Les cultivateurs propriétaires de jardins dépendants de l’eau du canal
souffrent à cause des arrêts périodiques de l’alimentation en eau.
En effet à la fin de chaque campagne agraire du riz qui ne dure que six mois, Sonadere suspend l’approvisionnement en eau malgré la présence des jardins où plusieurs espèces de légume sont cultivées laissant les pauvres jardiniers regarder leurs production s’évaporer sans pouvoir rien faire, ces arrêts provoquent d’énormes pertes et augmente la pauvreté de ces derniers.
Madame Hothie Dioum, l'une des propriétaires de jardin à Boghé Dow déclare que "pendant les période de campagne (ou le canal est alimenté en eau), je gagne beaucoup grâce à Dieu à travers les produits de mon jardins, mais cela ne dure pas long temps à cause de l'interruption de l'eau, tout ce que j'avais cultivé se sèche et meurt, l'année dernière le président Aziz nous avait promis une prolongation de l'irrigation, mais ça n'a duré que deux mois".
Selon elle aussi le fait que le canal soit alimenté durant toute l'année, leur permettra de gagner plus et de vivre presque exclusivement de leurs cultures. "En plus la Sonadere exigent des jardiniers un payement de 200um par are irrigué pour chaque campagne" ajoute-t-elle.
D'autre part l'exploitation des casiers pilotes de Boghé devient un vrai calvaire pour les cultivateurs. D'aprés Monsieur Abdoullahi Dioum aussi un riziculteur : "les prioritaires versent une redevance à hauteur de 12000um par hectare en plus d'autres dépenses pouvant aller jusqu'à 20 000 um pour une récolte maximale d'environ 9000 Kg de riz".
"En plus des problèmes liés aux envahisseurs (mange mil ,criquets ….), où tous les services sont privés(engrais, pesticides ,machines agricoles....) celui de l'eau reste primordial. Il serait bien de faire comme à Rosso où les oiseaux sont chassés par des avions et la campagne ne s’arrête jamais", propose-t-il.
En effet à la fin de chaque campagne agraire du riz qui ne dure que six mois, Sonadere suspend l’approvisionnement en eau malgré la présence des jardins où plusieurs espèces de légume sont cultivées laissant les pauvres jardiniers regarder leurs production s’évaporer sans pouvoir rien faire, ces arrêts provoquent d’énormes pertes et augmente la pauvreté de ces derniers.
Madame Hothie Dioum, l'une des propriétaires de jardin à Boghé Dow déclare que "pendant les période de campagne (ou le canal est alimenté en eau), je gagne beaucoup grâce à Dieu à travers les produits de mon jardins, mais cela ne dure pas long temps à cause de l'interruption de l'eau, tout ce que j'avais cultivé se sèche et meurt, l'année dernière le président Aziz nous avait promis une prolongation de l'irrigation, mais ça n'a duré que deux mois".
Selon elle aussi le fait que le canal soit alimenté durant toute l'année, leur permettra de gagner plus et de vivre presque exclusivement de leurs cultures. "En plus la Sonadere exigent des jardiniers un payement de 200um par are irrigué pour chaque campagne" ajoute-t-elle.
D'autre part l'exploitation des casiers pilotes de Boghé devient un vrai calvaire pour les cultivateurs. D'aprés Monsieur Abdoullahi Dioum aussi un riziculteur : "les prioritaires versent une redevance à hauteur de 12000um par hectare en plus d'autres dépenses pouvant aller jusqu'à 20 000 um pour une récolte maximale d'environ 9000 Kg de riz".
"En plus des problèmes liés aux envahisseurs (mange mil ,criquets ….), où tous les services sont privés(engrais, pesticides ,machines agricoles....) celui de l'eau reste primordial. Il serait bien de faire comme à Rosso où les oiseaux sont chassés par des avions et la campagne ne s’arrête jamais", propose-t-il.
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