« Promotion des droits humains à travers la lutte contre les violences basées sur le genre» c’est l’intitulé du projet exécuté par l’ONG ACTIONS, dans le cadre du programme de l’Union Européenne pour la Société Civile et la Culture (PESCC).
Le projet exécuté par l’ONG ACTIONS, s’est étalé sur huit mois et a touché dix communes de la wilaya du Gorgol dans le sud de la Mauritanie. Ces dix communes sont : « Kaédi, Néré Walo, Djéol, Tokomadji, Toufdé – Civet, Ganki, Lexeiba, Monguel, Foum – Gleïta , d’Azgueïlem. »
Objectif du projet : « Impulser auprès des acteurs locaux une mobilisation importante sur la problématique des violences faites aux femmes et des conditions suffisantes pour que les femmes accèdent à leurs droits. » Pour atteindre cet objectif, l’ONG ACTIONS a adopté une démarche participative mettant au cœur de l’action les bénéficiaires. Ainsi, toutes les composantes de la communauté ont été impliquée comme acteurs et bénéficiaires.
Ainsi quatre relais communautaires ont été choisis dans chacune des dix commune cibles du projet, 20 jeunes ont été formés sur les droits humain et la lutte contre les MGF, formation de 20 directeurs et enseignants des organisations communautaires sur la prévention, les principes minima de prise en charge des femmes victimes de violence et la Convention sur l'Elimination de toutes les formes de Discrimination à l'Egard des Femmes (CEDEF) au cours de trois session formation de trois jours chacune.
Les sensibilisations entreprises par les relais, les jeunes et les leaders formes, sous la supervision de l’ONG, ont permis « de mobiliser et d’informer les groupes cibles (femmes, jeunes, leaders communautaires, religieux, enseignants, élèves…) sur les violences basées sur le genre ainsi que leurs conséquences.» Cependant, un constat général s’est dégagé qui consiste à l’adhésion massive des bénéficiaires et leur appropriation des objectifs du projet.
L’ONG ACTIONS a organisé aussi un colloque régional sur les violences faites aux femmes avec les élus locaux et acteurs intervenants dans la chaine de prise en charge des MGF ayant regroupé 40 participants issus des 10 communes d’intervention pendant 2 jours. Il a été aussi mis en place 10 comités locaux d'alerte et d'éveil sur les violences basées sur le genre (MGF) composés de 6 personnes ressources.
Cependant, reconnait le coordinateur, «le projet devrait préparer et mettre en place un comité de veille et d’alerte sur les violences faites aux femmes, ce but n’est pas totalement atteint. Une nouvelle impulsion a été donnée à cette structure lors du colloque avec un éclaircissement de leur mission. Il s’agit en effet de transformer ces comités de relais en des comités d’alerte comme action de pérennisation du projet. »
L’ONG ACTIONS, assure le suivi des comités à travers « L’élaboration de plan d’action pour chaque comité villageois » ce qui s’inscrit dans la continuité des sensibilisations à travers les comités d’alertes.
« Créée en 1999, l’ONG ACTIONS a son siège à Nouakchott et dispose des antennes à Kaédi, Selibaby, Boghé et Kiffa. Elle intervient dans le domaine du développement à travers 5 axes : i) développement communautaire ; ii) eau, assainissement, environnement ; iii) nutrition et sécurité alimentaire ; iv) éducation et v) Santé et Violence Basées sur le. Cette ONG travaille régulièrement avec les agences du système des Nations Unies (UNICEF, UNFPA, PAM, UNHCR) et d’autres partenaires internationales au niveau national comme (FLM, MdM, …) »
Copyright © 2015 Cridem
Le projet exécuté par l’ONG ACTIONS, s’est étalé sur huit mois et a touché dix communes de la wilaya du Gorgol dans le sud de la Mauritanie. Ces dix communes sont : « Kaédi, Néré Walo, Djéol, Tokomadji, Toufdé – Civet, Ganki, Lexeiba, Monguel, Foum – Gleïta , d’Azgueïlem. »
Objectif du projet : « Impulser auprès des acteurs locaux une mobilisation importante sur la problématique des violences faites aux femmes et des conditions suffisantes pour que les femmes accèdent à leurs droits. » Pour atteindre cet objectif, l’ONG ACTIONS a adopté une démarche participative mettant au cœur de l’action les bénéficiaires. Ainsi, toutes les composantes de la communauté ont été impliquée comme acteurs et bénéficiaires.
Ainsi quatre relais communautaires ont été choisis dans chacune des dix commune cibles du projet, 20 jeunes ont été formés sur les droits humain et la lutte contre les MGF, formation de 20 directeurs et enseignants des organisations communautaires sur la prévention, les principes minima de prise en charge des femmes victimes de violence et la Convention sur l'Elimination de toutes les formes de Discrimination à l'Egard des Femmes (CEDEF) au cours de trois session formation de trois jours chacune.
Les sensibilisations entreprises par les relais, les jeunes et les leaders formes, sous la supervision de l’ONG, ont permis « de mobiliser et d’informer les groupes cibles (femmes, jeunes, leaders communautaires, religieux, enseignants, élèves…) sur les violences basées sur le genre ainsi que leurs conséquences.» Cependant, un constat général s’est dégagé qui consiste à l’adhésion massive des bénéficiaires et leur appropriation des objectifs du projet.
L’ONG ACTIONS a organisé aussi un colloque régional sur les violences faites aux femmes avec les élus locaux et acteurs intervenants dans la chaine de prise en charge des MGF ayant regroupé 40 participants issus des 10 communes d’intervention pendant 2 jours. Il a été aussi mis en place 10 comités locaux d'alerte et d'éveil sur les violences basées sur le genre (MGF) composés de 6 personnes ressources.
Cependant, reconnait le coordinateur, «le projet devrait préparer et mettre en place un comité de veille et d’alerte sur les violences faites aux femmes, ce but n’est pas totalement atteint. Une nouvelle impulsion a été donnée à cette structure lors du colloque avec un éclaircissement de leur mission. Il s’agit en effet de transformer ces comités de relais en des comités d’alerte comme action de pérennisation du projet. »
L’ONG ACTIONS, assure le suivi des comités à travers « L’élaboration de plan d’action pour chaque comité villageois » ce qui s’inscrit dans la continuité des sensibilisations à travers les comités d’alertes.
« Créée en 1999, l’ONG ACTIONS a son siège à Nouakchott et dispose des antennes à Kaédi, Selibaby, Boghé et Kiffa. Elle intervient dans le domaine du développement à travers 5 axes : i) développement communautaire ; ii) eau, assainissement, environnement ; iii) nutrition et sécurité alimentaire ; iv) éducation et v) Santé et Violence Basées sur le. Cette ONG travaille régulièrement avec les agences du système des Nations Unies (UNICEF, UNFPA, PAM, UNHCR) et d’autres partenaires internationales au niveau national comme (FLM, MdM, …) »
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