Si vous êtes Mauritanien ou simple admirateur de la nature et de
l’environnement, vous êtes forcément écœurés par ce qui se passe sur
la route de Nouadhibou : l’exploitation sauvage des
carrières pour extraire les matériaux de construction. C’est un drame
écologique qui est en train de se produire aux portes de Nouakchott, si rien n’est fait.
En effet, l’extraction de matériaux de construction- sable et coquillage- en l’occurrence se fait non loin du littoral, ce qui représente en soi un danger pour nous, la génération actuelle et même pour les futures générations. C’est donc une pratique irresponsable et peu soucieuse du développement durable et de l’écologie, deux sciences qui défendent plus l’homme que la nature dans son acception primitive.
On ne dira jamais assez, Nouakchott est en dessous du niveau de la mer ; ainsi toute agression du relief marin peut avoir des effets boomerang sur la ville et ses habitants.
Et par ailleurs, les hommes qui travaillent dans ces carrières sont plus qu’exposés à la poussière, potentiellement dangereuse pour leur santé. Autant plus que ces malheureux travaillent sans masque, ils ne bénéficient d’aucun suivi médical et font fi de manière ostentatoire des règles élémentaires de sécurité.
Comment justifier le mutisme et le désintérêt de tout un pays pour une question à la limite existentielle ?
Alors que les Autorités livrent un combat inégal contre la nature pour restaurer le littoral agressé et fragilisé de la capitale Nouakchott et contre l’avancée des dunes de sable, voilà qu’une catastrophe écologique se produit devant nous, fort de notre silence coupable à tous, de celui de nos parlementaires, de nos intellectuels , de nos politiques , nos leaders d’opinions et de nos médias, toujours en mal d’inspiration pour les sujets d’intérêts public.
Je vous en prie ! Ne me juger pas, ne me classer pas. Je ne suis pas un opposant.
Et encore une fois, parler d’un tel sujet, c’est tirer la sonnette d’alarme sur une question qui nous interpelle et nous invite à demander des comptes à ceux qui nous gouvernent. En effet, gouverner c’est aussi prévoir et prévenir : autant le présent est utile, autant le passé et l’avenir sont essentiels.
En effet, l’extraction de matériaux de construction- sable et coquillage- en l’occurrence se fait non loin du littoral, ce qui représente en soi un danger pour nous, la génération actuelle et même pour les futures générations. C’est donc une pratique irresponsable et peu soucieuse du développement durable et de l’écologie, deux sciences qui défendent plus l’homme que la nature dans son acception primitive.
On ne dira jamais assez, Nouakchott est en dessous du niveau de la mer ; ainsi toute agression du relief marin peut avoir des effets boomerang sur la ville et ses habitants.
Et par ailleurs, les hommes qui travaillent dans ces carrières sont plus qu’exposés à la poussière, potentiellement dangereuse pour leur santé. Autant plus que ces malheureux travaillent sans masque, ils ne bénéficient d’aucun suivi médical et font fi de manière ostentatoire des règles élémentaires de sécurité.
Comment justifier le mutisme et le désintérêt de tout un pays pour une question à la limite existentielle ?
Alors que les Autorités livrent un combat inégal contre la nature pour restaurer le littoral agressé et fragilisé de la capitale Nouakchott et contre l’avancée des dunes de sable, voilà qu’une catastrophe écologique se produit devant nous, fort de notre silence coupable à tous, de celui de nos parlementaires, de nos intellectuels , de nos politiques , nos leaders d’opinions et de nos médias, toujours en mal d’inspiration pour les sujets d’intérêts public.
Je vous en prie ! Ne me juger pas, ne me classer pas. Je ne suis pas un opposant.
Et encore une fois, parler d’un tel sujet, c’est tirer la sonnette d’alarme sur une question qui nous interpelle et nous invite à demander des comptes à ceux qui nous gouvernent. En effet, gouverner c’est aussi prévoir et prévenir : autant le présent est utile, autant le passé et l’avenir sont essentiels.
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