinéennes.
Pour tenter d'éviter la propagation de la maladie, il est nécessaire de mettre en place des mesures et des protocoles précis, explique le porte-parole de l'OMS : « Il s’agit notamment d’établir les endroits d’isolement pour les cas confirmés, d’apporter des soins à ces cas-là. Il s’agit de trouver les contacts des personnes qui ont approché les cas confirmés, car la fièvre hémorragique d’Ebola est très contagieuse.
Elle se transmet assez rapidement. Il faut qu’on suive ces cas pour voir s’ils développent des symptômes. Il faut aussi qu’il y ait des capacités de laboratoire pour confirmer les cas ».
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) précisait que seuls treize cas ont été à ce jour formellement confirmés comme étant Ebola ; des cas aussi confirmés par des laboratoires.
Même si l'OMS qui a tiré la sonnette d'alarme reste prudente encore prudente, la Mauritanie a décidé de fermer tous les accès extérieurs au niveau de ses points de passage avec les Etats de l’Afrique de l’Ouest touchés par cette épidémie.
Les précautions de Nouakchott sont d’autant préventives pour parer à une épidémie à la vitesse de propagation vertigineuse. En effet, un cas au minimum d’Ebola, qui a la particularité d’être une épidémie spécifiquement africaine, aurait été détecté au Canada, à plusieurs milliers de km des sites contaminés.
Pour Tarik Jasarevic, porte-parole de l'OMS, l'existence de l'épidémie est certaine puisqu'elle a été confirmée par un laboratoire : « On parle de cas suspects tant que ce n’est pas confirmé car il y a des maladies qui peuvent avoir comme résultat les mêmes symptômes ».
Il faut donc faire attention aux mauvaises interprétations, insiste Tarik Jasarevic . «Ce qui est important au-delà des chiffres, c’est de mettre en place toutes les mesures nécessaires pour contenir cette épidémie et pour qu’il n’y ait justement pas une transmission au-delà des frontières ou au-delà de la région qui a été affectée à en premier lieu ».
C’est sans doute pour ces raisons que la Mauritanie a pris la décision de resserrer l’étau autour de ses frontières pour éviter la propagation de la maladie.
Notons qu’il n'existe pas de traitement pour cette fièvre très contagieuse. Les seuls moyens d'action sont la prévention de la propagation, et c'est ce à quoi s'attellent les autorités guinéennes.
Pour tenter d'éviter la propagation de la maladie, il est nécessaire de mettre en place des mesures et des protocoles précis, explique le porte-parole de l'OMS : « Il s’agit notamment d’établir les endroits d’isolement pour les cas confirmés, d’apporter des soins à ces cas-là. Il s’agit de trouver les contacts des personnes qui ont approché les cas confirmés, car la fièvre hémorragique d’Ebola est très contagieuse.
Elle se transmet assez rapidement. Il faut qu’on suive ces cas pour voir s’ils développent des symptômes. Il faut aussi qu’il y ait des capacités de laboratoire pour confirmer les cas ».
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