Source : Le Calame (Mauritanie)
jeudi 24 octobre 2013
Sidney Sokhna, candidat à Sélibaby: « Il n’a jamais été question de nous retirer de la liste de l’UPR »
Contrairement à l’information publiée, par le site Alakhbar, hier, mercredi 23 octobre et reprise par Cridem, et selon laquelle Sidney Sokhna candidat de l’UPR à Selibabyi a démissionné de ce parti.
L'intéressé, conseiller à la présidence de la République a apporté au Calame, un démenti cinglant à l’information dénuée de tout fondement, selon lui. En route pour la capitale du Guidimakha, pour le dépôt justement la liste de son parti, Sidney Sokhna s’est dit surpris d’une telle information de la part d’un site réputé « bien informé et crédible ».
« Il n’a jamais été question pour nous de nous retirer de la liste du parti, la preuve, je suis entre Kaédi et Sélibaby pour le dépôt, ce soir de notre liste.» L’ancien ministre et député de Sélibaby avance plusieurs raisons: "je suis membre simple de l’UPR auquel j’ai librement choisi d’adhérer.
Et je précise à l’intention de l’opinion que sans être membre du bureau exécutif ou du conseil national, la direction du parti m’a fait l’insigne honneur de confier la haute charge de coordinateur régional à l’Inchiri."
Poursuivant son argumentaire, le candidat de l’UPR ajoute : j’ai aussi et surtout la confiance du Président de la République qui m’a fait l’honneur de me confier la charge de conseiller à la présidence de la République.
Relativement à la non représentativité des soninké a laquelle fait allusion le billet, Sidney Sokhna dit n’avoir jamais fonctionné sur ce registre, parce qu’au Guidimakha, rappelle-t-il, cohabitent, dans un respect mutuel, plusieurs composantes du pays.
Par rapport à la tête de liste de l’UPR au Guidimakha, le conseiller du président de la République précise : "c’est une dame qui effectue son entrée politique dans l’arène, et j’espère qu’ensemble, tous les membres de notre liste joueront pleinement leur partition pour être à la hauteur de la confiance que le parti a bien voulu placer en nous", conclut Sidney Sokhna.
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