La commune de Dar-El - Barka connait
ces temps-ci des troubles fonciers consécutifs de l' expropriation des
terres des paysans de cette zone . Des choses horribles se passent dans
cette partie du Toro jadis connue sous le nom de Canton Toro Haley6e.
Ici, toutes les bassesses ont été commises pendant les années de braises et les villages vivent encore la psychose des déportations et son cortège de malheur :
des milliers d'hectares confisqués, des cimetières et des constructions ont été rasés, des milliers d' hectares spoliés et attribués à des particuliers pour couronner tout ce catalogue d'injustices, un commissariat de police, une brigade de gendarmerie, un poste de garde et un poste de marine sont implantés pour terroriser les populations
L'humiliation faite récemment à Monsieur Seydi Thioubbou chef de village de Wouro Ali Guélél illustre bien les violations de droits humains dans cette partie du Brakna. Et pour rappel des faits, Monsieur Thioubbo a été assigné à garde à vue dans un poste de police comme un vulgaire voleur pour avoir réclamer son champ.
Le paroxysme de cette politique d'expropriation des terres atteint son comble à Diao et à Ranéré où il ne reste presque plus rien aux paysans : à Ranéré, même l'ancien périmètre irrigué du village ainsi que les hangars construits par l'Entreprise Italy Pianty ont été expropriés puis attribuer à un particulier qui n'arrive même pas à mettre en valeur ces terres.
Face à cette situation, le nouveau maire de Dar-el-Barka doit en tant que fils de cette contrée, plaider la cause de ces paysans et batailler pour que les terres expropriées retournent à leurs propriétaires légitimes d'une part et essayer de réconcilier les populations qui vivent en parallèle depuis plus de deux décennies alors qu'ici tout le monde était parent et les mariages étaient fréquents entre les communautés halpoulareen et maure !
Ici, toutes les bassesses ont été commises pendant les années de braises et les villages vivent encore la psychose des déportations et son cortège de malheur :
des milliers d'hectares confisqués, des cimetières et des constructions ont été rasés, des milliers d' hectares spoliés et attribués à des particuliers pour couronner tout ce catalogue d'injustices, un commissariat de police, une brigade de gendarmerie, un poste de garde et un poste de marine sont implantés pour terroriser les populations
L'humiliation faite récemment à Monsieur Seydi Thioubbou chef de village de Wouro Ali Guélél illustre bien les violations de droits humains dans cette partie du Brakna. Et pour rappel des faits, Monsieur Thioubbo a été assigné à garde à vue dans un poste de police comme un vulgaire voleur pour avoir réclamer son champ.
Le paroxysme de cette politique d'expropriation des terres atteint son comble à Diao et à Ranéré où il ne reste presque plus rien aux paysans : à Ranéré, même l'ancien périmètre irrigué du village ainsi que les hangars construits par l'Entreprise Italy Pianty ont été expropriés puis attribuer à un particulier qui n'arrive même pas à mettre en valeur ces terres.
Face à cette situation, le nouveau maire de Dar-el-Barka doit en tant que fils de cette contrée, plaider la cause de ces paysans et batailler pour que les terres expropriées retournent à leurs propriétaires légitimes d'une part et essayer de réconcilier les populations qui vivent en parallèle depuis plus de deux décennies alors qu'ici tout le monde était parent et les mariages étaient fréquents entre les communautés halpoulareen et maure !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire