Nous, soussignés infirmiers chefs de postes de santé du département de Mbagne, avons l’honneur de porter à l’attention de Son Excellence le Président de la République, M. Mohamed O/ Abdel Aziz
et aux responsables de notre ministère de tutelle sur la gestion opaque
des crédits de fonctionnement alloués aux structures médicales.
En effet, l’Etat avait prévu un montant global annuel de 600 000 UM à raison de 300 000 UM par semestre. A notre grande surprise, en cette fin du 1er semestre de l’année 2014, le médecin-chef de la circonscription sanitaire de Mbagne a réparti, de manière arbitraire cette première tranche : ainsi au lieu des 300 000 UM prévus, les postes de santé se sont retrouvés selon les humeurs du chef avec des sommes qui varient entre 190 000 et 90 000 UM au grand dam des infirmiers qui sont la cheville ouvrière de toute action sanitaire.
La répartition des sommes dans les détails traduit son caractère aveugle et discriminatoire : Vinding : 144 000 UM, Debaye Hijjaj : 190 000 UM, Niabina : 190 000 UM, Garlol : 160 000 UM, Fonndou : 180 000 UM, Ndiawaldi : 100 000 UM, Bagodine : 190 000 UM, Mbotto : 190 000 UM, Sori Malé : 90 000 UM et Dawalalel : 90 000 UM.
Où sont passés les reliquats ? La réponse à cette question demeure pour nous un mystère. Selon le médecin-chef, le Dr Bâ Hamet Abderrahmane, la trésorerie départementale aurait prélevé une taxe de 10% sur cette tranche. Ce qui représenterait 30 000 UM de moins pour chaque poste de santé soit 270 000 UM.
Face à cette situation peu propice à un travail harmonieux, nous exigeons le remboursement des reliquats, notre rétablissement dans nos droits et le versement de ces sommes sur nos comptes bancaires.
Les signataires :
1. Abdoulaye Samba Guèye Mle 42 826 Z (Vinding)
2. Wélé Samba, 45 244 C (Debaye)
3. Bâ Abderrahmane, 36 762 H (Niabina)
4. Aboubacry Bakayoko, 83 213 Y (Garlol)
5. Niang Silèye, 49 443 R (Fonndou)
6. Mohamed O/ Mahfoudh (Bagodine)
7. Abdoulaye Mangane, 35 359 H (Mbotto)
8. Hawa Anne, accoucheuse, (Sori Malé)
9. Ndèye Diop (Dawalelel)
Fetere Jeyngol
En effet, l’Etat avait prévu un montant global annuel de 600 000 UM à raison de 300 000 UM par semestre. A notre grande surprise, en cette fin du 1er semestre de l’année 2014, le médecin-chef de la circonscription sanitaire de Mbagne a réparti, de manière arbitraire cette première tranche : ainsi au lieu des 300 000 UM prévus, les postes de santé se sont retrouvés selon les humeurs du chef avec des sommes qui varient entre 190 000 et 90 000 UM au grand dam des infirmiers qui sont la cheville ouvrière de toute action sanitaire.
La répartition des sommes dans les détails traduit son caractère aveugle et discriminatoire : Vinding : 144 000 UM, Debaye Hijjaj : 190 000 UM, Niabina : 190 000 UM, Garlol : 160 000 UM, Fonndou : 180 000 UM, Ndiawaldi : 100 000 UM, Bagodine : 190 000 UM, Mbotto : 190 000 UM, Sori Malé : 90 000 UM et Dawalalel : 90 000 UM.
Où sont passés les reliquats ? La réponse à cette question demeure pour nous un mystère. Selon le médecin-chef, le Dr Bâ Hamet Abderrahmane, la trésorerie départementale aurait prélevé une taxe de 10% sur cette tranche. Ce qui représenterait 30 000 UM de moins pour chaque poste de santé soit 270 000 UM.
Face à cette situation peu propice à un travail harmonieux, nous exigeons le remboursement des reliquats, notre rétablissement dans nos droits et le versement de ces sommes sur nos comptes bancaires.
Les signataires :
1. Abdoulaye Samba Guèye Mle 42 826 Z (Vinding)
2. Wélé Samba, 45 244 C (Debaye)
3. Bâ Abderrahmane, 36 762 H (Niabina)
4. Aboubacry Bakayoko, 83 213 Y (Garlol)
5. Niang Silèye, 49 443 R (Fonndou)
6. Mohamed O/ Mahfoudh (Bagodine)
7. Abdoulaye Mangane, 35 359 H (Mbotto)
8. Hawa Anne, accoucheuse, (Sori Malé)
9. Ndèye Diop (Dawalelel)
Fetere Jeyngol
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