mardi 30 novembre 2010

Inchiri: incinération de quantités de chanvre indien.




Procureur de la république près le tribunal de la wilaya de l'Inchiri, M. Mohamed Yengé Ould Mohamed Mahmoud a supervisé lundi soir à Akjoujt l'incinération de 700 grammes de chanvre indien et d'une plante de cette même espèce.

Le correspondant de l'Agence Mauritanienne d'Information en Inchiri, qui rapporte la nouvelle, se fondant sur des sources sécuritaires, indique que cette quantité a été trouvée samedi dernier entre les mains de 3 mauritaniens.

La police a fait cette découverte au cours d'une enquête pendant que l'un d'eux tentait de cultiver la plante en cause dans son domicile.

AMI

Célébration du cinquantenaire de l’Indépendance Nationale / Tidjikja en fête ! (Reportage photos)



La célébration du cinquantenaire de l’Indépendance a été marquée à Tidjikja par une très forte mobilisation des populations locales aussi bien au niveau du chef lieu de la Moughattta, qu’au niveau des arrondissements et les communes rurales. Les festivités qui ont émaillées cette journée historique ont donné à l’événement un cachet à la fois festif et solennel.
A Tidjikja, les festivités qui ont débuté à 8 heures, ont été marquées par la levée des couleurs assurée par les éléments de la brigade de la gendarmerie suivi d’un imposant défilé des écoliers agrémenté par des chants patriotiques. Ces mêmes écoliers ont ensuite tenu en haleine le public à travers divers jeux au cours desquels ils ont fait montre d’adresse et d’intelligence.
Toutes ces festivités se sont déroulées sous le regard attentif du Wali du Tagant Monsieur Mohamed El Moustapha Ould Mohamed Vall entouré de ses proches collaborateurs dont le wali adjoint chargé des affaires administratives, monsieur Cheikh Ould Meddah, le wali adjoint chargé des affaires économiques monsieur Mohamed ould Cheikh ould Ghows, le Hakem de Tidjikja monsieur Ahmed Ould Mohamed Mahmoud Ould Deih, le chef d’arrondissement de Lakhcheb, le Procureur de la République le commandant du groupement de la garde de Tidjikja, le Directeur de sureté Régionale le chef de la compagnie de la gendarmerie de Tidjikja, le chef de la brigade de gendarmerie, le premier adjoint au maire de Tidjikja et les chefs de services régionaux.
Plusieurs prix et de nombreux cadeaux ont été attribués aux écoliers par les représentants de l’administration régionale et par les élus locaux.
L’après-midi a été marquée par l’organisation d’un Match de Football, d’une course des chevaux et d’une course aux chameaux, d’une finale de jeu de pétanque et d’une compétition de tir à la cible.
Et dans la soirée, le Wali du Tagant a invité les responsables administratifs, les élus, les chefs de services, les représentants de la société civile à un somptueux diner qui s’est prolongé jusqu’aux environs de 22 heures du soir.
Il convient de souligner que la mairie de Tidjikja a procédé, une semaine avant le jour « J », au pavoisement de la place de l’indépendance en l’entourant de palmiers dattiers et en procédant à la réfection aussi bien de la tribune que de l’aire réservé au public.
Aussi, contrairement au 49eme anniversaire de l’indépendance nationale, le cinquantenaire a suscité beaucoup d’enthousiasme à Tidjikja à en juger par la forte affluence du public venu assister à la cérémonie. Seulement, ici, l’on regrette fort que le Tagant, en général, et Tidjikja, en particulier, ne puissent bénéficier d’une quelconque pose de pierre encore moins d’une inauguration.
Khalil sow
Khalil1965@yahoo.fr














La fièvre de la vallée du Rift tue des personnes et des animaux en Adrar.




Bakar ould Cheikh (notre photo), aujourd’hui, hospitalisé au CHN de Nouakchott, a été évacué vers les centre hospitaliers de la capitale à partir de la localité de Graret Levrass relevant de la commune d’Elmeddah (Moughatat d’Aoujeft sud ouest de l’Adrar), parmi 18 malades atteints de la fièvre du Rift (Rift Valley Fever).

Parmi les 18 évacués, 3 ont déjà trouvé la mort, selon des sources familiales. Le reporter de l’ANI a visité le Centre hospitalier national (CHN), où sont hospitalisés Bakar Ould Cheikh et sa cousine Jeyda Mint Bouchama.

Il a pu constater une certaine peur chez le personnel hospitalier face à cette maladie qu’ils n’ont jamais connue auparavant, dont ils craignaient la contagion. Des médecins ont demandé à ce que un pavillon soit réservé à ces malades qui, selon eux, doivent être tenus en quarantaine.

Le personnel médical a exprimé son étonnement face à la « discrétion » observée par les autorités sanitaires face à cette maladie, ayant déjà provoqué la mort de plusieurs personnes dans la wilaya de l’Adrar où tout a commencé, en plus des décès enregistrés dans les hôpitaux de Nouakchott, dont Mohamedou Ould Tihiyya décédé jeudi dernier au CHN .

Cheikh Ould Bakar, notable de la localité de Graret Levrass, accompagnnat les évacués a parlé, avec beaucoup de douleur et de difficulté, au reporter de l’ANI, décrivant la situation des malades de « catastrophique », notamment dans les localité du sud ouest de l’Adrar, où des dizaines de personnes ont été, selon lui, emporté par cette épidémie de fièvre.

« Plusieurs malades, a-t-il précisé, ont été évacués vers les hôpitaux d’Akjoujt et de Nouakchott sans que les autorités centrales ou régionales ne prennent la moindre disposition en leur faveur ».

et le notable de se plaindre : « Pourquoi n’ya-t-il pas un seul poste de santé à Graret Levrass ou dans les localités environnantes, malgré l’importance du nombre des populations locales, lesquelles n’avaient pas manqué, en vain, de sonner l’alerte chez les autorités administratives et sanitaires de la wilaya ».
Ould Bakar poursuivra que la fièvre a provoqué, en plus des pertes humaines, la mort de plusieurs dizaines de têtes de bétail, notamment des dromadaires et des caprins. Au moment où je vous parle, a-t-il mentionné les habitants sont actuellement privées des viandes et du lait provenant de leur bétail et qui constituait pour eux une source principale de nourriture, après avoir été informé que la maladie est transmise par les animaux domestiques.

Qu’est-ce que la fiévre de la vallée du Rift ?

Selon l’OMS, la fièvre de la Vallée du Rift (FVR) est une zoonose virale touchant principalement les animaux mais pouvant aussi contaminer l'homme. L'infection peut provoquer une pathologie sévère tant chez l'animal que chez l'homme. Les morts et les avortements dans les troupeaux infectés par la FVR entraînent aussi des pertes économiques substantielles.

Le virus de la FVR appartient au genre Phlebovirus, l'un des cinq genres de la famille des Bunyaviridae. Il a été identifié pour la première fois en 1931 au cours d'une enquête sur une épidémie touchant les moutons d'une ferme de la Vallée du Rift, au Kenya.

On a ensuite signalé des flambées en Afrique du Nord et en Afrique subsaharienne. En 1997-1998, une flambée épidémique majeure s'est produite au Kenya, en Somalie et en Tanzanie et, en septembre 2000, des cas de FVR ont été confirmés en Arabie saoudite et au Yémen. Cette première fois où on a signalé la maladie en dehors du continent africain suscite des inquiétudes sur la possibilité de son extension à d'autres parties de l'Asie et à l'Europe.



Source :
ANI (Mauritanie)

Brakna : AREMAU construit 3 salles de classes à Thialgou (commune de Boghé).




Dans le cadre d’un partenariat qui lie depuis 2006, la communauté villageoise de Thialgou (commune de Boghé) et l’Association Amitié, réciprocité et échange avec la Mauritanie (AREMAU), cette dernière s’était engagée à construire deux blocs de 3 salles de classes chacun.

Ce projet, qui contribuera sans nul doute à résoudre le déficit de salles dans cet établissement qui compte environ 350 élèves au titre de l’année scolaire en cours, commence à prendre forme depuis ce dimanche 28 novembre.

En effet, l’Entreprise mauritanienne d’études et de travaux (EMET) a démarré les travaux de fondation du 1er bloc de 3 salles (9 m/6 chacune) suivant le modèle “Education V” en présence du directeur de l’école et de nombreux parents d’élèves.

D’un coût global de 4 800 000 UM environ, ce premier lot sera exécuté en 3 mois. Le village a pris en charge la fabrique des parpaings et le remblayage, le reste étant assuré par AREMAU.

Cette aide généreuse a été très favorablement accueillie par les bénéficiaires qui estiment « qu’elle intervient au moment opportun car l’école de Thialgou ne dispose actuellement que de deux salles en bon état ».

Notons que l’Association AREMAU avait accordé le 11 décembre 2009, un important don de matériels informatiques, audiovisuels et des équipements médicaux, sportifs, scolaires, agricoles au village de Thialgou en présence de nombreuses personnalités politiques et coutumières. Ces dons s’inscrivent dans le cadre d’un partenariat qui lie le village de Thialgou à la commune française de Bruguière (département de la Haute-Garonne, Région de Toulouse).

Dia Abdoulaye


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Source :
Dia Abdoulaye

Nouadhibou : SEPH-SA, une unité Industrielle va créer des milliers d’emplois.





Ce jeudi, le ministre des pêches et de l’économie maritime, M.Eghdavna Ould Eyih a inauguré une série de projets liés au secteur des pêches. Parmi ces inaugurations, celle de l’extension de la SEPH-SA (Société d’Elaboration des Produits Halieutiques).

Cette nouvelle unité de traitement, d’élaboration et de congélation des poissons pélagiques est une extension de l’ancienne usine mais, de par sa conception, elle est l’une des plus modernes d’Afrique et dans le monde arabe (elle est la troisième dans le monde occidental).

L’extension devra permettre à l’usine de porter sa production journalière de poissons pélagiques élaborés (HGT) congelés à 230 tonnes /jour.

Ce sont environ plus d’un millier d’emplois directs à terre (dont 400 réservés à des femmes) , huit cent autres directs aussi en en mer dans la pêche artisanale , quelques centaines d’emplois indirects. Ces emplois vont ‘booster modestement l’intégration de la pêche pélagique, principale richesse de nos eaux, à l’économie nationale‘, a dit M.Abbase Boughourball, P-DG de SEPH-SA.

La nouvelle extension a eu lieu grâce au soutien de l’Office International pour le Développement de l’OPEP et la Banque Européenne d’Investissement. C’est sur Cette confiance, a dit M.Boughourball , qu’ils nous ont accordé un financement sans garantie permettant ainsi de boucler des fonds nécessaires pour réaliser cet investissement qui lance le premier jalon modeste de l’intégration à notre économie nationale la pêche de poissons pélagiques qui constituent la principale richesse de nos eaux’.

Il faut préciser que jusqu’à ce jour cette exploitation est du domaine exclusif de navires usines étrangers, dont l’apport à notre économie, au droit de travail des mauritaniens, à la création de l’emploi, était insignifiant sinon inexistant. Dans son discours, M.Boughourball, a remercié le président de la République, son excellence , M.Mohamed Ould Abdel Aziz, pour ‘l’intérêt qu’il porte à notre entreprise’.


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Source :
La Voix de Nouadhibou

Triste anniversaire. Il y a 50 ans, la ville de Nouadhibou.




Une date comme une autre. En 50 ans, il y a eu de bonnes choses, mais il y a encore beaucoup de travail. Avec l’actuel Président Mohamed Ould abdel AZIZ Je pense que ce 28 Novembre doit être notre nouveau départ, notre nouvelle indépendance.

Ma mère est morte à Nouadhibou il y a 40 ans, mais si on la réveille aujourd'hui dans sa tombe, elle pourra rentrer à la maison sans avoir à demander le chemin à personne. Il n'y a pas eu beaucoup de changements ! Cela ne veut pas dire que les politiques n'ont rien fait du tout, mais il y a eu plus de choses négatives que positives.

Qu'est-ce qu'on entend par indépendance ? Pour moi, c'est être libre, arriver à réaliser les choses soi-même. Ne pas être toujours les mains tendues vers les autres.

50 ans après l’indépendance Nouadhibou, force est de constater malheureusement que la situation socio-économique de notre capitale économique s’est considérablement dégradée et nous sommes loin de pouvoir espérer sortir du gouffre. Les années 60, l’économie dans notre capitale économique était prospère et générée des revenus importants (MIFERMA, IMAPEC SOFRIMA, SIGP, SAMMA...Etc.)

Qui étaient mieux redistribués à tel point que le revenu annuel d’un mauritanien moyen de l’époque dépassait celui d’un coréen du sud. Aujourd’hui pendant que la Corée du Sud fait partie des pays les plus industrialisés du monde, la Mauritanie, elle, a dégringolé parmi les pays les plus pauvres et axe toute sa politique macroéconomique sur l’effacement de sa dette. Quel gâchis! C’est pitoyable.

Après le départ des français toutes ces entreprises ont cessées leurs activités pour cause de mauvaise gestion et mauvaise stratégie d'entreprise. La seule entreprise qui ait réussi à résister étant la MIFERMA actuellement la SNIM car la dite société dispose des bases et d'une assise solide pour relever les défis.Il est vrai que le pays a connu une série d’événements politiques qui ont influencé le bien-être des citoyens Mauritaniens.

Il est vrai aussi, La fuite des capitaux de notre capitale économique depuis l’indépendance, est estimée en milliards UM en 50 ans, représente près de cent fois notre dette. Au moins plusieurs milliards UM ont quitté notre capitale économique (secteur pêches industrielle péllagique et fond).

Entre 2001 et 2005, la fuite des capitaux a représenté chaque année en moyenne 32 milliards UM, "soit un pourcentage vertigineux du produit intérieur brut (PIB) annuel" du pays, Pour la seule année 2004, les sorties de capitaux auraient atteint les 3 milliards USD seulement du secteur de la pêche industrielle type pélagique investit dans l’immobilier aux Iles canaries et les courses des chevaux.

Il est vrai à nos jours que dans les grandes villes Nouadhibou, Nouakchott, les maisons modernes se construisent, quelques artères de nos routes sont réhabilitées, les banques naissent du jour au jour, mais le panier de la ménagère et l’espérance de vie du Mauritanien prend le sens contraire.

Le regard des jeunes se tourne vers l'Europe et l'Amérique. Je dis souvent que le seul opposant que l'on a en Mauritanie, c'est la misère. si un jour on dit qu'il n'y a plus besoin de visa pour aller en Europe ou aux États-Unis, le lendemain il n'y aura plus que le gouvernement! Tous les jeunes veulent partir. Ce n'est pas la solution, mais il faut qu'il y ait des choses à faire ici pour qu'ils restent.




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dodo

Adrar / Mairie d’Atar : Des dissensions à la veille des municipales 2011.




Cette année, les conseillers municipaux d’Atar ne se montrent pas très engagés pour le travail communal. Certains d’entre eux n’assistent plus aux réunions trimestrielles. Les autres se querellent à chaque réunion.

Exemple , la session de Juin dernier, consacrée à l’examen des comptes administratifs et de gestion,. Le conseiller Mohamed Ould M’Haimed a énuméré certaines taxes non budgétisées, pourtant perçues par certains agents de la commune. Il s’agit de :

- La citerne de vidange des eaux usées qui rapporte, dit-il : 80.000 UM par jour
- Le centre culturel communal loué 50.000 UM à chaque usage

-La fourrière communale qui reçoit quotidiennement des d’animaux dont les propriétaires payent 200 UM par tête pour les libérer . L'intervention du conseiller n'a pas été prises en considération dans cette session.Les travaux de ce conseil envoyés à Nouakchott, n’ont pas été approuvés par la tutelle.

Une réunion devait se tenir en début du mois pour corriger les irrégularités et traiter le budget général de la commune pour 2011. Elle est reportée sine die sur demande du Maire.

Elle eut lieu enfin le 21 Novembre. Ni le Maire, ni le trésorier régional ne l’ont assistée. Le Maire adjoint la présidait et le tout nouveau Hakem d’Atar y représentait la tutelle. 12 conseillers sur 21 étaient là. Mohamed Ould M’Haimed y est revenu sur le problème des taxes perçues et non budgétisées.

Certains des conseillers, jadis coté Maire , se sont rangés de l’autre camp et ont critiqué ouvertement sa manière de gérer accentuant davantage les dissensions . La campagne pour les élections municipales 2011 a-t-elle déjà commencé ?

Ely Salem Khayar

dimanche 28 novembre 2010

Kankossa : la mort d'un piroguier endeuille les festivités




Les autorités locales de Kankossa ont annulé les festivités commémorant l’Indépendance, aujourd’hui, suite à un accident qui a fait un mort lors d’une course de pirogues.

La victime, un jeune homme âgé de 25 ans, participait à une course de pirogues dans le lac de Kankossa. L’étendue d’eau qui sépare les deux rives de la ville est pourtant traversée, à longueur de journée, par les habitants à bord de pirogues artisanales.

Cependant, l’absence de mesures de sécurité comme le port de gilets de sauvetage, la proximité de maître-nageurs professionnels, et une prise en compte de consignes de navigation, multiplient les risques de noyade.



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Source :
Canalrim (Mauritanie)

Boghé a célébré la cinquantenaire de son Indépendance : du jamais vu.




C’est dans une atmosphère riche en son, couleur et lumière que la commune de Boghé a célébré la cinquantaine d’indépendance. L’armée nationale sous la conduite de son commandant de base, le colonel Bakar ould Bouceif a marqué l’ événement chaud, des milliers d’individus sont venus applaudir ce défilé militaire exceptionnel.

Cette levée de couleur a eu lieu vers neuf heures plus sous les yeux du Hakem de Boghé Mr Ahmedna Ould Mohamed Lemine, le Colonel Bakar ould Bouceif, le Maire de Boghé Mr Bâ Adama Moussa, les autorités locales.

A huit heures déjà, la place de l’indépendance grouillait de monde, les habitants de Boghé ville, les villages environnants et surtout les élèves des écoles tous étaient là pour la circonstance. Plus de cinq cent élèves habillés aux chemises blanches défilés sous les yeux de leurs directeurs d’écoles et enseignants, L’IDN du Département avait mobilisé son arsal pour la réussite de cet événement grandiose.

Etaient présents les chefs de service des différents départements, la police nationale, la garde nationale, la Gendarmerie nationale, les anciens combattants, le bureau des parents d’élèves, tout le corps des enseignants, les représentants des partis politiques invités : UPR, UFP, APP, Pleij, ElBédil, Sawab, RD, RDU, PRDR, RFD, UPR, le Directeur du lycée technique et professionnel de Boghé, des cadres du Département de Boghé venus célébrer en personne cet événement Mr Abdallah Sarr connu ici sous le Nom Alioune Sarr ( cadre à la direction des domaines. ) et Mr Sow Moctar ( Dioulom) inspection générale des Finances.

Tous les élèves retenus des dix écoles de la ville ont défilé en chantant l’hymne nationale du pays et d’autres chansons qui exhortent à l’unité nationale. Les jeunes, femmes des sites réfugiés Houdallah, Dar Elsalam, Touwieye Diéry et Basra étaient à la fête dans leur habillement traditionnel et typiquement Mauritanien et à la fois africain, là, où ils passent se sont des salves d’applaudissements qui les suivent, des cris de joie.

La Mairie de Boghé, World Vision de Boghé et le Lycée Technique ont participé financièrement à la réussite de cette journée. Bien avant les différents jeux qui récompensent les élèves, trois poèmes en Arabe ont été lu par Mr Yacoub Ould Yahya ould Brahim qui tournent autour de l’Unité Nationale, Les Cinquante ans d’indépendance,il a été applaudis par l’assistance. Le défilé moderne des élèves et traditionnel de la population a pris fin vers douze heures plus.

Cet après midi du 28 novembre 2010, une grande finale opposera Boghé Dow et Touldé Doubango Hartallo qui ont battus respectivement Boghé Dow B par deux buts à zéro , et un but à Zéro.

La soirée sera une Soirée de Gala à la maison des associations où les artistes Griots de Thiénel Halaybé, les Wanbabé, les troupes artistiques des maures dirigés par Djeiny Ould M’Bareck , Tislim Mint Yahya et Oumoul khair des chants et danses en « BONJE » et « DAHOULI ».

Les élèves vont dans la soirée chanter, lire des poèmes, faire des sketchs sur « l’unité et la cohabitation ». il y’aura aussi la danse, un ballet traditionnel et quelques groupes de rappeurs vont participer à leur façon.

Selon Chouein Ould Yetma SG et opérateur (depuis 1997 à la préfecture de Boghé), responsable des invités, convocations , douze partis politiques qui sont représentés à Boghé sont invités à vingt heures chez le Hakem pour un dîner spécial.

A la fin de la cérémonie les CP de Presse des journaux réguliers du Brakna ont tendus le micro au Hakem de Boghé et au Maire Bâ Adama Moussa, ils ont dit : « très satisfaits de l’événement, de l’organisation, contents aussi de la participation massive de la population, vive la RIM libre, merci à la jeunesse qui est l’avenir de Demain. »

Diop Mohamedou Abou dit Hbodiel CP Le Véridique au Brakna.




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Source :
Diop Mohamedou Abou

L'ADG de la SNIM hué à Zouérate




Dans la ville minière du nord, lors de l’inauguration de l’extension de l’hôpital financée par la SNIM, l’ Administrateur Directeur Général de la SNIM, Taleb Ould Abdi Vall, et malgré une forte sonorisation, a eu du mal à faire entendre son discours au milieu des huées des populations dénonçant le mode de recrutement de la main-d’œuvre journalière.

La même clameur réprobatrice a accompagné, également, le discours du Maire, Yacoub Ould Saloum Vall.

Ayant rappelé un moment l’ADG de la SNIM, probablement pour savoir les possibilités de la société minière à résoudre l’épineux des travailleurs occasionnels, Ould Abdel Aziz a indiqué devant les populations que : " le problème trouvera solution au début de l’année prochaine".



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Source :
Canalrim (Mauritanie)

Le cinquantenaire au Guidimakha




A Sélibaby, on fête le cinquantenaire de l’indépendance nationale sous le signe de la fraternité avec les voisins du Mali et du Sénégal. Malgré le climat d'insécurité que redoutent les populations et la situation économique difficile que traverse le pays, le cinquantenaire de l’accession de votre pays à sa souveraineté nationale est fêté à Sélibaby dans la plus grande fierté.

Une série d’activités ont marqué la célébration de cet événement qui aux yeux de beaucoup de mauritaniens est un moment de joie et de fête. Aux cotés des populations mauritaniennes, toutes composantes confondues venues prendre part aux différentes festivités commémorant le cinquantenaire ont défilé les membres de la communauté malienne à Sélibaby, les membres de l'association sénégalaise de Sélibaby.

Le gouverneur adjoint chargé des affaires administratives de Tambacounda du Sénégal accompagné de son directeur de cabinet a effectué le voyage pour participer à la célébration de notre fête nationale, signe de bonne coopération entre les deux pays amis et frères.

Après la levée des couleurs qui a eu lieu en présence du Wali du Guidimakha, entouré des ses proches collaborateurs et de la délégation sénégalaise , venue de Tambacounda partager ce moment de joie avec ses frères mauritaniens ,il s’en est suivi un défilé ,défilé au cour auquel ont pris part les différents services de l’état et des sociétés privés( la Mauripost ,la santé,l’éducation nationale, La délégation du Ministère du développement rural, la SOMELEC, la SNDE, le CFPP, le programme vaincre, le réseau des ong nationales, l’union des coopératives, les femmes tisseuses et l’association des bouchers).

Les partis politiques (l’UPR et Tawassoul) ont brillé par leur présence à cette rencontre.

La remise des prix aux gagnants des jeux organisés et aux quels ont pris part des jeunes écoliers ont mis fin aux différentes activités qui ont caractérisé la matinée du dimanche 28 novembre 2010.

Le Wali du Guidimakha prenant la parole a d’abord remercié le gouverneur adjoint de Tambacounda et sa délégation qui se sont de placé de leur pays pour ainsi montrer l'importance que les deux pays s'accordent.

La Communauté malienne installée à Selibaby ,les o n g ,les artistes ,les membres de la société civile et la presse indépendante ont à leur tour été remerciés par le wali Isselmou o/ Abderahmane o/Meynouh pour s'être mobiliser afin que le cinquantenaire soit une réussite au niveau de cette wilaya agropastorale.

Au niveau du Guidimakha,le cinquantenaire de notre accession à l'indépendance est célébré sous le signe de la fraternité entre les états riverains ,tenus de vivre ensemble.

Le chef de la délégation venue du Sénégal nous a affirmé je cite : " je n’ai pas des mots pour exprimer la joie et la fierté que je ressens en ce moment où la république sœur de Mauritanie fête son cinquantenaire. Je remercie le Wali et les populations mauritaniennes pour l’organisation et la démonstration qui expriment leur attachement à leur patrie et à leurs traditions".

La joie était grande en ce dimanche ,28/11/2010 lors les populations qui vivent dans cette région plurielle se sont retrouvées devant le domicile du Wali pour danser et chanter dans la fraternité , dans un esprit de tolérance et de complémentarité.

Une course des chevaux, des chameaux,un math de football et des tirs viendront mettre fin aux festivités du cinquantenaire de l’indépendance au niveau de Sélibaby avant le diner qui sera offert par le représentant de l'exécutif au niveau régional.

Signé Amadou Bocar Ba

samedi 27 novembre 2010

Un véhicule de la FLM se renverse entre Kaédi et M'Bout faisant 5 morts




Un véhicule effectuant une mission de la Fédération Luthérienne Mondiale (FLM), une ONG internationale, dans la région du Gorgol, s'est renversée entre Kaédi et M'Bout, au cours de la nuit du jeudi au vendredi, faisant 5 morts, a appris Sahara Médias, vendredi de sources proches des familles de certaines victimes.

Une des victimes, la dame Houlèye Tall, employée de l'ONG, a été inhumée vendredi après midi dans un cimetière de Nouakchott.

C'est le deuxième accident de la route enregistré en Mauritanie cette semaine, avec au total une douzaine de morts.




Source :
Sahara Medias (Mauritanie)

Le premier ministre supervise l'inauguration de la station régionale de Radio Mauritanie à Kaédi




Le premier ministre Dr Moulaye Ould Mohamed Laghdaf, a supervisé vendredi l'inauguration de la station régionale de Radio Mauritanie à Kaédi dans le cadre de la célébration du cinquantenaire de l'indépendance nationale.

A son arrivée à la station, le premier ministre a été accueilli par le ministre de la communication et des relations avec le Parlement, M. Hamdi Ould Mahjoub, le directeur général de Radio Mauritanie, M. Mohamed Salem Ould Bouke, et les employés de la station.

Il a visité les différents compartiments de la station où il a reçu des explications sur les programmes de celle-ci, la diffusion et autres aspects techniques.

Il s'agit de la deuxième des 9 stations régionales que le président de la république Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz a ordonné d'ouvrir dans les wilayas qui n'en contiennent pas.

La station du Gorgol diffuse ses programmes sur 97,2 mégahertz grâce à un émetteur FM d'une puissance de 100 watts qui sera portée à 300 watts au bout d'une semaine. Cet émetteur sera utilisé simultanément par la station du Gorgol et la Radio mère à Nouakchott.

La diffusion de la station de Kaédi couvre un périmètre de 30 kilomètres autour de la ville mais cette portée atteindra 50 kilomètres après le renforcement de l'émetteur.

Pendant les horaires de diffusion dans la station régionale, les émissions de Radio Mauritanie sont captées sur les ondes courte et moyenne.



Source :
Agence Mauritanienne d'Information

vendredi 26 novembre 2010

Décès du Maire de Tokobra dans un accident de la route




Le maire de la commune de Tokobra M Yahya Ould Mohamed Vall Ould Messaoud est décédé hier, jeudi, suite à un violent accident de la route survenu entre les villes de Mboud et de Kaédi.

L’information a été confirmée par l’UFP aux organes de presse "alakhbar" ; parti politique auquel appartient cet élu et dont le président, Dr Mohamed Ould Maouloud a présenté ses vives condoléances à la famille du disparu, faisant part de son profond regret pour "cette grande perte" a-t-il dit.


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Source :
La Nation (Mauritanie

Ravitaillement de 48 localités en eau potable




Le Premier ministre, Moulay Ould Mohamed Laghdaf, a supervisé, hier jeudi, à partir de la localité de Bélinabé, dépendant de la moughataa de Kaédi, wilaya du Gorgol, l’inauguration de projets d’approvisionnement en eau de 48 localités, répartis sur 7 wilayas.

Ce programme, qui est l’un des fruits de la coopération entre la Mauritanie et le fonds arabe pour le développement économique et social (Fades), et qui a nécessité un financement de 700 millions d’ouguiyas, bénéficie à quelque 35.000 personnes vivant dans les wilayas dy Gorgol, du Brakna, du Trarza, de l’Assaba, du Tagant et des deux Hodhs.

Le village de Bélinabé qui a accueilli la cérémonie d’inauguration dispose, désormais, d’un réservoir d’une capacité de 100 m2 et d’une élévation de 10 mètres, devant servir au ravitaillement de ses habitants en même temps que ceux du village voisin de Rindiao.




Source :
Sahara Medias (Mauritanie)

Zouerate : Visite du Président de la république. L’essentiel




Le Président de la république est arrivé ce matin 25 Novembre 2010 à Zouerate. Il a été accueilli à l’aéroport par le Maire de Zouerate Monsieur Yacoub Ould Salem Vall, le Wali du Tiris Zemmour Monsieur Ahmedou Bembe Ould Baye, les élus du Tiris Zemmour, les chefs de services régionaux et les organisations de la société civile.

Le Président a procédé aussitôt après une courte pause dans la résidence du Wali du Tiris Zemmour à la pose de la première pierre du projet Guelb II trente kilomètres au nord-est de Zouerate puis à l’inauguration de l’extension de l’hôpital régional financé par la fondation Snim.

Le Maire de Zouerate dans son discours prononcé à l’occasion a souhaité la bienvenue au Président de la République tout en soulignant l’importance des projets inaugurés pour la ville de Zouerate. Il a remercié le Président de la République pour l’importance qu’il n’a cessé d’accorder à ses administrés et la Snim pour les projets réalisés à travers sa fondation.

Mr Yaccoub Ould Salem Vall a exposé les problèmes que connaît Zouerate à savoir : l’absence d’adduction d’eau potable, l’enclavement, le problème des travailleurs journaliers entre autres.

L’Administrateur Directeur Général de la Snim pour sa part a cité les objectifs de la Fondation et les différentes réalisations sur l’axe Zouerate Noudhibou.

Le Président de la République a réitéré sa volonté de respecter les engagements tenus lors de sa visite à Zouerate en 2008. Il affirmé que le problème des travailleurs « journalier » et celui du l’enclavement sont en cours d’études et qu’une solution sera trouvée pour la question des travailleurs « journaliers ».

Il est a noter que les « journaliers se sont fortement mobilisés durant cette visite pour faire entendre leurs voix.

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Source :
Abdallahi Dieng Ould Cheikh

jeudi 25 novembre 2010

Projet d’équipement des établissements scolaires/ La Dren du Tagant réceptionne un premier lot de 100 tables-bancs



Le centre de formation et perfectionnement professionnel de Tidjikja a mis à la disposition de la Dren du Tagant, mercredi 24 novembre 2010, un premier lot de 100 tables-bancs lors d’une cérémonie de réception présidée par le Wali du Tagant monsieur Mohamed Moustapha Ould Mohamed Vall et à laquelle ont assisté: un conseiller du Ministère de l’intérieur, le Hakem de Tidjikja, le premier adjoint au maire de Tidjikja, le Dren du Tagant, le Président de l'Association Régionale des Parents d'élèves, le Directeur du CFPP de Tidjikja et les responsables de sécurité régionale. Ces 100 tables-bancs qui viennent d’être livrées serviront pour équiper deux écoles de Tidjikja (Chemchiyatt et Lembeydie) et une école de la Moughattta de Tichitt (Aghreyjit).
Profitant de sa présence sur les lieux, le Wali a visité les ateliers de confection et d‘assemblage avant de s’enquérir auprès du Directeur du centre et des ouvriers, des conditions dans lesquelles se déroule le travail.
Visiblement satisfait, le wali du Tagant n’a pas manqué, pour autant, de revenir sur une demande qu’il avait formulée lors du démarrage de l’opération à savoir : la sécurisation des tables-bancs. Répondant au souci exprimé par le Wali, le Directeur du CFPP de Tidjikja monsieur Mohamed Ould Mabrouk, a fait savoir que cette sécurisation doit être, normalement, du ressort de la Direction Régionale de l’Education Nationale, ses partenaires et les services qui en relèvent. Ce que le Dren du Tagant monsieur Mohamed Samba sédinté n’a pas hésité à reconnaitre s’engageant par la même occasion à veiller scrupuleusement à la préservation de ces tables-bancs en mettant sur place des comité de surveillance et en responsabilisant directement les Directeurs d’écoles et leur personnel.
Il convient de souligner que les 100 tables-bans qui viennent d’être livrées par le CFPP de Tidjikja pour l’équipement de trois écoles, font partie d’un lot global de 1100 tables-bancs qui seront livrées en intégralité dans un délai de trois mois.
Au niveau régional, la réception des tables-bancs est assurée par la commission régionale composée du Wali, du Directeur régional de l’Education Nationale, d’un représentant de l’Association des maires et d’un représentant régional de l’Association des Parents d’élèves.

Réactions
Au lendemain de la réception des tables-bancs par la Dren, le Wali du Tagant a visité l’école chemchiyatt bénéficiaire de l’opération. Sur place, il s’est enquis de l’utilisation judicieuse de ces tables avant de donner des instructions fermes pour qu'elles soient préservées et sécurisées. Le Dren du Tagant a, pour sa part, réitéré son engagement à assurer un contrôle rigoureux de ces tables et à mettre sur place les conditions nécessaires pour garantir ce contrôle. Le Président régional de l’Association des Parents d’élèves monsieur Mohamed Abdallahi Ould Néné a,lui-aussi , rassuré du soutien qui sera apporté par les APE pour garantir la bonne gestion des tables en particulier et l’ensemble des équipements scolaires de façon générale. D’autres personnes nous ont livré leurs impressions, voici ce qu’elles pensent de l’opération « Projet d’équipement des établissements scolaires »
Horma Ould Khouweilimou premier adjoint au maire de Tidjikja : « la livraison de ces tables-bancs vient, à point nommé, répondre à un besoin qui se faisait de plus en plus pressant. Désormais les enfants de Chemchiyatt et ceux de Lembeydie vont s’assoir sur des tables-bancs à l’image de leurs camarades des autres écoles. Nous remercions le CFPP de Tidjikja à sa tête son Directeur monsieur Mohamed Ould Mabrouk pour avoir non seulement respecté, à la lettre, le délai de livraison de ces tables-bancs mais surtout pour avoir effectué un travail impeccable. Les tables-bancs qui viennent d’être réceptionnées sont de haute qualité. »
Rime Mint Dieha Directrice de l’école Chemchiyatt :« Nous sommes tout simplement comblés par ce geste oh combien significatif. La plupart de nos élèves s’asseyaient à même le sol, un comportement, non seulement, antipédagogique mais surtout un comportement qui ouvre la voie à tous les dangers. Je suis persuadée qu’avec ces tables-bancs nos élèves feront encore preuve de plus de motivation. Je prends également l’engagement avec le concours de mon équipe d’encadrement, de veiller à ce que ces tables soient sécurisées".
Mohamed Vall Ould Achour président de l’APE de Chemchiyatt : « Nous sommes satisfaits. Cette opération va permettre à notre école de ressembler à toutes les autres écoles dans lesquelles les conditions d’apprentissage sont assurées. Ces tables-bancs nous faisaient grandement défaut et nos enfants s’asseyaient à même le sol. Pour finir nous remercions les autorités du pays pour avoir pensé à nous en attirant leur attention sur le phénomène très courant de la paresse et de l’absentéisme des enseignants. »
Moulaty élève à l’école Chemchiyatt : « Nous sommes très satisfaits de pouvoir désormais s’assoir sur des tables-bancs pour faire nos devoirs. C’était très gênant d’être obligé de se recroqueviller sur soi-même pour écrire. Maintenant nous ressemblons à des élèves normaux et c’est tant mieux. »
Khalil Sow
Reportage Photos








































































Regain d’intérêt du public pour le CFPP de Tidjikja


La formation professionnelle au niveau du CFPP de Tidjikja commence à prendre son envol peu à peu. La diversification de la formation marquée par l’ouverture de cinq sections, la révision à la hausse des bourses attribuées aux stagiaires et l’introduction de nouveaux modules de formation sont , en effet, autant de facteurs qui devraient, normalement, booster les activités de formation au niveau du CFPP de Tidjikja qui vient de se doter d’un nouveau Directeur en la personne de monsieur Mohamed Ould Mabrouk faisant montre depuis son arrivée d’une volonté manifeste de faire bouger les choses. D’ailleurs, à la veille de la célébration du cinquantenaire de l’indépendance nationale, Ould Mabrouk a bien voulu nous livrer ses impressions sur les réalisations en cours au niveau de son institution et sur les perspectives d’avenir qu’il n’a pas hésité à qualifier de prometteuses.


Entretien
















N.I : Pouvez-vous nous faire l’état des lieux du CFPP de Tidjikja au moment où vous venez d’en prendre la direction ?
Mohmaed Ould Mabrouk
: J’ai trouvé devant moi un centre qui fonctionnait à ralenti avec un personnel démotivé, des sections de formation très réduites et des modules inadaptés. Le non respect des horaires de travail, l’oisiveté et le désintéressement avaient fini par gagner les rangs de tous les travailleurs du centre. Pour ce qui est de la formation proprement dite, beaucoup de choses restaient encore à faire. Bref au niveau du CFPP de Tidjikja la situation, n’était pas du tout reluisante.
NI : Qu’est ce que vous avez apporté de plus depuis votre arrivée ?
MOM :
La première action que nous avons entreprise a été de remettre les choses dans leur ordre normal. J’ai exigé le respect rigoureux de l’horaire de travail en demandant aux travailleurs de monter et de descendre à l’heure. Ensuite j’ai créé un climat favorable pour le travail en instaurer la règle de sanction/ récompense. Nous avons procédé, également, aux préparatifs ayant trait à la mise en place des cinq sections de formation dont les activités démarreront à partir du 1er décembre 2010. Enfin nous avons surtout mis l’accent sur la bonne marche de l’opération tables-bancs en mobilisant l’ensemble du personnel et en confiant à chacun une tâche bien précise. D’ailleurs aujourd’hui 24 novembre 2010 nous sommes parvenus à confection plus de 200 tables-bancs dont une centaine a été réceptionnée par la Dren du Tagant par le biais de la commission régionale de réception.
N.I : Justement , cette opération de confection des tables-bancs, comment se déroule-t-elle au niveau de votre centre et quels en sont les contours ?
MOM :
Il faut préciser que notre centre n’avait pas été associé à la première phase de l’opération tables-bancs. Le protocole d’accord que nous avons signé ne concerne donc que la deuxième phase de la dite opération. Nous sommes, de ce fait, engagés à produire 1100 tables-bancs dans un délai de trois mois. Nous avons pris tous les dispositifs pour que l’opération se déroule normalement. Nous sommes parvenus, comme je l’ai précisé plus haut, à confectionner plus de 200 tables-bancs en moins d’un mois. Ce qui suppose, clairement, que nous serons dans les délais Inchallah. Je tiens toutefois à préciser que cette opération tables-bancs est venue à point nommé répondre à un besoin réel . Il n’est qu’à voir la mine joyeuse des écoliers de Chemchiyatt (qui ont réceptionné une soixantaine de tables-bancs la matinée du jeudi 25 novembre 2010) pour s’en convaincre. Enfin je tiens à préciser que le satisfécit est général et les commentaires faisant état de la bonne qualité de nos tables-bancs ne tarissent pas.
Propos recueillis par khalil sow
Khalil1965@yahoo.fr

Le raïs à Maghta Lahjar pour le lancement du Projet d’Adduction en Eau Potable de la ville




Accueil populaire.



C’est vers 16H40 minutes que les deux hélicoptères transportant le chef de l’Etat et sa délégation ont atterri sur l’aire agropastorale située à l’Est de la ville de Maghta Lahjar. A l’accueil, il y’avait madame le Wali du Brakna, Zeïnebou Mint Ahmednah, les élus de la région (maires et parlementaires), les chefs de service régionaux et plusieurs notables.

Après les salutations et le bain de foule qui n’a pas trop duré cette fois, le président de la république a rejoint la résidence du Hakem pour se reposer.

A 20 heures, un dîner avec les élus, les chefs de services et les notables dans la cour qui fait face à la résidence du préfet, suivi d’une réunion avec les élus en présence des chefs de service régionaux. La réunion s’est achevée aux environs de 00 heures.

Pose de la pierre.

Tôt dans la matinée du mardi 23 novembre, le président de la république a procédé à la pose de la pierre du projet d’alimentation en eau potable de la ville de Maghta Lahjar avec dix autres localités dans le département.

Il était accompagné des Ministres de l’Hydraulique et de l’Assainissement, M. Mohamed Lemine O Aboye, de la Santé M. Cheikh Ould Horma Ould Babana et du Développement Rural, M Brahim Ould M’Bareck Ould Mohamed El Moctar, de M. Abdoulaye Mamadou Bâ, chargé de Mission à la présidence, de M. Yall Zakaria Alassane, DG de la SNDE et de Bah Vall Ould Mahfoudh, coordinateur du projet APE Maghata Lahjar.

Auparavant, le maire de la commune de Maghta Lahjar, M. Tahar O Varwa a prononcé un mot de bienvenue à l’endroit de son hôte et sa suite. A cette occasion, il a remercié le président de la république d’avoir pensé à résoudre le problème d’eau crucial qui se pose aux populations de sa commune depuis des années.

L’ex commandant de l’armée nationale et ex-membre des cavaliers du changement a aussi attiré l’attention du président sur les problèmes de santé dans le département. Le Ministre de l’Hydraulique a, quant à lui, donné d’amples détails sur le projet d’alimentation en eau potable de la ville de Maghta Lahjar.

Ce projet, a-t-il dit, prévoit l’équipement et le raccordement au réseau électrique de deux forages situés au champ captant de Bouhchiché situé à 12 kilomètres au Nord Ouest d’Aleg, la capitale régionale du Brakna.

Il est également prévu la fourniture et la pose de 107 kilomètres de tuyaux de diamètre 115mm en PHD, installation de 4 stations de pompage, la construction de 3 réservoirs d’eau de 500M3 chacun ainsi que la fourniture et la pose de 6 kilomètres de réseaux de distribution et 24 bornes fontaines.

Le projet va satisfaire également les besoins en eau de la ville de Maghta Lahjar et 10 autres localités dont Guimi, Cheggar, N’Dondi, Ikrala, Mabrouk, Kremi jusqu’à 2030 a indiqué le ministre.

Aziz répond au maire.

Le président s’adressant à la foule a remercié les Braknaouis de l’accueil chaleureux qu’ils lui ont réservé. Il a surtout indiqué que ce projet est financé sur fonds propres de l’Etat Mauritanien. Il a surtout insisté en affirmant que la construction d’un état moderne est incompatible avec une urbanisation anarchique et une sédentarisation qui n’obéit pas à des règles précises.

A cet effet, il a fait savoir que la sédentarisation anarchique et l’individualisme ont porté un préjudice à l’Etat et compromis les efforts de développement des pouvoirs publics et entravé la mise en place d’infrastructures de base au profit du citoyen et flambé les problèmes.

Eclairages du coordinateur du projet.

Selon le coordinateur du projet M. Bah Vall Ould Mahfoudh l’exécution du projet va durer 12 mois et le marché a été confié par le chef de l’Etat au Génie Militaire pour accélérer les travaux. Le contrôle sera assuré par la SNDE et le Centre National des Ressources en Eau. Actuellement, la ville est confrontée à un grand déficit de production en eau. Elle est alimentée par deux forages avec un débit de 320 mètres cubes en hiver pour le premier, 200 mètres cubes en été pour le second, a affirmé Bah Vall.

Il faut noter que le chef de l’Etat a reçu un accueil populaire et très chaleureux de la part des populations de la région qui ont fait le déplacement de M’Bagne, Bababé, Aleg, Boghé et de toutes les localités du département de Maghta Lahjar (Wad Amour, Dionaba, Dieloir, Bidjingal, Male et particulièrement Cheggar).

Le coût global du marché n’a pas été révélé et nombre de personnes rencontrées demeurent sceptiques quant à la capacité du génie militaire à exécuter cet ambitieux projet.

Thièrno Souleymane CP Brakna

Coulisses de la visite.

Le sénateur Mouhcen dîne avec le président.

Hier soir, le sénateur Mohcen Ould Hadj, vice président du Sénat et donné jusque là en disgrâce, a été reçu par le président de la république Mohamed O Abdel Aziz autour d’un dîner, dans la résidence du Hakem de Maghta Lahjar. La surprise était générale dès lors que ses détracteurs le croyaient définitivement en rupture de banc avec son ami. Il a passé plus d’une heure avec le chef de l’Etat mais la teneur de leur discussion n’a pas été révélée. Alors, avis au public, ceux qui le croyaient politiquement enterré doivent déchanter.

Cadres déçus faute d’audience.


De nombreux cadres qui avaient effectué le déplacement pour accueillir le président sont repartis très déçus. Certains n’ont même pas réussi à s’approcher de la loge officielle pour lui serrer la main. Le BASEP, malgré leurs badges, a tenu à distance beaucoup de cadres présents à l’accueil. En plus, le président a refusé d’accorder des audiences à ces cadres.

Seuls les maires et parlementaires et les chefs de services régionaux ont été reçus loin des regards indiscrets. En outre, les élus seulement étaient autorisés à prendre la parole en public pour poser les problèmes. Pendant que d’autres faisaient le pied de grue à quelques longueurs de mètres de la résidence.

L’apparition des hélicoptères provoque un désordre.


Lorsque les deux hélico ont fait leur apparition, une foule compacte s’est déchaînée en courant pour aller rejoindre la rangée des officiels non loin du lieu d’atterrissage des avions. Heureusement, il a fallu l’intervention des gendarmes et pas des éléments du BASEP pour contenir la foule et les repousser vers leur emplacement.

Certains jeunes et femmes qui étaient émus de voir ces hélicoptères survoler la ville se sont mis à acclamer au moment de l’atterrissage. Heureusement qu’avec les gendarmes le pire a été évité avec ces jeunes éléments du BASEP armés jusqu’aux dents et qui se sont distingués dans la brutalité au cours de l’accueil n’hésitant pas à bousculer tout sur leur passage dès que Aziz apparaît.

Sid’Amine Ould Ahmed Challa à l’accueil de Aziz.


L’ancien ambassadeur de notre pays au Mali et qui avait organisé avec le FNDD le boycott à Aleg contre la visite effectuée par Mohamed o Abdel Aziz en mars 2009, est apparemment revenu à de meilleurs sentiments depuis la fin de la crise consécutive au renversement de Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi en août 2008. L’homme était présent à l’accueil et semble désormais sur de bonnes dispositions pour tourner la page.

Sid’Amine est l’un des cadres les plus ancrés dans la région du Brakna et la vallée en général qu’il connaît de long en large avec son histoire et ses grands acteurs politiques. C’est un jeune courtois et modéré et qui dispose d’un solide réseau de relations dans presque tous les milieux d’affaires et politiques. Il reste incontournable dans certains endroits et dans la Moughatat’a d’Aleg particulièrement.

Absents à l’accueil.


Les cadres de la vallée n’ont pas répondu en masse à l’accueil. Bâ Bocar Soulé, N’gaidé Lamine Kayou, Diallo Mamadou Bathia, colonel à la retraite Dia El Hadj, colonel Mangane Ousmane, Bâ Houdou Abdoul, Sao Abdoulaye (maire de Niabina), Bâ Aliou Ibra (député de Bababé), commissaire à la retraire Diop Ibrahima, Bâ Fatimata (Dren de NKTT II), colonel Dia Adama Oumar, Mohamedou Ould Bellal, Kebad Ould N’Déyé (député de Boghé) et d’autres cadres entre autres, ont manqué à l’appel. Certains seulement, nous dit-on. D’autres par contre assument des charges de l’Etat et s’activent ailleurs, laisse t-on entendre.

La pagaille dans la distribution des badges.


Pour les membres de la délégation officielle, leurs badges venaient de la présidence alors que ceux qui ne font pas partie de cette délégation devaient se contenter des badges de la Wilaya destinés en principe aux Hakems, élus locaux, chefs de services, les notables et dans une moindre mesure la presse locale. Mais, le paradoxe, c’est qu’on a retrouve ces badges avec n’importe qui sauf leur réels destinataires.

L’on a vu des maçons, des charbonniers, des charretiers, des marchands, des élèves, des plantons, des théificateurs, porter ces badges et pas les vrais destinataires. Mais le problème, c’est que les éléments du BASEP n’accordaient aucune importance à ces badges. Le plus important pour eux, c’était Aziz et madame le Wali, le reste n’était que des moins que rien pour eux.

Des banderoles de l’UPR, El Vadila et Hatem.

Ils étaient les plus visibles à l’accueil. Les militants ou les personnes payées pour porter ces banderoles étaient nombreux à l’accueil. De géantes banderoles sur lesquels on pouvait lire des slogans à la gloire du président Mohamed Ould Abdel Aziz et son régime. D’ailleurs le président du parti Vadila, Ould Ebou El Maali était présent à l’accueil à côté du ministre des Mines et de l’Industrie, M. Mohamed Abdallahi Ould Ouda’a et l’ancien ministre Dah Ould Abdi.

Aziz ignore l’UPR.

Bizarrement, l’on a rarement vu au monde, un président ignorer son parti. C’est le cas du président Mohamed o Abdel aziz qui avait dirigé ce parti avant son élection le 18 juillet. Les responsables locaux de ce parti n’ont pas été reçus par lui. Certains n’ont même pas serré sa main jusqu’à son départ. Aucun des responsables de ce parti n’a rencontré Aziz à Maghta Lahjar. Olud Jahloul, fédéral de l’UPR au Brakna se trouve à la Mecque. Selon un confrère, le président veut signifier aux membres de son parti qu’il met en avant la république avant le parti.

Les Peschmergas isolés par les autorités.


Cette race de faux journalistes qui ne font que quémander dans les salons et auprès des hauts cadres de l’Etat était tenue à l’écart, loin des officiels. Nos confrères de la presse officielle ont catégoriquement refusé de partager le même site d’hébergement avec ces voyous. Et le BASEP ne leur a pas facilité la tâche. La maison du Hakem était inaccessible. Ils ont vraiment souffert plus que nos confrères du réseau des correspondants de presse qui n’avaient pas de badges.

Mention spéciale à la gendarmerie.

Les éléments du général Dieng N’Diaga, chef d’Etat Major de la gendarmerie nationale ont été d’une remarquable exemplarité lors de l’accueil et de la cérémonie de pose de la pierre. Ils sont polis, courtois et plus compétents dans le maintien d’ordre contrairement aux éléments du Bataillon de la Sécurité Présidentielle (BASEP) composé de jeunes recrues très difficiles à aborder. Leur comportement a montré quelque part que le général N’Diaga a apporté une touche particulière depuis son arrivée. Barvo à la gendarmerie.

Avec Aziz, Maghta Lahjar s’éclaire !


C’est dans la matinée d’hier que les agents de la SOMELEC ont entrepris les travaux de réhabilitation de l’éclairage public de la ville qui ne fonctionne plus depuis belles lurettes. Les lampadaires jonchant l’artère principale ont été entièrement rénovés. En même temps, la direction générale de la SOMELEC a dépêchée une équipe de Nouakchott et deux groupes électrogènes mobiles pour parer à toute éventualité de coupure d’électricité. Finalement le tout s’est bien passé jusqu’au départ de Aziz.

3 Millions d’ouguiyas dépensés pour la visite de Aziz.


Selon une source digne de foi, le contribuable Mauritanien n’aura dépensé pour cette visite du chef de l’Etat à Maghta Lahjar qu’une somme de 3.000.000 d’ouguiyas. Selon cette source, cette somme a servi à prendre en charge la restauration du président ainsi que la prise en charge de la sonorisation et les tentes de Mauricom.

Thièrno Souleymane CP Brakna .

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Source :
Le Quotidien de Nouakchot

mercredi 24 novembre 2010

Fini les rumeurs de maladie contagieuse en Adrar'




L’Adrar a connu depuis prés d’un mois des rumeurs au sujet de maladie contagieuse créant ainsi une psychose chez les populations rurales ;mais les efforts des pouvoirs publics aboutissent ;après des prélèvements sanguins des animaux ciblés et des analyses ont permis d’identifier cette maladie spécifiquement animale appelée « PASTEURELLOSE »transmissible chez les animaux.

L’hypothèse donc de contagion chez les personnes est sans fondement et les décès signalés à Aoujeft et à Amegjar sont des décès naturels et n’ont rien avoir avec cette maladie animale et aucune contagion n’est possible avec les êtres humains.

Les médecins vétérinaires ont exclus toute contagion ;mais cette maladie est transmissible chez les animaux elle est provoquée par les ‘stress’’des animaux transhumants parcourant de grandes distances et les eaux stagnantes et le climat en hivernage sont des vecteurs de cette maladie qui provoquent des craintes chez les éleveurs affectant ainsi le cheptel en Adrar.

En effet les informations sur les décès dans la région sont des nouvelles purement coïncidentes il s’agissait plutôt de décès naturels ;mais il était plus humain de signaler des naissances dans cette période au lieu de créer des psychoses en milieu rural .

Pour le réseau RONGA, le secrétaire général

Hamoud ould Amardhaya

cridem

Rosso : Quelle stratégie pour le ramassage des ordures ?




Le maire de la commune de Rosso, le Pr Fassa Yérim a présidé une réunion le 21 novembre dernier dans la salle de conférence de la mairie. C’était en présence du secrétaire général El Hadj Mbodj, de quelques conseillers municipaux, d’agents de la police municipale, de plusieurs représentants d’associations de jeunes et de femmes de la ville de Rosso et de quelques notables.

La réunion avait pour objectif de définir une stratégie pour débarrasser la ville des ordures. En effet malgré toutes les réalisations de la commune depuis quatre ans, le ramassage des ordures reste un véritable casse-tête pour le premier magistrat de la ville.

Plusieurs personnes sont intervenues pour faire des propositions concrètes susceptibles de résoudre l’épineux problème des ordures.

C’est ainsi que Vieux Fall résidant à l’Escale a proposé que des responsables soient désignés au niveau de chaque quartier pour surveiller leur zone et sanctionner les personnes qui jettent des ordures en dehors des dépôts prévus à cet effet et versent des eaux usées un peu partout.

Quant à M. Sow, il a félicité le maire pour avoir tenu sa promesse d’apporter l’eau potable aux populations de son village (Tékech) avant de saluer son initiative d’impliquer les populations dans la gestion des ordures.

Il a rappelé que les endroits sales de la ville sont les lieux publics et que cela relève plus de la commune que des populations ; il a enfin suggéré que l’exemple des jeunes de la Médine organisés autour du jeune Socra et de son équipe soit étendu dans les autres quartiers.

Alioune Gaye président de l’association sportive et culturelle de Ndiourbel a rappelé qu’on ne rencontre généralement les ordures que dans les dépôts mais pas dans ou devant les maisons et que généralement les dépôts sauvages sont l’œuvre des commerçants notamment au quartier Escale.

Sa proposition est de laisser les habitants de chaque quartier s’organiser pour définir des points de ramassage afin que la commune vienne collecter les ordures. Tahar de la police municipale a souligné l’urgence de réparer les voitures de la mairie pour le ramassage des ordures.

D’autres intervenants dont Doudou Thiam ont insisté sur le fait que la propreté était une question de comportement. Il faut donc sensibiliser les populations. Après avoir félicité le maire pour ses réalisations, il a suggéré que la commune donne aux quartiers des charrettes pour le ramassage des ordures et affecte la police municipale à la surveillance des quartiers.

Prenant la parole au nom des résidents de Médine, Socra a tenu à apporter un éclaircissement : il n’est pas le seul à s’occuper du nettoiement du quartier mais qu’il y avait tout un staff qui travaillait.. Tout le quartier est mobilisé pour la préservation de l’environnement et la préservation du cadre de vie. Il a souligné que le travail qui est réalisé dans son quartier ne pouvait pas se faire sans cohésion sociale.

Un programme de développement local du quartier (DLQ) a été défini pour une période d’une année. Un comité a été mis en place avec des sous comités. Il y eu une large sensibilisation des habitants et le 'j'aime mon quartier, j'aime ma ville, j'agis en éco citoyen’ est connu même des enfants du quartier.

C’est ainsi que désormais le concept ‘tanneber, mariage, mbalit’ est entré dans les habitudes. L’animation n’est plus seulement pour des événements sociaux mais aussi pour des activités de nettoyage. Socra a ajouté que les contributions mensuelles des familles dans le quartier permettront d’acheter des motopompes pour l’évacuation des eaux pendant l’hivernage.

La plupart des intervenants dont le secrétaire général de la commune ont insisté sur le fait que le grand problème est que la mairie ne procédait pas régulièrement à la collecte des ordures dans les dépôts primaires ce qui fait que les ordures débordaient pour envahir les environs.

Amet Gueye a ajouté que l’exemple de Socra et ses amis était bon mais qu’il ne pouvait pas être dans l’immédiat appliqué dans toute la ville. Il a ajouté que le problème du quartier Escale était particulier parce qu’il y a trois marché dans le quartier. Il a précisé que si la mairie mettait à leur disposition deux charrettes, les jeunes s’occuperaient de la collecte des ordures pour les mettre dans la décharge.

Abdoul Aziz Wade a souhaité plein de succès à l’initiative d’impliquer les populations et rendu hommage aux habitants de Demal Deuk qui s’investissent régulièrement dans le nettoiement de leur quartier. Il a ajouté que des sanctions bien étudiées pourraient constituer une mesure dissuasive.

Par la suite, Abib Gaye est intervenu pour suggérer que des mesures simples soient prises à court terme et que l’exemple des jeunes de Médine soit étendu à toute la ville pour une solution définitive. Il a suggéré au maire de faire une campagne de proximité en se rendant dans les différents quartiers pour écouter les populations et les impliquer ainsi.

Compte rendu : Djigo Aboubakry


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Source :
dembandiaye

Pour Balla Touré: 'un électeur de Bir Moghrein vaut plus de dix fois plus qu’un électeur de Sélibabi'.






Pour le chargé des relations extérieures à l’Ira-Mauritanie, Balla Touré, la construction d’infrastructures n’est pas actuellement la priorité pour la Mauritanie. A l’en croire, elle est ailleurs.

"Nous entendons par-ci et par-là des kilomètres de goudron construits, d’hôpitaux réalisés, de puits et de forages creusés. Mais, par rapport à l’unité nationale, quel bilan faisons-nous ? Par rapport aux conditions de vie des populations, quel bilan faisons-nous ?", s’est interrogé Balla Touré.

Celui-ci n’a pas manqué de dénoncer le racisme d’Etat en Mauritanie. Et, pour l’illustrer, il a servi comme exemple le découpage électoral.

"Aux élections municipales et législatives passées, il a fallu moins de 8000 électeurs pour élire le député de Bir Moghrein. Pendant ce temps-là, il a fallu plus de 26.000 électeurs pour élire les trois députés de Sélibabi. C'est-à-dire plus de 8600 électeurs pour un député de Sélibabi. Lorsqu’on fait le compte, on se rend à l’évidence qu’un électeur de Bir Moghrein vaut plus de dix fois qu’un électeur de Sélibabi", a-t-il expliqué.

Balla Touré estime aussi que les pouvoirs publics mettront un terme au "cumul de frustrations et d’humiliations" qui risque d’atteindre un point de non retour.

Babacar Baye Ndiaye pour Cridem


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Source :
Babacar Baye Ndiaye pour Cridem
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Adrar Mauritanie: le forum des acteurs non étatiques de l’Adrar (Fanea ) décide d’envoyer une commission d’enquête indépendante à Aoujeft et à Ouadane





Après les mystères qui ont entouré les 3 morts de la famille d’ ehl Tihiya dans les environs d’Amoggjar ainsi que les bêtes retrouvées mortes dans les alentours de Ouadane. Un autre rapport tout aussi accablant est paru ce lundi 22 novembre 2010 dans les colonnes du site d actualités électroniques de l’Agence Mauritanienne d’Informations (AMI).

Il fait état de la perte dans des conditions non encore élucidées de 160 têtes de camélidés. Ce rapport qui est établi par les services vétérinaires de la direction régionale du développement rural de la Wilaya de l’Adrar vient confirmer l’opacité et le flou total qui entourent cette épidémie ( pour plus d informations sur ce rapport sa source et son contenu merci de lire la parution du lundi 22 novembre 2010 sur ce lien )

Nous voilà devant un autre épisode de ces décès en cascade, dans l’indifférence générale au milieu d’ un silence assourdissant.

Dans lequel nous ne pouvons situer malheureusement ni responsable ni responsabilité malgré le nombre important de pertes en vies humaines Il s’agit bien sûr de ce cafouillage au niveau d’ Aoujet dont le début et la fin sont totalement contradictoires.

Ainsi, le forum des acteurs non étatiques de l’Adrar se félicitent du démenti apporté par les autorités locales sur la présence d’une épidémie de fièvre d’origine inconnue dans la commune d’Aoujeft.

Ce nouveau rebondissement conséquent à cette visite tardive du Wali de l'Adrar à Aoujeft jeudi dérnier que nous qualifions de « médecins après la mort » nous l’avons appris comme tout le monde par voie de presse en particulier dans l’information diffusée sur le site de l’AMI relative à la clôture de la visite du Wali à Aoujeft.

Même si aucune allusion n’a été faite au FANEA, il va sans dire que c’est la réponse du berger à la bergère. C’est bien ce dernier qui a fortement repris et relayé les propos du maire de la commune a ce sujet. C’est bien également le Fanea qui a souhaité la mise en place d une commission d’enquête indépendante pour faire la lumière sur ce jeu de « scrabble » dangereux dont la première partie vient de se terminer avec la clôture de la visite du Wali vendredi passé à Aoujeft. Le vainqueur de ce jeu de mots croisés nous le connaissons tous

Désormais, c est soit la fièvre mystérieuse, soit les lauréats du jeu lui même. Les victimes ce sont ces paisibles citoyens qui n’ont de tort que l’ignorance et la pauvreté et le bilan c’est toujours jusqu’à preuve du contraire celui du maire d’Aoujeft (9 morts) pendant qu’il était dans la droite ligne des préoccupations de ses populations.

C’est à dire avant les accolades chaleureuses et amicales échangées avec ces hôtes de marque jeudi passé. Ainsi et compte- tenu de cette évolution le forum des acteurs non étatiques de l Adrar a décidé d’envoyer une commission d’enquête indépendante dés jeudi prochain à Aoujeft et à ouadane

Elle aura pour mandat d’établir les liens entres ces différents événements et faire ressortir pour le citoyen de l’Adrar en particulier et les autorités nationales en générale la vérité rien que la vérité. Les conclusions de cette enquête seront publiques et accessibles à Tous.

Le FANEA

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Source :
SOS Abbere

Moughataa de D’Har ou de Nbeiket Lahouach ?




Le décret en Conseil des Ministres, en date du 18 Février 2010, adoptant la création d’une nouvelle circonscription administrative a été libellé ainsi :

"Projet de décret portant création d’une nouvelle Moughataa dénommée " Moughataa de Dhar " relevant de la Wilaya du Hodh El Charghi et dont le chef lieu de ladite Moughataa est Nbeiket Lahouach".

Jusqu’ici tous les chefs-lieux des 53 moughataa du pays, portent le dénomination des moughataa. Exemple : Moughataa de Nouadhibou, chef-lieu : Nouadhibou ; Moughataa de Rosso, chef-lieu : Rosso ; Moughataa de Néma, chef-lieu : Néma ; Moughataa de Kaédi, chef-lieu : Kaédi, etc.

L’exposé des motifs du décret portant création de la nouvelle moughataa n’a pas mentionné cette exception au découpage administratif jusqu’ici en vigueur.

En 1980, il y eut un antécédent similaire lorsque les autorités à l’époque avaient créé le département (ancienne appellation de la moughataa) de l’Aftout avec comme chef-lieu Barkéol. Mais, un décret ultérieur a corrigé cette erreur.

canalrim.info


Source :
Canalrim (Mauritanie)

mardi 23 novembre 2010

Brakna : La visite du président Aziz à Maqtar Lahjar : un accueil chaleureux.




Il était déjà 16h 45 mn à Maqtar Lahjar, lorsque l’hélicoptère du Président Mohamed Ould Abdel Aziz se pose sur ce grand terrain de la ville où l’attendait à quelques mètres, la population de la wilaya du Brakna.

C’est dans une ambiance riche en couleur, en sons et lumière que le président Mohamed Ould Abdel Aziz, très décontracté a fait une entrée remarquable. Comme d’habitude avec tout ce que cela requiert de sérieux.

Une détermination qu’il a montré tout au long de cette visite, avec un air serein, il parvient à chaque passage, devant (ce public composé des militants de L’UPR, ses partisans, et d’autres citoyens mauritaniens), à rassurer son peuple.

Mohamed ould Abdel Aziz s’est fait désirer par ce monde, cette ruée humaine, des milliers de personnes venues de Bababé, M’Bagne, Aleg, Dar El Barka , Cheguére, d’autres villages de la commune de Maqtar Lahjar et surtout de Boghé.

Chaque pas du président est accueilli par des salves d’applaudissements ; des cris de joie, des tambours battants amenés par L’UPR de Boghé, des artistes…. Après, avoir salué les hakems de la Wilaya du Brakna, accompagnée de Madame la Wali du Brakna, le chef de l’état a tendu sa main aux Maires du Brakna au complet.

Le chef de l’état est venu pour inaugurer une plaque d’eau potable. L’inauguration est prévue ce mardi 23 novembre avant de repartir vers Monguel (keadi).

Une forte délégation des militants de L’UPR De Boghé était au rendez, on pouvait reconnaître de loin au premier rang : Mr Mohamed Hady Macina secrétaire général du ministère de l’intérieur et de la décentralisation, le chef de village de Boghé Mr Dia Amadou Oumar, N’diaye Daouda, Alioune Sarr (domaine), Rabi Haidara maire sénatrice de Sebkha, le Sénateur Ndiaye Bâ de Boghé,

Dia Hamady Hasmiyou, Alghassoum Macina, Pape Moctar Dieng, Mohamed Salem ould Nagi, le président sous section de Boghé Mr Ngaidé A. Hamath dit baba Dia, Bouyagui Touré, Sipa Lam, Bâ Alassane Adama chef de village de Touldé, Bâ Khadiata , Djigo Alassane Moussa Baba, la grande Dame Aissata Peinda, Farry Diéry Bâ, Diaga Ould Chouweine, la coordination des jeunes de Boghé Dow.

Sept à huit voitures Mercedes plus un car ont pris à partir du siége de L’UPR de Boghé tous les militants pour aller accueillir le chef de l’état. La délégation de Boghé était accueillie à Maqtar Lahjar par Mr Cheikh Ould Ahmedou directeur du cabinet du Médiateur de La République, le secrétaire général de la commune de Maqtar Lahjar Mr Ndaw Aly et d’autres jeunes de la commune.

Le chef de l’état Mohamed Ould Abdel Aziz va dans la soirée du 22 novembre 2010, après le Dîner, va recevoir des audiences avec les élus de la Wilaya, les présidents des sections et sous section de l’UPR, des notables, cadres et intellectuels.

Selon le chef de village de Boghé cette visite : « est riche en couleur, aussi bien en termes d’inauguration et d’expression par les hommes politiques, notables, simples citoyens de leur soutien au chef de l’état et au autorités dans leur ferme volonté de doter cette commune d’eau potable indispensable à leur auto- développement, socio économique.

Nous remercions Aziz sur ses profondes convictions à l’égard des hommes qu’il a choisis pour concrétiser avec lui son ambitieux projet de société pour la Nouvelle Mauritanie ».

Diop Mohamedou Abou dit Hbodiel
CP Le Véridique au Brakna.



Toute reprise d'article ou extrait d'article devra inclure une référence à www.cridem.org


Source :
Diop Mohamedou Abou

lundi 22 novembre 2010

La société SICAP nie avoir été empêchée par le ministère du développement rural d'exploiter des terres agricoles dans le Trarza.




La société agricole « SICAP » du groupe MAOA (Mohamed Abdallahi Ould Abdallahi) a démenti l’information relayée par certains sites et indiquant qu’elle a été empêchée par le ministère du Développement rural de participer à un projet de production de blé dans la wilaya du Trarza.

La société a, dans un communiqué, déclaré que l’information en question est dénuée de tout fondement, précisant qu’elle « prend part à une opération qui est la première du genre dans le pays regroupant les plus grands opérateurs dans le domaine de la production du blé en Mauritanie, dans le cadre d’un partenariat heureux au service des intérêts nationaux et qui doivent être loués en tant que tels ».

La société a indiqué que les autorités « ont préparé le terrain pour une coopération fructueuse entre les secteurs public et privé, ce qui s’est traduit par le succès de la politique adoptée au niveau de la production des céréales qui, pour la première fois, englobe celle du blé », indique le communiqué.


Source :
Sahara Medias (Mauritanie)

Le président de la République arrive à Maghtaa Lahjar


Le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz est arrivé lundi soir à Maghtaa Lahjar où il doit superviser, mardi, la pose de la première pierre d'un réseau d'adduction d'eau potable (Maghtaa Lahjar- Chegar).
Le Président de la République a été accueilli à sa descente de l'avion par la wali du Brakna, MMe Zeinebou Mint Hmednah, les autorités administratives et militaires de la wilaya, le maire de la commune de Maghtaa Lahjar, M. Taher ould Varoua, les élus et les notables de la wilaya du Brakna.
Un accueil chaleureux a été reservé au Président de la République par les populations de la ville qui se sont massées sur les deux bords de la route pour souhaiter la bienvenue au Chef de l'Etat.
Elles ont aussi, pour l'occasion, brandi des banderoles rendant hommage aux réalisations accomplies dans tous les domaines.
AMI

Le Président de la République aux habitants de Termessa: l'Etat accompagnera la construction de votre ville



Le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz a félicité les populations de Termessa à l'occasion de la création de leur nouvelle ville dont il a posé la première pierre aujourd'hui, lundi.
Le Chef de l'Etat a remercié, dans un discours pour la circonstance, les populations pour la présence massive qu'il lui ont réservée relevant que "l'idée de cette ville revient à ces habitants et l'Etat l'a adoptée et encouragé car elle correspond à sa politique qui voit en la sédentarisation anarchique suivie jusque là un obstacle au développement".
"Vous savez tous cela, dit-il, qu'il s'agisse de l'absence de rentabilité ou d'intérêt pour les populations qui ont beaucoup souffert de la sédentarisation anarchique et la nation dans son ensemble".
Le Président de la République a insisté sur le fait que cette étape ouvre de nouvelles perspectives aux habitants et améliorera leurs conditions d'existence surtout que l'Etat accompagnera ce projet qu'il financera et réalisera dans les meilleurs délais possibles".
Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz a indiqué que les pouvoirs publics oeuvreront dans ce cadre à rendre disponibles toutes les infrastructures nécessaires à la vie dans la cité de Termessa. Les fonds et autres moyens appropriés ont été mobilisés pour permettre la réalisation d'école, de centre de santé et d'installations hydroélectriques et autres dans une période qui n'excèdera pas 8 mois, de manière à ce que le projet s'achève au cours de l'année prochaine faisant émerger Termmessa dans son nouveau visage moderne.
La nouvelle ville sera reliée également à la route de l'Espoir et à celle de Kobenny dans les meilleurs délais.
Le Président de la République a précisé que l'approche de regrouper les villages et de mettre fin définitivement à la sédentarisation anarchique est celle qui permettra d'assaainir le pays et d'opérer une bonne affectation des ressources servant les générations futures et favorisant la disponibilisation des prestations de santé et d'enseignement entre autres exigences de la vie.
Le Chef de l'Etat a saisi cette occasion pour remercier le maire de la commune de Timizine pour les efforts entrepris pour que ce projet voit le jour et su gré à tous ceux qui ont contribué à cette approche bénéfique pour les habitants de la zone mais aussi pour tout le pays de manière générale".
Le Chef de l'Etat a fait remarquer que la création de la ville de Termessa, outre son rôle dans un développement harmonieux, donne l'opportunité aux élèves et aux enseignants de se retrouver dans un même endroit, met fin à l'absentéisme scolaire et facilite l'existence d'infrastructure scolaire et autres services publics, rend l'enseignement possible aux générations futures et met fin à l'éparpillement des efforts des enseignants et à leur absentéisme quelquefois.
Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz a réaffirmé que la meilleure manière de faire une bonne affectation des ressources c'est ce que vous avez fait à Termessa en vous regroupant dans une seule ville pour profiter de prestations de santé efficaces où l'Etat rend disponibles médicaments et consommables médicaux, mèdecins et infirmiers".
Ce regroupement, ajoute -t- il, est de nature, par ailleurs, à favoriser l'existence d'un pole économique couvrant le développement de l'élevage dont la wilaya est riche et à permettre son développement et sa diversification ainsi que l'amélioration de sa rentabilité de manière étudiée permettant d'augmenter la quantité de lait produite par les bovins de 3 à 4 litres actuellement à 40 et 50 litres, ce qui requiert la concentration des efforts, la coopération et l'entraide pour faire face ensemble aux difficultés.
S'adressant aux habitants de Termessa, le Président leur dit: "l'Etat sera à vos côtés pour vous aider afin de réaliser cela; il ne vous abandonnera pas car ce que vous avez réalisé aujourd'hui va l'aider à mieux affecter les ressources de manière transparente et honnête pour servir la productivité et rompre définitivement avec 50 ans de sédentarisation anarchique sans résultat ni efficacité, ce qui se traduit négativement sur l'enseignement qui était en recul constant année après année mais aussi sur la santé".
Le Chef de l'Etat a appelé, à la fin de son intervention, à la préservation de cette nature que la Providence nous a prodiguée et s'est engagé à envoyer une mission pour la protection de l'environnement pour aider les populations afin que la sédentarisation dans cette zone ne soit pas préjudiciable à l'environnement".
AMI