samedi 16 octobre 2010

Retour au pays natal pour une centaine de réfugiés




Les opérations de rapatriements des réfugiés mauritaniens au Sénégal reprennent avec un convoi de plus de 100 personnes dont le départ est prévu lundi, a appris l’APS auprès des responsables du Haut commissariat pour les réfugiés (HCR), organisme chargé de la logistique.

Le week-end a été consacré aux préparatifs du voyage vers le pays d’origine des concernés avec l’embarquement des bagages dans des camions affrétés par l’organisme onusien pour permettre aux intéressés dés leur arrivée de se retrouver dans un certain confort.

Ainsi dans les villages de départ comme Ndiarème et Mery sur les quatre identifiés vers le centre de transit à Richard-Toll, les réfugiés affichaient une mine réjouissante, satisfaits de devoir retrouver leur lieu de naissance même si, comme le reconnaît un candidat trouvé en pleine préparation, ‘’en 20 ans de cohabitation nous n’avons connu aucun problème avec les Sénégalais qui nous ont accueillis à bras ouverts’’.

‘’Il se trouve qu’il constitue toujours une fierté de retrouver la terre de ses ancêtres et notre venue ici a été dictée par la volonté divine et notre retour aussi nous le plaçons dans le même registre’’, confesse-t-il, alors que son père et sa mère préfèrent rester à Ndiarème, le retour étant toujours libre et volontaire.

Il arrive qu’au dernier moment des désistements soient enregistrés avec des populations ayant répondu aux critères définis par le pouvoir mauritanien à qui revient le dernier mot. Mais elles choisissent de continuer leur aventure en terre sénégalaise pour diverses raisons liées surtout à l’incertitude de retrouver le même confort chez eux.

Ces opérations ont connu un coup d’arrêt après 79 convois pour des problèmes liés à la situation politique en Mauritanie où pour leur accueil des ONG prennent le relais du HCR pour venir au secours de l’Etat mauritanien qui leur alloue une pécule de 35000 francs par adulte et la moitié pour les jeunes afin de passer ce cap difficile.

Il leur est aussi alloué un lieu d’habitation et des vivres à leur arrivée en Mauritanie où ils vont retrouver les 19048 réfugiés nombre jusqu’ici concernés par ces opérations débutées avec l’air de démocratisation né du régime de Sidi Ould Val.

Leur porte d’entrée reste la ville mauritanienne de Rosso comme le souhaitent les autorités mauritaniennes qui leur délivrent dès leur arrivée des papiers d’identification et leur reconnaissent tous leurs droits de citoyens de ce pays.

D’ici le mois de décembre prochain, 2500 réfugiés devront retrouver leur terroir en raison d’une opération par semaine.

AMD/ADC

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Source :
Agence de Presse Sénégalaise

58 millions de Dollars de prêt de la BID au profit de la Mauritanie



Le Ministre mauritanien des Affaires economiques et du Développement, Sidi Ould Tah, et le directeur des opérations de la Banque Islamique de Développement (BID), Rami Mahmoud Said, ont signé jeudi aprés midi deux (2) conventions d'un montant global de 58 millions de Dollars us (soit 16 milliards d'Ouguiyas) pour l'approvisionnement en eau potable et le financement d'un troncon routier reliant 3 régions de l'intérieur de la Mauritanie, annonce un document transmis vendredi à Sahara Médias.

Le premier accord de prêt d'environ 28 millions de Dollars us (7,6 milliards d'ouguiya) va servir à l'approvisionnement en eau potable et désenclavement d'une zone dénommée Aftout, traversant à la fois plusieurs régions du pays et considérée comme l'une des plus pauvres de la Mauritanie (zone connue sous le nnom de triangle de la pauvreté) à partir d'un barrage se trouvant dans la région de Kaédi (Sud-Localité de Foum Gleita).
Le second accord portant sur 30 millions de Dollars us (8,6 milliards d'ouguiyas) est destiné à la réalisation d'une route reliant les régions Tidjikja (centre)-Kiffa (Est) et Selibaby (Sud-Est).
Depuis sa création, le volume global des actions de la BID pour soutenir le développement de la Mauritanie atteint un montant de 670 millions de Dollars us, a déclaré Rami Mahmoud Said à l'occasion de la cérémonie de signature.
Ces interventions touchent plusieurs domaines: la santé, l'appui aux projets de développement agricole,la sécurité alimentaire, le secteur privé (financement des Petites et Moyennes Entreprises, la pêche.
Saharamédias

Adrar/Pluies : La Batha d’Atar en voie d’emporter toutes les palmeraies de la rive Ouest.




Depuis hier, la ville d’Atar et ses environs sont aspergés par des pluies souvent fines parfois diluviennes. La Batha centrale peine ces dernières décennies à contenir les eaux des plateaux nord surélevés vers le bassin de Yaghref plus bas. Les raisons sont multiples. Les plus visibles sont : la pousse sauvage des tamarix dans son lit freinant la vitesse d’écoulement des eaux et entraînant des éboulements sur ses rives. A la longue, ce phénomène a fini par ronger les flancs de la rive Ouest plus exposée que la rive Est protégée par un barrage en pierres.

Le constat aujourd’hui est amer. Au niveau de Tweivinda, les palmeraies de la rive occidentale, juste en amont du « pont Taiba » perdent à chaque passage des eaux, quelques pieds de palmiers. Plus au sud, en raison de l’étranglement de la Batha au niveau de la passe Adebaye, les eaux dans leur déferlement ont déjà emporté les grosses dunes et palmiers du bas Tizikine en face de la météo. Présentement elles sont entrain de s’attaquer violement aux obstacles et maigres merlons de dunes qui protégent les palmeraies rive Ouest de Toueirsatt, Kanaoil, Tinery et R’gueiba ainsi que la principale Grara de cultures saisonnières de céréales. Il n’est que temps pour les pouvoirs publics,le ministère du développement rural en particulier, la société civile et les hommes d’affaire (souvent propriétaires de palmeraies) de se décider à sauver ce qui le peut de ces richesses accumulées, durant des siècles, au prix d’énormes efforts. A bon entendeur salut !

Ely Salem Khayar /Adrar.info

Inauguration du Siége L’UPR Au Brakna : ils, étaient presque tous présents.





S’adressant à l’assistance (la structure locale, le bureau de la fédération et 5 présidents), le Fédéral Mohamed Ould Diahloul a d’abord dit : « qu’il est aujourd’hui honoré et que cette journée restera inoubliable dans l’historique de l’agenda du parti, il a par la suite salué les efforts de ses militants.

Il a remercié les membres du bureau et les présidents des 5 sections au niveau de la wilaya du Brakna, présents à cette rencontre, cette inauguration, constitue la ferme volonté des militants et le travail grandiose de programmes et d’activités politiques créées sur des nouvelles stratégies de base très efficaces.

Le parti restera un mouvement réel qui repose sur des convictions de développement, de lutte contre la pauvreté, lutte contre la gabegie, le fonctionnement des hôpitaux, vulgariser le statut du parti et diffusion des décisions du parti lors du congrès de l’UPR, et en fin le Fédéral du Brakna a souligné aussi les rapports entre parti et militants, le parti au pouvoir et l’administration.»

Cette rencontre, la première du genre, ici à Aleg , capitale régionale du Brakna a permis aux membres du Bureau Exécutif et les présidents des cinq sections de discuter après l’inauguration du siége : les modalités mises en place rapide des autres structures notamment les sections et les sous sections, au niveau de la Wilaya afin qu’elles soient opérationnelles, la remise aux présidents des sections, tous les documents relatifs à la tenue du congrès national et rendre visible au prés des structures de base les grands sentiers du chef de l’état qui sont vraiment des réalisations visibles et concrètes.

Le Fédéral de l’UPR du Brakna, Mr Mohamed Ould Diahloul a inauguré le siége , en compagnie d’une importante délégation composée de : Madame Bâ Fatimata (chargée des femmes), Farry Diéry Bâ, Dia Hamady Hasmiyou, Chaibata ould Sidi Maouloud (chargé de la jeunesse), Mr Lam Aliou, Bâ Alassane Adama, Wane CHouweibou, Mustapha ould Oudaa, Mohamed El Moctar ould Ahmed, Issa ould Bilal, Abdou ould Ahmed Mahmoud, Bâ Aliou Aly, Diagne Ibrahim, Ahmed ould Vally et Kane Amadou.

Monsieur, le Fédéral face à la presse des correspondants (de l’Eveil Hebdo, Quotidien Nouakchott, Nktt Info et le Véridique) rappelé le Programme du président Mr Mohamed Ould Abdel Aziz qui a fait de la lutte contre la gabegie, lutte contre la pauvreté, la justice pour tous son bâton de pèlerin ou mieux les choses les plus salutaires.

Les réalisations ont été faites sur tous les plans de la vie des mauritaniens, d’ailleurs il a dit c’est le président des pauvres. Justifiant sa déclaration par « 95 à 97% des projets sont destinés aux pauvres. Des gestes concrets sont là constructions des écoles, acheminement des médicaments, l’octroi des maisons parcelles de terre. »

Après le choix de Mohamed Ould Diahloul comme Fédéral par des militants de L’UPR du Brakna, le Fédéral gagne encore cette même année, au tirage au sort son billet pour aller à la Mecque.

Diop Mohamedou Abou dit Hbodiel CP Au Brakna le Véridique

Le camion fou de Baghdad ( Nouadhibou)




Vendredi vers 9h 45mn, dans le quartier Baghdad à Nouadhibou, un camion transportant du gravier qu'il voulait déverser devant un bâtiment en construction, a raté sa marche arrière pour heurter et s’incruster dans une boutique. Heureusement, plus de peur que de mal, même si la boutique en question s'est effondrée en partie, laissant ses occupants bouche baie et dans une peur bleue.

En effet, depuis la mesure prise par les autorités sommant les propriétaires de terrains de les mettre en valeur, camions de sable, de gravier, sillonnent à longueur de journée les artères de la capitale économique, déchargeant leurs contenus n'importe comment et n'importe où.

Selon les témoins et le chauffeur du camion, les freins ont lâché. D'ailleurs, ces camions d'un autre âge,qui n'existent qu'un Mauritanie et dans quelques pays de la sous région, doivent -ils circuler encore? En tout cas, cette matinée du 15/10/2010, le pire a été évité d'autant plus que la boutique est devant la maison comme on a l'habitude de le faire chez nous: chaque maison a sa boutique.

A chaque fois que des questions de ce genre sont posées, on rétorque en disant:" et leurs propriétaires comment vont-ils vivre"? La vie de ces populations innocentes est plus importantes que toutes ces" poubelles" réunies ( car ces voitures sont des poubelles ou plus des cercueils à roues).

Pour couronner tout ceci, les chauffeurs se croient tout permis et conduisent comme des" diables fous".




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Ibnoumarwal

Brakna /Aleg : Atelier de capitalisation du Programme d’appui à la société Civile et à la Bonne Gouvernance (PASOC).





Le PASOC a organisé le mercredi 13 octobre 2010 dans ses locaux à Aleg un atelier de capitalisation de son expérience durant les 4 années d’activités dans la région du Brakna et en Mauritanie. Cet atelier de capitalisation a pour objectifs :

- Faire le bilan succinct de l’ensemble des activités menées dans la région et dans le reste du pays aussi bien en matière de renforcement des capacités des organisations de la société civile qu’en matière de financements accordés à ces organisations,

- Partager et valoriser avec les participants les points forts et les points faibles du processus d’attribution des fonds mais aussi de formation et d’accompagnement,

Partager les acquis et les limites des activités d’accompagnement et de suivi qualité,

La présente session regroupe des maires et des représentants de la société civile nationale. Des ONG internationales ont été aussi invitées à participer à cet atelier.

Par ailleurs, il est à rappeler que le PASOC intervient dans six communes du Brakna (Aleg, Boghé, Maghta Lahjar, Male, Wad Amour et Dar El Barka). Les deux appels à proposition lancés au titre de la composante 1 du programme lui ont permis d’accorder des subventions importantes à deux (2) ONG opérant dans la Wilaya du Brakna : Banlieues du Monde qui exécute un projet d’assainissement dans les villages de sarandougou-diébéri et ATB qui exécute un projet de lutte contre la paludisme dans la commune d’Aleg.

Au total 30 Organisations ont bénéficié de subventions à la suite des six (6) appels à proposition lancés par le programme entre 2008 et 2009.

En plus, les multiples sessions de formations organisées en région comme à Nouakchott ont permis d’aborder avec les OSC bénéficiaires des thématiques diverses comme à titre d’exemple : échanges commune - société civile, élaboration et mise en œuvre d’un budget communal, vie associative, principes juridiques du service public, cadre de gestion des ressources naturelles, formation aux NTIC etc.

Le présent atelier offre aux participants l’occasion de découvrir toutes les activités menées mais aussi d’apprécier l’impact de l’ensemble des activités. Il a permis aussi de présenter le montage institutionnel du PASOC, d’expliquer les processus d’attribution des subventions ; il sera aussi l’occasion de sensibiliser les participants sur les procédures propres à l’Union Européenne.

Il faut rappeler que le PASOC mis en œuvre en 2007 est financé par l’UE dans le cadre de son 9eme FED et s’articule autour de quatre (4) composantes :

1) Amélioration de la gouvernance locale dont le champ d’action est limité à 16 communes (six au Brakna, 6 au Gorgol et 2 au Hodh Charghi),

2) Promotion d’une culture citoyenne et d’un dialogue sur les droits humains,

3) Structuration de la société Civile qui sont des composantes à caractère national.

La quatrième composante est appelée cadre légal. Il s’inscrit dans l’esprit des stratégies de développement nationales et régionales de l’UE et a pour objectifs de promouvoir la bonne gouvernance au niveau local et national en renforçant le partenariat entre l’Etat et la société civile.

Dia Abdoulaye
camadia6@yahoo.fr



Source :
Dia Abdoulaye

Guidimagha : Isselmou ould Abderrahmane ould Meinouh rappelle à l’ordre et appelle à la mobilisation pour le cinquantenaire de l’indépendance nation





Investi pleinement dans les préparatifs du cinquantenaire de l’Indépendance nationale, Isselmou oud Abderrahmane ould Meinouh, wali du Guidimagha fait d’une pierre deux coups :

l’un est porté sur le respect de l’horaire du travail et l’ancrage dans l’esprit des chefs de services déconcentrés de l’Etat, d’une culture de citoyenneté, de patriotisme et de productivité, gage dit-on d’une véritable moralisation de la vie professionnelle qui met de la disponibilité à servir les populations dans la transparence et l’équité, une exigence à tenir le haut du pavé ,

et l’autre coup est bien ajusté sur le bien fondé de cette vaste campagne de sensibilisation, d’information et de conscientisation sur le caractère spécial et spécifique des festivités commémoratives du cinquantième anniversaire de l’indépendance.

De pied ferme dans l’application de ses des décisions, Isselmou ould Aberrahmane ould Meinouh entreprend une visite inopinée dans les services étatiques opérant dans la ville de Selibabi : les chefs services déconcentrés portés absents ou retardataires à huit heures dans leur poste de travail, étaient sans complaisance et, à l’unanimité, passibles d’une demande d’explication qui continue de défrayer la chronique de la scène locale

Ont échappé aux filets de Ould Meinouh et les casse –tête d’une justification d’absence ou de retard de moindre plausibilité, les chefs de service de la SNDE, de l’orientation Islamique et du directeur de l’hôpital régional de Selibabi, réputés être assidus et travailleurs et qui ont enregistré en ce « matin de clameur de chefs de service », la palme de ponctualité.

Le deuxième coup marquant de la pierre du wali du Guidimagha constitue cette grande rencontre de sensibilisation et d’information autour de l’importance du cinquantenaire de notre indépendance nationale qui a eu lieu à la Maison des jeunes de Selibabi le 14 du mois courant : le cortège que dirige le wali regroupe en son sein tous les piliers de l’administration et des forces de sécurité, une véritable démonstration de force d’engagement des pouvoirs publics à la hauteur du grand Evénement national qui pointe à l’horizon.

Le clou de la rencontre est la réplique positive des citoyens par cette présence massive à l’appel du Wali :

Ce jour du 14, la Maison des jeunes a affiché plein : toutes les forces vives de Guidimagha étaient au rendez-vous : les associations et coopératives féminines ,les associations des jeunes,la société civile ,les partis politiques, les élus locaux, les conseillers municipaux, les parlementaires, les coopératives agricoles, les éleveurs, les agriculteurs, les cadres, les chefs des quartiers, les artisans, les fédérations des bouchers et des transporteurs, la presse officielle et indépendante..

Dans son mot d’ouverture, Isselmou ould Abdrrahmane ould Meinouh s’est réjoui et s’est félicité de cette mobilisation effective des populations pour la Cause nationale ce qui traduit en substance l’expression profonde de l’amour de la Patrie et la ferme détermination pour l’organisation et la célébration du cinquantenaire de l’Indépendance nationale dans la paix et la concorde.

Dans son discours, le Wali s’est beaucoup appesanti sur l’implication de tous dans les activités et festivités commémoratives du cinquantenaire : de l’assainissement et du nettoyage de la ville et de toutes ses artères, jusqu’à la place publique de l’hôtel de ville qui va abriter les cérémonies du 28 novembre 2010 en passant par les devantures de nos maisons, Ould Meinonh dira que l’heure est à la conjugaison des efforts pour que le Guidimagha ,ville frontalière, soit hissée au rang des lauréats dans l’organisation du cinquantenaire de notre indépendance nationale.

Au terme de son intervention, le wali a ordonné aux présidents des sous-commissions régionales de faire des exposés en plénière et au profit du grand public sur le processus d’avancement des activités qui leur ont été confiées.

Mbaye Demba Yero


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Mbaye Demba Yero

Mauritanie Nouvelle : une frontière sans fraude



Le 09 octobre 2010, le nouveau chef de poste de la douane de Rosso, Mr Mouhamed Hassan a fait une descente chez un fraudeur de ciment en provenance du Sénégal.

Cette sortie spectaculaire saluée par nombre a permise de saisir 29 tonnes de ciments. Le fraudeur était pourtant connu et couvert par certains éléments de la Douane.

Les témoignages concordent à faire de l’homme un icône de la Mauritanie Nouvelle. Dans la constance, l’homme fait chaque matin de tour des locaux du port des Bacs de Rosso avant de se rendre dans son bureau.

Un exemple qui doit désormais servir les milliers de Mauritaniens qui partagent le même destin de responsabilité.

Osmane Ba



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Osmane Ba

Mort par noyade, de deux adolescents à Nouadhibou




Selon le correspondant de l’ANI à Nouadhibou, deux adolescents seraient morts, par noyade, à Nouadhibou, au moment où ils pratiquaient la natation.

Les deux adolescents, Nagem Ould Taleb (15 ans) et Dah Ould Sidi (14 ans) se sont noyés sur la plage « Bonteya », non loin du port de pêche traditionnelle de la ville de Nouadhibou, a précisé le correspondant de l’ANI.

Les recherches se poursuivent encore pour tenter de retrouver les corps des deux adolescents.



Source :
ANI (Mauritanie)

vendredi 15 octobre 2010

Adrar /France 2 : Complément d’enquête la menace terroriste.




La célèbre émission « Complément d’enquête » de France 2 dirigée par Benoît Duquesne est consacrée ce mois au terrorisme dans le Sahel. Plusieurs personnalités y sont invitées dont un ancien otage AQMI. .Entre autres reportages qui y sont prévus, celui de Yvan Martinet et Régis Mathé se rapportant à la Mauritanie et en particulier l’Adrar. Au cours, justement de ce reportage, nos confrères Français sont entrés dans le bureau du Wali de l’Adrar micro ouvert et caméra tournant. Cela n’est pas habituel chez nous. Notre Wali est –il sorti « bien portant » de cette entrevue ? Jugez en vous-mêmes. Ne ratez pas cette émission qui aura lieu Lundi 18 Octobre 2010à 20Heures GMT sur France 2 et TV5.

Ely Salem Khayar / Adrar.info

Arrivée du premier groupe de touristes Malaisiens en Mauritanie



Le jeudi 7 octobre à Nouakchott est arrivé le premier groupe de touristes malésiens en Mauritanie. L'arrivée de ce groupe de l’Asie de l'Est est considérée comme un grand soutien pour le tourisme en Mauritanie, qui a connu une baisse au cours des trois dernières années.

Le groupe a effectué des visites sur les lieux d'attractions touristiques de la capitale Nouakchott et le désert, et s'est ensuite rendu dans la ville sénégalaise de Saint-Louis en passant par la ville mauritanienne frontalière de Rosso.

A la fin de leur périple touristique, les membres du groupe ont exprimé leur admiration de la Mauritanie, son peuple hospitalier, sa diversité culturelle et son beau désert. Ils ont unanimement exprimé leur désir de revenir en Mauritanie pour en découvrir tous ses charmes et ses magnifique paysages.

M. Mohamed Salem Ould El Hassan, Directeur Général de l’agence Chinguitty voyages, qui a organisé la visite de ce groupe en Mauritanie a expliqué que l'arrivée de ce groupe touristique s'inscrit dans le cadre de l'ouverture des agences du tourisme mauritanien sur les nouveaux marchés touristiques après la diminution du nombre d'arrivées de marché touristique français et européenne en générale.

Il a souligné que le but de ces visites est de présenter une belle image de la Mauritanie en tant que pays d’hospitalité, de générosité et de la bonne réception, plein d'importants monuments, de paysages pittoresques et de désert parsemé de charmantes oasis, et que la Mauritanie est toujours un pays sécurisé et très accueillant pour tous les touristes et les visiteurs.

Il a ajouté aussi que le tourisme actuellement est l'un des moyens de communication entre les peuples et la promotion des pays, comme que les touristes reconnaissent bien le pays visité, et son potentiel touristique et leur opportunités d'investissement et quand il retourne dans son pays natal soyez l'un des moyens les plus importants de la promotion du pays visité.
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Tours and adventures in West Africa
Voyages et aventures en Afrique de l’Ouest
رحلات الصيد و السياحة في غرب إفريقيا

Chinguitty voyages

Tel: 002222338522

Fax: 002225257383
http://www.Chinguitty-Voyages.mr
E-Mail : info@Chinguitty-Voyages.mr
Skype : Mauritaniatours
Adresse :P.O.Box: 303 Nouakchott, Mauritania
Nouakchott – Ksar – Ilot C- n°=298



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Chinguitty voyages- Tours in West Africa

SOMELEC/Retard dans la construction de la centrale de Nouadhibou: Les dessous de l’affaire! (Suite).



Suite à notre article (L’arnaqueur arnaqué relatif au retard d’exécution dans la construction de la centrale électrique de Nouadhibou Le QDN N°613 du 6 octobre 2010), nous avons été contactés par la Somelec via son chargé de communication. L’entrevue a été organisée dans les locaux de l’entreprise. L’objectif annoncé était de livrer les «bonnes informations» sur le sujet en faisant blackout sur l’objet de notre article centré sur le rôle de l’ingénieur conseil et un marché de gré-à-gré renouvelé avec lui.


Pour la Somelec, il n’y a jamais eu qu’un seul avenant au marché passé avec l’ingénieur conseil Lahmayer Iinternational (Janvier 2009). Ce dernier est pourtant notoirement connu pour être black listé pour sa pratique de corruption. La BM l’a suspendu de tous ses projets jusqu’en 2013. Mais il semble retrouver un autre champ en Mauritanie (Aftout Es-Sahili en 2007 et Centrale électrique de Nouadhibou en 2007 aussi) pour cultiver cette pratique. Mais qu’à cela ne tienne puisque la Somelec, même si elle reconnaît cet avenant, précise que le choix de l’ingénieur conseil est antérieur à la prise de fonction de la nouvelle direction. Le premier marché remporté par l’ingénieur conseil est d’une valeur de 680 milles euros, après un appel d’offres. De plus, l’entreprise lui a adjugé un avenant, qui ne devrait pas dépasser les 30% de la valeur de son marché, comme le stipule le code des marchés publics. Pourtant nous savons maintenant qu’après le refus de la commission des marchés de Somelec d’avaliser un autre avenant, un marché de gré-à-gré de 718 mille euros , donc supérieur au marché initial, lui a encore été attribué, sans autre forme de procès en Décembre 2009. De quoi susciter une avalanche de questions sur la nature des rapports entre cet ingénieur conseil, qui traine des casseroles, et la nouvelle équipe à la tête de la Somelec.

Choix cornéliens!?

Selon l’entreprise pour bien comprendre la situation, il faut remonter le temps. Le contexte politique post putsch a conduit le bailleur (FADES) a simplifié ses procédures afin de permettre à l’entreprise de continuer à exécuter le projet tout en restant lui-même en retrait sans renier ses engagements. C’est dans ce contexte, marqué par un fort différend entre l’Ingénieur Conseil et l’Entreprise , que l’actuel DG a pris fonction. Il prenait ainsi le train en marche et se serait fixé comme objectif d’accélérer l’exécution du projet de construction de la centrale de Nouadhibou tout en gardant le même ingénieur conseil. L’explication avancée par la Somelec est qu’ un nouvel appel d’offres pour choisir un autre ingénieur conseil lui ferait perdre encore du temps alors qu’elle n’était pas assurée que l’éventuel suppléant accepterait le travail déjà effectué avant lui.
Dans cette logique, la Somelec se retrouve otage de Lahmeyer international qui ne s’est pas privé de saisir une telle opportunité.
Pour la Somelec encore, le retard dans l’exécution de la construction de la centrale proviendrait à 80% de l’inexécution du volet génie-civil confié à la EGB. Ici, IMM a aisément trouvé remplaçant à l’exécutant, en l’occurrence MCE (groupe Ciment de Mauritanie). On remarquera que la Somelec ne parlera pas de la responsabilité de l’ingénieur conseil alors que les différentes phases d’exécution du génie civil étaient systématiquement bloquées par les retards d’approbation de Lahmeyer International, pendant que ses ingénieurs sont maintenus in situ et facturés à la Somelec probablement pour «faire de la pêche »…au fric ! D’où l’exacerbation de son conflit avec l’entreprise belge.
Le même mutisme est observé par la Somelec sur la crise de confiance qui s’est installée à tous les niveaux de la structure portant préjudice à la coordination générale et notamment aux relations entre IMM et Lahmayer International alors que le bon sens et la recherche de célérité dans l’exécution du marché lui dictaient d’établir un diagnostic objectif de la situation et d’arbitrer, le cas échéant, le clivage entre l’entreprise et l’ingénieur conseil au lieu de se croire «rassurée par la mésentente» entre les deux parties en conflit ouvert. Pour justifier cette position, la Somelec cite en exemple le succès de la centrale d’Arafat qui avait été exécutée par Wartsila suivant les règles de l’art et dans les délais impartis. Pourtant le génie civil avait été réalisé par MCE (Groupe Ciment de Mauritanie) qui a encore repris celui de Nouadhibou depuis janvier 2010. Le montage avait été réalisé par IMM en charge de la centrale de Nouadhibou. Wartsila avait fourni les groupes électrogènes comme prévu pour Nouadhibou. Pourquoi donc ça ne marche pas aussi bien dans le cas de la centrale de notre capitale économique? La seule réponse plausible est que pour Arafat, il n’y avait pas un ingénieur conseil comme Lahmeyer.

Pas un sou de détourné et pourtant beaucoup de bruits


Excéptés le rôle de Lahmeyer et le marché de gré-à-gré à son profit , il est bien clair qu’aucun détournement n’a été enregistré. « Pas un sou de détourné et pourtant beaucoup de bruits » s’étonne le porte-parole de Somelec.
Cette dernière avait ouvert une lettre de crédit auprès de la Banque du bailleur assortie de deux conditions pour paiement : une autorisation d’expédition et un PV de réception en usine.
Sans doute désinformé lui-même par l’Ingénieur conseil, le DG de la Somelec semble avoir paniqué en constatant que 11 millions d’euros avaient été prélevés sur le crédoc.
L’affaire, puisque c’en est une maintenant, a été portée devant le président de la République. On le sait ce dernier ne badine pas avec les détournements de fonds publics. Le marché de construction de la centrale de Nouadhibou est réalisé pour un coût de 23 millions d’euros sur financement FADES. Instinctivement, après le constat de l’utilisation des 11 millions d’euros, le DG a envoyé des demandes d’explication à ses proches collaborateurs pour leur faire porter le chapeau. Mais après pointage avec IMM, il a été constaté que ce montant correspondait effectivement aux prestations réalisées sur le site hormis un prétendu excédent de 300 milles euros que la Somelec considérait comme dépassement. Et comme les cautions de bonne exécution venaient naturellement à échéance, du fait du retard du projet lui-même, Lahmayer International dans sa stratégie belliqueuse pour discréditer IMM a cherché à exploiter auprès du DG cette situation de fait (dépassement de 300 milles euros et validité de cautions expirée) arguant de la possibilité pour l’entreprise belge de se «défiler » et aller vers la voie de l’arbitrage avec Somelec; occultant volontairement que les groupes électrogènes avaient été déjà réceptionnés en usine (ex-work) depuis 2009 mais non encore livrés en attendant son feu-vert (approbation du site d’installation).
Paniquant devant une telle présentation de l’Ingénieur conseil, le DG a informé le FADES et les plus hautes autorités du pays de la version des faits suscitée par Lahmeyer International.
Selon la Somelec enfin, le FADES aurait pris contact avec l’entreprise belge qui s’est dit disposée à renouveler les cautions et à aller de l’avant dans l’exécution du projet. Ce qui suppose que cette dernière aurait été rassurée et Somelec aussi, en dépit de la cacophonie suscitée.
Mais le DG réalise-t-il qu’il a déchaîné du fait d’une information tendancieuse une tempête dans un verre d’eau? Puisque les responsables sanctionnés ont été blanchis va-t-il enfin payer le tribut du renouvellement du marché de Lahmeyer International par une procédure de gré-à-gré normalement caduque? Une affaire qui continuera à faire des vagues. Alors wait and see!
A suivre donc
Jedna DEIDA

Condamnation des membres de la « cellule de Nouadhibou » à des peines de prison ferme allant de 3 à 5 ans




La cour criminelle de Nouakchott a prononcé aujourd’hui jeudi des peines de prison allant de 3 à 5 ans à l’encontre des membres de la « cellule de Nouadhibou » accusés d’avoir fomenté des actions terroristes en Mauritanie.

Ainsi, Mohamed Lemine Ould Semane, frère de El Khadim Ould Semane, a été condamné à 5 ans de prison ferme et à la confiscation de ses biens accompagnée d’une amende de 500 000 ouguiyas. Ses compagnons Cheikh Abou El Maali Ould Sidi Mohamed et Elemine Ould Hamoud écopent de 3 ans de prison ferme et de la même amende de 500 mille ouguiyas.



Le parquet général avait demandé, à l’ouverture du procès, une peine de 12 ans de prison ferme et une amende de 5 millions d’UM contre les membres de la cellule dite de Nouadhibou dont l’affaire est traitée dans le cadre du dossier 503/08 de l’année 2008 pour des accusations d’organisation terroriste.

Saharamédias

Réunion de la commission régionale chargée de préparer le cinquantenaire de l'indépendance nationale au niveau de la wilaya du Hodh El Gharbi



La commission régionale chargée de préparer la commémoration du cinquantenaire de l'indépendance nationale au niveau du Hodh El Gharbi s'est réunie jeudi matin à Aioun sous la présidence du wali, M. Cheikh Ould Abdallahi.
La réunion a été consacrée à la discussion des rapports élaborés par les commissions spécialisées sur la préparation du programme des festivités. Il s'agit notamment des commissions de la culture, de la sensibilisation, de la mémoire.
L'aspect financier a été également examiné au cours de la réunion.
Le wali a appelé tous les fonctionnaires de la wilaya à se joindre aux commissions chargées de préparer la commémoration du cinquantenaire de l'indépendance nationale en vue de contribuer au succès de cet évènement auquel le pays le pays accorde, a-t-il dit, une importance particulière.
Il s'est enfin félicité du travail mené par les commissions, insistant sur la nécessité de redoubler d'efforts pour la réussite de la manifestation et pour faire de la wilaya du Hodh El Gharbi, dans ce sens, un exemple à suivre.

AMI

jeudi 14 octobre 2010

Sahel: les Touaregs montent au front contre Al-Qaïda...




Depuis le début de l'été 2010, la région désertique du Sahel est secouée par des prises d'otages fomentées par les terroristes d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).

Nouveau rebondissement dans cette série d'enlèvements : les Touaregs maliens, d'ordinaire opposés au régime en place, sont aujourd'hui prêts à s'associer à l'effort militaire mené par leur gouvernement contre cette organisation terroriste.

Entre idéologie islamiste, intérêts économiques de la France et revirements permanents de situation, chronique d'un conflit africain aux multiples et sombres facettes...

Des prises d'otages à répétition.

Le 19 avril 2010, un Français, Michel Germaneau, est enlevé avec son chauffeur algérien dans le nord du Niger par un groupe se réclamant d'Al-Qaïda. Un mois plus tard, le 6 mai, Aqmi revendique le rapt en demandant à la France et ses alliés dans la région la libération des détenus de l'organisation, en contrepartie de celle du ressortissant français. Après un raid mené de concert par la France et la Mauritanie contre la base présumée des preneurs d'otages, le 22 juillet, Michel Germaneau est exécuté par le groupe terroriste.

Plus tard, le jeudi 30 septembre, sept personnes travaillant pour le groupe Areva et la société Satom, dont cinq ressortissants français, sont kidnappées à leur domicile au Niger. Depuis le 11 octobre 2010, l'Aqmi a également revendiqué cet enlèvement sur la chaîne de télévision Al Arabiya, en demandant l'abrogation de la loi sur le voile islamique en France, la libération de plusieurs activistes islamistes ainsi qu'une somme d'un million d'euros par otage. Aujourd'hui, ces derniers sont toujours entre leurs mains.

Un important arsenal militaire déployé.

Étrangement, ces enlèvements répétés ont d'abord généré une forte activité des armées française et mauritanienne, alors qu'aucune force militaire malienne ou nigérienne n'était active face aux terroristes d'Aqmi sur leurs territoires respectifs. Une situation détectée par le journal burkinabé L'observateur paalga, qui indique notamment dans un article daté du 22 septembre 2010, que "la France a envoyé au Niger une centaine de militaires spécialisés dans la lutte anti-terroriste ainsi que des avions de reconnaissance et de combats" et que "ce qui est frappant dans tout cela, c'est l'absence de l'armée malienne sur le front. Le général-président Amadou Toumani Touré ayant visiblement préféré ne pas engager ses hommes dans le combat. Tout se passe comme si Bamako évitait tout un corps-à-corps avec l'Aqmi".

Selon le même journal, l'armée mauritanienne aurait déployé pour sa part d'importantes troupes dans le Nord du Mali... En clair : la France s'occupe de sécuriser un secteur, le Niger, qui ne semble plus être primordial, le lieu des conflits ayant glissé vers le Mali ; la Mauritanie s'investit d'une mission qui devrait naturellement être dévolue à l'armée malienne et cette dernière est en retrait sur son territoire.

Les Touaregs entrent en jeu... pour des raisons obscures.

Pour couronner le tout, les Touaregs maliens, traditionnellement opposés au gouvernement, auraient annoncé leur souhait de soutenir celui-ci dans la lutte contre Aqmi dans la région du Sahel. Des unités spéciales composées "d’anciens rebelles touaregs considérés comme les meilleurs connaisseurs du Sahara" seraient ainsi formées par le gouvernement algérien avant d'être lancé au coeur du theâtre des opérations...

Si la question de la présence militaire française au Niger peut notamment être expliquée par une volonté de contrôler une région regorgeant de richesses minières, l'implication des Touaregs laisse plusieurs questions sans réponse. D'après Ursule Tékiane, qui dirige une ONG d’aide à l’enfance dans le nord du Mali, "c'est une manière de les occuper pour qu’ils n’aillent pas grossir les rangs des bandes armées qui sont nombreuses dans le désert", selon des propos rapportés par L'Expression.

"Souvent, ces terroristes viennent s’abriter sur notre terrain que nous connaissons bien. Si nous sommes armés, nous pouvons rapidement leur régler leur compte", note Ahmada Ag Bibi, porte-parole des anciens rebelles, aujourd’hui député à l’Assemblée nationale du Mali.

Pour le gouvernement malien, associer d'anciens opposants pourrait également être un bon moyen de ne pas se tacher les mains de sang, tout en évitant que les Touaregs n'aillent plutôt grossir les rangs de l'organisation terroriste : un risque qu'évoquait Jean-Pierre Duclos Aprico, ancien conseiller du Ministre du commerce et de l'Industrie du Niger, dans notre article du 15 avril 2010 consacré à cette population nomade...
www.cridem.org


Source :
Dijon Scope (France)

La défense de la cellule dite de Nouadhibou déclare que les aveux ont été extorqués sous la torture




L’avocat mauritanien Mohamed Ould Mohamed Saleck, membre du collectif de défense de la cellule dite de Nouadhibou, accusée d’avoir préparé des plans d’opérations terroristes, que les aveux extorqués à ses clients l’ont été sous le fait de la torture.

La défense a donc fait valoir que « cette reconnaissance n’a aucune valeur juridique », chose que le parquet général a récusé, précisant qu’il n’existe aucune preuve qui confirment ces allégations de torture.

Le dossier 503/08 remontant à l’année 2008, concerne un groupe de personnes soupçonnées d’appartenir à ce qui est connu actuellement sous le vocable de « la cellule de Nouadhibou » et dont les plus connues sont Mohamed El Béchir Ould Semane (frère d’El Khadime Ould Seman), Cheikh Abou El Maali Ould Sidi Mohamed et Elemine Ould Hamoud.
Saaramédias

Le wali du Guidimakha visite les services régionaux


Le wali du Guidimakha, M. Isselmou Ould Abderrahmane Ould Moinouh a efféctué mercredi matin une visite dans les différents services régionaux à Sélibaby pour s'informer de leur fonctionnement.
Cette visite, au cours de laquelle le wali était accompagné du Hakem de la moughataa de Sélibaby et des autorités de sécurité, s'inscrit dans le cadre des orientations du Président de la République visant à faire de notre administration un outil efficace au service des citoyens.
AMI

mercredi 13 octobre 2010

Le Raid Latécoère annulé après le crash d’un équipage en Espagne faisant trois morts



Le Raid Latécoère, un rallye aérien à but humanitaire qui devait rejoindre Saint-Louis du Sénégal, via la Mauritanie a été annulé par ses organisateurs, depuis qu’un équipage de l'épreuve a fait un crash, mardi soir en Spagne provoquant la mort de trois participants.




Les organisateurs ont décidé de stopper l'épreuve à laquelle prenaient part 17 avions transportant 42 membres d’équipages qui devaient parcourir plus de 10 000 km et survoler successivement l'Espagne, le Maroc, la Mauritanie et le Sénégal.
ANI

Restitution des rapports des consultants sur le système de conseil agricole



Les travaux de restitution des rapports des consultants sur le système du conseil agricole à mettre en place en Mauritanie ont débuté ce mercredi à Kaédi.

Cette réyunion est organisée par la direction de la recherche et de la vulgarisation au ministère du développement rural avec l'appui de la FAO au profit de 30 participants représentant les producteurs des structures d'encadrement et les ONGs impliquées dans le conseil agricole des wilaya du Tagant, du Brakna, du Trarza, du Guidimagha et du Gorgol.

Pendant deux jours, trois exposés portant sur les organisations socio professionnelles, les ONGs et les opérateurs privés ainsi que les structures publiques seront discutés par les participants.

L'un de ces exposés fait l'évaluation des organisations socio professionnelles qui existent dans ces wilaya et définit leur nombre ainsi que leur répartition géographique, leur activité, leurs besoins et leurs problèmes. Il fait aussi une appréciation sur les bénéficiaires vis à vis des prestataires du conseil et un diagnostic de la situation des structures et du rôle qu'elles jouent au niveau de la fonction du conseil agricole;

Les autres exposés traitent pour leur part, de la relation entre les ONGs et les opérateurs privés ainsi que les structures publiques intervenant dans le conseil agricole, notamment en matière de mécanismes de programmation, de coordination et d'évaluation des résultats. Il aborde également l'intervention des structures publiques du développement rural dans le cadre de l'appui - conseil aux organisations des producteurs ruraux.

AMI

20 millions de dollars pour le financement des travaux de réhabilitation du tronçon de route Boumbry-Rosso





M. Sidi Ould Tah, ministre des affaires économiques et du développement et Mme katherinne Holly Fyel, directrice des opérations à la Banque Mondiale ont procédé, jeudi dernier à Washington, à la signature d'une convention portant sur un don de 20 millions de dollars, soit l'équivalent de 5,7 milliards d'ouguiyas.

C'est ce qu'indique un communiqué de presse du ministère des affaires économiques parvenu mardi soir à l'AMI.
Le document précise que ce financement est destiné à couvrir les travaux de réhabilitation du tronçon Boumbry-Rosso de la route Nouakchott-Rosso, dont le tronçon Nouakchott-Boumbry est financé par l'Union Européenne.
La signature de cette convention traduit l'intérêt qu'accordent les pouvoirs publics à la modernisation des infrastructures d'une façon générale et du réseau routier en particulier, souligne le communiqué.
Elle constitue aussi un nouveau témoignage de la confiance des partenaires au développement dans les politiques du gouvernement, conclut le document.
ANI