Les inondations se suivent et se ressemblent, semant et destruction
désolation après leur passage. Cette saison n’est pas en reste. Alors
que M’Bout (Gorgol) est encore sous les eaux et que la
société civile se mobilisent pour venir en aide à sa population
sinistrée, c’est au tour de Tachott Mberane (à 35km de Selibaby) de connaitre une situation difficile à cause des fortes pluies.
Les fortes précipitations enregistrées les 9 et 17 juillet, ont été à l’origine d’importants dégâts, avec sept maisons détruites. De l’avis des populations, L’origine du débordement des eaux serait due à la nouvelle route reliant Kaédi à Seylibaby. Cet axe est construit sur des lieux de passage des eaux de pluie. Ce qui nécessitait des ponts pour permettre à l’eau de s’écouler.
Les populations de Tachott payent aujourd’hui, le prix de cet oubli ou négligence. Adama Kamara étudiant en développement durable à l’université de Versailles en France et ressortissant de la région de ce village à été témoin de ces inondations.
Pour lui, « la route est mal faite. Le goudron est très élevé par rapport au niveau du village. En plus, il n’y a pas de canalisations pour permettre à l’eau de passer. Ce qui fait que le village est devenu un déversoir ».
Aissata N’diaye
Temps Forts
Les fortes précipitations enregistrées les 9 et 17 juillet, ont été à l’origine d’importants dégâts, avec sept maisons détruites. De l’avis des populations, L’origine du débordement des eaux serait due à la nouvelle route reliant Kaédi à Seylibaby. Cet axe est construit sur des lieux de passage des eaux de pluie. Ce qui nécessitait des ponts pour permettre à l’eau de s’écouler.
Les populations de Tachott payent aujourd’hui, le prix de cet oubli ou négligence. Adama Kamara étudiant en développement durable à l’université de Versailles en France et ressortissant de la région de ce village à été témoin de ces inondations.
Pour lui, « la route est mal faite. Le goudron est très élevé par rapport au niveau du village. En plus, il n’y a pas de canalisations pour permettre à l’eau de passer. Ce qui fait que le village est devenu un déversoir ».
Aissata N’diaye
Temps Forts
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