Ce mercredi 06 Avril 2016, lors d'une conférence de presse organisée à l’hôtel Bowba,
les anciens soutiens du Maire ont déclaré d’importantes anomalies de
gestions qui ont motivés le désaccord entre eux et le premier magistrat
de la commune de Rosso.
Selon eux, la citoyenneté et le devoir citoyen leur imposent de réagir et de rétablir la vérité afin qu’on n’induise pas l’opinion en erreur.
Déclaration de presse
Voilà maintenant plus d’un an qu’un conflit interne au sein de la majorité municipale domine les débats à Rosso et plombe le fonctionnement normal de l’institution. La cause est, que le maire en veut à deux de ses homologues conseillères municipales pour seulement avoir émis une observation sur son mode de gestion.
Sans autres formes de procès, il décide avec la complicité de son parti de les débarquer du conseil municipal, oubliant que ces deux dames sont comme lui, élues au suffrage direct.
Son entreprise infructueuse l’amena à sciemment déplacer son problème de parti sur un terrain politique par des attaques calomnieuses contre d’honnêtes citoyens qui n’ont commis de tort que d’appartenir à un parti politique concurrent.
Son intention inavouée est de nous faire perdre, et l’opinion avec nous, dans les méandres de la politique politicienne. La citoyenneté et le devoir citoyen nous imposent de réagir et de rétablir la vérité afin qu’on n’induise pas l’opinion en erreur.
Parce que nous sommes de ceux dont les voix et l’engagement politique ont contribué à l’élection de la liste dirigée par le maire. Mais, qui ont dû vite le laisser tomber parce que les premiers actes qu’il posait ont fini de nous renseigner que le choix que nous avions fait n’est pas du tout le bon.
Ce dont il est réellement question est le fait que le maire de la commune manipulé et instrumentalisé qu’il est, par qui on sait, a réussi à déstabiliser la ville, sans y réussir, absolument rien de positif. Contrairement à ses allégations gratuites.
Avec lui, Rosso est partie d’une situation de maladie grave pour arriver à une situation de mort clinique.
- En lieu et place de la réalisation des promesses alléchantes, nous souffrons, aujourd’hui, encore plus des effets néfastes et nauséabonds des ordures ménagères.
-Les importantes infrastructures réalisées par l’Etat ces derniers temps, se sont détériorées faute d’entretien.
-Les courageuses femmes chefs de familles qui bravent les intempéries pour entretenir leurs enfants par l’exercice de petites activités commerciales, se plaignent des tracasseries et entraves de la mairie.
-Nos écoles souffrent des effets néfastes des sureffectifs, faute de construction de nouvelles salles de classes.
-La plupart des cimetières de la ville où reposent nos morts, sont devenus soit des dépôts d’ordures, soit un lieu de fréquentation des animaux errants, s’ils ne sont simplement squattés par les populations comme terrain d’habitation sans que personne ne lève le plus petit doigt.
-Nous déplorons que lorsque, nous souffrions, il y a de cela quelques mois des effets de l’inondation et des eaux stagnantes, le premier magistrat de la ville, quitte le pays pour passer des vacances dorées aux États Unis et aux Émirats Arabe Unis.
Jamais, on n’aurait pu penser que le jeune élu, puisse se comporter à la manière d’un monarque de l’Antiquité, voulant se substituer aux juges et aux cours et tribunaux, seuls habilités à dire le droit.
Mais venant de quelqu’un qui fait d’anciens caciques de l’État d’exception ses modèles et leaders, on ne peut guère être surpris.
Le parti Wiam dans lequel milite notre maire n’est en fait qu’un rassemblement des caciques du régime déchu de Mouawiya dont entre autres l’éminence grise de la Tayatie : Louleid ould Wedad, Ly Mamadou, ancien député l’un des auteurs de la loi d’amnistie des graves violations des droits de l’homme et le chef du « d’orchestre » Boidiel Ould Houmeid qui semble-t-il et au vu des faits et actes qu’il pose, a crée « son machin » pour seulement se prémunir des nombreuses casseroles qu’ils trainent derrière lui.
Cet homme et ses compagnons feraient parti du cercle très fermé d’hommes et femmes, sans foi ni loi, qui ont pillé la Mauritanie et sucé le sang de ses populations.
Il s’agit, de malfrats trempés dans les détournements massifs des biens publics durant près de trois décennies utilisant le détournement pur et simple, le vol, le racket, la surfacturation, les fausses déclarations en douanes, les fausses factures, le dépôt de bilan prémédité, le trafic d’influence, la dilapidation, le faux et l’usage de faux et j’en passe.
En quoi ces individus peuvent ils être utiles pour la Mauritanie ? Est-ce pour la malversation en matière de lotissement des parcelles de terrain, ou le détournement des deniers publics, des ministères et des établissements de l’Etat au profit de l’entourage proche du dictateur qui œuvre à placer Boidiel selon le besoin dans les postes les plus juteux comme les ministères des finances, de la Santé, du Développement Rural, le Commissariat à la Sécurité Alimentaire, le Trésor Public, la Société Mauritanienne pour la Commercialisation du Poisson( SMCP) et le projet de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie (CNAM).
Rien, sauf s’il décide de se retirer de la scène politique et laisser la place aux jeunes générations pour permettre le renouvellement de la classe politique tant souhaité. D’ailleurs, pourquoi ne pas laisser la place à un certain Sidi Diarra qui au moins, lui, s’est fait une réputation par ses propres moyens. Réputation qui a sans doute souffert de son implication dans les pratiques de ses nouveaux compagnons ».
Signé le collectif
D’autres points ont été abordés au tour des questions posées par les journalistes ces points concernent essentiellement, la rallonge budgétaire, son différend avec l’adjointe au Maire et conseillères, les marchés gré à gré, ainsi que la néfaste gestion des ordures ménagère, le problème des écoles, les marchés gré à gré.
Ces anciens soutiens du Maire ont pour principe, que lorsqu’on s’engage dans la vie publique et surtout politique, il faut le faire sans état d’âme et s’attendre à recevoir tous les coups et compte tenu de toutes les aspirations que lui portaient les ce collectifs, le Maire député de Rosso devaient éviter aujourd’hui de voir le mal partout.
Aujourd’hui, le désespoir s’installe partout à Rosso, car une leçon n’est jamais mauvaise dès lors qu’elle concourt à améliorer les choses, poursuit M brahim Fall président du collectif des anciens soutiens du Maire de Rosso.
Ibrahim Idriss Selon eux, la citoyenneté et le devoir citoyen leur imposent de réagir et de rétablir la vérité afin qu’on n’induise pas l’opinion en erreur.
Déclaration de presse
Voilà maintenant plus d’un an qu’un conflit interne au sein de la majorité municipale domine les débats à Rosso et plombe le fonctionnement normal de l’institution. La cause est, que le maire en veut à deux de ses homologues conseillères municipales pour seulement avoir émis une observation sur son mode de gestion.
Sans autres formes de procès, il décide avec la complicité de son parti de les débarquer du conseil municipal, oubliant que ces deux dames sont comme lui, élues au suffrage direct.
Son entreprise infructueuse l’amena à sciemment déplacer son problème de parti sur un terrain politique par des attaques calomnieuses contre d’honnêtes citoyens qui n’ont commis de tort que d’appartenir à un parti politique concurrent.
Son intention inavouée est de nous faire perdre, et l’opinion avec nous, dans les méandres de la politique politicienne. La citoyenneté et le devoir citoyen nous imposent de réagir et de rétablir la vérité afin qu’on n’induise pas l’opinion en erreur.
Parce que nous sommes de ceux dont les voix et l’engagement politique ont contribué à l’élection de la liste dirigée par le maire. Mais, qui ont dû vite le laisser tomber parce que les premiers actes qu’il posait ont fini de nous renseigner que le choix que nous avions fait n’est pas du tout le bon.
Ce dont il est réellement question est le fait que le maire de la commune manipulé et instrumentalisé qu’il est, par qui on sait, a réussi à déstabiliser la ville, sans y réussir, absolument rien de positif. Contrairement à ses allégations gratuites.
Avec lui, Rosso est partie d’une situation de maladie grave pour arriver à une situation de mort clinique.
- En lieu et place de la réalisation des promesses alléchantes, nous souffrons, aujourd’hui, encore plus des effets néfastes et nauséabonds des ordures ménagères.
-Les importantes infrastructures réalisées par l’Etat ces derniers temps, se sont détériorées faute d’entretien.
-Les courageuses femmes chefs de familles qui bravent les intempéries pour entretenir leurs enfants par l’exercice de petites activités commerciales, se plaignent des tracasseries et entraves de la mairie.
-Nos écoles souffrent des effets néfastes des sureffectifs, faute de construction de nouvelles salles de classes.
-La plupart des cimetières de la ville où reposent nos morts, sont devenus soit des dépôts d’ordures, soit un lieu de fréquentation des animaux errants, s’ils ne sont simplement squattés par les populations comme terrain d’habitation sans que personne ne lève le plus petit doigt.
-Nous déplorons que lorsque, nous souffrions, il y a de cela quelques mois des effets de l’inondation et des eaux stagnantes, le premier magistrat de la ville, quitte le pays pour passer des vacances dorées aux États Unis et aux Émirats Arabe Unis.
Jamais, on n’aurait pu penser que le jeune élu, puisse se comporter à la manière d’un monarque de l’Antiquité, voulant se substituer aux juges et aux cours et tribunaux, seuls habilités à dire le droit.
Mais venant de quelqu’un qui fait d’anciens caciques de l’État d’exception ses modèles et leaders, on ne peut guère être surpris.
Le parti Wiam dans lequel milite notre maire n’est en fait qu’un rassemblement des caciques du régime déchu de Mouawiya dont entre autres l’éminence grise de la Tayatie : Louleid ould Wedad, Ly Mamadou, ancien député l’un des auteurs de la loi d’amnistie des graves violations des droits de l’homme et le chef du « d’orchestre » Boidiel Ould Houmeid qui semble-t-il et au vu des faits et actes qu’il pose, a crée « son machin » pour seulement se prémunir des nombreuses casseroles qu’ils trainent derrière lui.
Cet homme et ses compagnons feraient parti du cercle très fermé d’hommes et femmes, sans foi ni loi, qui ont pillé la Mauritanie et sucé le sang de ses populations.
Il s’agit, de malfrats trempés dans les détournements massifs des biens publics durant près de trois décennies utilisant le détournement pur et simple, le vol, le racket, la surfacturation, les fausses déclarations en douanes, les fausses factures, le dépôt de bilan prémédité, le trafic d’influence, la dilapidation, le faux et l’usage de faux et j’en passe.
En quoi ces individus peuvent ils être utiles pour la Mauritanie ? Est-ce pour la malversation en matière de lotissement des parcelles de terrain, ou le détournement des deniers publics, des ministères et des établissements de l’Etat au profit de l’entourage proche du dictateur qui œuvre à placer Boidiel selon le besoin dans les postes les plus juteux comme les ministères des finances, de la Santé, du Développement Rural, le Commissariat à la Sécurité Alimentaire, le Trésor Public, la Société Mauritanienne pour la Commercialisation du Poisson( SMCP) et le projet de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie (CNAM).
Rien, sauf s’il décide de se retirer de la scène politique et laisser la place aux jeunes générations pour permettre le renouvellement de la classe politique tant souhaité. D’ailleurs, pourquoi ne pas laisser la place à un certain Sidi Diarra qui au moins, lui, s’est fait une réputation par ses propres moyens. Réputation qui a sans doute souffert de son implication dans les pratiques de ses nouveaux compagnons ».
Signé le collectif
D’autres points ont été abordés au tour des questions posées par les journalistes ces points concernent essentiellement, la rallonge budgétaire, son différend avec l’adjointe au Maire et conseillères, les marchés gré à gré, ainsi que la néfaste gestion des ordures ménagère, le problème des écoles, les marchés gré à gré.
Ces anciens soutiens du Maire ont pour principe, que lorsqu’on s’engage dans la vie publique et surtout politique, il faut le faire sans état d’âme et s’attendre à recevoir tous les coups et compte tenu de toutes les aspirations que lui portaient les ce collectifs, le Maire député de Rosso devaient éviter aujourd’hui de voir le mal partout.
Aujourd’hui, le désespoir s’installe partout à Rosso, car une leçon n’est jamais mauvaise dès lors qu’elle concourt à améliorer les choses, poursuit M brahim Fall président du collectif des anciens soutiens du Maire de Rosso.
Trois Couleurs
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