lundi 23 janvier 2012

L’immobilisme Politique en Assaba qui dure depuis la nuit des temps:




En 1959, le premier parlement mauritanien dérivé de l’ex-UPM (Union progressiste mauritanienne) des années quarante, a vu le jour. La quasi-totalité de « ces honorables pères de la nation » n'est plus dans ce monde. Que Dieu les accueille en son Saint paradis. L’adage populaire ne dit-il pas que « la mort choisit toujours les meilleurs » ? N’est-ce pas ?

Aujourd’hui, avoisinant un âge indéfini estimé à cent ans ou plus, ceux qui sont toujours en vie parmi « les pères du nation » ne doivent- ils pas être fréquemment dans les mosquées, chapelet à la main et faire partager avec les nécessiteux une partie quelconque de leurs biens au lieu d’être d’éternels candidats à des postes de maire, sénateur ou membre de la CNI tout en se livrant en permanence, par le recours aux vieilles méthodes, à la sale besogne de dénigrer gratuitement autrui, proche ou lointain, par haine noire et égoïsme inné, croissant au rythme des cent ans de leur vie, sans œuvre utile, aucune.

La wilaya de l’Assaba, selon les observateurs avertis, parait être la plus grande victime de ce fâcheux héritage d’un certain passé lointain. Quel défi menaçant le changement constructif, vieux rêve des générations !.

Cette monotonie fade et étouffante ne s’apparente-t-elle pas désormais à une véritable incitation à la révolte aux risques majeurs ?

A Kiffa, ceux qui pensent à tort ou à raison représenter cette deuxième ville du pays au sein de notre respectable gouvernement se considèrent avant tout « les élus » des notabilités d’antan, sans avoir évidemment à cœur la République et ceux qui l’incarnent !Quelle dérive !




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Source :
khewlabrahim

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