Le président du tribunal de Tidjikja, le juge Sidi Mohamed Ould Ahmed Salem a donné des instructions à la police de la ville de relâcher le journaliste et correspondant du site « mourassiloun » au Tagant, le confrère Babah Ould Abidine. Mais cette mise en liberté à la particularité d’être assortie par une présence formelle dimanche prochain devant le tribunal.
Mourassiloum estime que la restriction de la liberté exercée sur son correspondant est une violation de la constitution et un recul des grandes avancées enregistrées par le quatrième pouvoir au cours de ces dernières années en matière de liberté de la presse.
Le site précise également que son journaliste a été arrêté au cours de l’exercice de son métier professionnel, d’expectative de la réaction du tribunal par rapport à l’information portant sur le viol de deux mineures en brousse et que le juge a profité de sa présence devant lui pour le sanctionner pour un fait antérieur, se rapportant au vol de plusieurs chameaux.
Mourassilouim promet la publication prochaine d’informations étayées sut le sujet, dés que son correspond bénéficiera d’un moment de repos, exprimant ses remerciements au SJM, à tous les confrères, sites et personnalités qui se sont solidarisés avec son journaliste dans son épreuve.
Rappelons que le Procureur général de la wilaya du Tagant avait ordonné mardi dernier, l’arrestation de Babah Ould Abidine, suite à ses investigations menées auprès des services de la wilaya sur un viol survenu dans une brousse du Tagant, commis par deux méharistes sur deux sœurs mineures, au moment de l’absence momentanée de leurs parents, avant de disparaitre.
Certains nomades ont témoigné avoir identifié les chameliers, qui seraient toujours en fuite depuis leur forfait.
mourassiloun
Le président du tribunal de Tidjikja, le juge Sidi Mohamed Ould Ahmed Salem a donné des instructions à la police de la ville de relâcher le journaliste et correspondant du site « mourassiloun » au Tagant, le confrère Babah Ould Abidine. Mais cette mise en liberté à la particularité d’être assortie par une présence formelle dimanche prochain devant le tribunal.
Mourassiloum estime que la restriction de la liberté exercée sur son correspondant est une violation de la constitution et un recul des grandes avancées enregistrées par le quatrième pouvoir au cours de ces dernières années en matière de liberté de la presse.
Le site précise également que son journaliste a été arrêté au cours de l’exercice de son métier professionnel, d’expectative de la réaction du tribunal par rapport à l’information portant sur le viol de deux mineures en brousse et que le juge a profité de sa présence devant lui pour le sanctionner pour un fait antérieur, se rapportant au vol de plusieurs chameaux.
Mourassilouim promet la publication prochaine d’informations étayées sut le sujet, dés que son correspond bénéficiera d’un moment de repos, exprimant ses remerciements au SJM, à tous les confrères, sites et personnalités qui se sont solidarisés avec son journaliste dans son épreuve.
Rappelons que le Procureur général de la wilaya du Tagant avait ordonné mardi dernier, l’arrestation de Babah Ould Abidine, suite à ses investigations menées auprès des services de la wilaya sur un viol survenu dans une brousse du Tagant, commis par deux méharistes sur deux sœurs mineures, au moment de l’absence momentanée de leurs parents, avant de disparaitre.
Certains nomades ont témoigné avoir identifié les chameliers, qui seraient toujours en fuite depuis leur forfait.
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