Les problèmes fonciers sont devenus insolubles au Guidimakha où jamais, il ne passe un jour sans que ne soit posé un problème. Kollé Mukké de Diaguily, Niorodel respectivement dans la commune Gouraye et de Hassi cheggar s’ajoutent au litige d’Agoynitt pour illustrer le cas tête foncier dans cette wilaya.
A Diaguily, est un village soninké de la commune de Gouraye où les anciens esclaves sont à couteau tiré avec un groupe des Diabira et les yatéra, qui se veulent propriétaires terriens, le gardien du périmètre Kollé Mukké, Abdoulaye Kominiya a été agressé dans la matinée du lundi, 26/12/ par Mamadou Wagui Yatéra.
En effet c’est aux environs de six (6) du matin, de retour du périmètre que le gardien a été arrêté par son agresseur, armé de couteau et d’un appareil à l’aide duquel il l’a neutralisé. Ce dernier a été blessé à la main aux cotes et à l’épaule.
Son agresseur, après le délai de garde à vue au commissariat de police de Gouraye Mamadou Wagui a été présenté devant le procureur près du tribunal régional de Sélibabi, qui l’a envoyé en prison.
La principale source du problème est l’exploitation d’une superficie de 34,9 hectares aménagée au nom d’une coopérative dénommée Kollé Mukhé, agrée sous le numéro 571/M D R en date du 18/7/98. Le terrain de cette dernière est revendiqué par Wagui yatéra, le père de l’agresseur.
Depuis 2007 cette affaire traine entre l’administration régionale et la justice qui sont pointés du doigt et considérés comme étant les seuls responsables du différent entre les populations.
Selon des nombreux témoignages sur la question. L’absence de volonté, la négligence et les interférences font dire au lieu d’une administration au service des administrés, les administrateurs ferment les yeux sur beaucoup de réalités, du moins ce que constate le citoyen lambda au Guidimakha.
A cause de l’indifférence de l’administration et de l’impunité dont bénéficient les auteurs de vol de matériels, l’action de sabotage et de destruction des plantes avec du feu à Kollé Mukké on passe à d’agression au vu et au su de tous défend un participant à la réunion de médiation, tenue dans le domicile de l’agressé dans la soirée du samedi, 28/12/2013 sur l'initiative de Camara Diadié Tabara, Dia Abdoul Ousmane, Mody Doucouré, Djeidi Sakho et l’iman Abdoulaye Cissé.
Un autre cas qui inquiète plus d’un dans cette wilaya et qui n’a que trop duré alors qu’il a été solutionné est celui de Niorodel, dans la commune de Hassi Cheggar où il y a eu échange de coups de feu entre Goumbo Sambarou Ba et un autre citoyen, Al Housseinou Camara du Village de Diyala, distant de 9 km.
La clôture et la plantation d’arbres dans une partie de la bande de 1615 m réservée à l’espace vital selon le procès verbal n 022 du 24/05/2007 de la commission d’arbitrage et jugements de la chambre administrative de Sélibaby, de Kiffa et celui de la cour suprême ont suffi pour soulever à nouveau le problème.
La négligence de l’administration ou la prise à la légère de ce problème on poussé le Hakem de Sélibabi a demandé aux populations de Niorodel, impliquées dans l’affaire de faire le contrôle dans la zone à afin d’éviter que l’autre partie de mettre quelque chose.
Selon Ibrahima Sambarou, frère de Goumbo Ba, en prison avec celui avec qui ont été échangés des coups de fusils (je suis venu en personne dire au Hakem que des gens de la localité de Diyala sont venus planter d’arbres dans la zone interdite ; en réponse il m’a autorisé d’y aller le jour pour éviter qu’ils ne mettent d’autres. C’est au cours de cette phase contrôle que nous avons été fusillés).
Toute la question est de savoir comment un Hakem peut avoir le courage d’autoriser des simples citoyens d’appliquer d’interdiction faite par l’administration, la justice comme dit dans le P Vde la commission d’arbitrage cité et dans des jugements ?
En attendant de trouver d’éléments de réponse à cette question, il faut oser dire qu’au Guidimakha, qu’à cause des interférences et d’autres comportements à bannir nos administrateurs peinent à prendre des décisions surtout quand il s’agit de régler de différents entre des parties.
L’exemple de Kollé Mukké de Diaguily, celui de Niorodel, de Saidou Alioune Diyé Diallo, en faveur de qui la justice a tranché et qui n’arrive pas à récupérer son terrain, le cas d’Agoynitt suffisent pour s’interroger à quand une administration au service des administrés au Guidimakha ?
Signé Amadou Bocar Ba
A Diaguily, est un village soninké de la commune de Gouraye où les anciens esclaves sont à couteau tiré avec un groupe des Diabira et les yatéra, qui se veulent propriétaires terriens, le gardien du périmètre Kollé Mukké, Abdoulaye Kominiya a été agressé dans la matinée du lundi, 26/12/ par Mamadou Wagui Yatéra.
En effet c’est aux environs de six (6) du matin, de retour du périmètre que le gardien a été arrêté par son agresseur, armé de couteau et d’un appareil à l’aide duquel il l’a neutralisé. Ce dernier a été blessé à la main aux cotes et à l’épaule.
Son agresseur, après le délai de garde à vue au commissariat de police de Gouraye Mamadou Wagui a été présenté devant le procureur près du tribunal régional de Sélibabi, qui l’a envoyé en prison.
La principale source du problème est l’exploitation d’une superficie de 34,9 hectares aménagée au nom d’une coopérative dénommée Kollé Mukhé, agrée sous le numéro 571/M D R en date du 18/7/98. Le terrain de cette dernière est revendiqué par Wagui yatéra, le père de l’agresseur.
Depuis 2007 cette affaire traine entre l’administration régionale et la justice qui sont pointés du doigt et considérés comme étant les seuls responsables du différent entre les populations.
Selon des nombreux témoignages sur la question. L’absence de volonté, la négligence et les interférences font dire au lieu d’une administration au service des administrés, les administrateurs ferment les yeux sur beaucoup de réalités, du moins ce que constate le citoyen lambda au Guidimakha.
A cause de l’indifférence de l’administration et de l’impunité dont bénéficient les auteurs de vol de matériels, l’action de sabotage et de destruction des plantes avec du feu à Kollé Mukké on passe à d’agression au vu et au su de tous défend un participant à la réunion de médiation, tenue dans le domicile de l’agressé dans la soirée du samedi, 28/12/2013 sur l'initiative de Camara Diadié Tabara, Dia Abdoul Ousmane, Mody Doucouré, Djeidi Sakho et l’iman Abdoulaye Cissé.
Un autre cas qui inquiète plus d’un dans cette wilaya et qui n’a que trop duré alors qu’il a été solutionné est celui de Niorodel, dans la commune de Hassi Cheggar où il y a eu échange de coups de feu entre Goumbo Sambarou Ba et un autre citoyen, Al Housseinou Camara du Village de Diyala, distant de 9 km.
La clôture et la plantation d’arbres dans une partie de la bande de 1615 m réservée à l’espace vital selon le procès verbal n 022 du 24/05/2007 de la commission d’arbitrage et jugements de la chambre administrative de Sélibaby, de Kiffa et celui de la cour suprême ont suffi pour soulever à nouveau le problème.
La négligence de l’administration ou la prise à la légère de ce problème on poussé le Hakem de Sélibabi a demandé aux populations de Niorodel, impliquées dans l’affaire de faire le contrôle dans la zone à afin d’éviter que l’autre partie de mettre quelque chose.
Selon Ibrahima Sambarou, frère de Goumbo Ba, en prison avec celui avec qui ont été échangés des coups de fusils (je suis venu en personne dire au Hakem que des gens de la localité de Diyala sont venus planter d’arbres dans la zone interdite ; en réponse il m’a autorisé d’y aller le jour pour éviter qu’ils ne mettent d’autres. C’est au cours de cette phase contrôle que nous avons été fusillés).
Toute la question est de savoir comment un Hakem peut avoir le courage d’autoriser des simples citoyens d’appliquer d’interdiction faite par l’administration, la justice comme dit dans le P Vde la commission d’arbitrage cité et dans des jugements ?
En attendant de trouver d’éléments de réponse à cette question, il faut oser dire qu’au Guidimakha, qu’à cause des interférences et d’autres comportements à bannir nos administrateurs peinent à prendre des décisions surtout quand il s’agit de régler de différents entre des parties.
L’exemple de Kollé Mukké de Diaguily, celui de Niorodel, de Saidou Alioune Diyé Diallo, en faveur de qui la justice a tranché et qui n’arrive pas à récupérer son terrain, le cas d’Agoynitt suffisent pour s’interroger à quand une administration au service des administrés au Guidimakha ?
Signé Amadou Bocar Ba
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