Les pécheurs artisanaux de Tékane (localité située dans la wilaya du Trarza)
dénoncent le silence complice des autorités compétentes face à une
surexploitation des ressources halieutiques locales par des étrangers
venus des pays voisins.
Ainsi, même si les autorités ont sorti des arrêtés interdisant aux citoyens certaines pratiques de pêches pour la sauvegarde de nos ressources halieutiques, en revanche, elles sont restées passives face aux agissements inadmissibles des exploitants étrangers.
«Nous les pécheurs du village de Tékane, nous nous sommes conformés aux lois de notre pays dans le secteur de la pêche artisanale, une pratique que nous ont léguée nos ancêtres ; nous faisons tout pour préserver cet héritage afin de pouvoir le transmettre à nos enfants ; nous sommes très fatigués de ces difficultés qui perdurent.
Le pillage abusif des poissons sous le regard complice des gardes côtes avec des pots de vin donnés par-ci et par-là, les percheurs étrangers continuent à manœuvrer leur machine de surexploitation au détriment de ces pécheurs locaux qui ne vivent que de la pèche. Lors de son passage à Tékane le 04/06/2015 le président MOUHAMED Ould ABDEL AZIZ a visité notre centre par la même occasion, nous lui avons remis nos doléances jusqu’ à présent rien n’est encore fait dans ce domaine», confie DIOP Baidy un pécheur.
Dans la vallée du fleuve Sénégal, les pécheurs sont confrontés à des problèmes similaires qui peuvent dès fois tourner à la dérive si les autorités ne font rien afin de résoudre cette équation.
En effet, le droit de l’environnement concerne l’étude ou l’élaboration des règles juridiques visant la compréhension, la protection, l’utilisation, la gestion ou la restauration de l’environnement sous toutes ses formes (terrestre, aquatique, marines, naturelle et culturelle.)
Mamoudou Baidy Gaye
Ainsi, même si les autorités ont sorti des arrêtés interdisant aux citoyens certaines pratiques de pêches pour la sauvegarde de nos ressources halieutiques, en revanche, elles sont restées passives face aux agissements inadmissibles des exploitants étrangers.
«Nous les pécheurs du village de Tékane, nous nous sommes conformés aux lois de notre pays dans le secteur de la pêche artisanale, une pratique que nous ont léguée nos ancêtres ; nous faisons tout pour préserver cet héritage afin de pouvoir le transmettre à nos enfants ; nous sommes très fatigués de ces difficultés qui perdurent.
Le pillage abusif des poissons sous le regard complice des gardes côtes avec des pots de vin donnés par-ci et par-là, les percheurs étrangers continuent à manœuvrer leur machine de surexploitation au détriment de ces pécheurs locaux qui ne vivent que de la pèche. Lors de son passage à Tékane le 04/06/2015 le président MOUHAMED Ould ABDEL AZIZ a visité notre centre par la même occasion, nous lui avons remis nos doléances jusqu’ à présent rien n’est encore fait dans ce domaine», confie DIOP Baidy un pécheur.
Dans la vallée du fleuve Sénégal, les pécheurs sont confrontés à des problèmes similaires qui peuvent dès fois tourner à la dérive si les autorités ne font rien afin de résoudre cette équation.
En effet, le droit de l’environnement concerne l’étude ou l’élaboration des règles juridiques visant la compréhension, la protection, l’utilisation, la gestion ou la restauration de l’environnement sous toutes ses formes (terrestre, aquatique, marines, naturelle et culturelle.)
Mamoudou Baidy Gaye
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