Certains estiment que Rosso est
un énorme nid de moustiques, d’autres vont plus loin en disant que les
moustiques font partie intégrante de la culture rossossoise.
Depuis quelques temps, la ville, déjà bordée par le fleuve, est quadrillée par des périmètres agricoles irrigués, entraînant une prolifération vertigineuse des moustiques. Aucune mesure sérieuse n’a encore été prise pour pallier à cette propagation, incontestable cause d’une forte avancée du paludisme.
La ville devient de moins en moins vivable. Certaines familles attendent avec impatience les vacances scolaires pour pouvoir se rendre dans la badia. Tandis que celles qui ne connaissent pas ce mode de vie bédouine sont condamnées à rester à Rosso et à se défendre, comme elles peuvent, contre les moustiques et la chaleur.
Depuis quelques temps, la ville, déjà bordée par le fleuve, est quadrillée par des périmètres agricoles irrigués, entraînant une prolifération vertigineuse des moustiques. Aucune mesure sérieuse n’a encore été prise pour pallier à cette propagation, incontestable cause d’une forte avancée du paludisme.
La ville devient de moins en moins vivable. Certaines familles attendent avec impatience les vacances scolaires pour pouvoir se rendre dans la badia. Tandis que celles qui ne connaissent pas ce mode de vie bédouine sont condamnées à rester à Rosso et à se défendre, comme elles peuvent, contre les moustiques et la chaleur.
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