Je suis, à ce jour le plus âgé des habitants de Guérou. A ce titre, j’ai pu relever certaines remarques sur le processus électoral actuel, notamment des violations de la loi.
Si l’Etat entend soumettre les habitants de Guérou à son propre dictat, en leur imposant un candidat, j’estime qu’il est d’abord plus séant de s’adresser à moi ou à l’honorable député Slama Ould Abdallahi. Ce dernier étant digne de toutes les considérations et fils d’un homme d’une grande dignité.
De part mon âge et mon expérience, je considère que je suis le père des habitants de Guérou, pour lesquels je constitue une personne ressource. J’estime que le Premier ministre, qui a envoyé surplace des ministres et des directeurs pour mener une campagne au sein des populations, devrait d’abord prendre contact avec moi. Cela paye, car il éviterait de faire recours à l’intimidation des électeurs.
En 2003, au moment où il y’avait de graves scissions entre les populations de Guérou, j’ai été appelé, à partir du Gabon, par les autorités, en ce temps, et tous les problèmes ont été réglés dans le calme et la sérénité.
Je souligne, enfin, que les méthodes contraignantes, dont il a fait usage, ne correspondent pas à nos populations connues pour être réfractaires à toute forme d’oppression et de dictat.
Moctar Ould Sid’Brahim,
notable de la tribu Tajakanet,
ancien sénateur de M’Bout
Si l’Etat entend soumettre les habitants de Guérou à son propre dictat, en leur imposant un candidat, j’estime qu’il est d’abord plus séant de s’adresser à moi ou à l’honorable député Slama Ould Abdallahi. Ce dernier étant digne de toutes les considérations et fils d’un homme d’une grande dignité.
De part mon âge et mon expérience, je considère que je suis le père des habitants de Guérou, pour lesquels je constitue une personne ressource. J’estime que le Premier ministre, qui a envoyé surplace des ministres et des directeurs pour mener une campagne au sein des populations, devrait d’abord prendre contact avec moi. Cela paye, car il éviterait de faire recours à l’intimidation des électeurs.
En 2003, au moment où il y’avait de graves scissions entre les populations de Guérou, j’ai été appelé, à partir du Gabon, par les autorités, en ce temps, et tous les problèmes ont été réglés dans le calme et la sérénité.
Je souligne, enfin, que les méthodes contraignantes, dont il a fait usage, ne correspondent pas à nos populations connues pour être réfractaires à toute forme d’oppression et de dictat.
Moctar Ould Sid’Brahim,
notable de la tribu Tajakanet,
ancien sénateur de M’Bout
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