Inaugurée le 29 mars 2007, par le maire de Boghé, le gouverneur du Brakna et l’ambassadeur de France de l’époque, Patrick Nicoloso, la Maison des Associations de Jeunesse (MAJ) de Boghé se définit comme un «espace de rencontres citoyennes» et un «service d’encadrement et d’accompagnement des jeunes».
La structure, mise en place sous l’impulsion de la mairie, a bénéficié d’un financement du Fonds Social de Développement (FSD), avec la vocation de «fédérer et d’accompagner la jeunesse de Boghé».
L’UNICEF et l’Association Française des Volontaires du Progrès (AFVP) – aujourd’hui, France Volontaires (FV) – étaient, également, partenaires de cette opération. La mise en place de cette maison, indique-t-on à la mairie, reflète la «volonté communale d’associer au développement de son territoire, la société civile et, particulièrement, ses jeunes citoyens».
Il fallait, quelques trois ans plus tard, augmenter un peu la qualité et le potentiel des locaux. C’est à quoi s’est employé le Service de Coopération, d’Action et d’animation Culturelle (SCAC) de l’ambassade de France à Nouakchott, toujours sur financement du FSD, à hauteur de 11 millions d’ouguiyas.
L’UNICEF s’est, elle, attelée à équiper la maison en matériel informatique et autres accessoires. La MAJ de Boghé est une infrastructure communale dont la gestion est confiée à la société civile, par le biais de l’ONG New Vision, une structure de jeunesse qui opère à Boghé, et le collectif des jeunes.
New Vision œuvre pour le développement local, notamment en encadrant des organisations locales. Elle s’occupe, en l’occurrence, de la gestion administrative de la MAJ et appuie le comité de gestion, dans le fonctionnement du cyber et de la cellule d’orientation et d’information des jeunes, veille à son animation, à son attractivité et à l’atteinte des objectifs fixés.
Quant au collectif, qui regroupe 37 associations de jeunes de la commune de Boghé, il est l’entité représentative de la jeunesse – plus exactement, des associations de jeunes – dans la structure. Il a la responsabilité d’organiser et d’animer les activités internes, comme les conférences, les débats et autres soirées culturelles ou musicales.
Il a, également, un rôle général de communication, d’information et de sensibilisation de la jeunesse, sur les diverses thématiques et sujets de société.
La MAJ offre de multiples services. La cellule d’information et d’orientation des jeunes a pour objectif de répondre aux besoins de ceux-ci en matière d’informations et de conseils relatifs au VIH/SIDA. La fréquentation de la bibliothèque varie entre six et vingt jeunes par jour. Ce qui représente, en moyenne, à peu près 400 personnes par mois.
Elle recèle de nombreux ouvrages: romans, manuels scolaires, grands classiques de la littérature mondiale. Le cyber favorise l’épanouissement des jeunes, en leur offrant la possibilité d’enrichir leurs connaissances et leur ouverture sur les nouvelles technologies, par le biais de l’outil informatique. 675 jeunes y ont été formés, entre septembre 2007 et mai 2010.
Quant à l’accès à Internet, il varie, quotidiennement, entre 10 et 15 personnes. La MAJ s’attelle, aussi, dans le cadre de la formation, à renforcer les capacités des jeunes issus des associations sportives et culturelles de la commune, en vue d’en faire des agents de développement pouvant contribuer au développement local de la commune.
954 jeunes, avec plus de 50 % de filles, ont été ainsi formés sur les techniques de communication, de montage de micro-entreprise, de techniques d’enquête, etc. Ecueils de taille La Maison dispose d’un centre d’hébergement et de restauration, mis à la disposition de plusieurs colonies de vacances.
Lors du festival «Chemins de la Fraternité», elle a accueilli les festivaliers-garçons et la presse. «Les points forts de la Maison des associations», indiquent Samba Fall, coordinateur, «sont assez vastes. Un nombre important de jeunes de la commune sont assez outillés, aujourd’hui, pour travailler et contribuer au développement de la commune. […]
L’équipement et le dispositif mis en place permettent un fonctionnement très efficace des activités, en matière de sensibilisation de masse, causeries, distributions de documents, projections de films, etc. »
Néanmoins, la MAJ semble être victime de son succès. Elle reste confrontée à un manque de moyens financiers pour motiver le personnel et améliorer son fonctionnement. Les charges d’électricité et d’eau sont très lourdes, par rapport aux entrées financières. La concentration des activités sur le centre se fait au détriment des jeunes vivant dans les villages périphériques.
Mais les perspectives sont prometteuses. Les gestionnaires comptent procéder à la construction et à l’équipement d’une salle de spectacles, adaptée aux animations, et améliorer les services d’accueil et de divertissement.
Enfin, ils vont renforcer les programmes de communication et de formation, notamment en informatique. Le comité de gestion assure le suivi de la gestion de la Maison. Il est constitué de :
- Samba Fall: Coordinateur
- Amadou Samba Sao: Chargé des finances
- Souleymane Diop: Chargé de l’administration
- Abdoulaye Ba: Chargé de la communication
- Mamadou Ba: Chargé de la gestion du matériel
- Pape Oumar Ba: Chargé du cyber et des TIC
- Fatimata Wagne, Aïssata Amadou Ba et Aïssata Alassane Ba: Assistantes hormis, la Maison des Associations par le biais de son assistant formateur en technologie de l'information ; en la personne de Mamadou oumar Ba dit Pape Ba; a une vocation de formation;d'insertion de la quasi-totalité de la jeunesse Bogheenne ..
Cependant ,il est nécessaire de rappeler que la personne ressource de cette Maison des Associations ; qui a bénéficier des compétences du Peace-Corp et le fonds de l'UNICEF; se retrouve alliener et écarter de sa noble mission qui est la recuperation de la déperdition scolaire et la formation des cadres avec des potentialités extra-ordinaire qui peuvent buster notre développement local .
Nécessairement il est de notre devoir d’occulter cette situation ;fruit d'un héritage lamentable qui est responsable ? est qu'il n'est pas ? le constat suivant dénote l’état de délabrement de ce patrimoine judicieux dont la portée a été dérouté par les carences des pouvoir publics et certains acteurs politiques il est nécessaire ! de rappeler pour tout développement local, il est impératif de disposer des ressources humaines de qualités; intègres; soucieuses de émergence d'une partie intégrante de notre société qui est : LA JEUNESSE.
L’état des lieux prédispose une transition générationnelle . Donc nous nous posons la question de savoir ; pourquoi rester passif devant une situation qui perdure et qui a conduit de 2008 a 2011 ; une situation budgétivore ,catastrophique au détriment des populations locales. nous identifions que certaines mesures devraient être prises pour la rénovation ; les infrastructures ;la rénovation des aires des jeux et de loisirs doivent être restaurer.
Ces doléances font partis du mémorandum remis a l’autorité suprême de l’état . pour prendre les mesure adéquates car les responsables politiques n'assurent pas leurs leaderships. A bon entendeur, salut !
Mamadou Oumar Ba dit Pape Ba
Tel : 44 38 42 24
La structure, mise en place sous l’impulsion de la mairie, a bénéficié d’un financement du Fonds Social de Développement (FSD), avec la vocation de «fédérer et d’accompagner la jeunesse de Boghé».
L’UNICEF et l’Association Française des Volontaires du Progrès (AFVP) – aujourd’hui, France Volontaires (FV) – étaient, également, partenaires de cette opération. La mise en place de cette maison, indique-t-on à la mairie, reflète la «volonté communale d’associer au développement de son territoire, la société civile et, particulièrement, ses jeunes citoyens».
Il fallait, quelques trois ans plus tard, augmenter un peu la qualité et le potentiel des locaux. C’est à quoi s’est employé le Service de Coopération, d’Action et d’animation Culturelle (SCAC) de l’ambassade de France à Nouakchott, toujours sur financement du FSD, à hauteur de 11 millions d’ouguiyas.
L’UNICEF s’est, elle, attelée à équiper la maison en matériel informatique et autres accessoires. La MAJ de Boghé est une infrastructure communale dont la gestion est confiée à la société civile, par le biais de l’ONG New Vision, une structure de jeunesse qui opère à Boghé, et le collectif des jeunes.
New Vision œuvre pour le développement local, notamment en encadrant des organisations locales. Elle s’occupe, en l’occurrence, de la gestion administrative de la MAJ et appuie le comité de gestion, dans le fonctionnement du cyber et de la cellule d’orientation et d’information des jeunes, veille à son animation, à son attractivité et à l’atteinte des objectifs fixés.
Quant au collectif, qui regroupe 37 associations de jeunes de la commune de Boghé, il est l’entité représentative de la jeunesse – plus exactement, des associations de jeunes – dans la structure. Il a la responsabilité d’organiser et d’animer les activités internes, comme les conférences, les débats et autres soirées culturelles ou musicales.
Il a, également, un rôle général de communication, d’information et de sensibilisation de la jeunesse, sur les diverses thématiques et sujets de société.
La MAJ offre de multiples services. La cellule d’information et d’orientation des jeunes a pour objectif de répondre aux besoins de ceux-ci en matière d’informations et de conseils relatifs au VIH/SIDA. La fréquentation de la bibliothèque varie entre six et vingt jeunes par jour. Ce qui représente, en moyenne, à peu près 400 personnes par mois.
Elle recèle de nombreux ouvrages: romans, manuels scolaires, grands classiques de la littérature mondiale. Le cyber favorise l’épanouissement des jeunes, en leur offrant la possibilité d’enrichir leurs connaissances et leur ouverture sur les nouvelles technologies, par le biais de l’outil informatique. 675 jeunes y ont été formés, entre septembre 2007 et mai 2010.
Quant à l’accès à Internet, il varie, quotidiennement, entre 10 et 15 personnes. La MAJ s’attelle, aussi, dans le cadre de la formation, à renforcer les capacités des jeunes issus des associations sportives et culturelles de la commune, en vue d’en faire des agents de développement pouvant contribuer au développement local de la commune.
954 jeunes, avec plus de 50 % de filles, ont été ainsi formés sur les techniques de communication, de montage de micro-entreprise, de techniques d’enquête, etc. Ecueils de taille La Maison dispose d’un centre d’hébergement et de restauration, mis à la disposition de plusieurs colonies de vacances.
Lors du festival «Chemins de la Fraternité», elle a accueilli les festivaliers-garçons et la presse. «Les points forts de la Maison des associations», indiquent Samba Fall, coordinateur, «sont assez vastes. Un nombre important de jeunes de la commune sont assez outillés, aujourd’hui, pour travailler et contribuer au développement de la commune. […]
L’équipement et le dispositif mis en place permettent un fonctionnement très efficace des activités, en matière de sensibilisation de masse, causeries, distributions de documents, projections de films, etc. »
Néanmoins, la MAJ semble être victime de son succès. Elle reste confrontée à un manque de moyens financiers pour motiver le personnel et améliorer son fonctionnement. Les charges d’électricité et d’eau sont très lourdes, par rapport aux entrées financières. La concentration des activités sur le centre se fait au détriment des jeunes vivant dans les villages périphériques.
Mais les perspectives sont prometteuses. Les gestionnaires comptent procéder à la construction et à l’équipement d’une salle de spectacles, adaptée aux animations, et améliorer les services d’accueil et de divertissement.
Enfin, ils vont renforcer les programmes de communication et de formation, notamment en informatique. Le comité de gestion assure le suivi de la gestion de la Maison. Il est constitué de :
- Samba Fall: Coordinateur
- Amadou Samba Sao: Chargé des finances
- Souleymane Diop: Chargé de l’administration
- Abdoulaye Ba: Chargé de la communication
- Mamadou Ba: Chargé de la gestion du matériel
- Pape Oumar Ba: Chargé du cyber et des TIC
- Fatimata Wagne, Aïssata Amadou Ba et Aïssata Alassane Ba: Assistantes hormis, la Maison des Associations par le biais de son assistant formateur en technologie de l'information ; en la personne de Mamadou oumar Ba dit Pape Ba; a une vocation de formation;d'insertion de la quasi-totalité de la jeunesse Bogheenne ..
Cependant ,il est nécessaire de rappeler que la personne ressource de cette Maison des Associations ; qui a bénéficier des compétences du Peace-Corp et le fonds de l'UNICEF; se retrouve alliener et écarter de sa noble mission qui est la recuperation de la déperdition scolaire et la formation des cadres avec des potentialités extra-ordinaire qui peuvent buster notre développement local .
Nécessairement il est de notre devoir d’occulter cette situation ;fruit d'un héritage lamentable qui est responsable ? est qu'il n'est pas ? le constat suivant dénote l’état de délabrement de ce patrimoine judicieux dont la portée a été dérouté par les carences des pouvoir publics et certains acteurs politiques il est nécessaire ! de rappeler pour tout développement local, il est impératif de disposer des ressources humaines de qualités; intègres; soucieuses de émergence d'une partie intégrante de notre société qui est : LA JEUNESSE.
L’état des lieux prédispose une transition générationnelle . Donc nous nous posons la question de savoir ; pourquoi rester passif devant une situation qui perdure et qui a conduit de 2008 a 2011 ; une situation budgétivore ,catastrophique au détriment des populations locales. nous identifions que certaines mesures devraient être prises pour la rénovation ; les infrastructures ;la rénovation des aires des jeux et de loisirs doivent être restaurer.
Ces doléances font partis du mémorandum remis a l’autorité suprême de l’état . pour prendre les mesure adéquates car les responsables politiques n'assurent pas leurs leaderships. A bon entendeur, salut !
Mamadou Oumar Ba dit Pape Ba
Tel : 44 38 42 24
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