Un village aux environs d’Ould Yengé (Guidimakha)
vivait une douce et paisible vie de campagne. Tout le monde vaquait à
ses occupations, sans aucune inquiétude. Les enfants se promenaient et
jouaient partout, sans crainte. Mais voici qu’il y a deux jours à peine,
deux gosses qui jouaient non loin du village, le matin, ne rentrent pas
chez eux, le soir.
On entreprend d’intenses recherches, en vain. L’inquiétude croît, jusqu’à la découverte, macabre, le lendemain, au fond d’un puits situé à deux kilomètres du village, de deux cadavres d’enfants. Ahmed Taleb et Mahfoudh sont vite identifiés, au grand malheur de toute la population.
La brigade de gendarmerie d’Ould Yengé ouvre une enquête et ne tarde pas à mettre la main sur un homme connu, au village, pour souffrir de graves troubles psychiques. Il avoue immédiatement avoir emmené les gamins, alors qu’ils jouaient hors du village.
Il avait saisi le premier par les poignets pour faire tournoyer autour de lui, avant de le balancer au fond du puits. Le second gosse avait alors pris ses jambes à son cou mais le débile mental eut tôt fait de le rejoindre et de l’expédier rejoindre son infortuné compagnon. Le meurtrier est en garde-à-vue à la brigade d’Ould Yengé. On ne sait pas s’il sera écroué ou envoyé à l’asile.
MosyOn entreprend d’intenses recherches, en vain. L’inquiétude croît, jusqu’à la découverte, macabre, le lendemain, au fond d’un puits situé à deux kilomètres du village, de deux cadavres d’enfants. Ahmed Taleb et Mahfoudh sont vite identifiés, au grand malheur de toute la population.
La brigade de gendarmerie d’Ould Yengé ouvre une enquête et ne tarde pas à mettre la main sur un homme connu, au village, pour souffrir de graves troubles psychiques. Il avoue immédiatement avoir emmené les gamins, alors qu’ils jouaient hors du village.
Il avait saisi le premier par les poignets pour faire tournoyer autour de lui, avant de le balancer au fond du puits. Le second gosse avait alors pris ses jambes à son cou mais le débile mental eut tôt fait de le rejoindre et de l’expédier rejoindre son infortuné compagnon. Le meurtrier est en garde-à-vue à la brigade d’Ould Yengé. On ne sait pas s’il sera écroué ou envoyé à l’asile.
Le Calame
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