Les mesures de sécurité ont été renforcées autour du tribunal de Rosso dans le sud de la Mauritanie dans l’attente de la première journée prévue ce jeudi du procès du militant antiesclavagiste Biram Dah Abeid.
Biram, lauréat du prix des Nations unies pour les droits de l’homme 2013 qui était aussi arrivé deuxième aux élections présidentielle du 21 juin 2014 doit répondre aux accusations d'« incitation à la violence, trouble à l’ordre public, outrage à l’autorité et appartenance à une organisation non reconnue.»
Biram a été arrêté le 11 novembre dernier à Rosso (Sud) parmi d’autres militants de défense des droits humains suite à l’organisation d’une caravane contre «l’esclavage foncier» et « l’expropriation» des terres que subiraient les populations noires dans le sud du pays. Il a ensuite été placé sous mandat de dépôt depuis le 15 novembre.
Une source informé a confié à Alakhbar que le chef de l’Etat mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz "a donné des instructions pour la tenue d’un procès rapide."
Dans une déclaration à Alakhbar l’ONG IRA-Mauritanie dont Biram est le président a dénoncé un procès "décidé sans que les avocats de Biram ne soient mis au courant dans les délais juridiques".
Rosso : Biram refuse de se présenter devant la justice (Sahara Médias)
Le militant des droits de l’homme, Biram Ould Dah Ould Abeid, a refusé, ce jeudi matin, de se présenter devant le tribunal qui devait siéger à Rosso, ville du sud mauritanien pour le juger lui et ses compagnons arrêtés depuis plus d’un mois.
Ould Abeid a justifié ce refus par le fait qu’il a signifié à ses avocats que la session doit se tenir dans un moment propice signifiant que la loi énonce le refus de l’annonce de la date du procès trois jours avant la séance. Il a également déclaré qu’il ne sera pas devant le tribunal tant que tous ses avocats ne seront pas présents.
Les partisans de Biram ont organisé une marche allant du tribunal de Rosso, capitale de la wilaya du Trarza, jusqu’à la prison ou le président d’IRA et ses compagnons sont détenus.
Le correspondant de Saharamédias à Rosso a indiqué qu’une forte présence sécuritaire se trouve aux alentours du tribunal.
Biram, lauréat du prix des Nations unies pour les droits de l’homme 2013 qui était aussi arrivé deuxième aux élections présidentielle du 21 juin 2014 doit répondre aux accusations d'« incitation à la violence, trouble à l’ordre public, outrage à l’autorité et appartenance à une organisation non reconnue.»
Biram a été arrêté le 11 novembre dernier à Rosso (Sud) parmi d’autres militants de défense des droits humains suite à l’organisation d’une caravane contre «l’esclavage foncier» et « l’expropriation» des terres que subiraient les populations noires dans le sud du pays. Il a ensuite été placé sous mandat de dépôt depuis le 15 novembre.
Une source informé a confié à Alakhbar que le chef de l’Etat mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz "a donné des instructions pour la tenue d’un procès rapide."
Dans une déclaration à Alakhbar l’ONG IRA-Mauritanie dont Biram est le président a dénoncé un procès "décidé sans que les avocats de Biram ne soient mis au courant dans les délais juridiques".
Rosso : Biram refuse de se présenter devant la justice (Sahara Médias)
Le militant des droits de l’homme, Biram Ould Dah Ould Abeid, a refusé, ce jeudi matin, de se présenter devant le tribunal qui devait siéger à Rosso, ville du sud mauritanien pour le juger lui et ses compagnons arrêtés depuis plus d’un mois.
Ould Abeid a justifié ce refus par le fait qu’il a signifié à ses avocats que la session doit se tenir dans un moment propice signifiant que la loi énonce le refus de l’annonce de la date du procès trois jours avant la séance. Il a également déclaré qu’il ne sera pas devant le tribunal tant que tous ses avocats ne seront pas présents.
Les partisans de Biram ont organisé une marche allant du tribunal de Rosso, capitale de la wilaya du Trarza, jusqu’à la prison ou le président d’IRA et ses compagnons sont détenus.
Le correspondant de Saharamédias à Rosso a indiqué qu’une forte présence sécuritaire se trouve aux alentours du tribunal.
Alakhbar
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