Ould Oudaa aurait également déçu les plus hautes sphères de l'Etat pour son absence de gestion prospective de la Snim qui patauge aujourd'hui dans d'inextricables problèmes financiers et économiques.
Néanmoins, et à sa décharge, les analystes s'accordent à dire que la transformation de l'entreprise par les autorités en fonds de crédits pour l'achat d'avions pour la MAI et le crédit alloué à la sociét Najah seraient à l'origine de la précarité financière de la société. La Snim, rappelle-t-on, connait depuis vendredi une grève illimitée de ses employés suivie à 90% sur son site d'exploitation à Zouérate.
Mauriweb
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