Spécial!!!!!!!!!!!l |
Quoi
de neuf sur le plan politique,cette semaine? Rien de très
significatif. On s’attendait à la victoire de l’UPR au deuxième tour
reporté au 18 janvier dans des circonscriptions de l’Adrar et du
Gorgol. Chinguetti fut l’exception attendue. Maintenant on attend la
mise en place...
... des
conseils municipaux, du bureau de la communauté urbaine de Nouakchott
et les Sénatoriales, car l’on trouve assez original que soit convoqué
le nouveau Parlement avec deux catégories de l’une de ses chambres,
issues d’une ancienne législature.
Et le nouveau gouvernement ? Ah ! Il devait y en avoir? Bon , parce que les journaux le disent, sans dire suivant quelle logique, et avancent dejà des noms, nous nous demandons tout de même, s’il sera un gouvernement en relation avec les résultats du dernier scrutin, ou une équipe de campagne pour la présidentielle en vue? La dernière présidentielle prévue le 6 juin 2009 avait été reportée et organisée au 19 juillet de la même année. Nous sommes bien à 5 mois de l’échéance et à 3 mois de la révision de la liste électorale, du dépôt des candidatures et de la campagne électorale. Mais où sont-ils donc les candidats ? En premier, ceux, parmi eux, qui se lancent à chaque fois pour passer à la Télé et amuser la galerie ? Ils attendent, apprend-on. Car l’échéance chez nous est aléatoire : on devait élire des députés, des sénateurs et des maires en 2011, on les a élus en 2013. Nous pouvons donc attendre pour la présidentielle surtout que l’on ne se plaint pas avec Aziz, même si après tout, on peut se passer d’un président. N’étions-nous pas restés trois jours sans président sous Ould Taya, et deux mois sans président avec Ba Mbaré, paix à son âme ? N’empêche qu’un président est un «mâle» nécessaire. Qui sont donc les futurs candidats, bon sang ! Daddah ? Y en marre ! Ely, Maouloud, Sarr, Saleh, c’est du 15 %. Jemil, Messaoud et Boidiel, c’est la fourchette moins de 20%. Ahmedou Abdellah ? Le personnel onusien ne vote en Mauritanie. Et d’ailleurs, même si…. Merzoug ! So What ? Un mémorable retournement de l’UFD en 1993, un maillot fortement mouillé sous Ould Taya, un long séjour à l’extérieur, et une rupture avec le réel émergeant qui font qu’un score de 3% soit un objectif difficile. Sans compter qu’il y a déjà, assez de joueurs sur la double dimension sociale, qu’on se le dise. Un vrai casse-tête en définitive, ce challenger, qui comme en 1992 sortira d’ici, ou d’ailleurs, rassemblera sur un mirage et franchira la barre des 30% pour imposer un second tour. Daddah reste à ce stade, le seul, à mesure de le faire et de perdre au second tour. IOMS |
mercredi 22 janvier 2014
Qui est donc candidat à la présidentielle?
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