vendredi 4 novembre 2011

Le réseau des correspondants de presse du Brakna remercie le président Ould Abdel Aziz de son geste humain, généreux et compréhensif.




A la suite du décès du colonel feu Dieng Oumar Harouna, Monsieur le Président de la RIM, son excellence, Mohamed Ould Abdel Aziz vous avez choisi un homme capable, loyal, juste, bienfaisant, charitable et sincère pour transmettre vos condoléances à la famille du défunt feu colonel Dieng Oumar Harouna rappelé à dieu le tout puissant.

Le Général N'Diaga Dieng est une personne, un homme qui a la volonté et ferme détermination d’aider, il a le cœur et le souci d’aider à réaliser un vœu cher des Boghéens qui luttent pour le développement.

Monsieur le président votre choix de dépêcher ou mandater cet homme pour transmettre vos condoléances à la famille du défunt aux habitants du Brakna, nous offre et donne la ferme volonté d’appeler les choses par leur nom, que vous êtes humain, pieux, c’est une volonté d’être toujours efficace.

C’est presque la quatrième fois que le président Mohamed O Abdel Aziz se présente personnellement ou dépêche une mission pour présenter en son nom des condoléances suite à des tragédies survenues dans la Wilaya ou à la disparition de certaines figures de la région. Pour mémoire, on peut citer le décès de Mamadou Samba Diop dit Mourtodo, l’attaque deTourine qui a coûté la mort à plusieurs soldats dont deux ressortissants du Brakna, la noyade Seeno Boussobé, qui a causé la mort de 13 personnes.

Le décès du savant Halpular, il s’était personnellement présenté chez la famille de Mourtodo à M’Bagne pour présenter ses condoléances en pleine campagne électorale. Tandis qu’à Seeno Boussobé, il avait dépêché madame Coumba Bâ et M. Abdallahi O Ahmed Damou (conseillers à la présidence) pour le faire à sa place A Boghé, c’est l’ancien Wali du Brakna, Mohamedi O Sabari et le commandant de la 5ème région militaire qui l’ont représenté.

S’il avait décidé d’ouvrir une enquête sur les circonstances du meurtre de Lamine Mangane, tué lors d’une manifestation à Maghama (département du Gorgol où il avait effectué sa fameuse prière sur les morts victimes des évènements de 1989), il aurait convaincu les citoyens mauritaniens de façon générale et ceux de la vallée du fleuve en particulier sur sa bonne foi. Mais nous ne désespérons pas encore de voir le gouvernement mener une enquête pour élucider cette affaire. Le décès de l’ex épouse du général Négri « Mama haidara » vous avez dépêché le colonel Dia Adama.

Merci, Monsieur le président, nous nous joignons à la famille du feu colonel pour vous rendre nos souhaits qu’allah le tout puissant guide vos pas dans le meilleur chemin. Le Général NDiaga Dieng que vous avez envoyé, est pour nous et reste visiblement une personnalité incontournable au Brakna très influant dans le département de Boghé, il est dans les bouches des pauvres, démunis. La jeunesse l’admire et les femmes et vieux l’estiment, les religieux, les imans des mosquées connaissent ces gestes.

Là, vous avez raison très confiant aussi.


La presse, Mr le président joue un rôle de chien de garde, dénonce les excés de suffisance des puissants et permet aussi aux oubliés de se faire entendre. La fonction du journaliste n’est –elle pas finalement que d’encourager des citoyens eux-mêmes à s’exprimer ou de faire écho à leur propos ? Cette définition s’est toujours révélée si constamment et profondément enracinée dans la pensée de ceux qui font l’information, qu’il n’est guère possible de la remettre en cause.

Il est difficile quand on regarde le passé de séparer le concept journaliste du concept de création d’une communauté citoyenne, prélude de la démocratie. Est-ce la loi du marché ? Les citoyens choisissent leurs journaux en fonction de leur style et de leur approche de l’information. Le but de notre réseau, le but essentiel est de dire la vérité de telle sorte que les citoyens disposent de l’information dont ils ont besoin pour exercer leur souveraineté.

Nelson Mandela disait : « la presse est le miroir par lequel nous mesurons la portée de nos actions. »

Réseau des correspondants de presse du Brakna.

Dia Abdoulaye Alassane (NKTT-info)

Abou Boubou Fall (la tribune)

Brahim ould Ely Salam (Calame)

Jules Diop (Eveil hebdo et Quotidien NKTT)

Diop Mohamedou Abou (le véridique).

Sneiba.

www.cridem.org


Source :
Albert camus Diop

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire