Le village de Dawalel, situé à quelques encablures de M’Bagne, capitale départementale a plébiscité son fils, Sy Abdoulaye, maire sortant de la commune de M’Bagne et candidat UPR à la députation. Les résultats sortis du bureau de ce village sont révélateurs: 274 pour l’UPR, 33 pour l’UDP. Cela se passe de commentaires.
Professeur d’histoire et géographie de son état, directeur du collège d’Aéré M’Bar, Sy Abdoulaye, fit son entrée dans l’arène locale en faveur des élections partielles de la commune de M’Bagne d’octobre 2009. A l’époque, tout le village s’était mobilisé derrière ce proche parent du général Negri, chef d’Etat-Major de la garde nationale. 198 pour l’UPR et 23 pour les 4 autres concurrents.
Dawalel avait sauvé l’UPR du naufrage, ce qui avait légitimé la candidature de son fils au poste de maire de M’Bagne. Il a été élu sans accrocs, tant il faisait consensus entre les différentes listes et acteurs politiques de la commune.
Son choix pour la députation de 2013 avait été bien apprécié choix tandis que celui de son colistier faisait l’objet d’une farouche opposition de bons nombre de cadres UPR du département. D’où une rude campagne contre l’UDP se concluant au soir du 23 novembre par un 2e tour.
Il aura fallu battre une farouche bataille pour élire le fils du village à la députation parce que l’UPR pointait en 2e position après l’UDP. D’où la très forte mobilisation de tout le village, avec en tête des cadres qui, d’où qu’ils se trouvent dans le pays se sont déportés à Dawalel pour voter massivement en faveur de leur poulain, avec probablement le soutien du très discret général Négri.
Selon Sy Ousmane Saidou, l’un des cousins du désormais député de M’bagne, ayant joint le Calame, depuis Dawalel, les populations de ce village continuent à savourer la victoire du fils du village. On a beaucoup chanté dansé, chez l’illustre chanteur et danseur du Wango Médda Diagne.
Professeur d’histoire et géographie de son état, directeur du collège d’Aéré M’Bar, Sy Abdoulaye, fit son entrée dans l’arène locale en faveur des élections partielles de la commune de M’Bagne d’octobre 2009. A l’époque, tout le village s’était mobilisé derrière ce proche parent du général Negri, chef d’Etat-Major de la garde nationale. 198 pour l’UPR et 23 pour les 4 autres concurrents.
Dawalel avait sauvé l’UPR du naufrage, ce qui avait légitimé la candidature de son fils au poste de maire de M’Bagne. Il a été élu sans accrocs, tant il faisait consensus entre les différentes listes et acteurs politiques de la commune.
Son choix pour la députation de 2013 avait été bien apprécié choix tandis que celui de son colistier faisait l’objet d’une farouche opposition de bons nombre de cadres UPR du département. D’où une rude campagne contre l’UDP se concluant au soir du 23 novembre par un 2e tour.
Il aura fallu battre une farouche bataille pour élire le fils du village à la députation parce que l’UPR pointait en 2e position après l’UDP. D’où la très forte mobilisation de tout le village, avec en tête des cadres qui, d’où qu’ils se trouvent dans le pays se sont déportés à Dawalel pour voter massivement en faveur de leur poulain, avec probablement le soutien du très discret général Négri.
Selon Sy Ousmane Saidou, l’un des cousins du désormais député de M’bagne, ayant joint le Calame, depuis Dawalel, les populations de ce village continuent à savourer la victoire du fils du village. On a beaucoup chanté dansé, chez l’illustre chanteur et danseur du Wango Médda Diagne.
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