dimanche 24 octobre 2010

Wilaya de Nouadhibou : L’Union Pour la République s'enfonce dans la crise.




Les crises se succèdent d’une manière à laisser penser qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond à la fédération de l’Union Pour la République à la wilaya de Nouadhibou. L’Union Pour la République se retrouve aujourd’hui dans une situation inconfortable. Le parti de la majorité serait en perte de vitesse, et que même les militants seraient en train de lâcher.

Les dernières réunions des sections de la fédération ont été houleuse ou les responsables de ce parti ont déversé leur colère sur la gestion de cette fédération et son absence d’initiative dans les crises que la ville a connue ,la fronde à la commune de Nouadhibou, les destructions arbitraires de Eljedida, la possible confiscation des terrains non clôturés par le wali, prouvent, encore une fois, que l‘UPR a encore du pain sur la planche et doit impérativement réviser sa façon de gérer les crises sociales.

Depuis l’élection de la nouvelle fédération en effet, les critiques qui sont faites contre elle par ses propres membres de la fédération ne la servent pas.

Les actes qui ont fait monter la tension chez les militants de ce parti, ce sont les derniers crises et dont le parti lui ont été différent. Sont révélateurs de la perte d’audience de ce parti à la cité économique.

Au niveau local, les rancoeurs accumulées contre elles sont nombreuses. Dans une pareille anarchie, comment le parti à deux semestre de l’échéance municipale peut il faire de bonnes prestations ? et comment la fédération de ce parti surmontera-t-elle ces crises?

Et comme si tout cela ne suffisait pas, les militants commencent à déserter le parti. La mission dépêchée la semaine prochaine par le parti aura la tache difficile de recoller les morceaux, et ne remettra certainement pas les choses en ordre. Si certains avaient accepté d’adhérer à ce parti présidentiel, ils attendent l’occasion pour sanctionner les tenants du parti.

Certains militants à la cité économique n’hésitent pas à dire que le début catastrophique de cette fédération devient alors une cause à conséquences. Les erreurs de l’administration dans la gestion de la chose publique ont porté préjudice à l’ensemble des militants du parti, et au programme de président élu Mohamed Abdelaziz avec des décisions pour le moins paradoxales.



www.cridem.org


Source :
Oumtounsy (Mauritanie)

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