dimanche 2 mai 2010

Boghé/Demette : Cérémonie d’intronisation de l’Elimman Puri.



Des centaines de personnes issues de tous les villages Halaybe des deux rives du fleuve Sénégal ont convergé ce samedi 1er mai 2010 à Demette (village situé sur la rive gauche en face de Boghé) pour la cérémonie d’intronisation de Abdoul Seydi Djigo (90 ans environ), doyen d’âge de la famille des Djigo au titre de « Elimaan Puri ».

De nombreuses personnalités coutumières, administratives et politiques ont pris part à cet évènement, l’un des plus importants dans l’histoire des Halaybe en général, de la famille des Djigo (Puri Dow) et de leurs alliés traditionnels subalbés (Puri Les).

Dans l’allocution de bienvenue qu’elle a prononcée à cette occasion, Mme Fatou Anne, adjointe au maire de la commune de Demette a exprimé d’abord toute sa joie de participer à cet évènement qui fédère les fils et filles de la communauté Halaybe des deux rives avant de transmettre les salutations du maire titulaire, M. Dia Mamoudou, qui, « pour des raisons professionnelles, n’a pas pu assister à cette cérémonie ».

Ensuite, MM. Mamadou Dickel et Tall Ibrahima, respectivement porte-parole de la communauté Puri et du comité de pilotage des préparatifs ont remercié tous ceux qui, de près ou de loin, à la réussite de la manifestation.

Après cet échange de propos, les chefs des différents titres traditionnels de la province des Halaybé à savoir Joom Banje baabaabe et sohsohbe, Ceerno Besmoor, Jaalaade, Elimman Dubaango, Satigui Dubaango, Elimaan Mboon, Jaaltaabe Mboon, Jaagaraf Mboon, Liidube, Laamdo Idaa, El Fekki Susga se sont succédé pour adresser leurs félicitations au nouvel élu et lui apporter leurs cadeaux en espèces sous les chants et rythmes des griots du terroir.

Les chefs des provinces voisines tels que le Jaltaabe de Joomando, le Teen de Bokki et le Ceerno Baroobé ont également sacrifié au rituel donnant à l’évènement tout l’éclat qu’il mérite.

Après cette traditionnelle présentation de vœux, l’heureux élu, Abdoul Seydi Djigo est intronisé sous les regards émotionnés de ses proches et des centaines de personnes venues de tous les coins de la contrée dont de nombreux jeunes avides de découvrir ce pan entier de notre patrimoine historique immergé par les vicissitudes du monde moderne. Il revenait à Hady Tall, doyen d’âge de la famille des Tall d’enrouler le turban autour de la tête du nouveau chef traditionnel de Puri.

L’Elimaan Puri est la couronne (lefol) que porte le chef de la communauté des Jiggobe. Le 1er Elimaan Puri est Samba jiggo dit Ardo Moodi Jiggo dont l’intronisation remonte à l’époque des Almaami (XVIIIes). « S’appuyant sur un texte en arabe transmis de génération en génération, les Jiggoobe font état d’une donation de terrain faite à leur ancêtre Moodi Jiggo par le Satigui (roi) Samba. En effet, le marabout Moodi Jiggo avait rendu la raison à la fille du Satigui qui, en guise de récompense, lui offrit des terres » (source : Paysannerie et évolution foncière dans la province des Halaybe, mémoire de fin d’études présenté par M. Amadou Oumar Dia, 1986).

Depuis, le titre revient toujours au plus âgé des marabouts descendants de Moodi Jiggo. Il est élu par un conseil composé à l’origine des familles Jah, Ndongo, Tall et Niang. Il assure à la fois le commandement de la collectivité et la gérance des terres de celle-ci. En effet, c’est le Joom Leydi qui recevait les redevances versées par les utilisateurs de ses terres, réglait les litiges fonciers, définissait les limites des parcelles et fixait les dates des semailles et des récoltes. Il pouvait retirer ses champs à un utilisateur ou à un locataire qui s’acquittait plus de ses redevances.

Après la cérémonie, le nouvel Elimmaan est revenu à son domicile à Boghé Dow après 24 heures d’internement à Demette. Les festivités marquant l’évènement devraient se poursuivre tard dans la nuit. Elles sont animées par les Subalbés (pêcheurs) de Puri, alliés traditionnels des jiggoobe avec lesquels ils partagent la même aire géographique.

Dia Abdoulaye


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Dia Abdoulaye

Pourquoi ça à Amourj?!!!

Signe de malaise ? Oui ! Lorsque Aziz et les autres se démenaient à expliquer à la Communauté Internationale les raisons du coup d'Etat en Mauritanie, des enfants, lors des marches contre la vie chère à Adel Bagrou venaient de hisser le drapeau d'un pays voisin à la place du notre ...! D'autres enfants marchaient à Sélibaby! Balle perdue! Peine perdue!

Plus d'une année après ces troubles,voilà l'implantation de l'UPR, à l'image du Prds, battre les records au niveau du département d'Amourj au Hodh Chargui avec plus de 475 unités de base. Sommes-nous, encore, en train de mentir à Aziz? De le tromper, de tricher? Sommes-nous sincères ?

Pour l'essentiel, ceux-là qui ont trompé,menti à tous les régimes sont encore là! Chez-moi, cher lecteur, ils ont encore menti, bougrement menti aux braves pauvres, en leur miroitant, encore, les châteaux d'Espagne!

Vraie ou fausse,l'implantation qui s'achève prouve, plus que jamais, l'attachement de ces populations des confins de la Mauritanie Profonde aux principes et nouvelles valeurs de la réfondation de la République dans notre pays...

Mais là où le bas blesse c'est que ces braves populations d'Amourj, continuent d'être doublement victimes des politiques d'antan et de l'administra- tion d'antan ...

Victimes des politiques parce que ces derniers une fois votés,élus ou promus oublient les promesses et les beaux discours car ils arrivent toujours à trouver un alibi pour se débarrasser d'un monde plus qu'encombrant: Hein! C'est le Parti qui m'a proposé...,Hein, c'est mon groupe qui m'a imposé!, Hein! c'est... qui... ???" Hein!c'est Aziz qui..."!

Victimes de l'administration d'antan parce que cette dernière délimitait les sphères des mairies,leurs nombres et leurs populations en fonction des humeurs de certains notables et hommes politiques et ce sans tenir compte des réalités sur le terrain ... Et c'est pour cela que la moughataa d'Amourj a été sacrifiée, délimitée à cause des préjugés ! Sinon comment la reduire à trois communes seulement!!!

Pauvres depuis ce jour où les sécheresses successives ont emporté le bétail et les bergers, ces populations attendent, toujours, justice et réparation !

Sinon comment expliquer l'existence de 03 misérables communes rurales à Amourj pour plus de 25.000 votants répartis sur plus de 50 bureaux de vote et ce pour plus de 35 fractions et Tribus ?

La Moughataa où vivent les Oulad Mohamed, déjà célèbre ne serait-ce que pour le Chowm (chiromantie) est mal à l'aise parce au lieu de 03 communes, elle peut abriter plus de 07 grandes communes: Adel Bagrou/ Djebel / Djegatt / Sivane / Amourj / Bougagoum / Oum Echeych ...

Dans le département d'Amourj, l'upr a enregistré 25 Unités de base à Amourj, 250 à Bougadoum et 200 Unités de base à Adel Bagrou .Or si on sait que le nombre des électeurs dépasse, en temps réel,les 25.000 votants, on n'arrive pas, toujours à comprendre la création d'un nouveau département au Dhar et le maintien du statuquo à Amourj !

Gérer une population estimée à plus de 300.000 personnes et où les fils d'anciens nomades se côtoient et n'ayant à partager, en commun que la marginalisation, l'exclusion et la pauvreté est, pour moi, une injustice .

Plus cette injuste doublée des multiples défis de la mondialisation compromet, en grande partie,le développement de cette localité où même le droit au rêve n'est pas, encore permis!

C'est dans ce sens que j'attire l'attention des autorités nationales sur ce drame que vivent ces populations qui,à cheval, sur la frontière mauritano-malienne ont plus que jamais bésoin des services primaires d'un Etat qu'ils sentent, qu'ils épient sans jamais pouvoir l'apprivoiser!

Idoumou OULD CHEIKH OULD BEIBY

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Idoumou Ould Cheikh Ould Beiby

Campagne d’implantation de l’UPR au Tagant: La dernière ligne droite.




Les opérations d’implantation de l’UPR au Tagant se poursuivent et se consolident en dépit de quelques désaccords. La phase d’adhésion est très avancée au niveau de Tidjikja, Moudjéria et Tichitt. Dans la Moughattta de Moudjéria plus de 4907 adhésions ont été déjà effectuées pour 47 unités de base.

Dans la Moughattta de Tichitt, se sont 31 unités de base qui ont été mises sur place pour 1694 adhérents. Ces unités sont ainsi reparties : 15 unités pour la commune de Tichitt pour 954 adhérents et 16 unités pour la commune de Lakhcheb pour 737 adhérents. Et au niveau de la Moughattta de Tidjikja déjà 6347 adhérents se sont déjà inscrits pour 85 unités de base.

D’ailleurs certains bureaux relevant de cette Moughattta ont été déjà installés : 23 bureaux dans la commune de Boubacar ben Amer, 28 bureaux dans la commune d’El Wahat. Aussi, des échos provenant de la commune de Lahsera font état de l’installation de la quasi-totalité des bureaux pour les 27 unités déjà constitués.

La seule ombre au tableau au niveau de la Moughatta de Tidjikja c’est le différent opposant certains acteurs politiques de la commune de Tensiqh (d’un côté Hamoud Ould Abdy et de l’autre Meymoun Ould Soumbar et Moctar Ould Sid’Ahmed Ould Hamoud) au sujet d’une unité de base objet de litige. Les esprits s’échauffent peu à peu.

Par ailleurs, les enjeux devenant de plus en plus pressants au terme de la phase des adhésions, les esprits commencent, peu à peu, à s’échauffer. Certains, à l’image de l’adjoint au maire de Moudjéria Monsieur Ahmed Ould Kahel, accusent leurs adversaires politiques (Madame Arba Mint Youssef soutenue par le sénateur de Moudjeria monsieur Mohamed Lemine Oud Beyba) de renflouer les unités de base par des militants du RD.

D’ailleurs selon Ould Kahel, les cartes d’adhésion UPR en possession de ces derniers ont été retirées et déchirées par les responsables locaux du RD. Faux rétorque le responsable départemental de l’UPR indiquant que les concernés ont adhéré à l’UPR en bonne et du forme en signant une déclaration d’adhésion que lui-même a transmis au coordinateur régional.

D’autres tiraillements ont été, également, notés au niveau de la commune de Tichitt (unité de base contestée par l’un des deux groupes belligérants) et dans la commune de Boubacar Ben Amer (levée de bouclier des responsables de la tendance Ehel Kouwa contre le renflouement des unités de base par des populations amenées de Nouakchott) et quelques mésententes au niveau de N’Beika. Mais jusqu’à-là, les grandes locomotives que sont la commune de Tidjikja, celle d’El Wahat, la commune de Soudoud et la commune de Lahsera sont épargnées des guéguerres observées ailleurs.

Morceaux choisis
De la nécessité de communaliser Tentemlel
Située à 35 kilomètres au Nord-est de Tidjikja, la localité de Tentemlel continue de subir une criante injustice qu’il urge de redresser au nom du sacro-saint principe d’égalité. En effet, Tentemlel est rattachée à la commune de Tidjikja sans en dépendre réellement. De l’avis de ce ressortissant, Tidjikja n’a jamais inscrit au cœur de ses préoccupations les nombreux problèmes (eau, santé, éducation, enclavement) auxquels font face les populations de cette localité.

« Les réalisations effectuées dans les domaines de santé, d’éducation et en approvisionnement en eau, sont à mettre à l’actif des fils de Tentemlel l’une des rares bourgades du pays ne bénéficiant d’aucune attention de la part des pouvoirs publics.D’ailleurs comment pourrait-il en être autrement pour cette localité totalement marginalisée et subissant de plein fouet les affres d’un découpage administratif arbitraire » indique ce cadre de Tentemlel très remonté.

Pourtant, la forte concentration démographique, l’éloignement de Tentemlel du chef lieu de la commune de Tidjikja, sa proximité avec plusieurs localités (Imoudrane, Ghouba, Bou Are, Lemkhaiss, Teveré, …), la question sécuritaire et les nombreuses opportunités de développement local sont de sérieux argument qui militent pour la communalisation de cette localité chargée d’histoire (la tombe du célèbre résistant Mohamed Salem Ould Lehjour se trouve à Kharvaniya El khadjra à 20km de Tentemlel).

« La communalisation de Tentemlel est un vœu longtemps formulé par les populations locales afin de jouir, comme tous leurs compatriotes, des prestations de l’Etat. Le soutien massif (94,47% de voix) accordé au Président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz lors de l’élection présidentielle passée est une preuve de notre engagement à ses côtés et notre soutien de politique de restructuration qu’il a initiée. Notre adhésion massive à l’UPR vient de confirmer ce soutien » déclare Jeydane Ould Tfeil l’air confiant.

Mohamed Radhy ould Hasni Ould Ahmed Dedda
Dg Université intercontinentale Sup Management Mauritanie

« Je suis à Tidjikja avec un groupe d’ami pour aider à la réussite de l’implantation de l’UPR. Pour la première fois je m’engage et j’engage ma famille et tous mes soutiens pour soutenir un homme dont je suis convaincu de sa sincérité et de son engagement. Je connais personnellement le Président Mohamed Ould Abdel Aziz bien avant qu’il prenne les reines du pouvoir.

L’homme est pétri de qualités et ses rapports avec ses semblables ont toujours été des rapports sains. Le programme politique qu’il défend est la parfaite illustration du souci qu’il nourrit de sortir notre pays de la misère. La priorité accordée à la masse des indigents en dit long sur cette volonté de changement constructif qui vise à redresser les tords et à instaurer la justice. Mon engagement à l’UPR est donc motivé par la lecture que j’ai faite des ambitions de ce grand homme d’Etat qui mènera le pays, j’en suis sûr, au bon port.

Maintenant sur le terrain, il faut dire que la sensibilisation que nous menons a permis à de nombreuses personnes d’adhérer au parti. Des personnes pour la plupart qui étaient réticentes. Ceux qui me connaissent savent que mon engagement sera suivi par de pans entiers des populations de Tidjikja et ses environs au nom de notre appartenance sociale commune et au nom de nombreuses alliances.

Le Diner-débat que nous avons organisé la dernière fois et auquel avait assisté le coordinateur régional de l’UPR et son staff est une preuve de notre impartialité mais surtout de notre souci d’élargir les rangs du parti à des personnes qui en étaient très éloignées ».

Khalil Sow
Khalil1965@yahoo.fr

Wouloum Néré (Gorgol): Un jeune homme tué et un autre bléssé suite à une bagarre ... ...sur la possession de matelas.




Une personne a été tuée et une autre blessée, samedi soir suite à une bagarre entre 4 jeunes de la localité de Wouloum Néré relevant de la commune de Néré Waloo (moughataa de Kaédi).

Jointe par un journaliste, une source de la compagnie de la gendarmerie du Gorgol au centre hospitalier de Kaédi où se trouve la victime, a précisé que la bagarre fait suite à une dispute dans la matinée entre les jeunes sur la possession de matelas. La victime, Masourou Aboubekrine âgé de 22 ans est poignardée par Mamadou Sambou âgé quant à lui de 17 ans, indique-t-on de même source.

Les agresseurs ont été localisés dans la localité de Kangnabé, située au bord du fleuve entre le Brakna et le Gorgol, selon la compagnie de gendarmerie.

Le port de l’arme blanche est fréquent au Gorgol par une partie de la population et ce cas constitue le 3ème en 2010 d’après une source judiciaire qui se trouvait au centre hospitalier.



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GPS (Mauritanie

Boutilimitt : âprement UPR !




Dans la commune d’Arafat, située à une vingtaine de kilomètres après Boutilimitt, vers Aleg, c’est un campement d’une vingtaine de tentes situé au milieu d’un enclos grillagé qui a servi de décor chamarré à une réunion organisée par les notables et les cadres de l’ensemble Oulad Ebiyéri de la région, à l’occasion d’une réception donnée en l’honneur du Président de l’UPR, et de sa suite.

Le campement est situé sur l’aire d’Arafat, fief des Ehel Mohamd’Nalla, fraction respectée et très digne parmi cette communauté.

C'est là que le candidat Ahmed Ould Daddah avait réalisé un score de 69 %, aux dernières présidentielles, avant que cette commune ne porte tous ses espoirs vers le Président Mohamed Ould Abdel Aziz, et vers l’Union pour la République, à laquelle le chef de l’Etat est, à tort ou à raison identifié.

Des représentants de la commune de Boutilimitt étaient présents en nombre, mais aussi ceux en provenance de N’Teichett, de Mouyasser, de Tengadess, de Nebaghiya, de Elb Adress, Lekseiba II, et d'autres endroits encore…

Des membres du gouvernement étaient venus assister, à titre individuel, à cette réunion, parmi lesquels, parmi lesquels on reconnaissait MM :

- Hamady Ould Hamady (Défense nationale),
- Mohamed Ould Boylil (Intérieur),
- Bamba Ould Daramane (Commerce, artisanat, et tourisme),
- Mohamed Abdallahi Ould Oudaa, (Industrie et mines)
- Ismael Ould Bodde Ould Cheikh Sidiya (Hydraulique et assainissement),
- Bâ Ousmane (Secrétaire Général du Gouvernement),

De nombreux notables de la région étaient présents, comme MM. Ould Cheikh Sidiya, Ould Cheikh Sidi Mohamed, Mohamed El Houssein Ould Habiboullah, et bien d’autres.

Prenant la parole, le Président de l’Union pour la république Mohamed Mahmoud Ould Mohamed Lemine remerciera les notables, les cadres, personnalités, et jeunes de Boutilimitt et de la région venus apporter leur contribution, dans ce qui, dira-t-il est ‘’une œuvre collective’’ qui vise rien de moins qu’à ‘’améliorer drastiquement ce qui a été gâché par des années d’incurie et de désintérêt pour le bien public et les attentes du plus grand nombre’’.

A l’issue de son allocution, le Président de l’UPR se verra remettre les clés de la ville de Boutilimitt, à l’intention du Président de la République, dans un geste dont on ne comprend pas bien la signification ; le représente-t-il à cet effet ? A quel titre ? Mystère… Après la fin de la plupart des discours, on note l’arrivée- juste à temps avant la clôture- de M. Sidi Ould Tah, Ministre des affaires économiques et du développement accompagné de M. Ahmed Ould Mohameden, cadre aux Affaires Etrangères.

A 19 h30, au soleil couchant la réunion est terminée, tous les véhicules se mettent en route, retour à Boutilimitt, puis Nouakchott.

Boutilimitt est ce soir promise, peut-être même acquise à l’UPR ; dans quelles proportions ? Les prochaines élections législatives de 2011 le diront en détail.

Ahmed Baba Ould Hamoud pour Cridem Reportages
ahmedhamoude@yahoo.fr

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Ahmed Baba Ould Hamoud pour Cridem

L'UPR dans la commune de Boghé crée ses structures.



Ça y est, l’UPR à Boghé crée ses structures. Le bureau sou- section de l’UPR de la commune de Boghé et les délégués ont été crées ce vendredi 30 avril 2010, à la maison des jeunes de Boghé.

Douze heures de temps, ont suffi pour enfin arriver à un consensus , de seize heures à vingt trois heures, les présidents des unités de base, les cadres politiques de la commune de Boghé, ont palabré, voir discuter longtemps.

Finalement, l’assemblée ou la direction provisoire de l’UPR de Boghé a pu s’entendre à l’unanimité, après cette implantation, le congrès a élu ses structures, la présence, remarquable du coordinateur départemental et son staff, le sénateur de Boghé, des leaders politiques célèbres du parti de l’UPR.

Le Bureau de la sous-section est le suivant :

Président : Ngaidé Abdrahman Hama dit Baba Dia.

Responsable d’orientation : Mahfoudh Ould Boubacar.

Responsable des affaires sociales : Houria Koné.

Responsable de l’organisation : Mariam Mint Chavaba.

Trésorier Général : Mbodj Mouhamadou Amadou.

Responsable des Femmes : Bâ Khardiata Amadou.

Responsable des Jeunes : Lam Amadou Adama.

Quant aux délégués de la section, élus par l’assemblée des présidents d’unités de Base, ils sont 37 militants choisis par les différentes tendances des composantes du parti de l’UPR de la commune de Boghé. Les conciliabules ou pourparlers, là étaient tendus, chaque entité des composantes de l’UPR de Boghé tirait sur la ficelle et se disait : « ce n’est pas au pied du mur qu’on reconnaît un vrai maçon ».

Les pourparlers ici ont blessé le temps. A l’unanimité, l’assemblée a choisi ses représentants ou délégués, ils sont : Abdrahman Hamady Mbodj, Mamadou Kalidou Wagne, Kane Nango Bocar, Lo Ali Kama, Aboubacri Oumar Lom, Bâ Harouna Saidou, Adama Hamady Diallo, Mohamadou Abou Niang, Aboubacri Oumar Lam, Bâ Mamadou Kalidou, Bâ Aloui Siléye, Oumar Amadou Hamady Diou, Nourou Samba Sow,

Alassane Djibril Ngaidé, Diabbal Aw, Ndongo Dahirou Abdoulaye, Najé Mint Sennad, Housseinou Ould Younouss, Laghdaf Ould Merzoug, Aichetou mint Boirickh, Alioune Ould Voyle, Abdallah Ould Khouna, Yacoub ould Dah, Djibril ould Mbareck, Aminetou Mint Boilil, Brahim ould Brahim, Med Mahfoudh ould Abeid,Bakari Simaka, Sy cheikh Seedbouh, Cheikh Hamellah Bouyagui Touré, Souleymane Bakary Samaké, Amadou Mamadou Bâ,Ndiaye Daouda, Maimouna Barry Lam, Mariéta Oumar Ndiaye,Tijani mamadou Dia, Aliou Alhousseyni Lam.

Il reste, maintenant ce qu’on dit en matière de travail, à vos marques, avancer, masquer, pour démasquer le réel. Voilà, il faudra tendre la perche, faire un travail de fourmi et frapper positivement les esprits par la maîtrise de l’ensemble des objectifs visés et fixés.

Diop Mohamedou Abou
CP au Brakna


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hbodiel