mardi 23 avril 2013

Bagodine: un maire pas comme les autres


Bagodine: un maire pas comme les autres A l'approche des élections législatives et municipales, les populations s'interrogent d'ores et déjà sur les personnalités politiques qui aspirent postuler le suffrage universel des citoyens.

Le grand changement constaté, c'est que les populations n’accepteront plus n'importe qui soit désigné sans leur consentement. Elles affirment avoir été trahi par certains maires et parlementaires qu 'ils soient de l'opposition ou de la mouvance présidentiable.

Ces critiques sont surtout portées sur le manque de considération et la négligence en vers les préoccupations quotidiennes des citoyens. et on sait que la plupart de ces maires ou parlementaires résident à Nouakchott, et ne soucient même pas les problèmes posés au niveau de leur communes.

Et en plus ce sont toujours presque les mêmes personnalités qui sont reconduites dans leurs fonctions,et bénéficient en même temps des avantages de la part de l'Etat au détriment des autres, beaucoup plus proches des populations et qui connaissent et règlent les différents problèmes auxquels ces populations sont confrontées.

C'est le cas de la commune de Bagodine. L’adjoint maire Ngam hamady débé, veille à ses populations. Il déploie beaucoup d'efforts pour le règlement des besoins, liés à l'administration, à l’enrôlement et également à l'agriculture.

'' Le maire udp de Bagodine, percepteur upr à Bababé '' comme on le surnomme ici, bénéficie du large soutien des populations de sa commune. Mais il doit faire face à des poids lourds, en concurrence Ba Bocar Soulé (à gauche sur la photo) de l'upr, de Ba Houdou (à droite sur la photo) du prdr et surtout de Diallo Oumar de la Convergence Démocratique.

D'après certains observateurs, la moughataa de Mbagne fait partie des moughataa pour lesquelles le parti upr risque d'avoir de sérieux problèmes face à d'autres formations politiques, pour les prochaines législatives et municipales.

Abou Sow - Bababé;




Source : Abou Sow

Bagodine: un maire pas comme les autres


Bagodine: un maire pas comme les autres A l'approche des élections législatives et municipales, les populations s'interrogent d'ores et déjà sur les personnalités politiques qui aspirent postuler le suffrage universel des citoyens.

Le grand changement constaté, c'est que les populations n’accepteront plus n'importe qui soit désigné sans leur consentement. Elles affirment avoir été trahi par certains maires et parlementaires qu 'ils soient de l'opposition ou de la mouvance présidentiable.

Ces critiques sont surtout portées sur le manque de considération et la négligence en vers les préoccupations quotidiennes des citoyens. et on sait que la plupart de ces maires ou parlementaires résident à Nouakchott, et ne soucient même pas les problèmes posés au niveau de leur communes.

Et en plus ce sont toujours presque les mêmes personnalités qui sont reconduites dans leurs fonctions,et bénéficient en même temps des avantages de la part de l'Etat au détriment des autres, beaucoup plus proches des populations et qui connaissent et règlent les différents problèmes auxquels ces populations sont confrontées.

C'est le cas de la commune de Bagodine. L’adjoint maire Ngam hamady débé, veille à ses populations. Il déploie beaucoup d'efforts pour le règlement des besoins, liés à l'administration, à l’enrôlement et également à l'agriculture.

'' Le maire udp de Bagodine, percepteur upr à Bababé '' comme on le surnomme ici, bénéficie du large soutien des populations de sa commune. Mais il doit faire face à des poids lourds, en concurrence Ba Bocar Soulé (à gauche sur la photo) de l'upr, de Ba Houdou (à droite sur la photo) du prdr et surtout de Diallo Oumar de la Convergence Démocratique.

D'après certains observateurs, la moughataa de Mbagne fait partie des moughataa pour lesquelles le parti upr risque d'avoir de sérieux problèmes face à d'autres formations politiques, pour les prochaines législatives et municipales.

Abou Sow - Bababé;




Source : Abou Sow

Mauritanie: Une marche des dockers vers la Présidence stoppée à gaz lacrymogène


Mauritanie: Une marche des dockers vers la Présidence stoppée à gaz lacrymogène Les forces de l’ordre ont fait usage de gaz lacrymogène pour stopper tout à l’heure une marche de protestation des dockers du Port de l’Amitié de Nouakchott au niveau du camp Bataillon Blindé (BB).

La destination de la marche était la Présidence de la République mauritanienne "pour information Mohamed Ould Abdel Aziz des mauvaises conditions de travail dont les dockers sont soumis", ont confié les marcheurs à Alakhbar.

Les dockers, qui on entamé un sit-in ouvert depuis mercredi 20 mars à Nouakchott et à Nouadhibou, réclament une structure sanitaire, une ambulance et veulent être déclarés à la Caisse Nationale de Sécurité Sociale CNSS. Ils exigent encore la valorisation de leur rémunération ainsi que la réduction des heures de travail.

Hier matin (lundi), la Gendarmerie et de la Garde nationales ont "violemment" dispersé un sit-in des mêmes dockers au Port de l’Amitié de Nouakchott. Une quinzaine de dockers étaient blessés et d’autres arrêtés.

Aba Ould Mounazih, un des dockers qui participait audit sit-in, a raconté à Alakhbar que la Gendarmerie et de la Garde nationales ont fait usage de la force pour les disperser ce qui explique le nombre important de blessés dans les rangs des dockers.

Cette "répression" au port s’est passée loin de l’œil des journalistes qui sont interdits de s’approcher aux entrées du port sous peine de voir leurs matériels de travail confisqués.

Lundi après-midi, les affrontements entre forces de l’ordre et dockers ont repris et ces dernies ont bloqué la route menant au port et brûlé des pneus au passage du convoi des forces de l’ordre venues pour les disperser.

Mais les forces de l’ordre ont pu repousser les manifestants à près d’un kilomètre de la voie publique par l’usage excessif de gaz lacrymogène, ont constaté les journalistes de Alakhbar qui ont rapporté plusieurs manifestants évanouis et certains des habitants des quartiers environnants fuyant leur maison envahie par l’odeur des grenades.

Dans la confusion, deux voitures, un autobus et un camion sont entrés en collision.




Le mouvement des dockers s’étend à Nouadhibou


Le mouvement des dockers s’étend à Nouadhibou Le mouvement des dockers entamé hier à Nouakchott se serait étendu à la capitale économique, Nouadhibou, second port du pays, apprend-on de sources concordantes.

Hier déjà à Nouakchott, le Port Autonome de Nouakchott (PAN) avait été le théâtre de violents affrontements entre les gendarmes et plusieurs centaines de dockers en grève.

Ces affrontements ont fait un bilan de plusieurs blessés. Les manutentionnaires réclament une hausse du prix de la manutention (débarquement et embarquement de la tonne de fret maritime, une prise en charge médicale….).

Le Bureau de la Main d’Œuvre Portuaire (BEMOP) prélève environ 30% du prix de la tonne dans le cadre des opérations de manutention. Les dockers dénoncent cette pratique, déplorent « une absence totale de prise en charge médicale et de perspectives de retraite » Ainsi, sur un prix de 1000 ouguiyas, le BEMOP perçoit 250 ouguiyas.



Fédération du RFD à Nouadhibou : « La Mauritanie vit aujourd’hui sous un régime de commissionnaires par excellence »


La fédération du RFD a organisé dans la soirée du dimanche 21 avril dans son siège une cérémonie à l’occasion de la sortie d’une promotion d’étudiants ayant subi une formation de trois mois en informatique. Au cours de la remise des attestations aux stagiaires, leur porte parole a exprimé leur satisfaction pour les connaissances acquises dans cet important domaine sans lequel aucune activité n’est possible aujourd’hui. De son côté, le fédéral du RFD à Nouadhibou, Moktar Ould Lemine a déclaré que cette activité entre dans le cadre de la participation du parti dans l’action sociale et sa conviction de son importance, surtout dans un contexte marqué par un régime de commissionnaires par excellence qui n’ont pour souci que d’amasser le maximum de biens, alors que les populations vivent dans la plus grande précarité à cause des politiques improvisées d’un régime aux abois. Le fédéral Moktar Ould Cheikh a ajouté : ''La crise qu’a connue le secteur de la pêche à Nouadhibou depuis quelques temps a eu pour conséquence l’arrêt de l’activité économique et l’augmentation des rangs des chômeurs dans un silence assourdissant qui dénote d’une incapacité notoire des autorités a relever les défis ou de faire entrevoir un quelconque espoir de solution aux multiples problèmes.'' Le responsable politique régional du RFD s’est demandé sur le sort des 800 millions d’ouguiyas de la caisse du dépôt et du développement dont usent et abusent ce qui sont chargés de la gérer avec la bénédiction des autorités sans que cela ne servent les populations miséreuses de la deuxième plus importante ville du pays qui vit une situation inédite marquée par un chômage galopant, une baisse remarquable du pouvoir d’achat, une recrudescence de la criminalité, un mauvais accès aux services de base (eau, santé, électricité) qui sont le reflet de la crise que vit le pays depuis l’arrivée au pouvoir de Mohamed Ould Abdel Aziz.
Source : Le Calame (Mauritanie)

Fédération du RFD à Nouadhibou : « La Mauritanie vit aujourd’hui sous un régime de commissionnaires par excellence »


La fédération du RFD a organisé dans la soirée du dimanche 21 avril dans son siège une cérémonie à l’occasion de la sortie d’une promotion d’étudiants ayant subi une formation de trois mois en informatique. Au cours de la remise des attestations aux stagiaires, leur porte parole a exprimé leur satisfaction pour les connaissances acquises dans cet important domaine sans lequel aucune activité n’est possible aujourd’hui. De son côté, le fédéral du RFD à Nouadhibou, Moktar Ould Lemine a déclaré que cette activité entre dans le cadre de la participation du parti dans l’action sociale et sa conviction de son importance, surtout dans un contexte marqué par un régime de commissionnaires par excellence qui n’ont pour souci que d’amasser le maximum de biens, alors que les populations vivent dans la plus grande précarité à cause des politiques improvisées d’un régime aux abois. Le fédéral Moktar Ould Cheikh a ajouté : ''La crise qu’a connue le secteur de la pêche à Nouadhibou depuis quelques temps a eu pour conséquence l’arrêt de l’activité économique et l’augmentation des rangs des chômeurs dans un silence assourdissant qui dénote d’une incapacité notoire des autorités a relever les défis ou de faire entrevoir un quelconque espoir de solution aux multiples problèmes.'' Le responsable politique régional du RFD s’est demandé sur le sort des 800 millions d’ouguiyas de la caisse du dépôt et du développement dont usent et abusent ce qui sont chargés de la gérer avec la bénédiction des autorités sans que cela ne servent les populations miséreuses de la deuxième plus importante ville du pays qui vit une situation inédite marquée par un chômage galopant, une baisse remarquable du pouvoir d’achat, une recrudescence de la criminalité, un mauvais accès aux services de base (eau, santé, électricité) qui sont le reflet de la crise que vit le pays depuis l’arrivée au pouvoir de Mohamed Ould Abdel Aziz.
Source : Le Calame (Mauritanie)

Fédération du RFD à Nouadhibou : « La Mauritanie vit aujourd’hui sous un régime de commissionnaires par excellence »


La fédération du RFD a organisé dans la soirée du dimanche 21 avril dans son siège une cérémonie à l’occasion de la sortie d’une promotion d’étudiants ayant subi une formation de trois mois en informatique. Au cours de la remise des attestations aux stagiaires, leur porte parole a exprimé leur satisfaction pour les connaissances acquises dans cet important domaine sans lequel aucune activité n’est possible aujourd’hui. De son côté, le fédéral du RFD à Nouadhibou, Moktar Ould Lemine a déclaré que cette activité entre dans le cadre de la participation du parti dans l’action sociale et sa conviction de son importance, surtout dans un contexte marqué par un régime de commissionnaires par excellence qui n’ont pour souci que d’amasser le maximum de biens, alors que les populations vivent dans la plus grande précarité à cause des politiques improvisées d’un régime aux abois. Le fédéral Moktar Ould Cheikh a ajouté : ''La crise qu’a connue le secteur de la pêche à Nouadhibou depuis quelques temps a eu pour conséquence l’arrêt de l’activité économique et l’augmentation des rangs des chômeurs dans un silence assourdissant qui dénote d’une incapacité notoire des autorités a relever les défis ou de faire entrevoir un quelconque espoir de solution aux multiples problèmes.'' Le responsable politique régional du RFD s’est demandé sur le sort des 800 millions d’ouguiyas de la caisse du dépôt et du développement dont usent et abusent ce qui sont chargés de la gérer avec la bénédiction des autorités sans que cela ne servent les populations miséreuses de la deuxième plus importante ville du pays qui vit une situation inédite marquée par un chômage galopant, une baisse remarquable du pouvoir d’achat, une recrudescence de la criminalité, un mauvais accès aux services de base (eau, santé, électricité) qui sont le reflet de la crise que vit le pays depuis l’arrivée au pouvoir de Mohamed Ould Abdel Aziz.
Source : Le Calame (Mauritanie)