mardi 6 mars 2012

Un groupe politique de cadres de la moughataa de Barkéol a annoncé lundi à Nouakchott son adhésion au parti de l'Union Pour la République (UPR).




Le chef du groupe, M. Babaye Ould Oumar a indiqué, au cours d'une cérémonie organisée à cette occasion, que ledit groupe rallie l'UPR et soutient le programme du Président de la République M. Mohamed Ould Abdel Aziz.

Il a indiqué également que cette adhésion est motivée par les grandes réalisations opérées dans la zone comme la construction des routes, les projets de développement, en particulier dont l'éclairage de la ville et son alimentation future en eau potable ainsi que le début du traçage de routes bitumées de Ouali au chef-lieu de la moughataa " a-t-il dit.

M Babaye a souligné, par ailleurs, que ces raisons ainsi que d'autres ont conduit son groupe à démissionner des rangs de l'opposition " après 3 ans d'action politique en son sein et de rejoindre une force qu'il juge capable à assurer un avenir radieux au pays " a-t-il ajouté.

Prenant à son tour la parole, le secrétaire général de l'UPR, M. Oumar Ould Matalla a salué cette initiative, exprimant le souhait que le groupe contribue à insuffler une nouvelle dynamique au parti ainsi " qu'à éclairer sa voie sur le processus du changement constructif dirigé par le Président de la République M. Mohamed Ould Abdel Aziz " a-t-il dit.

Ould Mattalla a rappelé également les acquis réalisés, sous la direction du Président de la République, qui sont, dit-il, tangibles et sentis au niveau de la sécurisation de toutes les contrées du pays, grâce à une modernisation de l'armée nationale et au développement des forces de sécurité et l'information de l'état civil et l'intérêt accordé aux franges les plus démunies dans les villages et dans les quartiers précaires.
(AMI)

Rosso / les déchets : regardez c’est encore grave …




Nous vivons aujourd’hui une absence de gestion des déchets solides a des conséquences graves au niveau la santé à Rosso qui provoque un certain nombre de dégâts qui sont :

(la reproduction des lieux de moustiques, de rats), de l'impact environnemental (apparence, odeurs, pollution de l'eau et de l'air), de la toxicité (notamment pour les déchets médicaux et les métaux lourds), de l'impact social (pour les personnes vivant à proximité, et pour les personnes vivant de la récupération des déchets) et de l'infrastructure (les déchets non collectés bloquent les canaux et les voies d'accès.

Comme une personne produit entre 250 g et 1 kg de déchets solides par jour, les conséquences d'une mauvaise gestion sont vite catastrophiques pour une ville d'une certaine importance comme la notre.

La gestion des déchets inclut leur collecte, leur transport jusqu'à un site, et leur traitement ; elle peut aussi inclure le nettoyage des rues. Le ramassage s'effectue dans des poubelles domestiques ou collectives, vidées périodiquement dans une benne à ordures ménagères qui assure le transport. Dans les endroits moins développés, les déchets peuvent être collectés par brouette. Le nettoyage des rues peut être fait mécaniquement avec des balayeuses ou avec des outils dédiés par des nettoyeurs.

Le traitement des déchets peut être précédé d'une réutilisation et / ou d'un recyclage (lui-même exigeant un tri sélectif préalable). Le traitement lui-même peut être fait de trois façons : par dépôt dans une décharge aménagée ou non ; par incinération ; ou par compostage.

Si les pays développés mettent en place des réglementations de plus en plus contraignantes pour le traitement des déchets, dans de nombreux pays en développement la décharge non contrôlée reste le moyen le plus courant d'enlever les déchets ; ceux-ci sont aussi souvent récupérés par des personnes pauvres qui récupère ce qui peut encore se revendre.

A quoi jouent-ils ?

Ibrahim Idriss Wade
www.cridem.org


Source :
Veridar Cader

Djiguénni : Des éleveurs protestent contre « l'insuffisance » des quantités d’aliments pour bétail



Plusieurs dizaines d’éleveurs ont organisé à un sit-in devant les bureaux de la Moughataa pour protester contre la répartition des rations d’alimentation pour bétail déjà declenché par l’autorité administrative dans le cadre du plan « Emel 2012 ».

Selon un correspondant de l’ANI surplace, seulement 29 éleveurs de toute la moughataa ont déjà pu avoir accès à ces rations qui « ne sont pas proportionnelles aux nombre de têtes d’animaux, par conséquent demeure largement insuffisantes ».

Les éleveurs entendent poursuivre leur sit-in jusqu’à ce qu’ils obtiennent des rations suffisantes pour leur bétail menacé par la rareté des pâturages.



Source :
ANI (Mauritanie)