Monsieur Mohamed Ould Saleck – ou Monsieur X, car comme
l’imagine beaucoup de mauritaniens n’importe qui peut se cacher
derrière ce pseudo – je ne serai ni le premier ni le dernier à vous dire
: « assez ! ».
Assez de vous en prendre à un homme qui, finalement, ne vous a fait aucun tort, sinon celui d’avoir exacerbé votre aigreur contre une réussite qui n’a pas été vôtre.
Assez de colporter des médisances sur votre prochain, sans raison autre, que celle de rendre la situation au niveau de la plus grande entreprise du pays plus tendue, alors que les performances économiques qui sont celles de la SNIM, et plus encore celles d’Ould Oudaa, parce qu’il a osé aller plus loin que ses prédécesseurs dans la recherche de la qualité, sont visibles à l’œil nu.
Assez de vouloir induire en erreur une opinion publique nationale qui apparemment – heureusement – n’a plus tendance à suivre les oiseaux de mauvais augure. Assez de mélanger politique et haine politique à des relents de tribalisme qui prend pour cible les entités Ideydba et Oulad Ghailan qui, finalement, ne vous ont rien fait et devraient être tenu à l’écart de vos problèmes – car il s’agit véritablement de problèmes – avec la SNIM et Ould Oudaa.
Assez de vous moquer des capacités de discernement du président de la République, Mohamed Ould Abdel Aziz, qui, seront vous n’est pas capable, si l’on suit votre « déraisonnement », de savoir si la SNIM court à sa faillite ou non. Car voilà plus de deux ans que vous le criez mais rien de mal n’arrive à la SNIM si ce n’est les succès qui succèdent aux succès.
Assez de vous en prendre aux Oulad Ghailan – et là je vous dis de quoi je me mêle – qui ont fait la fierté de toutes les entreprises qui se sont succédé à Zouerate, à savoir Dumez, Zaikella, Dragage et Miferma et ensuite la Snim. Que leur reprochez-vous alors ? D’être directeurs, chefs de services, contremaîtres ? Mais ils sont aussi, comme tous les autres, au bas de l’échelle, ouvriers et agents de maîtrise.
Assez, enfin, d’embêter les lecteurs de Cridem avec ce qui semble de l’acharnement sur un homme. Créer le buzz à des fins de publicité n’apporte aucun honneur et, surtout, ne donne aucun mérite. Cherchez autre chose. Par exemple, vous reconvertir dans les « swagha » (pugilat verbal) après avoir, apparemment, raté votre vie professionnelle dans un secteur autre que la SNIM qui, vraisemblablement, est devenue, pour vous, une sorte de fixation.
Sid M’Hamed Ould M’Haimed
Un Ghaïlani outré
Assez de vous en prendre à un homme qui, finalement, ne vous a fait aucun tort, sinon celui d’avoir exacerbé votre aigreur contre une réussite qui n’a pas été vôtre.
Assez de colporter des médisances sur votre prochain, sans raison autre, que celle de rendre la situation au niveau de la plus grande entreprise du pays plus tendue, alors que les performances économiques qui sont celles de la SNIM, et plus encore celles d’Ould Oudaa, parce qu’il a osé aller plus loin que ses prédécesseurs dans la recherche de la qualité, sont visibles à l’œil nu.
Assez de vouloir induire en erreur une opinion publique nationale qui apparemment – heureusement – n’a plus tendance à suivre les oiseaux de mauvais augure. Assez de mélanger politique et haine politique à des relents de tribalisme qui prend pour cible les entités Ideydba et Oulad Ghailan qui, finalement, ne vous ont rien fait et devraient être tenu à l’écart de vos problèmes – car il s’agit véritablement de problèmes – avec la SNIM et Ould Oudaa.
Assez de vous moquer des capacités de discernement du président de la République, Mohamed Ould Abdel Aziz, qui, seront vous n’est pas capable, si l’on suit votre « déraisonnement », de savoir si la SNIM court à sa faillite ou non. Car voilà plus de deux ans que vous le criez mais rien de mal n’arrive à la SNIM si ce n’est les succès qui succèdent aux succès.
Assez de vous en prendre aux Oulad Ghailan – et là je vous dis de quoi je me mêle – qui ont fait la fierté de toutes les entreprises qui se sont succédé à Zouerate, à savoir Dumez, Zaikella, Dragage et Miferma et ensuite la Snim. Que leur reprochez-vous alors ? D’être directeurs, chefs de services, contremaîtres ? Mais ils sont aussi, comme tous les autres, au bas de l’échelle, ouvriers et agents de maîtrise.
Assez, enfin, d’embêter les lecteurs de Cridem avec ce qui semble de l’acharnement sur un homme. Créer le buzz à des fins de publicité n’apporte aucun honneur et, surtout, ne donne aucun mérite. Cherchez autre chose. Par exemple, vous reconvertir dans les « swagha » (pugilat verbal) après avoir, apparemment, raté votre vie professionnelle dans un secteur autre que la SNIM qui, vraisemblablement, est devenue, pour vous, une sorte de fixation.
Sid M’Hamed Ould M’Haimed
Un Ghaïlani outré
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