L’avocat mauritanien Mohamed Ould Mohamed Saleck, membre du collectif de défense de la cellule dite de Nouadhibou, accusée d’avoir préparé des plans d’opérations terroristes, que les aveux extorqués à ses clients l’ont été sous le fait de la torture.
La défense a donc fait valoir que « cette reconnaissance n’a aucune valeur juridique », chose que le parquet général a récusé, précisant qu’il n’existe aucune preuve qui confirment ces allégations de torture.
Le dossier 503/08 remontant à l’année 2008, concerne un groupe de personnes soupçonnées d’appartenir à ce qui est connu actuellement sous le vocable de « la cellule de Nouadhibou » et dont les plus connues sont Mohamed El Béchir Ould Semane (frère d’El Khadime Ould Seman), Cheikh Abou El Maali Ould Sidi Mohamed et Elemine Ould Hamoud.
Saaramédias
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire