A quelques heures de l’investiture du nouveau maire Dia Hamady Hachimiou à qui nous souhaitons bonne chance, je voudrais livrer ce témoignage sur son prédécesseur M. Bâ Adama Moussa qui a passé deux mandats qui lui ont donné un succès sans précédent dans sa vie.
Son bilan est très exhaustif : la construction d’un abattoir, d’une poissonnerie, la mise en place d’un parc d’ambulances, l’équipement de bus pour le transport des élèves, le ramassage des ordures grâce à une tractopelle et un camion, l’équipement en motopompes pour le maraîchage, l’équipement en forages des villages.
L’homme a d’ailleurs toujours été au service des populations, toutes communautés confondues de façon désintéressée : sa voiture a toujours joué le rôle d’ambulance pour évacuer les malades. Il apporte sa contribution matérielle, financière, logistique, morale à tous les nécessiteux.
Ses campagnes politiques n’ont pas été une simple formalité dès l’instant où les populations disaient à ses adversaires politiques : « Ne vous fatiguez pas ! Nous voterons Adama indépendamment de l’appartenance aux partis politiques. Il a connu la baraka.
Est-ce une rétribution des actions de bienfaisance de sa défunte maman pour les malades mentaux ? Ou est-ce une bénédiction de nos saints de la famille omarienne ? Thierno Hady Tall l’avait toujours surnommé « monsieur le Maire » à chaque fois qu’ils s’étaient serrés la main avant son accession à la mairie. Est-ce la bénédiction de la famille d’El Hadj Mamadou Moussa Ly de Dara Halaybe ?
Bâ Adama regroupe des qualités humaines incontestables. Il sait se faire respecter quand il le faut : au cours de l’avant dernier festival, le Secrétaire général du ministère de la jeunesse est venu trop pressé de Nouakchott et a tenu à ce que la cérémonie démarre dare-dare.
Monsieur le maire lui a tout simplement signifié qu’il peut repartir à Nouakchott sans participer au Festival d’autant plus que ce dernier n’a aucune considération pour les festivaliers ; même attitude vis-à-vis du patron de la World Vision qui était trop exigeant vis-à-vis de son partenaire municipal.
Il sait pardonner : il a refusé le limogeage du policier qui l’avait agressé. Il sait être diplomate : il a rapatrié le corps du maçon chrétien sénégalais décédé à Boghé jusqu’aux mains des autorités administratives de Podor. Il sait faire arrêter quand il le faut : il a mobilisé la police pour arrêter le chauffeur d’un camion remorque qui a eu à profaner le cimetière des colons.
En quittant la mairie, il laisse plus de 130 millions d’UM pour le financement de grands projets notamment la construction de la gare routière, la construction d’un nouvel hôtel de ville, la construction d’une école de 6 classes, un mur de clôture autour du cimetière, un nouveau marché hebdomadaire, une salle de fête de 500 places.
L’acquisition de tous ces projets quasiment financés par l’Union Européenne après une présentation de critères de performance. Ce qui me satisfait c’est d’entendre dire par les populations des autres régions « nous voulons un maire à l’image de Bâ Adama ». Pendant qu’il n’était plus maie, il continue ses œuvres de bienfaisance : n’a-t-il pas acheminé dans tous les villages le matériel médical et les médicaments venus des USA ?
Ne s’est-il pas mobilisé pour évacuer les victimes d’accident non encore identifiés à la morgue du Centre médical de Boghé. L’UE ne l’a-t-il pas élu meilleur maire du pays ?
Le Chef de l’Etat ne reconnaît-il pas en lui un grand patriote ? En tous cas, en quittant la mairie la tête haute, par la grande porte, il hissé la barre à un échelon très élevé qui fera que son successeur à qui nous souhaitons plein succès dans son nouveau magistère, pour se mouvoir, devra être muni d’une perche très solide axée sur la patience, l’ambition, l’esprit d’ouverture… et le meilleur conseiller et manager ne sera autre que Bâ Adama Moussa qui restera égal à lui-même.
Sy Alhousseynou
Son bilan est très exhaustif : la construction d’un abattoir, d’une poissonnerie, la mise en place d’un parc d’ambulances, l’équipement de bus pour le transport des élèves, le ramassage des ordures grâce à une tractopelle et un camion, l’équipement en motopompes pour le maraîchage, l’équipement en forages des villages.
L’homme a d’ailleurs toujours été au service des populations, toutes communautés confondues de façon désintéressée : sa voiture a toujours joué le rôle d’ambulance pour évacuer les malades. Il apporte sa contribution matérielle, financière, logistique, morale à tous les nécessiteux.
Ses campagnes politiques n’ont pas été une simple formalité dès l’instant où les populations disaient à ses adversaires politiques : « Ne vous fatiguez pas ! Nous voterons Adama indépendamment de l’appartenance aux partis politiques. Il a connu la baraka.
Est-ce une rétribution des actions de bienfaisance de sa défunte maman pour les malades mentaux ? Ou est-ce une bénédiction de nos saints de la famille omarienne ? Thierno Hady Tall l’avait toujours surnommé « monsieur le Maire » à chaque fois qu’ils s’étaient serrés la main avant son accession à la mairie. Est-ce la bénédiction de la famille d’El Hadj Mamadou Moussa Ly de Dara Halaybe ?
Bâ Adama regroupe des qualités humaines incontestables. Il sait se faire respecter quand il le faut : au cours de l’avant dernier festival, le Secrétaire général du ministère de la jeunesse est venu trop pressé de Nouakchott et a tenu à ce que la cérémonie démarre dare-dare.
Monsieur le maire lui a tout simplement signifié qu’il peut repartir à Nouakchott sans participer au Festival d’autant plus que ce dernier n’a aucune considération pour les festivaliers ; même attitude vis-à-vis du patron de la World Vision qui était trop exigeant vis-à-vis de son partenaire municipal.
Il sait pardonner : il a refusé le limogeage du policier qui l’avait agressé. Il sait être diplomate : il a rapatrié le corps du maçon chrétien sénégalais décédé à Boghé jusqu’aux mains des autorités administratives de Podor. Il sait faire arrêter quand il le faut : il a mobilisé la police pour arrêter le chauffeur d’un camion remorque qui a eu à profaner le cimetière des colons.
En quittant la mairie, il laisse plus de 130 millions d’UM pour le financement de grands projets notamment la construction de la gare routière, la construction d’un nouvel hôtel de ville, la construction d’une école de 6 classes, un mur de clôture autour du cimetière, un nouveau marché hebdomadaire, une salle de fête de 500 places.
L’acquisition de tous ces projets quasiment financés par l’Union Européenne après une présentation de critères de performance. Ce qui me satisfait c’est d’entendre dire par les populations des autres régions « nous voulons un maire à l’image de Bâ Adama ». Pendant qu’il n’était plus maie, il continue ses œuvres de bienfaisance : n’a-t-il pas acheminé dans tous les villages le matériel médical et les médicaments venus des USA ?
Ne s’est-il pas mobilisé pour évacuer les victimes d’accident non encore identifiés à la morgue du Centre médical de Boghé. L’UE ne l’a-t-il pas élu meilleur maire du pays ?
Le Chef de l’Etat ne reconnaît-il pas en lui un grand patriote ? En tous cas, en quittant la mairie la tête haute, par la grande porte, il hissé la barre à un échelon très élevé qui fera que son successeur à qui nous souhaitons plein succès dans son nouveau magistère, pour se mouvoir, devra être muni d’une perche très solide axée sur la patience, l’ambition, l’esprit d’ouverture… et le meilleur conseiller et manager ne sera autre que Bâ Adama Moussa qui restera égal à lui-même.
Sy Alhousseynou
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