mardi 8 février 2011

La fondation de bienfaisance de SNIM offre une citerne à la commune de Bir Moghreine.




Le Wali du Tiris Zemmour, colonel Ahmedou Bamba Ould Bayeh a réceptionné mardi une citerne à eau, don de la fondation SNIM de bienfaisance à la commune de Bir Moghrein, des mains du directeur de cette fondation. D'une capacité de dix tonnes d'eau, la citerne a nécessité un financement de 38 millions d'ouguiyas.

Dans le mot qu'il a prononcé pour la circonstance, M. Bah Ould Kah, président de la fondation SNIM de bienfaisance a précisé que ce geste vise à répondre à un besoin pressant exprimé par les populations de cette commune enclavée quant à la disponibilisation d'un outil d'approvisionnement en eau potable.

Il a aussi rappelé que son institution avait donné à cette commune une ambulance et en perspective de lui construire une école fondamentale.

Et de préciser que la fondation s'engage à équiper les communes situant sur la voie ferraillée des moyens nécessaires pour une vie décente, soulignant à ce sujet la mosquée qui sera inaugurée ce jour à F'Deirick.

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Source :
Agence Mauritanienne d'Information

La gendarmerie du Brakna annonce la saisie de 134 kg de drogue




La gendarmerie du Brakna annonce avoir découvert une quantité de 134 kg de drogue dissimulée dans quatre bonbonnes de gaz, à 22 km de Maghtaa Lahjar.

Le chef du groupe de gendarmerie a précisé que la marchandise a pu être découverte grâce à une brigade cynophile (avec des chiens spécialisés dans la détection de substances illicites), avec une quantité de 134 kg de produits stupéfiants, dont la nature n’a pas été précisée.

Selon la même source, l’enquête pour déterminer ceux qui sont derrière l’introduction de cette drogue dans le pays suit son cours, et on ne sait pas davantage qui a pu placer ces bonbonnes de gaz dans des arbres (!) en bordure de la Route de l’Espoir.

Trad. : A.B. Ould Hamoud



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Source :
Souhoufi (Mauritanie) / Traduit par A.B.O. Hamoud pour Cridem

Nouadhibou : Ces poteaux électriques qui font peur. Le long du boulevard Médian (qui s’étend le long de la capitale économique sur plusieurs kilomètr


Nouadhibou : Ces poteaux électriques qui font peur.

Le long du boulevard Médian (qui s’étend le long de la capitale économique sur plusieurs kilomètres), plusieurs poteaux défectueux côtoient des habitations avec les risques d’accidents et d’incendies que cela engendre.

A. revient de loin. Le week end dernier, elle a manqué de peu d’être écrasée par un poteau au quartier du deuxième robinet. Elle raconte : ‘ Je sortais d’un four pour rentrer. Juste au moment de traverser, j’ai vu un poteau qui tremblait. J’ai eu juste le temps de fuir et le poteau s’est affaissé et a failli s’écraser sur une voiture ‘. Ces risques d’accident, les habitants les avaient prédits.

Ces poteaux sont fragilisés par le poids de l’âge ou par une installation mal faite ou encore par manque d’entretien.

Les poteaux «électriques défectueux font foison à Nouadhibou surtout le long des boulevards Médian, maritime et dans le quartier administratif (prés de la wilaya). Une dizaine d poteaux jonchent le goudron tout au long de ces axes. Sur ces poteaux affaissés serpentent des fils électriques, véritable danger mortel pour les enfants et les animaux en divagation. Quelques fils ont déjà été coupés et emportés.

Ces poteaux ont été installés par la SOMELEC et créent une peur grandissante chez la population. Mais aucun riverain ne s’est plaint à la SOMELEC pour qu’on remplace des poteaux électriques sur le point de tomber.

Ces poteaux sont en décrépitude car ils datent de plus de vingt ans, selon des sources. Les poteaux s’affaissent sous le poids du vent mais n’ont pas encore causé de mort. Pourtant les risques d’incendie et de court circuit ne sont pas négligeables et un incendie pourrait consumer des maisons entières. ‘ Parfois on aperçoit de étincelles qui jaillissent des poteaux. un jour on va entendre qu’il y a un sinistre’ confesse un chef de quartier.

La SOMELEC n'a rien entreprise face à ce problème.



Toute reprise d'article ou extrait d'article devra inclure une référence à www.cridem.org


Source :
La Voix de Nouadhibou via Athié Youssouf

Le long du boulevard Médian (qui s’étend le long de la capitale économique sur plusieurs kilomètres), plusieurs poteaux défectueux côtoient des habitations avec les risques d’accidents et d’incendies que cela engendre.

A. revient de loin. Le week end dernier, elle a manqué de peu d’être écrasée par un poteau au quartier du deuxième robinet. Elle raconte : ‘ Je sortais d’un four pour rentrer. Juste au moment de traverser, j’ai vu un poteau qui tremblait. J’ai eu juste le temps de fuir et le poteau s’est affaissé et a failli s’écraser sur une voiture ‘. Ces risques d’accident, les habitants les avaient prédits.

Ces poteaux sont fragilisés par le poids de l’âge ou par une installation mal faite ou encore par manque d’entretien.

Les poteaux «électriques défectueux font foison à Nouadhibou surtout le long des boulevards Médian, maritime et dans le quartier administratif (prés de la wilaya). Une dizaine d poteaux jonchent le goudron tout au long de ces axes. Sur ces poteaux affaissés serpentent des fils électriques, véritable danger mortel pour les enfants et les animaux en divagation. Quelques fils ont déjà été coupés et emportés.

Ces poteaux ont été installés par la SOMELEC et créent une peur grandissante chez la population. Mais aucun riverain ne s’est plaint à la SOMELEC pour qu’on remplace des poteaux électriques sur le point de tomber.

Ces poteaux sont en décrépitude car ils datent de plus de vingt ans, selon des sources. Les poteaux s’affaissent sous le poids du vent mais n’ont pas encore causé de mort. Pourtant les risques d’incendie et de court circuit ne sont pas négligeables et un incendie pourrait consumer des maisons entières. ‘ Parfois on aperçoit de étincelles qui jaillissent des poteaux. un jour on va entendre qu’il y a un sinistre’ confesse un chef de quartier.

La SOMELEC n'a rien entreprise face à ce problème.


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Source :
La Voix de Nouadhibou via Athié Youssouf

Brakna : l’étape de Boghé, Retour sur le Déplacement du leader du Parti MPR Mr Kane Hamidou Baba.



A Boghé, Kane Hamidou Baba a tenu une réunion de prise de contact à la villa de Wane Sada Mamadou de Nioly. D’ailleurs cette maison est devenue son lieu d’accueil, chaque fois qu’il fouille le sol des Halaibés.

Des femmes des coopératives de Boghé, des jeunes, élèves et ouvriers sont venus lui tendre l’oreille fine et lui signifier leurs problèmes en temps que d’abord parlementaire et ensuite leader d’un parti à leurs yeux capables de relever leur défi.

Dans ce salon luxe de la villa de Wane Sada Mamadou, la délégation du MPR (mouvement pour la refondation) composée de Sidi Ould Kleib, Docteur Mouhamadou Bâ, Maham Fall, Mamadou Ousmane Tall, Guélogal Bâ, Lamrabat Haidara, Gharraby, Sélé Guéye, Diba Abdoulaye et Tabara Bâ, a écouté ces nombreuses personnes venues pour la circonstance.

La première à prendre la parole : Mariéta Ndiaye dite Aissata Peinda souhaitant la bienvenue à Mr Kane et sa délégation et elle passa la parole à Madame Mariam Siléye (présidente de coopérative), elle dira : « au nom des coopératives de Boghé, je souhaite la bienvenue à notre noble hôte Mr Kane H.B, vous êtes venu à un lieu où les populations vous attendent et elles savent le rôle que vous jouez dans l’échiquier national. Nous vous remercions de vos actes, je donnerai un exemple concret le don que vous nous aviez offert « projet de puit » pour notre coopérative, ici à Boghé. »

Plusieurs jeunes ont intervenu pour lister leurs problèmes, le chômage, la plaine agricole de Boghé, la Santé de la population, l’éducation, la pauvreté, ils ont manifesté leur intérêt tout particulier à la mission. Les femmes aussi ont énuméré leur doléance : problème de culture dans leur jardin, l’expropriation de leur terre, le manque d’eau potable, l’inexistence des projets agricoles aux femmes, l’éducation agonisante de leurs enfants et enfin la création d’un hôpital pour la ville de Boghé, afin de vaincre leur souffrance.

Avant de répondre à ces doléances, Monsieur Mohamed Vall Gharraby a rappelé à l’assistance que Kane Hamidou Baba est un modèle de clairvoyance politique, c’est un homme dira-t- il « qui tient à tous les mauritaniens soient unis, il a cœur tous les problèmes de ces compatriotes, c’est pour lui et quelques membres du parti, ont décidé de créer une symbiose national autour des grands idéaux.

Depuis la création de ce parti Kane nous mène, sillonne tout le terroir national, pas pour un esprit de campagne, parce que nous ne sommes pas encore là, mais pour essentiellement écouter la population et écouter leurs problèmes. Aujourd’hui, manifestation éloquente de cette notion (les problèmes du milieu) nous sommes venus pour partager avec vous vos peines, vos problèmes, à l’assemblée nationale, il les portera.

Je connais Kane tous les Mauritanien derrière lui nous ressentirons une Mauritanie nouvelle qui va faire rase tous les problèmes douloureux, une Mauritanie où toute personne aura sa part, je vous remercie. »

Quant à Sidi ould Kleib, il a remercié l’assistance, « j’ai une sensation d’être chez moi, chez la capitale les Halaibés, j’ai entendu vos paroles, j’ai compris votre message, une nouvelle génération qui joint à nous encore, je vous remercie. »

Lui succédant Mr Kane Hamidou Baba à dit : « cette mission ne se situe pas dans un contexte Politicien, moins encore de rechercher des militants du parti, mais un devoir engagé de venir s’acquérir la situation des populations, leur mode de vie sociale pénible, je suis venu pour reconstruire la Mauritanie, la Mauritanie, ce métissage est obligatoire( l’unité nationale), il faut que la paix, consolider nos forces afin que chaque mauritanien se reconnaît là bas, il faudra s’organiser et travailler.

Dans ce sens, il a étiolé l’engagement du chef de l’Etat, Mohamed Ould Abdel Aziz, de restituer les terres expropriées aux ayant droits, d’appuyer l’ensemble des autochtones à travers des projets de développement agricoles et aussi de moderniser l’état civil.

Pour ceux qui ne sont pas en possession de leurs papiers d’état civil, il est prévu de mettre en place des commissions chargées de répertorier et d’examiner l’ensemble des cas pour trouver une solution juste et durable. Je vous remercie de votre hospitalité combien grandiose.

Albert Camus Diop dit Hbodiel
CP le Véridique au Brakna.


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Source :
Albert Camus Diop dit Hbodiel

Kaédi : Une femme tue sa fillette de quelques mois





Selon des sources informées à Kaédi, une femme a tué, lundi, sa fillette de quatre mois, avant de tenter de la jeter dans un caniveau.

De même source on indique que la fillette assassinée, née hors mariage, constituait « un fardeau pour sa génitrice qui a voulu s’en débarrasser ».

Une enquête a été ouverte par la police de la capitale du Grogol, pour élucider les circonstances de ce crime.





Source :
ANI (Mauritanie)

Commune de Timbédra : gestion personnelle et calamiteuse.




Au cours des dernières municipales, une coalition formée des partis de la CFCD et de personnalités indépendantes signent un accord au siège de l’UFP à Timbédra le 24 /11/2006.

Par cet accord la coalition envisage d’adopter : une gestion communale participative, harmonieuse et rationnelle basée sur la diminution substantielle des taxes et impôts, la réalisation et /ou réfaction de quelques infrastructures locales, l’apurement des arriérés de la mairie, la régularisation et l’ augmentation des salaires des employés de la commune et d’élire Mr Ahmedou O/ Mouhamedou cadre de la SNDE Maire de la commune.

Aussitôt propulsé à la tête de la mairie de Timbédra, Ahmedou reniera tous ses engagements et foulera au pied l’accord. Il mettra sur pied sa propre ou plutôt sa calamiteuse gestion personnelle de la mairie.

C’est ainsi qu’il apprendra aux collecteurs de la commune progressivement qu’ils n’ont de compte à rendre à personne sauf à lui : consigne comprise et exécutée. A bon entendeur, salut.

Certains employés de la commune soutiennent qu’aucun collecteur n’a jamais versé un khoums au trésor public depuis juin 2009. Voila ce qui explique partiellement que les 24 employés de la commune dont3 furent licencies au début de 2007et réintégrés par message du Wali 152 du 16/04/2007 accusent de 12 à 15 mois d’arriérés de salaires à ce jour.

Les employés de la commune de Timbédra ont tenté de trouver une issue favorable à cette situation d’arriérés de salaires par la concertation avec le Maire ou l’entremise de l’administration de tutelle. Mais ils ne trouvent aucune oreille attentive.

A quand aura t –on ici comme ailleurs dans ce beau pays une administration de développement qui prend en charge les attentes de ses usagers ?

Mohamed Bouna Ould Deih



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Source :
Bilal ould Val